Suisse
Glencore vers une normalisation de ses activités de négoce fin 2022
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Le mastodonte des matières premières Glencore prévoit une normalisation de son produit du négoce sur la seconde moitié de l'année, après une véritable explosion des activités de commercialisation au premier semestre.
L'excédent d'exploitation de ce segment doit cependant toujours s'établir au-dessus de 1,6 milliard de dollars sur les six derniers mois de l'année, correspondant au plafond des ambitions semestrielles établies à moyen terme, indique la multinationale zougoise vendredi dans son traditionnel rapport périodique de production.
Pour rappel, Glencore avait déjà intégralement comblé à mi-parcours ses ambitions annuelles en la matière, dégageant alors 3,2 milliards de dollars.
Sur le plan industriel, l'extraction de charbon a pris de l'embonpoint entre juin et septembre, avec 81,9 millions de tonnes (+7%). Celle de cuivre par contre s'est étiolée de 14% à 770,5 kilotonnes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Barry Callebaut augmente ses ventes sur neuf mois
Le transformateur de produits cacaotés Barry Callebaut a augmenté son chiffre d'affaires sur les neuf premiers mois de son exercice décalé 2024-2025 malgré des volumes en recul, grâce à des hausses substantielles de prix. Les perspectives de ventes ont été rabotées.
Entre septembre 2024 et mai 2025, le groupe zurichois, qui produit notamment du chocolat, des décorations, des enrobages et des garnitures pour pâtisseries et autres sucreries, a vu ses ventes bondir de 49,5% à 10,95 milliards de francs, a-t-il annoncé jeudi.
Cette accélération des ventes a été obtenue grâce à une augmentation des prix pour compenser l'envolée des coûts des fèves de cacao sur les marchés. Mais face à la retenue des consommateurs et clients de Barry Callebaut, les volumes écoulés ont chuté de 6,3% à 1,6 million de tonnes.
Ces chiffres clés - le groupe n'a pas dévoilé sa performance en matière de rentabilité - sont quasiment conformes aux prévisions des analystes interrogés par l'agence AWP.
Face à l'envolée des prix de la fève de cacao, Barry Callebaut anticipe désormais un recul des volumes autour de 5% dans l'unité Global Chocolate et à "deux chiffres" pour Global Cacao. Dans l'ensemble, le repli des volumes de ventes est attendu à 7% sur l'exercice 2024-2025, contre un recul des volumes autour de 5% précédemment attendu. Le résultat d'exploitation (Ebit) doit quant à lui croître entre 5% et 9%.
Le groupe a également confirmé son objectif d'économiser 250 millions de francs, dont 75% affecteront directement le résultat. La société veut par ailleurs réduire son endettement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Le marché hypothécaire a poursuivi sa croissance en 2024
Le marché hypothécaire a continué d'avancer l'année dernière en Suisse, même si la croissance a été quelque peu plus faible. Les banques cantonales se sont encore taillées la part du lion, alors qu'UBS a enregistré un recul dans ce secteur.
En 2024, le volume total des crédits immobiliers a affiché une hausse de 2,6% à 1271 milliards de francs, selon les chiffres publiés jeudi par le portail Moneypark. Cette progression se situe toutefois quelque peu en dessous des 3% de croissance annuelle moyenne des dix dernières années.
Les banques cantonales ont encore renforcé leur position dominante sur ce marché, enregistrant une croissance des hypothèques de 5% ou de 23,3 milliards de francs, et totalisant une part de marché de 38%, à comparer à +4,6% ou +9,7 milliards pour les établissements Raiffeisen (17% de part de marché). Les banques régionales (+3,7%) et les caisses de pension (+8%) ont également accéléré, alors qu'UBS a enregistré une décrue de 3,4% pour une part de marché de 22%.
Les experts de Moneypark expliquent le recul de la banque aux trois clés par l'effort de consolidation suite au rachat de sa concurrente Credit Suisse en mars 2023 et d'un ajustement des risques.
Cette année, la croissance des volumes hypothécaires devrait accélérer quelque peu sous la barre des 3%, soutenue par la baisse du taux directeur de la Banque nationale suisse (BNS). Cette dernière a en effet raboté en juin son principal taux à 0%, entraînant les taux hypothécaires à la baisse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Football
La Suisse veut plus qu'un point face à la Finlande
Un nul lui suffirait pour disputer le premier quart de finale de son histoire dans un Euro. Mais l'équipe de Suisse veut battre la Finlande jeudi à Genève (21h) dans la troisième journée du groupe A.
