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Vaud

Vaud interdit les feux en forêt

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Les feux sont désormais interdits en forêt et à moins de 10 mètres des lisières dans le canton de Vaud (photo d'illustration). (© KEYSTONE/THOMAS HODEL)

A l'instar d'autres cantons, Vaud interdit les feux en forêt et à moins de 10 mètres des lisières en raison de la sécheresse. La mesure prend effet immédiatement et jusqu'à nouvel avis.

Au vu des conditions météorologiques actuelles, le danger d'incendies en forêt atteint le niveau quatre sur une échelle de cinq sur le territoire vaudois, indique mardi le canton dans un communiqué. Le degré de danger devrait continuer à augmenter ces prochains jours, aucun épisode pluvieux conséquent n'étant annoncé.

L'interdiction concerne les feux et les barbecues. Sont aussi touchées les places de pique-nique situées dans l'aire forestière ou à proximité directe de celle-ci. Tant les professionnels que les privés doivent se conformer à cette règle.

"Une extrême prudence" est aussi recommandée pour les allumettes et les cigarettes qui doivent être éteintes avant d'être jetées à la poubelle, poursuit le communiqué. Tout départ de feu ou situation suspecte doit être annoncé immédiatement à la centrale 118.

Interdiction générale possible

Comme la sécheresse ne touche pas que les forêts, le canton de Vaud appelle aussi à la prudence pour tous les feux en plein air ou pour l'usage d'engins pyrotechniques. La situation sera réévaluée en fin de semaine. Une interdiction générale de faire du feu pourrait ainsi être décidée.

D'autres cantons ont déjà pris de telles mesures. Lundi par exemple, Bâle-Ville et Bâle-Campagne ont décrété une interdiction absolue de faire du feu en forêt ou en lisière de forêt.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les glaciers et leurs tentatives de préservation s'exposent à Vevey

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Pour le Musée suisse de l'appareil photographique, la conservation d'une collection photographique ou d'un glacier relève d'un même défi: ralentir l'inéluctable pour transmettre un héritage aux générations futures (archives). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

Le Musée suisse de l'appareil photographique à Vevey consacre une double exposition sur la thématique des glaciers. Intitulée "Glaciers sous couvert. Une histoire de préservation", elle est à voir dès mardi et jusqu'au 17 août.

La première partie de l'exposition a lieu au musée et consiste en une sélection de photographies de glaciers provenant des collections. Elle a pour objectif de montrer le rôle crucial de l'institution dans la préservation de ce patrimoine.

"La comparaison entre la conservation d'une collection photographique et celle d'un glacier relève un même défi: ralentir l'inéluctable pour transmettre un héritage aux générations futures. Avec le temps, les photographies s'altèrent et les informations à leur sujet se perdent. Face à ces changements irréversibles, la conservation devient un acte de résistance", écrit la Ville de Vevey dans son dossier de presse.

Le second volet de l'exposition se déroule le long du quai Perdonnet avec des photographies contemporaines de glaciers recouverts de bâches, destinées à ralentir la fonte. Réuni par Nathalie Diestchi, professeure à la section d'histoire de l'art de l'Université de Lausanne, ce corpus inédit "offre une perspective artistique et scientifique sur ces paysages en mutation, suscitant une réflexion profonde sur les enjeux de leur protection", poursuit le document.

Une soirée d'ouverture publique ainsi qu'une table ronde sur les moyens techniques, patrimoniaux et culturels de préserver les glaciers des Alpes aura lieu mardi, à 18h00, au Musée suisse de l'appareil photographique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Un "concert du coeur" pour les détenus de Bois-Mermet

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Les portes de la prison du Bois-Mermet à Lausanne s'ouvriront jeudi 26 juin aux musiciennes de Lumielles (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BRUN)

Les portes de la prison lausannoise du Bois-Mermet s'ouvriront jeudi à deux musiciennes. Les détenus auront ainsi accès à la "musique vivante" du duo Lumielles dans le cadre d'un événement organisé par l'association "Les Concerts du Coeur".

Une vingtaine de personnes détenues assisteront à ce concert d'environ une heure dans la salle de gym de l'établissement pénitentiaire situé sur les hauts de Lausanne. "Ce sera un concert intime qui devrait être très participatif. Le duo Lumielles a une grande expérience de la médiation", indique Mary Rose, co-directrice artistique de l'antenne vaudoise des Concerts du Coeur, à Keystone-ATS.

Depuis la création de l'association il y a six ans, c'est la toute première fois que ses musiciens se produiront en milieu carcéral. "C'était un de nos souhaits depuis le début, mais cela n'avait encore jamais été possible en raison des contraintes liées à ce milieu. Nous sommes ravis que cela puisse finalement se concrétiser grâce à une coordination particulière avec la prison du Bois-Mermet", poursuit Mary Rose.

Garantir le droit à la musique

A l'image de la fondation "Live music now" créée en 1977 par le violoniste et chef d'orchestre Yehudi Menuhin, les Concerts du Coeur ont pour objectif d'amener de la "musique vivante" à des publics qui peuvent difficilement fréquenter des concerts traditionnels pour des raisons de santé, d'âge ou de situation économique ou sociale.

"Pourtant, l'accès à la culture, et donc à la musique, fait partie des droits humains", souligne l'ancienne violoncelliste, reconvertie dans la gestion culturelle pour des raisons de santé. "Il est très important pour nous de proposer des concerts et des moments d'échange humain également dans les prisons."

