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Le gaz européen frôle son record historique, l'électricité s'envole

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Plusieurs causes sont à l'origine de l'explosion des cours, à commencer par le tarissement des flux de gaz russe vers l'Europe depuis le début de la guerre en Ukraine: nombre de centrales thermiques utilisent du gaz pour générer de l'électricité (archives). (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Le prix du gaz naturel évoluait vendredi à des niveaux extrêmes. Il a frôlé le record historique en Europe, encore propulsé par les perspectives d'une interruption des livraisons en provenance de Russie.

Le prix du gaz naturel européen s'est envolé et a atteint vendredi 342,05 euros (329,64 francs) le MWh, à peine en dessous de son record historique en séance (345 euros le MWh) enregistré en mars après l'invasion russe de l'Ukraine.

Vers 18h00, le contrat à terme du TTF néerlandais, référence du marché européen du gaz naturel, évoluait à 307 euros le mégawattheure (MWh), en légère baisse sur la séance mais en envol de plus de 24% sur la semaine.

Offre insuffisante

"Cette situation est due à l'insuffisance de l'offre de gaz naturel", expliquent les analystes de Commerzbank, entre livraisons de gaz russe via Nord Stream 1 déjà très réduites et celles en provenance de Norvège entravées par des travaux de maintenance.

Le prix du gaz est propulsé depuis une semaine par les suspensions d'approvisionnement russe à venir via Nord Stream 1, en raison d'une maintenance du gazoduc, selon une annonce du géant russe Gazprom.

Si la Russie décidait "de continuer d'utiliser ses approvisionnements comme une arme et de maintenir le gazoduc fermé après la fin de la maintenance, le risque de nouvelles flambées subsiste", estime Ole Hansen, analyste chez Saxobank.

Aux Etats-Unis, Freeport LNG a annoncé mardi que son terminal de gaz naturel près de Houston au Texas, qui avait été endommagé par un incendie en juin, ne reprendrait du service qu'en novembre, soit avec un mois de retard.

Semaine record

Entraînée par les cours du gaz, l'Europe a connu une semaine de prix records de l'électricité pour livraison début 2023, culminant vendredi à 950 euros le MWh en Allemagne et à 1300 euros en France. Il y a un an, les prix dans ces deux pays étaient seulement d'environ 85 euros par MWh.

Dans l'Hexagone, EDF a annoncé la prolongation de l'arrêt de réacteurs nucléaires affectés par des soucis de corrosion. Seuls 24 des 56 réacteurs nucléaires d'EDF fonctionnent en ce moment, ce qui réduit la production électrique française à un niveau historiquement bas, et fait mécaniquement augmenter les cours.

Une situation qui devrait encore soutenir "une augmentation déjà très visible de la demande de produits à base de carburant, en particulier le diesel et plus tard cet automne également le mazout de chauffage, au détriment du gaz", affirme Ole Hansen.

Les prix du pétrole restaient quant à eux stables vendredi, entre de potentielles réductions de production des pays membres de l'Opep+ et l'éventualité d'un retour de l'accord sur le nucléaire iranien de 2015.

Le baril de Brent de la mer du Nord, référence du brut en Europe, pour livraison en octobre, prenait 0,19% à 99,53 dollars, hésitant autour de la barre des 100 dollars.

Le baril de West Texas Intermediate (WTI), son homologue américain, pour livraison le même mois, perdait quant à lui 0,24%, à 92,30 dollars.

"Ajustements" requis par Téhéran

Mercredi, le ministère iranien des Affaires étrangères a confirmé avoir reçu une réponse des Etats-Unis concernant les "ajustements" requis par Téhéran à la proposition d'accord soumise par l'Union européenne sur le dossier nucléaire iranien.

Une issue positive des négociations entraînerait la levée d'une partie des sanctions américaines contre l'Iran et le retour en grâce du brut iranien sur le marché international.