En pleine confiance après leur probante victoire obtenue contre l'Islande dimanche à Berne (2-0), les Suissesses sont proches d'atteindre ce qui constitue, paradoxalement, autant un objectif presque minimal qu'un jalon historique. Le statut de tête de série réservé au pays-hôte a, en effet, offert à la Suisse un avantage non négligeable en lui permettant d'éviter un mastodonte européen au premier tour.
Une élimination jeudi en cas de défaite face à la Finlande, un adversaire largement à la portée des joueuses de Pia Sundhage, serait donc synonyme de désillusion pour une équipe qui n'a cessé de gagner la sympathie du public helvétique depuis le début de la compétition.
Attention à la Finlande
Certes, le deuxième but marqué par Alayah Pilgrim dimanche au Wankdorf place la Suisse en pole position avant ce véritable 8e de finale, dont le vainqueur affrontera l'Espagne ou l'Italie vendredi 18 juillet à Berne. Mais Lia Wälti et ses coéquipières ne comptent pas prendre les Finlandaises à la légère devant le public romand.
"Elles m'impressionnent depuis le début de la compétition", a lâché la capitaine de l'équipe de Suisse dimanche soir. "C'est une équipe incroyablement forte qu'on n'avait pas forcément à l'oeil au départ." Mardi en conférence de presse, sa jeune coéquipière Noemi Ivelj lui a emboîté le pas: "Selon moi, elles ont proposé un meilleur football que la Norvège et l'Islande pour l'instant".
Dimanche à Sion, il n'a manqué qu'un soupçon de réussite à la Finlande, à qui la Norvège a fait le même coup qu'aux Suissesses lors du match d'ouverture (2-1). Pas abattues par ce cruel revers, les "Chouettes boréales" savent que la pression reposera sur les épaules helvétiques jeudi à Genève.
Un engouement inimaginable
Mais depuis le début de l'Euro, les joueuses de Pia Sundhage semblent avoir fait de cette pression leur meilleure alliée. Le soutien des 30'000 spectateurs et plus présents à Bâle et à Berne n'est vraiment pas étranger à leur remarquable débauche d'énergie. Le travail physique imposé par la sélectionneuse au cours de la longue préparation du mois de juin porte ses fruits.
La Suédoise de 65 ans, qui en a pourtant vu, des publics euphoriques, tout au long de sa carrière, a avoué elle-même sa surprise quant à l'engouement suscité par son équipe. "Je n'aurais jamais imaginé voir des Suisses créer une telle ambiance", a-t-elle lancé, hilare, dimanche après la victoire contre l'Islande. "J'espère qu'on aura droit au même soutien lors du troisième match."
Pour emballer le public du Stade de Genève, la Suisse sait qu'elle ne doit pas se satisfaire du match nul et qu'elle doit continuer à se montrer à la fois solide et offensive pour se mettre rapidement à l'abri. "On veut gagner ce match. Et je suis très confiante dans notre capacité à y parvenir", a assuré lundi Sydney Schertenleib, avec l'ambition de prolonger un peu plus la fièvre qui s'est emparée du pays.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Critiques contre la gestion des projets informatiques fédéraux
Structures inefficaces, gouvernance trop compliquée, coûts pas assez pris en compte: la gestion des projets informatiques de l'administration fédérale laisse à désirer. Dans un rapport de synthèse, le Contrôle fédéral des finances (CDF) ne mâche pas ses mots.
La Confédération est fortement dépendante des TIC (technologies de l'information et de la communication). En 2023, elle a investi 1,5 milliard de francs pour des acquisitions externes, rappelle mercredi le CDF dans un rapport se fondant sur plus de 80 audits réalisés entre 2021 et 2024.
De nombreuses questions liées aux TIC doivent être réglées de manière décentralisée. Mais la décentralisation est contre-productive dans certains domaines, notamment en matière de sécurité.
La gouvernance numérique au niveau fédéral est trop compliquée. Les compétences ne sont pas claires, les structures inefficaces. La gestion des ressources enfin ne répond souvent pas aux exigences.
L'administration a toutefois pris conscience des problèmes, salue le CDF. Elle doit désormais aller de l'avant.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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