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Culture

Le carnaval n'est pas forcément amusant pour les chiens

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Déguiser les chiens, une mauvaise idée pour l'association Quatre pattes (archives). (© KEYSTONE/TI-PRESS/GABRIELE PUTZU)

A l’approche des festivités de carnaval, l'association Quatre pattes donne des conseils aux propriétaires de chiens. Emmener son animal de compagnie au cortège l'expose au stress et aux blessures.

"Si cela peut être amusant pour les humains, cela ne l’est pas du tout pour les animaux de compagnie. Les chiens et le carnaval ne font pas bon ménage", alerte mercredi dans un communiqué la branche suisse de cette organisation mondiale de protection des animaux.

C’est un fait, nos compagnons à quatre pattes ont une ouïe sensible. Ainsi, les canidés peuvent entendre des fréquences allant de 15 à 50'000 hertz comprenant des sons particulièrement graves (infrasons) et aigus (ultrasons), relève Quatre pattes.

Ne pas déguiser les chiens!

Un spectre auditif bien plus large que celui de l’oreille humaine, qui perçoit les fréquences à partir de 20 hertz et jusqu’à 16'000 à 20'000 hertz selon l’âge. L’ambiance sonore de la fête et ses traditionnels groupes de guggenmusik sont donc des facteurs particulièrement stressants pour les animaux, met en garde l'organisation.

Quatre pattes souligne en outre que les chiens participant à un cortège de carnaval sont exposés à des blessures comme des coups de pied, des coupures par éclats de verre ou encore des empoisonnements. Enfin, l’association déconseille fortement de déguiser les canidés ou de colorer leur pelage, même s’il s’agit d’une teinture spécialement conçue pour les animaux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La Palme d'or à l'Américain Sean Baker pour "Anora"

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Le thriller de Sean Baker se passe dans des bas-fonds aux villas de luxe des oligarques russes (archives). (© Keystone/EPA GETTY POOL/CINDY ORD / POOL)

Le cinéaste Sean Baker a reçu à 53 ans la Palme d'or samedi pour "Anora". Ce thriller new-yorkais se déroule des bas-fonds aux villas de luxe des oligarques russes.

"Ce film est magnifique, empli d'humanité (...) Il nous a brisés le coeur", a déclaré la présidente du jury et réalisatrice de "Barbie" Greta Gerwig avant de lui remettre le prix.

"Nous devons faire des films pour qu'ils sortent en salles", a lancé le réalisateur américain Sean Baker en recevant sa Palme d'or. "Je sais que je vais continuer à lutter en faveur du cinéma. Nous devons lutter pour faire des films qui sortent en salles. Il faut que le monde se rappelle que voir un film sur son téléphone portable ou à la maison ce n'est pas la manière de voir des films", a martelé l'Américain de 53 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le centre taoïste de Bullet (VD) organise son premier festival

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Un public nombreux a assisté à la cérémonie du Kai Guang au Centre Ming Shan de Bullet. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le centre Ming Shan de Bullet (VD) accueille ce week-end son premier festival international des arts du Tao. Une dizaine de maîtres de rituels et de musiciens chinois sont présents sur le balcon du Jura, où de rares cérémonies sont programmées.

Ce nouveau festival, qui se veut accessible à tout le monde, invite à "vivre une expérience immersive dans les arts du Tao et élargir ses horizons spirituels et culturels", relève Fabrice Jordan, directeur et co-fondateur en 2019 du centre taoïste de Bullet. Chacune des activités proposées vise ainsi à "ouvrir une nouvelle fenêtre sur les multiples facettes des arts du Tao", poursuit le dossier de presse.

Le programme comprend de nombreux ateliers et démonstrations, entre calligraphie, cérémonies du thé, encens ou astrologie. Les pratiques du qi gong et du tai-chi sont aussi présentées, tout comme la méditation taoïste. Conférences, projections de films, initiation au chinois, compétitions de jeux vidéo, expérience de réalité virtuelle de tai-chi et activités pour les enfants figurent aussi au menu du week-end.

Samedi soir, un spectacle inédit et interculturel, intitulé "Du Tao à la Lumière", sera présenté à l'aula de la HEIG-VD à Yverdon. Il mêlera musique traditionnelle chinoise, arts martiaux wushu et cor des Alpes.

Rares rituels

Le festival de Bullet veut aussi montrer aux visiteurs plusieurs rituels sacrés. Parmi eux figure le "Kai Guang", une cérémonie qui n'a lieu qu'une seule fois dans la vie d'un temple. Elle consiste à rendre "actives" les statues du temple, à les relier "à leur source de pouvoir céleste" par des prières, des mantras, des offrandes, des marches sacrées et des gestes symboliques.

