Genève
La Suisse peut mieux faire sur les violences contre les enfants
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La Suisse a admis à l'ONU pouvoir "faire davantage" sur les violences contre les enfants et leur droit de participation à la société. De leur côté, les experts onusiens sont inquiets des effets de la nouvelle loi antiterroriste sur les enfants.
"On pourrait faire davantage" pour empêcher les violences contre les enfants, a estimé devant le Comité des droits de l'enfant le chef de la délégation suisse, l'ambassadeur Stefan Cueni, en charge des affaires internationales à l'Office fédéral des assurances sociales (OFAS). Des discriminations ont notamment été identifiées contre certains groupes d'enfants, a affirmé de son côté l'une des membres du Comité.
Elle dénonce notamment l'absence d'une interdiction formelle de violences contre les enfants dans les familles. Un enfant sur cinq est confronté à de la violence physique ou morale grave dans le pays, a-t-elle ajouté.
Un problème qu'avait dénoncé la semaine dernière le Réseau suisse des droits de l'enfant, avant l'audition de la Suisse lundi pour la première fois en six ans, par les 18 experts indépendants de l'ONU. De nombreux Etats voisins interdisent les punitions corporelles, selon cette coalition d'ONG qui rappelait les nombreux appels internationaux à la Suisse pour changer cette situation.
Le Comité onusien doit évaluer la conformité de la Suisse à des obligations sur la Convention des droits de l'enfant. M. Cueni a rappelé que l'application en Suisse était de la responsabilité des cantons et des collectivités locales. "La situation des enfants peut être qualifiée de plutôt bonne", selon lui.
Loi antiterroriste visée
De même, pendant la pandémie, les cantons ont montré qu'ils étaient "capables de réagir de manière efficace et concertée" sur les droits de l'enfant, a insisté la présidente de la Conférence des directeurs cantonaux des affaires sociales (CDAS), la conseillère d'Etat jurassienne Nathalie Barthoulot. Un groupe de travail a rapidement été lancé et des actions sur l'aide d'urgence et une animation socio-culturelle ont pu être adaptées.
La présidente du gouvernement jurassien admet toutefois que des efforts doivent être menés sur le droit de participation à la société. Trop longtemps, celui-ci a été limité au seul "droit d'être entendu", dit-elle. L'un des experts, Luis Pedernera, a ciblé la différence entre cantons sur l'âge à partir duquel celui-ci peut s'appliquer.
Après les nombreuses critiques contre la nouvelle loi antiterroriste approuvée en juin dernier par la population suisse, il soulève son inquiétude sur la surveillance électronique des enfants dans le cadre de ce dispositif. Et de souhaiter des garanties avant l'entrée en vigueur prochaine de la loi. Cet expert a aussi déploré que la loi sur la protection des données, qui doit être appliquée dès l'année prochaine, ne prenne pas en considération les droits de l'enfant.
Plus largement, même si les cantons sont compétents, ses collègues et lui regrettent des disparités. Ils demandent davantage d'efforts nationaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Cassis: "presque un miracle" que Blatten n'ait fait qu'un disparu
Le fait que l'éboulement de Blatten (VS) n'ait fait qu'un seul disparu "relève presque du miracle", selon Ignazio Cassis. Mardi à Genève, le conseiller fédéral a appelé la communauté internationale à un "sursaut" face aux désastres naturels.
A Blatten, "une seule personne manque à l'appel. Ce qui, face à la brutalité de l’événement, relève presque du miracle", a-t-il dit en ouvrant la 8e réunion de la Plateforme mondiale pour la diminution des menaces liées aux désastres, devant plus de 4000 délégués.
Le conseiller fédéral appelle à renforcer les investissements dans la prévention, en s'appuyant sur la science, alors que des parlementaires fédéraux demandent davantage de moyens contre les dangers naturels.
L'éboulement aurait pu "coûter un nombre incommensurable de vies", a affirmé la numéro deux de l'ONU Amina Mohammed. "Un rappel important" de l'efficacité des alertes précoces mais celles-ci "ne peuvent empêcher les glaciers de disparaître", dit-elle, demandant davantage d'efforts contre le changement climatique.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Des militants propalestiniens empêchent une réunion de l'UNIGE
L'Université de Genève (UNIGE) a annulé, mardi, une rencontre annuelle destinée à ses principaux bailleurs de fonds en raison de la présence, sur les lieux, d'étudiants propalestiniens. Le rectorat a estimé que la réunion ne pouvait se dérouler sereinement.
