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Suisse Romande

Après 15 ans au Conseil d’Etat, Anne-Catherine Lyon s’en va

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Après 15 ans passés au Conseil d’Etat vaudois, Anne-Catherine Lyon s’en va.

Poussée à la porte par son parti, la socialiste va quitter son fauteuil de Cheffe du Département de la Formation, de la Jeunesse et de la Culture, le DFJC. C’est la nouvelle élue, Cesla Amarelle, qui lui succédera ce samedi 1er juillet 2017 à la tête de l’école vaudoise, notamment.

Alors après 15 années au Gouvernement vaudois, Anne-Catherine Lyon va quitter la scène politique. Et la future « ex » Ministre se dit sereine à quelques heures de laisser sa place:

Anne-Catherine LyonConseillère d'Etat sortante, VD

 

Pour rappel, Anne-Catherine Lyon souhaitait rempiler pour un 4ème mandat. Mais son parti lui a fait comprendre son opposition. La Conseillère d’Etat socialiste a alors dû se résoudre à laisser tomber et à laisser la place après 15 ans au DFJC… Anne-Catherine Lyon:

Anne-Catherine LyonConseillère d'Etat sortante, VD

 

Après 15 années au Gouvernement, plus d’une dizaine de lois menées à bien et de nombreux projets accompagnés, Anne-Catherine Lyon a encore quelques petits détails à régler avant de quitter sa fonction:

Anne-Catherine LyonConseillère d'Etat sortante, VD

 

Et parmi ces 20 lois accompagnées, il y a notamment la LEO, la loi sur l’enseignement obligatoire qui a fait couler beaucoup d’encre. Anne-Catherine Lyon:

Anne-Catherine LyonConseillère d'Etat sortante, VD

 

La Loi sur l’Enseignement Obligatoire aura provoqué l’ire du corps enseignants. Pour ses derniers mois en tant que Conseillère d’Etat, Anne-Catherine Lyon a dû faire face à une véritable fronde des profs. Mais pas de quoi la faire vaciller. Selon elle, il y a eu bien pire par le passé:

Anne-Catherine LyonConseillère d'Etat sortante, VD

 

Le nouveau Conseil d’Etat vaudois a prêté serment mardi 27 juin 2017, tout comme les 150 députés au Grand Conseil. La législature 2017-2022 débutera officiellement le samedi 1er juillet, sans Anne-Catherine Lyon.

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Lausanne

Révocation du syndic de Perroy: à la population de trancher

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La commune vaudoise de Perroy et son syndic font parler d'eux depuis bientôt trois ans (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Le sort du syndic controversé de la petite commune vaudoise de Perroy, sur la Côte, sera remis entre les mains de la population. Le Conseil d'Etat a en effet décidé de convoquer le corps électoral perrolan afin que celui-ci se prononce sur la révocation du syndic Didier Haldimann, mis en cause par une enquête administrative, sur fond de conflit d'intérêts. La date du scrutin doit encore être déterminée.

"Cette décision fait suite aux requêtes adressées au gouvernement par la Municipalité et le Conseil communal de Perroy en juillet 2023. La date du scrutin sera fixée d’entente avec les autorités communales une fois la décision entrée en force", a indiqué jeudi le Conseil d'Etat vaudois. Les requêtes de l'exécutif et du législatif perrolan se fondaient sur deux motifs essentiels, rappelle le Canton.

Tout d'abord, dans un rapport d'enquête administrative d'octobre 2021, établi à la suite de deux dénonciations de sociétés actives dans la commune, la préfète du district de l'Ouest lausannois avait conclu que M. Haldimann avait à plusieurs reprises enfreint les règles sur la récusation. Ces faits, contestés par M. Haldimann, ressortent des procès-verbaux de la Municipalité durant la période considérée.

L'élu a, lui, toujours dénoncé des dysfonctionnements au sein de l'administration. S'agissant du second motif, Didier Haldimann n'accomplit plus ses tâches de syndic et n'assiste plus aux séances de Municipalité depuis juin 2022.

Recours possibles

"Ces deux motifs étant établis et remplissant les conditions posées par l'article 139b, alinéa 3 de la loi sur les communes, le Conseil d'Etat a décidé d'ordonner la convocation du corps électoral perrolan afin que celui-ci puisse se prononcer sur la révocation du syndic de Perroy", écrit le gouvernement dans son communiqué.