Mais le pétrole a toutefois augmenté sur la semaine, après que le ministre saoudien de l'Énergie, Abdelaziz ben Salmane a ouvert la porte à une possible réduction de la production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

International

Tsahal débute une "vaste opération terrestre" à Gaza

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Une "vaste offensive terrestre" est en cours à Gaza. (© KEYSTONE/AP/Ariel Schalit)

L'armée israélienne a annoncé dimanche lancer de "vastes opérations terrestres" dans la bande de Gaza, en parallèle de négociations indirectes à Doha pour obtenir un cessez-le-feu. Tsahal avait intensifié ses bombardements samedi.

Cette annonce intervient au lendemain de l'intensification par l'armée de sa campagne aérienne et terrestre à Gaza visant à obtenir, selon elle, la libération des otages israéliens retenus par le Hamas et de défaire le mouvement islamiste palestinien, une escalade critiquée à l'international.

Alors que des négociations indirectes se tiennent à Doha pour obtenir un cessez-le-feu, le Premier ministre Benjamin Netanyahu s'est dit dimanche ouvert à un accord incluant la fin de l'offensive de son armée, tout en affirmant que l'accord devrait inclure l'"exil" du Hamas et le "désarmement" du territoire assiégé et dévasté par plus de 19 mois de guerre, des exigences jusque-là rejetées publiquement par le mouvement palestinien.

"L'équipe de négociation à Doha s'efforce d'épuiser toutes les possibilités d'accord", a indiqué le bureau de M. Netanyahu, "que ce soit dans le cadre du plan (proposé par l'émissaire américain Steve) Witkoff ou dans le cadre d'une fin des combats qui inclurait la libération de tous les otages, l'exil des terroristes du Hamas et le désarmement de Gaza".

Plan pour la conquête de Gaza

Son gouvernement avait pourtant approuvé début mai un plan pour "la conquête" de Gaza et un déplacement de sa population, semblant alors écarter toute négociation.

Le jour de l'annonce par l'armée de l'expansion de ses opérations, le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, a annoncé la reprise "sans condition préalable" des négociations indirectes avec Israël au Qatar, pays médiateur.

Une source du Hamas au fait des négociations a indiqué dimanche que le mouvement abordait les pourparlers avec "une grande flexibilité".

50 tués

Jusque-là, le Hamas s'est dit prêt à libérer tous les otages enlevés durant l'attaque du 7-Octobre dans le cadre d'un accord global mettant fin à la guerre, qui verrait notamment un retrait total israélien de Gaza et exclurait son désarmement.

Israël a repris le 18 mars ses bombardements, après le blocage des négociations pour prolonger une trêve qui a duré deux mois. Depuis le 2 mars, il bloque l'entrée de toute aide humanitaire vitale pour les 2,4 millions de Palestiniens de la bande de Gaza.

Dimanche, au moins 50 personnes ont été tués par les bombardements israéliens dans la bande de Gaza, a indiqué la Défense civile, évoquant un "bilan préliminaire". Mahmoud Bassal, porte-parole de l'organisation de secours, a fait état de nombreux enfants tués.

"Tous sont morts"

Les bombardements ont visé des tentes de déplacés à Al-Mawassi (sud), ainsi que des habitations à Jabalia (nord) à Al-Zawayda (centre) et à Khan Younès (sud), selon lui.

A l'hôpital Nasser de Khan Younès, des corps couverts de draps blancs sur lesquels sont inscrits les noms des morts sont alignés à même le sol, selon des images de l'AFP. A côté, des proches pleurent. A Al-Mawassi, des Palestiniens tentent de récupérer ce qui reste de leurs effets après la destruction de leurs tentes.

"Je n'étais pas là", raconte en pleurs Warda al-Shaer au milieu des destructions à Al-Mawassi. "Tous les membres de ma famille sont morts. Il ne reste plus personne. Mes neveux sont morts avec leur père et leur mère. Ma mère est également morte".

L'armée israélienne n'a pas commenté ces attaques dans l'immédiat.

