International
Wagner critique l'armée russe, Stoltenberg voit le conflit durer
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/02/le-president-poutine-veut-une-europe-differente-une-europe-ou-il-peut-controler-ses-voisins-ou-il-peut-decider-ce-que-les-pays-peuvent-faire-a-deplore-jens-stoltenberg-1000x600.jpg&description=Wagner critique l'armée russe, Stoltenberg voit le conflit durer', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le patron des paramilitaires russes de Wagner a jugé que Bakhmout, épicentre des combats dans l'Est ukrainien, ne tomberait pas avant "mars ou avril". Il s'en est pris à la "bureaucratie militaire" qui freine selon lui l'offensive.
Ses propos interviennent alors que Moscou est en quête d'une victoire à quelques jours du premier anniversaire de son offensive le 24 février et que la Russie a intensifié ces dernières semaines son assaut dans l'est.
"Je pense que c'est mars ou avril. Pour prendre Bakhmout, il faut couper toutes les routes d'approvisionnement" ukrainiennes, a dit Evguéni Prigojine, fondateur de Wagner, dans une vidéo mise en ligne.
"Je pense qu'on aurait pris Bakhmout s'il n'y avait pas cette monstrueuse bureaucratie militaire, et si on ne nous mettait pas des bâtons dans les roues tous les jours", a-t-il fustigé dans une autre vidéo, étalant sur la place publique ses différends avec la hiérarchie militaire.
Les Ukrainiens tiennent bon
Evguéni Prigojine a également estimé que le fait que Wagner ne puisse plus recruter de prisonniers en échange d'une amnistie constitue une "saignée" pour son organisation. Wagner est en première ligne dans l'offensive russe contre Bakhmout depuis l'été, au prix de pertes très importantes.
Interrogés par l'AFP jeudi, des officiers ukrainiens dans cette cité ont affirmé que le moral restait élevé, malgré les récentes avancées russes. "Nous devons reconnaître les succès de l'ennemi. Il y a une armée russe régulière ici", dont l'artillerie tire "avec précision", a dit Artiom, commandant adjoint d'une unité des garde-frontières ukrainiens.
Un autre officier, Iouri, a qualifié la situation à Bakhmout de "stable", tout en refusant de faire des prévisions pour la suite. "Nous tenons bon", a-t-il ajouté. Selon le Parquet ukrainien, cinq civils ont été tués et neuf blessés jeudi dans des bombardements sur Bakhmout.
Israël à Kiev, après une année
Le chef de la diplomatie israélienne, Eli Cohen, a pour sa part effectué jeudi la première visite d'un ministre de l'Etat hébreu en Ukraine depuis le début du conflit il y a un an.
"Israël est résolument en solidarité avec les Ukrainiens et reste attaché à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de l'Ukraine", a affirmé M. Cohen lors d'une conférence de presse avec son homologue ukrainien Dmytro Kouleba.
"Israël s'oppose fermement au meurtre de civils innocents", a-t-il encore assuré, après s'être notamment rendu dans la ville martyre de Boutcha, symbole des atrocités dont est accusée la Russie.
Il a ensuite rouvert officiellement l'ambassade israélienne à Kiev, alors que jusqu'ici, Tel Aviv avait pris grand soin de rester neutre dans le conflit, notamment à cause du rôle de Moscou au Proche-Orient.
Moscou pilonne les infrastructures
La Russie continue pour sa part sa campagne de bombardements des infrastructures de son voisin, lançant une fois encore dans la nuit de mercredi à jeudi missiles et drones sur l'Ukraine. Au moins une personne, une femme de 79 ans, a été tuée, dans la région de Dnipropetrovsk (centre-est).
Selon le président ukrainien Volodymyr Zelensky, les troupes russes ont tiré 36 missiles et drones, dont la moitié ont été abattus.
L'intensification des combats dans l'est intervient alors que le conflit entrera prochainement dans sa deuxième année et que la Russie est suspectée de préparer un nouvel assaut d'ampleur.
"Etre préparés pour le long terme"
"Nous devons être préparés pour le long terme, cela peut durer de très nombreuses années", a averti le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, dans un entretien à l'AFP. "Nous sommes là pour nous assurer que l'Ukraine gagne cette guerre", a-t-il promis.
"Si Poutine gagne en Ukraine, ce sera une tragédie pour les Ukrainiens. Mais ce sera aussi dangereux pour nous tous, car lui et les autres dirigeants autoritaires seront convaincus que lorsqu'ils utilisent la force militaire, ils peuvent atteindre leurs objectifs".
Livraisons d'armement attendues
Les Occidentaux devraient livrer dans les semaines à venir à l'Ukraine chars modernes, blindés et missiles de longue portée, autant d'armements qui risquent d'accroître encore les problèmes de l'armée russe.
