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Genève

L'initiative pour limiter les postes à l'Etat n'aboutit pas

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A Genève, le PLR et le PDC n'ont pas réussi à récolter le nombre de signatures requis à leur initiative constitutionnelle "Pour une gestion durable de la fonction publique". Chaque année, des manifestations ont lieu en marge du débat parlementaire sur le projet de budget de l'Etat (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, le PLR et le PDC n'ont pas réussi à récolter le nombre de signatures requis pour valider leur initiative constitutionnelle "Pour une gestion durable de la fonction publique". Le texte n'a pas recueilli les 8098 signatures valables nécessaires à son aboutissement.

Moins de 7000 signatures ont été récoltées, a indiqué mardi le président du PLR Bertrand Reich, interrogé par Keystone-ATS. Le délai pour le dépôt des signatures était le 1er mars, mais il avait été repoussé de trois semaines par le Conseil d'Etat en raison des mesures sanitaires.

"Un sujet compliqué"

Le texte demandait d'inscrire dans la Constitution le principe que l'Etat ne peut créer de nouveaux postes que s'il peut les financer, grâce à des rentrées supplémentaires ou à une diminution équivalente ailleurs, en application du principe de réallocation des ressources. L'objectif de cette "gestion durable des engagements" était d'éviter à la fois toute baisse des prestations et toute hausse des impôts.

Les initiants mettaient en avant le fait que l'administration cantonale tend à être plus importante à Genève qu'ailleurs en Suisse. Depuis 2011, la population genevoise a augmenté de 9%. Pendant ce temps, le nombre de fonctionnaires s'est accru de 17% et les charges de personnel, de 22%.

Pour Bertrand Reich, le non-aboutissement de cette initiative est dû au fait que le sujet est compliqué. "Nous allons continuer à nous battre sur le thème du train de vie de l'Etat", a-t-il assuré.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le Parlement veut renforcer la sureté du vote par correspondance

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Le conseiller d'Etat genevois, Thierry Apothéloz, a indiqué que mieux sécuriser le vote par correspondance se fera par des mesures structurelles (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil genevois a renvoyé vendredi en commission une motion qui demande de mieux sécuriser le vote par correspondance. Ce projet fait suite aux irrégularités qui ont entaché l'élection du Conseil municipal de la commune de Vernier, le 23 mars dernier, et qui a conduit à l'annulation du scrutin par la justice.

"Attaque à notre démocratie", pour le centriste Jean-Marc Guichard, auteur de la motion, "rupture de confiance entre le monde politique et les citoyens" pour la Verte Louise Trottet, les députés ont tous souligné la gravité des faits qui se sont produits lors de l'élection du délibératif de la deuxième ville du canton de Genève.

Une expertise en écriture demandée par le Ministère public a permis de conclure que neuf personnes ont rempli 278 bulletins. De nombreux bulletins de la formation Liberté et Justice sociale (LJS) avaient été modifiés. Certains candidats avaient été biffés et trois candidates d'autres partis, toujours les mêmes, avaient été ajoutés.

"La démocratie souffre de ce type d'événement", a déclaré le président du Conseil d'Etat genevois Thierry Apothéloz. Le magistrat a toutefois tenu à défendre la Chancellerie dans cette affaire. "Non, elle n'a pas minimisé les faits, elle a juste réclamé la lumière complète sur les événements" qui ont eu lieu à Vernier.

La motion a été renvoyée à la commission des droits politiques et du règlement du Grand Conseil. Thierry Apothéloz a promis que le gouvernement interviendra lors du travail en commission, car il faut mettre en place des "mesures structurelles" afin d'améliorer la sécurité du vote par correspondance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

L'initiative sur les allocations familiales échoue

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Une initiative des Jeunes du Centre visait à apporter un soutien pour les familles et se positionnait en faveur du pouvoir d'achat (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

A Genève, l'initiative des Jeunes du Centre visant à adapter les allocations familiales aux coûts de la vie en tenant compte des hausses des primes d'assurance maladie a échoué. Les initiants n'ont pas réussi à récolter assez de signatures.

Ils avaient jusqu'à vendredi pour déposer les 4214 signatures nécessaires, mais ils en ont récolté environ la moitié, a indiqué vendredi à Kesytone-ATS Gabriel Haddad, président des Jeunes du Centre. Après un excellent démarrage, l'élan s'est essoufflé, faute de temps de la part de nos membres, a-t-il expliqué.

