International
Un nouveau duo anti-corruption donné en tête des législatives
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Une nouvelle formation anti-corruption menée par deux entrepreneurs quadragénaires a remporté dimanche en Bulgarie les troisièmes législatives de l'année, en pleine vague meurtrière du Covid-19, selon des instituts de sondage.
Avec un score surprise de 26% des suffrages, selon les nouveaux décomptes des instituts de sondage, "Continuons le changement" dépasse le parti conservateur Gerb de l'ex-Premier ministre Boïko Borissov (23%), initialement donné premier. Les résultats partiels officiels ne seront publiés que lundi.
Le champ serait donc libre pour Kiril Petkov et Assen Vassilev, qui se sont lancés en septembre à la conquête du pouvoir après avoir séduit les Bulgares par leur action au sein du gouvernement intérimaire.
"La Bulgarie prend un nouveau chemin", s'est félicité M. Petkov, apparu tout sourire devant une nuée de photographes et caméras. "Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour la doter d'un gouvernement normal".
Après l'échec des deux précédents scrutins, en avril puis juillet 2021, faute d'accord de coalition entre les partis, ce duo réussira-t-il dans une mission de son propre aveu "difficile" ?
Cancre de la vaccination
Dans les bureaux de vote, les électeurs étaient partagés entre lassitude et optimisme modéré.
"J'espère que nous aurons enfin un nouveau gouvernement pour une meilleure vie", confiait Stanka Lenkova, une retraitée de 73 ans venue voter dans la banlieue de Sofia.
De nombreux Bulgares ne se sont même pas déplacés: le taux de participation était estimé à quelque 40%.
À l'unisson, les différents responsables politiques ont dit leur détermination à sortir de l'impasse inédite depuis la fin du régime communiste.
Parmi les sujets urgents à traiter, la gestion de la crise sanitaire. Car le cabinet intérimaire apparaît impuissant face à la dégradation de la situation.
Les hôpitaux sont débordés par les cas de coronavirus et près de 200 personnes succombent chaque jour, dans ce pays des Balkans où moins d'un quart des 6,9 millions d'habitants est complètement vacciné, pire performance de l'UE.
Le taux de mortalité y est un des plus élevés au monde, sur fond de vétusté du système de santé. Trois patients sont décédés ce week-end dans l'incendie d'un établissement hospitalier.
"Jeter des ponts"
Un "chaos" dénoncé par M. Borissov, déchu en avril après une décennie de pouvoir, et qui pourrait se poursuivre.
Les deux nouveaux venus "sont très enthousiastes" mais ont peu d'expérience, prévient Boriana Dimitrova, directrice de l'institut de sondages Alpha Research. Elle pronostique une coalition "instable" du fait des divergences d'idées.
M. Petkov et son acolyte Assen Vassilev, rencontré sur les bancs d'Harvard, détonnent dans le paysage politique bulgare.
Leur objectif : "éradiquer la corruption", dans ce pays dernier du classement au sein de l'UE.
Les deux hommes se disent prêts au "compromis" et "très ouverts au dialogue" pour mettre sur pied une coalition.
"Gauche, centre ou droite, peu importe", assure Kiril Petkov, qui brigue le poste de Premier ministre. "Si nous pouvons stopper" la corruption "et redistribuer l'argent pour le bien-être des contribuables, alors nous devrions pouvoir nous entendre avec de nombreux partis".
"Ils sont en mesure de jeter des ponts entre la droite et la gauche", confirme Ivailo Ditchev, de l'université de Sofia.
'Rompre avec la corruption'
Mais les voix "du changement" ne suffiront pas. Selon les experts, il leur faudra sans doute s'allier avec les socialistes du PSB (environ 11% des voix), dont l'image est entachée par un passage au pouvoir désastreux dans les années 1990.
Parallèlement aux législatives, les Bulgares élisaient aussi dimanche leur président.
Roumen Radev, candidat à sa succession, fait la course en tête à l'issue du premier tour avec plus de 49% des suffrages, contre 24% pour son plus proche concurrent, le recteur de l'université de Sofia Anastas Gerdjikov, appuyé par Gerb.
M. Radev, ennemi juré de Boïko Borissov, a salué les résultats des élections, signe que "la société veut rompre avec la corruption et l'arbitraire".