Depuis plusieurs mois, Américains et Européens aident aussi Kiev à se défendre dans le cyberespace, où les attaques russes visant l'Ukraine ont augmenté de 250% en 2022, selon un rapport de Google.
Diplomates expulsés
La Russie a par ailleurs annoncé jeudi l'expulsion de quatre diplomates autrichiens en réponse à celle de quatre Russes plus tôt en février, que Moscou qualifie de geste "inamical et injustifié" de la part de Vienne.
Seul allié européen de la Russie, le président du Bélarus, Alexandre Loukachenko, a de son côté déclaré jeudi que son pays ne se joindrait à l'assaut russe que s'il était directement attaqué. Cela alors que les spéculations vont bon train depuis des mois sur ce sujet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Andrew Tate et son frère inculpés de viol et trafic d'êtres humains
L'influenceur masculiniste britannico-américain Andrew Tate et son frère Tristan ont été inculpés en janvier 2024 pour viol, trafic d'être humains et coups et blessures au Royaume-Uni. Le bureau du procureur (CPS) a fait cette annonce mercredi.
Dix chefs d'inculpation ont été retenus à l'encontre d'Andrew Tate, 38 ans, y compris celui de "proxénétisme", pour des faits concernant trois victimes présumées. Tristan Tate, 36 ans, fait face à onze chefs d'inculpation pour des faits concernant une victime présumée.
Les deux hommes sont sous le coup d'un mandat international émis par le Royaume-Uni, rappelle le CPS, qui précise que les faits reprochés s'étendent entre 2012 et 2015.
Il n'a pas donné davantage d'informations. Il n'a pas non plus précisé pourquoi il communiquait plus d'un an après avoir procédé à ces inculpations.
Andrew et Tristan Tate sont également poursuivis en Roumanie pour traite d'êtres humains et viol. Ils sont accusés d'avoir dupé plusieurs femmes à des fins d'exploitation sexuelle, y compris des mineures.
Fin février, ils ont quitté le pays pour les Etats-Unis après que leur interdiction de quitter le territoire roumain a été levée.
Par ailleurs, les autorités pénales de Floride ont engagé une enquête pénale à leur encontre, disant avoir "une tolérance zéro pour l'exploitation d'êtres humains et la violence contre les femmes".
Au Royaume-Uni encore, quatre femmes accusent Andrew Tate de viols et violences au civil. Né aux Etats-Unis d'un père américain et d'une mère britannique, Andrew Tate, qui est un ancien combattant professionnel de kickboxing, a été banni d'Instagram et TikTok pour des propos misogynes.
Il est suivi par plus de 10 millions de personnes sur le réseau social X, où il s'exhibe muscles saillants, fumant des cigares et fascinant les adolescents avec ses voitures de luxe. Il y promeut des thèses masculinistes et monnaie ses conseils aux hommes pour les aider à devenir riches.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
C'est déjà fini pour les Suisses
Il n’y a pas eu de miracle pour Jil Teichmann (WTA 97) à Paris. Malgré un début de rencontre remarquable, la gauchère s’est logiquement inclinée 6-3 6-1 devant la no 1 mondiale Aryna Sabalenka.
Jil Teichmann a mené 3-1 0-30 avant de subir la loi de la Bélarusse qui s’avance comme la grandissime favorite du tournoi même si elle n’a encore jamais joué une finale à Roland-Garros. Au fil des minutes, Aryna Sabalenka a imposé sa formidable puissance pour ne laisser que des miettes à son adversaire, le jeu de l’honneur du second set à 4-0 pour être précis.
Huitième de finaliste du tournoi en 2022, Jil Teichmann n’a pas signé l’impossible exploit pour porter encore les couleurs suisses à Roland-Garros. Après les défaites de Stan Wawrinka lundi, de Viktorija Golubic et Jil Teichmann mercredi, la quinzaine se poursuivra sans aucun ressortissant de Swiss Tennis encore en lice dans les simples. Classé bien trop loin pour être protégés par un statut de tête de série, ce trio abordait, il est vrai le tournoi avec des ambitions fort limitées.
Le tennis suisse est vraiment au creux de la vague avec un Stan Wawrinka en bout de course, une Belinda Bencic trop souvent trahie par son corps et une relève qui tarde à justifier toutes les promesses entretenues ces dernières années. On doute que le rebond puisse se produire dans un mois à Wimbledon.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Face aux mesures de Trump, l'angoisse des étudiants étrangers
Se sentant "déshumanisés" par l'administration Trump, des étudiants étrangers abandonnent leur rêve d'étudier dans les grandes universités américaines. D'autres, déjà sur place, s'interrogent sur leur avenir aux Etats-Unis.
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump s'est lancé dans une vaste campagne contre des universités qu'il accuse de propager une idéologie "woke", de servir de courroie de transmission au parti communiste chinois, voire d'être des bastions de l'antisémitisme sur fond de bombardements israéliens dans la bande de Gaza palestinienne.