Hôpitaux hors service

Dans le nord de Gaza, "tous les hôpitaux publics sont désormais hors service", a affirmé le ministère de la Santé du Hamas.

"L'occupation israélienne a intensifié son siège, avec des tirs nourris autour de l'hôpital indonésien (à Beit Lahia), empêchant l'arrivée des patients, du personnel médical et des fournitures médicales, ce qui a contraint l'hôpital à fermer", a-t-il ajouté.

Après l'expansion de l'offensive israélienne, les appels se sont multipliés pour cesser la guerre. Il faut "arrêter le massacre à Gaza", a dit le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez. "Ca suffit", a lancé le chef de la diplomatie italienne Antonio Tajani.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Neuf Suisses en lice en qualifications à Paris

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Stefanie Vögele tenta sa chance en qualifications à Roland-Garros (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

Pas moins de neuf Suisses, dont sept femmes, seront en lice dans les qualifications de Roland-Garros qui démarrent lundi.

Parmi eux figure une "revenante", Stefanie Vögele, qui tente un retour après une pause maternité.

Vögele (35 ans), dont la dernière apparition sur le circuit principal remonte à l'été 2022, n'a pas été gâtée par le tirage au sort. Elle se mesurera au 1er tour de ces qualifications à la tête de série no 12, l'Allemande Ella Seidel. L'Argovienne a disputé un seul match depuis son "comeback", dans un ITF à Lugano fin avril.

Seule Suissesse figurant parmi les têtes de série, Rebeka Masarova (no 10) se mesurera au 1er tour à l'Israélienne Lina Glushko. Simona Waltert affrontera la Chypriote Raluka Serban, Céline Naef la représentante de Taïwan Joanna Garland, Valentina Ryser l'Argentine Julia Riera, Leonie Küng l'Américaine Hanna Chang et Susan Bandecchi l'Argentine Solana Sierra (no 9).

Chez les messieurs, Jérôme Kym a été désigné tête de série no 21 des qualifications. L'Argovien en découdra au 1er tour avec l'Italien Matteo Gigante. Marc-Andrea Hüsler se frottera quant à lui au Sud-Africain Lloyd Harros, ex-no 31 du classement ATP. Dominic Stricker n'était quant à lui pas suffisamment bien classé à l'heure du "cut" pour intégrer le tableau des qualifications.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Ukraine: attaque record de drones russes, une femme tuée

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Cette salve d'attaques de drones intervient à la veille d'un appel annoncé par le président américain Donald Trump avec son homologue russe Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/AP)

La Russie a lancé dans la nuit de samedi à dimanche une attaque record de drones visant de nombreuses régions d'Ukraine, dont celle de la capitale, Kiev. Une femme y a été tuée selon les autorités ukrainiennes, deux jours après des pourparlers de paix.

Cette salve d'attaques intervient à la veille d'un appel annoncé par le président américain Donald Trump avec son homologue russe Vladimir Poutine pour tenter de mettre fin au conflit qui a entraîné la mort de dizaines de milliers de personnes, civils et militaires confondus.

Vendredi, les discussions de paix russo-ukrainiennes menées à Istanbul, les premières depuis le printemps 2022, ont mis en exergue le gouffre qui sépare les positions de Moscou et celles de Kiev, dont l'armée souffre sur le front.

S'attaquer aux causes

Vladimir Poutine, qui s'exprimait publiquement dimanche pour la première fois depuis deux jours, a insisté à la télévision d'Etat vouloir "éliminer les causes" du conflit, "créer les conditions d'une paix durable" et "garantir la sécurité de l'État russe".

Son armée, qui bénéficie "d'assez de troupes et de moyens" pour mener à bien cet objectif d'après lui, occupe toujours près de 20% du territoire ukrainien qu'elle a envahi depuis février 2022.

Dans la nuit de samedi à dimanche, la Russie "a attaqué avec 273 drones explosifs de type +Shahed+ et des leurres", dont 88 ont été détruits, a indiqué au matin l'armée de l'air ukrainienne.