Les partis parlementaires ont désormais "la tâche impérative de former un gouvernement réformateur, anti-corruption et social", a-t-il exhorté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pologne: candidat pro-européen en tête de la présidentielle
Le candidat pro-européen Rafal Trzaskowski est arrivé dimanche légèrement en tête du premier tour de l'élection présidentielle en Pologne, selon un sondage à la sortie des bureaux de vote. Il devrait affronter au second tour le candidat nationaliste Karol Nawrocki.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
La coalition de droite remporte les législatives au Portugal
La coalition gouvernementale de droite modérée au Portugal a remporté les élections législatives anticipées de dimanche. Elle aura cependant toujours du mal à former une majorité stable, selon un sondage à la sortie des urnes de la télévision publique RTP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Présidentielle en Roumanie: le candidat pro-européen en tête
Le maire pro-européen de Bucarest Nicusor Dan ressort en tête du second tour de l'élection présidentielle dimanche en Roumanie, selon deux sondages réalisés à la sortie des urnes. Il est crédité de plus de 54% des suffrages.
Le scrutin a été marqué par une forte participation dans un climat tendu. A la clôture des bureaux de vote à 21h00 (20h00 en Suisse), le candidat centriste est crédité de plus de 54% des suffrages, contre quelque 45% pour le chef du parti nationaliste AUR qui a cependant revendiqué la victoire, invoquant des "fraudes".
La publication de ces chiffres a été accueillie dans la confusion, les deux candidats revendiquant la victoire. Au quartier général de Nicusor Dan, installé dans un parc de Bucarest, le quinquagénaire a salué tout sourire "la victoire d'une communauté de Roumains désireux d'un profond changement".
"Savourons cette soirée et à partir de demain, reconstruisons la Roumanie", a-t-il ajouté devant ses partisans chantant "Europe" et "Unité".
Au même moment, son rival, s'exprimant devant le Parlement, s'est proclamé "le nouveau président de la Roumanie", comptant sur les votes de l'importante diaspora pour gagner et dénonçant des "fraudes".
M. Simion, un souverainiste fervent admirateur de Donald Trump, avait largement dominé le premier tour le 4 mai avec près de 41% des voix, le double de son adversaire.
Mais de nombreux Roumains se sont mobilisés entretemps pour renverser la donne d'un scrutin présenté comme crucial pour l'avenir européen de ce pays voisin de l'Ukraine, cinq mois après la rarissime annulation d'un scrutin entaché de soupçons d'ingérence russe.
Le taux de participation s'est élevé à près de 65%, contre seulement 53% au premier tour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Alcaraz bat Sinner en finale à Rome
Jannik Sinner a dû s'avouer vaincu en finale du Masters 1000 de Rome, où il effectuait son retour à la compétition après ses trois mois de suspension pour dopage.
Le no 1 mondial s'est incliné 7-6 (7/5) 6-1 devant le lauréat de l'édition 2024 de Roland-Garros Carlos Alcaraz (ATP 3).
Cette finale de rêve a tenu ses promesses, tout du moins dans sa première manche. Le "revenant" Jannik Sinner, qui n'avait plus joué depuis sa finale victorieuse à l'Open d'Australie fin janvier, a eu sa chance. Mais il n'est pas parvenu à convertir l'une des deux balles de set qu'il s'est procurées à 6-5 à la relance.
Carlos Alcaraz a écarté le danger, avant de dominer les débats dans un jeu décisif dont il a gagné les trois premiers points. Et l'Espagnol a surfé cette vague en signant le break d'entrée dans la deuxième manche, enfonçant le clou en s'emparant une deuxième fois du service adverse pour mener rapidement 5-0.
Jannik Sinner a ainsi vu sa belle série s'arrêter. Vainqueur de ses 26 derniers matches, l'Italien n'avait plus connu la défaite depuis le 2 octobre 2024 et la finale du tournoi de Pékin. Il avait alors déjà subi la loi de Carlos Alcaraz, qui a cueilli dimanche à Rome sa quatrième victoire d'affilée face à son grand rival.
Ils sont prêts
Malgré cet échec, Jannik Sinner a démontré qu'il serait très certainement compétitif à Roland-Garros (25 mai-8 juin) où il aura l'occasion de monter en puissance. Déjà titré dans le Masters 1000 de Monte-Carlo ce printemps, Carlos Alcaraz sera toutefois bel et bien l'homme à battre à Paris.
A noter que les deux hommes affichent désormais le même bilan dans des finales: 19 titres conquis, pour 6 échecs au stade ultime! Alcaraz est toutefois mieux "loti" avec quatre Majeurs à son actif (trois pour Sinner) et sept Masters 1000 (quatre pour l'Italien).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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