Réseaux sociaux des universitaires étrangers surveillés
Son administration a coupé des subventions de recherche à différents établissements, arrêté et menacé d'expulsion des manifestants propalestiniens, demandé l'interdiction à la prestigieuse Harvard de recevoir des étudiants étrangers, et ordonné, mardi, la suspension du traitement de leurs visas pour passer au crible leurs réseaux sociaux.
Autant de mesures qui angoissent de jeunes universitaires comme le Pakistanais Abdullah Shahid Sial, 20 ans, étudiant en économie et mathématiques appliquées à Havard, qui se sent "déshumanisé" par l'administration américaine.
"C'est vraiment malheureux. Vous avez des jeunes de 18, 19, 20 ans qui viennent ici sans famille et qui, pour la plupart, n'avaient jamais mis les pieds aux Etats-Unis. Et là, ils se retrouvent confrontés à des situations que même des avocats redouteraient", dit-il.
"Rares sont les universités qui offrent autant d'opportunités que Harvard. Malgré ses quelques défauts, c'est un endroit formidable. Mais je conseille vivement (aux candidats) de postuler à davantage d'universités et de s'assurer d'avoir un plan B", ajoute-t-il.
Originaire de Lahore, dans le Pendjab pakistanais, Abdullah Shahid Sial dit avoir un ami diplômé de Harvard qui voulait poursuivre ses études dans cette université, considérée comme l'une des plus prestigieuses au monde. Mais, ajoute-t-il, après avoir soumis son dossier à l'école de droit de Harvard et Columbia à New York et deux autres institutions britanniques "pas aussi réputées", son ami a fini par opter pour le Royaume-Uni.
"Il préférait de loin Harvard, mais (...) il n'en pouvait plus de cette incertitude qui planait sur ses études".
"En plein brouillard"
Bien que bloquée temporairement par un juge, la décision de l'administration Trump d'empêcher Harvard de recevoir des étudiants étrangers inquiète des milliers de jeunes universitaires qui pourraient ne pas pouvoir retourner en classe après les vacances d'été.
"Je me doutais bien que je ferais partie du groupe cible de Trump. Mais là, je suis en plein dedans. Une de mes options serait de partir pour l'étranger (...) J'ai postulé à Oxford (Royaume-Uni) à cause de toutes les mesures prises par Trump", explique Karl Molden, étudiant de Harvard originaire d'Autriche. "C'est vraiment très difficile", dit le jeune homme de 21 ans, qui étudie la politique et les lettres classiques.
Des professeurs de Harvard disent de leur côté ressentir aussi l'impact des mesures de l'administration Trump par le biais de témoignages de collègues à l'étranger qui avaient tendance à promouvoir les universités américaines auprès de leurs meilleurs étudiants.
"J'ai entendu des professeurs dans d'autres pays qui disaient 'nous encourageons nos meilleurs étudiants à aller aux Etats-Unis' et se demandent aujourd'hui s'ils peuvent encore dire une chose pareille", a déclaré à l'AFP le professeur Ryan Enos lors d'une manifestation mardi destinée à dénoncer les mesures de l'administration Trump.
Une étudiante espagnole qui refuse d'être identifiée par crainte de mesures de représailles, à l'heure où le gouvernement américain promet de surveiller les comptes des réseaux sociaux des universitaires étrangers, souhaite néanmoins venir étudier à Columbia, à New York.
"Ca fait peur, car on se dit que toute notre activité sur les réseaux sociaux peut être scrutée, par exemple le fait qu'on like des publications pro-Palestine, ou des publications anti-Trump. Tout ça peut potentiellement nous priver de visa", dit-elle à l'AFP.
"Je suis en plein brouillard", lance de son côté Alfred Williamson, un étudiant de Harvard d'origine gallo-danoise. "Comme beaucoup d'autres étudiants internationaux, je m'accroche simplement à l'espoir que Harvard remporte sa bataille (judiciaire) contre la Maison Blanche", dit l'étudiant de 20 ans en physique.
Pour le Pakistanais Abdullah Shahid Sial, les étudiants étrangers à Harvard sont contraints d'espérer une victoire dans "cette bataille à laquelle personne ne souhaitait s'engager": "c'est vraiment regrettable d'en arriver là".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nauffrage de migrants aux Canaries: au moins sept morts
Quatre femmes adultes et trois mineures sont mortes noyées sous les yeux des services de secours mercredi dans un port des îles Canaries. Leur embarcation, qui transportait près de 160 migrants, s'est renversée en arrivant à quai.
"Le chavirement d'une embarcation à La Restinga", sur l'île d'El Hierro, "a fait sept morts: quatre femmes, une mineure de 16 ans et deux fillettes de cinq ans", ont annoncé les secours de cet archipel espagnol dans un message publié en fin de matinée sur le réseau X.