Il compte revenir sur le sujet dans le futur. Lancée en février dernier, cette initiative a permis d'ouvrir le dialogue, notamment avec les sections jeunes des autres partis, a ajouté M.Haddad.

Actuellement, les allocations familiales sont actuellement basées sur l'indice genevois des prix à la consommation qui ne comprend pas les primes d'assurance maladie. L'initiative prévoyait d'inscrire dans la loi sur les allocations familiales un mécanisme qui intègre la hausse de primes dans le calcul de l'indexation.

Afin de ne pas peser sur les PME, les Jeunes du Centre voulaient que ce système soit financé par le budget de l'Etat. Selon leurs estimations, en 2025, les allocations familiales pour un enfant jusqu'à 16 ans seraient passées de 311 à 334 francs par mois. Elles auraient augmenté de 415 francs à 445 francs pour un jeune en formation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Genève va construire sept nouvelles écoles de pédagogie spécialisée

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Genève vote 42,5 millions de francs pour construire sept écoles de pédagogie spécialisée à Vernier, Onex et au Grand-Saconnex (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, sept nouvelles écoles destinées aux élèves à besoins spécifiques vont être construites. Le Grand Conseil a accepté vendredi un crédit d'étude et d'investissement de 42,5 millions de francs pour réaliser ces infrastructures.

Ce projet vise à répondre à l'augmentation des effectifs de l'enseignement spécialisé. Trois parcelles dans les communes de Vernier, d’Onex et du Grand-Saconnex accueilleront ces écoles. "Il y a une véritable opportunité foncière à saisir", a souligné la socialiste Nicole Valiquer Grecuccio.

Sur les sites de Vernier et du Grand-Saconnex, les travaux devraient démarrer au printemps 2027 pour une mise en service prévue au plus tôt à la rentrée scolaire 2028. Le projet d’Onex, qui nécessite des travaux plus conséquents, débutera à l'automne 2027 et sera achevé au plus tôt pour la rentrée scolaire 2029.

Ces nouvelles structures accueilleront entre 100 et 125 élèves de l'enseignement spécialisé et permettront d'absorber une partie de l'augmentation significative des effectifs. Elles offriront également la possibilité d'abandonner certains sites vétustes et exigus.

Très attachés à l'école inclusive, les socialistes ont voulu conditionner l’ouverture des 100 premières places à la fermeture des 100 places existantes les plus vétustes. Cette condition visait à s'assurer que le Conseil d'Etat ne crée pas davantage de places dans l'éducation spécialisée pour s'éloigner de l'école inclusive.

Mais cette tentative a échoué en plénière. La majorité a accepté un amendement du Conseil d'Etat supprimant cette condition. Très remontée "contre le dogmatisme de la gauche", la conseillère d'Etat Nathalie Fontanet a souligné qu'il était du devoir de l'Etat de ne pas laisser des familles sur le carreau.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Un crédit d'étude supplémentaire pour patinoire du Trèfle-Blanc

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Un crédit d'étude supplémentaire a été voté par le Grand Conseil genevois pour la réalisation de la future patinoire du Trèfle-Blanc à Lancy (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le grand Conseil genevois a accepté vendredi un crédit supplémentaire de 5,35 millions de francs pour compléter les études relatives à la construction de la patinoire du Trèfle-Blanc et aux aménagements aux alentours de la future enceinte sportive. Le crédit d'investissement pour l'ensemble devrait avoisiner les 400 millions.

Le crédit voté vendredi par 74 voix et 13 abstentions (Vert.e.s) vise à compléter un premier crédit d'étude de 11,7 millions. Le projet nécessite des études complémentaires notamment pour le reversement de la boucle du tram, pour la mobilité, pour le P+R ou encore pour des impacts géologiques, a indiqué le député UDC Christo Ivanov.

Les coûts de réalisation de la patinoire du Trèfle-Blanc à Lancy et les dépenses liées à l'aménagement des alentours de l'enceinte sportive ont été revus à la hausse, notamment en raison de l'augmentation de prix des matériaux de construction. L'investissement est estimé à 293 millions de francs pour le complexe auquel s'ajoutent près de 100 milllions de garantie de prêt pour le parking.

Thierry Apothéloz, président du Conseil d'Etat, espère que le crédit d'investissement sera discuté cet automne au Grand Conseil pour un démarrage des travaux au début 2026. La mise en service est prévue pour 2030. La nouvelle infrastructure pourra accueillir 8500 spectateurs. Il y aura aussi des surfaces commerciales ainsi que des espaces réservés pour les collectvités publiques.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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