"Record"

Ce chiffre de 273 drones lancés est "un record", a déploré la vice-Première ministre Ioulia Svyrydenko, assurant que "l'objectif de la Russie est clair: continuer à massacrer des civils".

"Une femme est morte de ses blessures à la suite d'une attaque ennemie" près de Kiev, a indiqué sur Telegram le responsable de l'administration militaire régionale, Mykola Kalachnyk.

Il a fait état de trois blessés hospitalisés, dont un enfant de quatre ans.

Cette attaque a notamment touché "un immeuble d'habitation", ont dénoncé dans un communiqué les secours ukrainiens. Deux personnes ont par ailleurs été "blessées" dans une frappe de drone à Kherson (sud), selon les autorités municipales.

"Poutine veut la guerre"

Cette série d'attaques nocturnes venant de Russie a engendré une avalanche de condamnations de la part des responsables ukrainiens.

"Pour la Russie, les négociations d'Istanbul ne sont qu'une couverture, Poutine veut la guerre", a cinglé le bras droit de Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, chef de l'administration présidentielle.

"Voilà à quoi ressemble le 'véritable désir de paix' de Poutine", a embrayé Rouslan Stefantchouk, le président de la Rada, le Parlement ukrainien. De son côté, l'armée russe a revendiqué la prise d'une nouvelle localité, Bagatyr, dans la région de Donetsk (est).

Vendredi à Istanbul, les premiers pourparlers de paix entre Ukrainiens et Russes depuis 2022, n'ont pas abouti à une trêve entre les belligérants, pourtant réclamée par Kiev et ses alliés occidentaux.

Zelensky au Vatican

En l'absence d'avancée majeure obtenue - seul un échange de prisonniers a été conclu - Donald Trump a déclaré samedi qu'il parlerait par téléphone lundi à Vladimir Poutine pour évoquer une fin à la guerre, avant d'échanger avec Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants d'Etats membres de l'Otan.

Objectif de l'appel: "Mettre fin au 'bain de sang'", a déclaré sur sa plateforme Truth Social le président américain, qui depuis son retour à la Maison Blanche pousse Moscou et Kiev à cesser les combats.

Cet échange téléphonique "est en préparation", a confirmé samedi soir le Kremlin à l'agence d'Etat TASS.

En l'état, comme l'a montré la réunion bilatérale de vendredi, sous médiation turque, qui a duré moins de deux heures, les positions des Russes et des Ukrainiens restent inconciliables.

Le Kremlin maintient des revendications maximalistes: que l'Ukraine renonce à rejoindre l'Otan, abandonne quatre de ses régions partiellement contrôlées par la Russie, en plus de la Crimée annexée en 2014, et que cessent les livraisons d'armes occidentales.

L'Ukraine rejette fermement ces exigences, demandant que l'armée russe, qui occupe toujours près de 20% de son territoire, s'en retire. Ce dont Moscou n'a pas l'intention.

Pour éviter une nouvelle invasion russe dans le futur, Kiev appelle aussi à des "garanties de sécurité" solides.

Enfin, Volodymyr Zelensky, qui a assisté dans la matinée au Vatican à la messe inaugurale du nouveau pape Léon XIV, sera reçu dans la journée par le souverain pontife, qui a évoqué dimanche l'"Ukraine martyrisée" par l'invasion russe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un voilier mexicain heurte un pont à New York: deux morts

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Aucun dommage structurel n'a pour l'heure été constaté sur le pont de Brooklyn. (© KEYSTONE/EPA/PORTER BINKS)

Un navire-école de la marine mexicaine a heurté le pont de Brooklyn à New York samedi soir, faisant deux morts et 19 blessés dont deux graves. Les trois mâts du voilier se sont fracassés contre la structure emblématique.

Les passants qui profitaient d'une soirée printanière au bord de l'East River ont vu avec stupéfaction le Cuauhtémoc, se diriger toutes voiles déployées et lumières allumées vers le pont, sans que la hauteur ne permette le passage de ses mâts.