Mary Rose croise les doigts pour que cette première pour l'association soit suivie par d'autres. "J'espère que cela pourra mener à des concerts dans d'autres établissements pénitentiaires et que nous pourrons peut-être même aller au-delà d'un concert, par exemple avec des ateliers de co-création", dit-elle.

Ces dernières années, l'Orchestre de chambre de Lausanne (OCL) et son chef Renaud Capuçon ont aussi donné des concerts en prison dans le canton de Vaud, dans celle de la Croisée à Orbe ou de la Tuilière à Lonay.

Soutien aux musiciens locaux

Outre ce concert en milieu carcéral, l'association a mis sur pied une trentaine de rendez-vous cet été dans le canton de Vaud. La majeure partie d'entre eux se dérouleront dans des EMS. D'autres auront lieu dans des hôpitaux, des centres d'accueil temporaire, ainsi que des foyers de l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM).

Les Concerts du Coeur ont vu le jour en 2017 en Valais. Des antennes ont ensuite essaimé dans les cantons de Vaud, Genève et Fribourg. Outre leur mission d'amener la musique aux publics empêchés, ces associations ont également pour objectif de soutenir les musiciens professionnels locaux.

L'association vaudoise emploie actuellement une soixantaine de musiciens à temps partiel et environ 200 sont engagés dans l'ensemble des cantons partenaires. Au total, elles organisent près de 500 concerts par an, dont environ 150 sur le territoire vaudois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Vevey: la collection Thierry Barbier-Mueller au Musée Jenisch

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Le Musée Jenisch Vevey expose une sélection d'oeuvres sur papier de la collection Thierry Barbier-Mueller jusqu'au 26 octobre (archives). (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

Le Musée Jenisch Vevey consacre sa nouvelle exposition à la collection d'art contemporain du Genevois Thierry Barbier-Mueller. Intitulée "Une conversation sans mots", elle est à voir dès vendredi et jusqu'au 26 octobre.

Né en 1960 dans une famille de collectionneurs d'art, Thierry Barbier-Mueller n'a pas dérogé à cette tradition. Il a constitué pendant 40 ans une collection fortement marquée par les artistes suisses, jusqu'à son décès soudain en 2023.

L'exposition "invite les visiteurs à une rencontre intime et silencieuse, non seulement avec les oeuvres, mais aussi avec l'esprit du collectionneur, qui a su créer un dialogue fertile et inspirant au sein de sa collection", écrit l'institution dans son dossier de presse.

Les pièces exposées ont été sélectionnées en fonction de leur représentativité parmi les oeuvres sur papier de la collection et de l'importance sentimentale que leur portait Thierry Barbier-Mueller, précise le musée. Aquarelle, gouache et estampe comptent parmi les techniques utilisées.

L'exposition s'articule en deux temps. Le premier volet donne à voir diverses représentations de paysages notamment des études au crayon de Robert Zünd, une estampe monumentale de Franz Gertsch ainsi que des dessins au fusain d'Alain Huck. Elle présente également les gouaches abstraites de Sylvia Bächli. Le second volet se concentre sur les représentations de figures humaines, ainsi que sur les moments fondateurs que représentent pour l'être humain l'amour et la mort.

Sans texte

Le titre de l'exposition, "Une conversation sans mots" a été choisi par les filles du collectionneur, et évoque le rapport de leur père à l'art. "Très discret quant à son activité de collectionneur, Thierry Barbier-Mueller a nourri sa passion dans une grande intimité", souligne l'institution.

Fidèle à cette "approche intuitive de l'art", l'exposition a été conçue sans texte et permet ainsi aux visiteurs de "percevoir, en filigrane, la personnalité du collectionneur", indique le musée. Un guide de visite, donnant la parole aux personnalités ayant côtoyé le Genevois accompagne cependant le public.

Albert Chavaz au Cabinet des estampes

En parallèle, le Cabinet des estampes expose un panorama de l'oeuvre d'Albert Chavaz (1907-1990), un peintre né à Genève et installé à Savièse après avoir découvert le Valais en 1934 suite à la commande d'un décor mural. Il est connu essentiellement pour ses représentations de paysages valaisans, ainsi que pour ses personnages féminins et ses natures mortes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Fête fédérale de gymnastique: cortège et flonflons à Lausanne

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Le conseiller fédéral Martin Pfister a défilé samedi dans les rues de Lausanne en compagnie des autorités et de la présidente du Conseil national Maria Riniker pendant le cortège lors de la Fête fédérale de gymnastique. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Quelque 3000 participants à la Fête fédérale de gymnastique (FFG) ont défilé samedi après-midi dans les rues de Lausanne. Le conseiller fédéral Martin Pfister était du cortège, de même que les autorités fédérales, vaudoises, lausannoises et gymniques.

Le défilé a débuté à 14h00 à Montbenon, où chaque coin d'ombre était réquisitionné par les membres des fanfares et les gymnastes. Le chef du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) a assisté à la charge et au tir du canon par les Milices vaudoises qui ont donné le signal du départ.

Chapeau de paille et chemise blanche, Martin Pfister faisait sa première visite officielle à Lausanne en tant que membre du gouvernement fédéral. Sa compatriote, la conseillère d'Etat Valérie Dittli, s'est réjouie de lui faire découvrir "le côté traditionnel" du canton de Vaud.

Le Zougois s'est réjoui de sa venue à Lausanne: "La Fête fédérale de gymnastique rerpésente un moment important pour la Suisse. C'est un très bon exemple de sport proche des gens".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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