Ce rituel est organisé pour la première fois dans un temple en Europe. "Il est si important et si rare qu'il faut souvent, même en Chine et pour les adeptes taoïstes, attendre des années avant d'avoir la chance d'y assister", relève le dossier de presse.

Pour ce premier festival, les organisateurs ont fait venir de Chine une dizaine de maîtres et de représentants des arts du Tao. Ils souhaitent ainsi illustrer l'engagement du centre et du festival "envers l'excellence et l'authenticité des enseignements taoïstes."

Le centre Ming Shan a été ouvert en 2019 à Bullet. Alliant les sagesses orientales aux dernières technologies, il se dit être le seul centre de ce type en Europe. A sa tête, Fabrice Jordan, médecin de profession, fait partie du comité directeur de la Fédération taoïste mondiale, un honneur réservé à seulement six Occidentaux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Deux expositions à Genève sur les chansons qui évoquent des lieux

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Les rappeurs de Marekage Streetz chantent un hommage à leur ville, Genève, en mettant en lumière ses paradoxes. Un des titres à découvrir dans la nouvelle exposition de l'UNIGE "Voyage enchanté: chansons et imaginaires géographiques" (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'Université de Genève (UNIGE) présente deux expositions sur des chansons populaires qui font référence à des villes ou des endroits connus. L'une détaille les ressorts des imaginaires géographiques qui traversent ces titres et l'autre permet de tester ses connaissances musicales de manière ludique.

Jusqu'au 28 juillet, le public est invité à la salle d'exposition de l'UNIGE à embarquer dans un voyage sentimental à travers 174 titres de musique populaire, allant de Fréhel à Madonna, de Brel à Orelsan, en passant par Taylor Swift, Shakira, Desireless et Miriam Makeba. Il y aura une authentique Fiat 500, un jukebox et un cinéma miniature, histoire de se mettre dans le bain musical.

Cette exposition s'inspire des trois ouvrages édités par Jean-François Staszak et Raphaël Pieroni, chercheurs au Département de géographie de l'UNIGE. Le premier, "Monde enchanté" (2021) explore la relation entre lieux et chansons. Le deuxième, "Villes enchantées", porte sur les liens entre monde urbain et musique. Le troisième, "Voyage enchanté" (2024), évoque les chansons du voyage.

Un jeu en ligne https://geoenchantee.ch/jeu/ complète cette exposition. Chacun peut tenter en quinze questions d'identifier des titres connus. On y retrouve par exemple "Smoke on the Water" de Deep Purple, qui fait référence à Montreux (VD). Un incendie s'était déclenché au Jazz Festival en 1971 à cause d'une fusée éclairante. De quoi faire ensuite un tube planétaire.

La deuxième exposition est installée jusqu'au 7 juillet aux Bains des Pâquis. Elle est conçue comme un jeu de piste où il faut deviner quelles chansons se cachent derrière quinze affiches.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les reportages de Jean Revillard exposés à Genève

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La Bibliothèque de Genève présente "Retour forcé à la vie sauvage", une exposition en plein air des photographies de Jean Revillard sur la migration, la prostitution et la précarité. Le reportage du Genevois sur les réfugiés à Calais (F) avait remporté un World Press Award en 2008 (archives). (© KEYSTONE/EDDY RISCH)

La Bibliothèque de Genève présente dès lundi "Retour forcé à la vie sauvage", une exposition en plein air d'une trentaine de photographies de Jean Revillard sur la migration, la prostitution et la précarité. L'institution est dépositaire du fonds d'atelier du Genevois, décédé subitement en 2019, à 51 ans.

Photographe de presse, Jean Revillard a développé des projets sur les réfugiés à Calais (F) et une prostituée de Turin (I), notamment. Autant de témoignages engagés sur des gens ordinaires brutalement poussés dans un espace "hors du monde". La cabane dans la forêt est le signe de leur existence incertaine, note la Bibliothèque de Genève.

Connu internationalement, le travail de Jean Revillard a été primé à plusieurs reprises. Celui sur les migrants a remporté deux World Press Award, en 2008 et en 2009.

Présentée dès lundi au parc des Bastions, l'exposition prendra ses quartiers à la rotonde du Mont-Blanc à partir du 12 juin. Elle reviendra ensuite à la promenade des Bastions du 1er au 14 juillet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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