"Plus tôt dans la soirée, le grand navire Cuauhtémoc de la marine mexicaine a perdu de la puissance et a heurté le pont de Brooklyn", a posté le maire de New York Eric Adams sur X.

Il a précisé que sur les 277 personnes à bord, 19 avaient été blessées, dont deux ans un état critique, tandis que "deux autres sont malheureusement décédées des suites de leurs blessures".

La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, s'est dite "très attristée" après ce "regrettable accident", dans un message posté sur X. Construit en 1982, le navire, dont la hauteur atteint 48,2 mètres, participe à de nombreux rassemblements de voiliers dans le monde.

"Panique sur le bateau"

Le navire a perdu de la puissance alors que le capitaine le manoeuvrait, le forçant à se diriger vers la culée du pont du côté de Brooklyn, a déclaré Wilson Aramboles, chef des opérations spéciales de la police de New York, lors d'une conférence de presse.

Plusieurs marins qui se trouvaient sur la partie supérieure du navire ont été blessés lorsque celui-ci a percuté le pont, a-t-il ajouté. Il n'a pas précisé si ces marins figurent parmi les personnes décédées.

"C'était la panique sur le bateau", a raconté auprès de l'AFP Nick Corso, 23 ans, habitant de Brooklyn, qui se tenait près de l'East River. Il s'apprêtait à prendre une photo, mais lorsqu'il a réalisé l'accident qui se préparait, il est passé à la vidéo.

"La chose qui m'a surtout frappé, c'est la panique qui régnait sur le bateau. Il y avait un homme à l'arrière qui faisait signe aux gens de s'éloigner de la passerelle où nous nous trouvions", a-t-il ajouté.

Aucune personne à bord "n'est tombée à l'eau, ce qui fait qu'il n'a pas été nécessaire d'activer des opérations de secours", a indiqué la marine dans un communiqué.

Le navire quittait New York peu avant la collision et un énorme drapeau mexicain flottait à l'arrière du navire.

Quelques secondes après que le navire a quitté le quai, "nous avons soudainement vu les lumières, la collision avec le pont, et les marins qui sont tous tombés", a raconté à l'AFP Arturo Acatitla, un habitant de 37 ans.

Pont pas endommagé

"Les inspections se poursuivent, mais aucun dommage structurel n'a été constaté sur le pont de Brooklyn", a indiqué le département des transports new-yorkais sur X. Le pont qui relie Brooklyn à Manhattan a été fermé pendant une quarantaine de minutes avant de rouvrir.

Les victimes ont été transportées à l'hôpital, a déclaré l'ambassadeur du Mexique Esteban Moctezuma Barragan lors d'une conférence de presse, tandis que des sirènes retentissaient à proximité du lieu de l'accident.

"Avec mariachis, danses folkloriques et une communauté en liesse, nous avions célébré son arrivée au quai 17 à Manhattan", a indiqué l'ambassade mexicaine.

Le Cuauhtémoc a subi des dommages lors de "l'incident", a confirmé la Marine mexicaine dans un communiqué publié sur X.

"Le ministère de la Marine réaffirme son engagement envers la sécurité de son personnel, la transparence de ses opérations et l'excellence dans la formation des futurs officiers", précise le communiqué.

Le navire a été déplacé à proximité du pont de Manhattan, a constaté un journaliste de l'AFP.

La police de New York a conseillé aux habitants, via X, d'éviter le secteur en raison d'une "circulation dense" et d'une "importante présence de véhicules d'urgence".

Selon le chef des opérations spéciales de la police de New York, le Cuauhtémoc, faisait route vers l'Islande au moment de l'accident.

L'incident est la deuxième collision mortelle d'un navire contre un pont aux États-Unis en un peu plus d'un an, après qu'un cargo a percuté un pont à Baltimore en mars 2024, provoquant son effondrement et la mort de six ouvriers.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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