Huit autres personnes ont par ailleurs été hospitalisées, dont trois dans un état grave, ont-ils précisé à l'AFP. Parmi elles figurent un garçon de trois ans, une femme enceinte et un bébé de trois mois souffrant de "difficultés respiratoires dues à une noyade de caractère grave".
Certaines de ces victimes ont été transportées par hélicoptère jusqu'à un centre hospitalier de l'île voisine de Tenerife. Les autres ont été prises en charge à El Hierro, la plus petite île de cet archipel situé au large des côtes nord-ouest de l'Afrique.
Joints par l'AFP, les secours en mer ont indiqué que 159 personnes se trouvaient à bord de ce bateau, dont 32 mineurs, 49 femmes et 78 hommes.
Les secours n'étaient pas en mesure de dire de quel port était partie cette embarcation de fortune repérée dans la matinée à six milles nautiques (11 kilomètres) du port de La Restinga, sur la pointe sud d'El Hierro, selon les sauveteurs en mer.
C'est une fois arrivé dans le port, où le bateau avait été escorté, que le drame s'est produit.
"Piégées à l'intérieur du bateau"
"Pendant le débarquement, une partie des personnes voyageant dans la chaloupe s'est regroupée sur un des côtés, ce qui l'a fait chavirer", ont expliqué dans un message transmis à l'AFP les sauveteurs en mer, en précisant être aussitôt venus en aide aux personnes tombées à l'eau.
Selon le maire d'El Pinar, commune voisine de La Restringa, près de 150 personnes se trouvaient à bord de l'embarcation qui a chaviré. "Certaines sont restées piégées à l'intérieur du bateau" quand il s'est renversé, a précisé le maire, Juan Miguel Padron, sur TV Canarias.
Des images de la télévision publique espagnole TVE ont montré l'embarcation complètement renversée, entourée de passagers agrippés à des bouées de sauvetage dans une grande confusion. Certains s'efforçaient de grimper sur la coque de la chaloupe pour rejoindre le bateau de sauvetage.
"Le débarquement des personnes est le moment le plus délicat" de ce type d'opération, car les embarcations sont souvent "précaires et surchargées", insistent les secours, qui ont reçu l'aide de la Croix-Rouge, de la police, de la garde civile et du personnel médical présent sur le quai.
"Ce n'est pas normal" que des gens pris en charge en pleine mer "meurent sur le quai", a regretté auprès de journalistes le chef du gouvernement local d'El Hierro, Alpidio Armas. "Quelque chose a été mal fait", a-t-il ajouté, en réclamant un changement dans les protocoles si nécessaire.
"C'est terrible"
Dans un message sur X, le Premier ministre socialiste Pedro Sánchez a rendu hommage aux "vies perdues dans une tentative désespérée de trouver un avenir meilleur". "Le drame vécu à El Hierro devrait nous émouvoir tous (...) Nous devons être à la hauteur. C'est une question d'humanité", a-t-il écrit.
Le président des îles Canaries, Fernando Clavijo, qui s'est rendu à La Restinga, a quant à lui demandé plus de moyens et d'aide pour faire face à ces drames. "Cette tragédie a été vécue en direct. C'est terrible, terrible", a-t-il réagi, tout en rendant hommage aux équipes de secours.
Des milliers de migrants sont morts ces dernières années en tentant de rejoindre l'Europe depuis l'Afrique via les Canaries, à bord d'embarcations souvent surchargées. Sur la seule année 2024, l'ONG espagnole Caminando Fronteras a établi un bilan de 10'457 personnes mortes ou disparues en mer.
Après une année record en 2024, marquée par l'arrivée de 46'843 migrants aux Canaries, le rythme s'est nettement ralenti ces derniers mois, avec 10'882 arrivées entre janvier et mi-mai, soit une baisse de 34,4 % par rapport à la même période l'année précédente, selon le ministère de l'Intérieur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 2 jours
Lausanne: une nouvelle zone de baignade au bord du Léman
-
InternationalIl y a 3 jours
Gaza: au moins 52 morts dans des bombardements israéliens
-
CultureIl y a 3 jours
Décès à 97 ans du documentariste français Marcel Ophüls
-
FootballIl y a 2 jours
Lausanne va vibrer au rythme de l'Euro féminin
-
GenèveIl y a 2 jours
Trois rues des Pâquis réaménagées et végétalisées
-
FootballIl y a 2 jours
Jamie Welch n'abandonne pas Yverdon
-
InternationalIl y a 3 jours
Trump confirme prolonger la pause des droits de douane pour l'UE
-
InternationalIl y a 2 jours
Accusé de faux témoignage, l'ex-chancelier Kurz relaxé en appel