Les médias avaient aussi été invités à cette présentation qui devait se tenir au Palais Eynard, siège de l'exécutif de la Ville de Genève. L'UNIGE aurait dû aborder, lors de cette rencontre, son bilan de l'année écoulée et ses perspectives. L'alma mater devait aussi exposer sa position sur son rôle dans le débat public.
C'est ce dernier objet qui a fait réagir les militants propalestiniens. Ces derniers estiment que l'UNIGE doit dénoncer tous ses partenariats avec des universités et des instituts de recherche israéliens à cause du comportement "génocidaire" de l'armée de l'Etat hébreu dans la bande de Gaza.
Après une demi-heure de palabres, la réunion de l'UNIGE a été annulée, le rectorat considérant que les conditions n'étaient pas réunies pour une présentation sereine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
La qualité de l'air s'est améliorée à Genève en 2024
Comparée aux années précédentes, la qualité de l'air a connu une amélioration significative en 2024 à Genève. Les concentrations annuelles de particules fines et de dioxyde d'azote ont été les plus faibles jamais relevées, indique le département du territoire (DT) mardi, dans un communiqué.
L'ozone est le seul polluant à ne pas avoir satisfait aux exigences légales en matière de qualité de l'air l'année dernière. Ce gaz se forme durant les longues journées ensoleillées. Ses concentrations sont excessives depuis des années à Genève quand arrivent les beaux jours.
Même si 2024 ne déroge pas à la règle, le nombre de dépassements des seuils légaux mesuré l'année dernière pour l'ozone "est significativement inférieur à ceux qui ont été enregistrés en 2023 ou en 2022 et se place parmi les plus bas relevés depuis 1990", note le DT. Un recul qui est dû à un printemps et à un été peu ensoleillés.
L'évolution favorable de la qualité de l'air ne permet pas d'écarter le risque de pic de pollution, tributaire d'un épisode météorologique défavorable, souligne le DT. Durant la saison estivale, l'ozone peut ainsi présenter des concentrations excessives qui pourraient conduire à l'activation du dispositif "Stick'AIR".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Genève: une Fête de la musique avec 500 propositions culturelles
Rendez-vous annuel coïncidant avec le début de l'été, la Fête de la musique, à Genève, va célébrer, trois jours durant, toutes les pratiques musicales. Quelque 500 propositions culturelles gratuites sont au programme de cette 34e édition, indique mardi la Ville de Genève, qui organise la manifestation.
Les 20, 21 et 22 juin, concerts, spectacles, dancefloors, ateliers et pièces dansées se produiront sur les 34 scènes qui seront montées au centre-ville. Le coeur des festivités, comme d'habitude, se déroulera au parc des Bastions, qui accueillera la plupart des stands de nourriture et de boissons.
En Vielle-Ville, de nombreuses églises et des cours intérieures seront ouvertes. Une nouvelle zone s'étend, cette année, aux abords de la place de Neuve, englobant le Victoria Hall et la Haute Ecole de Musique. Des événements se tiendront également au parc La Grange, sur la scène Ella Fitzgerald et sur celle du Théâtre de l'Orangerie.
Scène locale
La programmation fera la part belle aux artistes locaux, aussi bien en matière de musiques classiques et contemporaines qu'au niveau des musiques dites actuelles. Un accent particulier sera mis sur le hip-hop, avec, en apothéose, "une battle symphonique" de danse hip-hop le dimanche, devant le Grand Théâtre.
Les organisateurs, cette année, ont aussi voulu favoriser la parité des genres. Les artistes FLINTA (femmes, lesbiennes, intersexes, non binaires, trans et agenres) et les groupes mixtes constituent les deux-tiers de la programmation, précise la Ville de Genève dans un communiqué.
Outre la Ville de Genève, sept autres communes du canton (Carouge, Bernex, Plan-les-Ouates, Confignon, Pregny-Chambésy, Versoix et Lancy) célèbrent également l'arrivée de l'été en musique.
www.fetedelamusique.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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