"Il appartient en effet à la population de Perroy, qui a élu M. Haldimann, de décider si elle lui maintient sa confiance, en dépit des éléments mentionnés", souligne-t-il.

La décision du Conseil d'Etat peut faire l'objet d'un recours au Tribunal cantonal, puis le cas échéant au Tribunal fédéral. Si ces instances la confirment, la date du scrutin sera fixée d’entente avec les autorités de la commune de Perroy.

Réactions des avocats du syndic

Dans un communiqué de presse, les avocats de M. Haldimann affirment que la décision cantonale "semble affectée de plusieurs vices juridiques". Elle se base sur "un rapport d'enquête établi le 29 octobre 2021 par la préfète de l'Ouest lausannois et la procédure y relative, dans le cadre de laquelle Didier Haldimann n'a pas pu faire valoir ses moyens, la qualité de partie lui ayant été refusée".

"Il lui avait à l'époque été assuré que l'enquête n'était pas dirigée contre lui et que celle-ci n'aboutirait à aucune décision administrative. Or, aujourd'hui, le Conseil d'Etat se base précisément sur ce même rapport pour prendre sa décision. Dans ces conditions, nous estimons que les droits de procédure de notre mandant n'ont pas été respectés".

Les avocats du syndic ne font pas mention d'un éventuel recours dans leur communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Comptes 2023: un excédent de 200 millions pour la Ville de Genève

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La Ville de Genève a annoncé jeudi un excédent de 200 millions à ses comptes 2023 (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'excédent de revenus dans les comptes 2023 de la Ville de Genève se monte à près de 200 millions de francs. Ce résultat est dû à des revenus fiscaux extraordinaires, provenant principalement des personnes morales.

Les comptes 2023 bouclent un solde positif de 198,2 millions sur un budget de près de 1,3 milliard. Le déficit de 23 millions initialement prévu dans le budget 2023 a été ainsi plus que largement absorbé, écrit la Ville de Genève jeudi dans un communiqué.

Les revenus nets provenant de l'impôt sur les personnes physiques de montent à 665,6 millions (+50,2 millions). La part de l'impôt sur les personnes morales, plus fluctuant en raison de la volatilité des marchés, atteint elle 313 millions (+121,3 millions, dont 75,6 millions de correctifs liés aux années antérieures).

La Ville précise que le budget est établi comme à l'accoutumée sur la base des seules données disponibles, à savoir les prévisions fournies par l'administration fiscale cantonale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Simplon: transport de marchandises dangereuses en baisse

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Des comptages automatiques des poids lourds sont effectués sur la route du col du Simplon (archives). (© KEYSTONE/ANDREE-NOELLE POT)

Le transport de marchandises dangereuses par le col du Simplon aurait diminué en 2023. C'est en tout cas ce que montre une série de comptages automatiques effectués sur la route A9 Simplon.

Les comptages, menés entre août et décembre 2023, ont été comparés avec ceux effectués à la même période en 2015. Ils montrent "une augmentation de 9% du trafic de poids lourds par le col du Simplon", mais simultanément "une diminution de 13%" du nombre de transports de marchandises dangereuses, indique jeudi le comité de pilotage "Transports de marchandises dangereuses au Simplon" dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Le Tribunal fédéral confirme la prison ferme pour Alain Soral

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Alain Soral est condamné pour des propos homophobes tenus à l'égard d'une journaliste (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Tribunal fédéral (TF) confirme la condamnation d'Alain Soral pour discrimination et incitation à la haine en raison de propos homophobes tenus à l'égard d'une journaliste. Pour des raisons de procédure, sa peine privative de liberté passe de 60 à 40 jours.

Alain Soral, de son vrai nom Alain Bonnet, avait publié en 2021 une vidéo où il s'en prenait à l'auteure d'un article à son sujet. Il taxait la journaliste de "grosse lesbienne" et "militante queer", insinuant que ce dernier terme voulait dire "désaxé".

Pour le TF, ce langage "rabaissant" et outrancier" invite à mépriser la journaliste, en raison notamment de son orientation sexuelle. Il ne fait "aucun doute" qu'il "tend à éveiller et exciter un sentiment de haine".

Tous les éléments constitutifs de l'article 261 bis du code pénal sont réunis, note la Cour qui rappelle que depuis 2020, cette disposition a été étendue aux discriminations liées à l'orientation sexuelle. M. Soral écope de 30 jours-amende pour diffamation et 40 jours de prison pour discrimination et incitation à la haine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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