Culture
Carnaval a mis l'ambiance en Valais cette semaine
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Baignés par une douceur quasi printanière, les carnavals organisés en Valais ont attiré une foule de personnes cette année. Aux quatre coins du canton, sous le soleil, les manifestations ont fait le plein de bonne humeur et de confettis.
D'étranges personnages ont hanté une fois encore le carnaval d'Evolène qui a débuté au soir du 6 janvier, lorsque des jeunes gens du village ont sillonné les rues et "réveillé" le carnaval à coups de cloches de vaches. Dimanche, le président de la manifestation Kylian Maître a salué un "beau succès". "On a eu de la chance avec la météo, qui a des airs de début de printemps", poursuit-il.
Durant la manifestation, les Peluches vont et viennent, vêtues d'un habit de peaux de chamois, de mouton, de cerf et de bouc non tannés et portant un masque en bois d'arolle. Elles chassent tous les mauvais esprits de l'hiver au-delà des montagnes protectrices, explique à Keystone-ATS le président du carnaval d'Evolène. "Les Masques étaient motivés. Ils ont bien lutté", ajoute-t-il.
Dimanche, les Peluches ont été rejointes par les Empaillés, des monstres habillés de sacs de jute remplis de plus de 30 kilos de paille qui portent un masque en bois d'arolle et un balai de riz. Eux représentent l'esprit des ancêtres, des morts qui hantent la région depuis toujours.
Le carnaval d'Evolène se poursuit jusqu'au Mardi Gras, le 21 février cette année, et se termine avec le cortège du jugement de la Poutratze, du nom du Bonhomme Hiver, mis à mort sur le bûcher.
Ribambelle d'Astérix et d'Obélix
Dans la capitale valaisanne, la 47e édition du carnaval de Sion a fait le plein de bonne humeur et de participants. "C'est très impressionnant, même la vieille ville était bondée", raconte le président de la manifestation Yoann Schmidt, étonné aussi de voir le nombre de personnes déguisées cette année. Le thème choisi "Pôoo... Sion magique!!" a débouché sur une ribambelle d'Astérix et d'Obélix, note-t-il.
Le grand cortège de samedi a attiré 45'000 spectateurs. "Il y avait un sacré monde. Merci la météo", ajoute Yoann Schmidt. Dans une belle ambiance, trente-sept groupes dont dix-sept guggens ont défilé. Dimanche, le traditionnel cortège de chevaux a réuni une cinquantaine de cavaliers dont vingt enfants sur des poneys. L'organisateur se réjouit "de voir l'éternel étonnement suscité par cette parade, unique en Suisse" à sa connaissance.
La fête avait débuté jeudi soir avec la traditionnelle remise des clés de la ville au sorcier du carnaval. Celui-ci les a reçues des mains du président de Sion Philippe Varone déguisé en Abraracourcix (le chef du célèbre village gaulois) pour l'occasion et du reste du Conseil communal in corpore tout aussi déguisé, précise Yoann Schmidt. Le carnaval de Sion s’achève lundi soir.
"Ca débordait de partout"
Le plus ancien des carnavals valaisans – celui de Monthey qui célèbre 150 éditions enregistrées – a lui vécu "une année fantastique". 51'118 spectateurs et spectatrices, selon les organisateurs, ont assisté au grand défilé de dimanche, composé notamment de quatorze chars, autant de guggens, et des désormais célèbres sambalines, soit au total près de 1500 figurants.
Le parcours a été rallongé, mais "ça débordait de partout. On n'a d'ailleurs pas réussi à comptabiliser tout le monde", affirme Christophe Brassard, responsable de la parade. Cette année, parmi les thèmes d'actualité choisis pour le défilé, la fusion "complétement ratée" entre Collombey-Muraz et Monthey ou encore "le prix exorbitant de notre nouvelle piscine plus petite qu'avant", liste-t-il.
La parade s'est terminée par deux gigas batailles de confettis - il a fallu couper la foule en deux, faute d'espace sur la place – qui ont vu quelque deux tonnes de ces morceaux de papier festifs s'élancer dans les airs. Au total, sur l'entier de la manifestation, environ quatre tonnes de confettis sont utilisés.
"Pas trop d'incivilités"
Il s'agit de la meilleure édition de ces 15 dernières années, réagit encore Christophe Boissard. On a ressenti l'envie des gens de sortir, de profiter de cette édition qui se passe normalement pour la première fois depuis trois ans, complète-t-il.
Lundi soir, les carnavaleux chablaisiens se retrouveront à l’occasion du Pimponicaille, un chambard improvisé très prisé des habitants du lieu. Mardi est encore prévue la mise à feu du bonhomme hiver.
De son côté, la police cantonale n'a "pas enregistré trop d'incivilités" autour des différentes fêtes de carnaval célébrées sur le territoire, relevait un porte-parole dimanche en fin d'après-midi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Pas encore de verdict au procès Weinstein, qui se dit innocent
Les douze jurés chargés de décider d'un verdict au procès pour agressions sexuelles et viol de l'ancien producteur roi du cinéma Harvey Weinstein n'ont pas accordé leurs violons vendredi après deux jours de délibérations. Ils reprendront leur huis clos lundi.
Alors qu'il avait renoncé à être interrogé durant les six semaines de débats, Harvey Weinstein a lui réaffirmé son innocence dans une interview au téléphone avec la chaîne locale FOX5NY, diffusée vendredi.
"J'ai des regrets d'avoir mis ma famille là-dedans, d'avoir mis ma femme là-dedans et d'avoir commis des actes immoraux (...) mais jamais illégaux, jamais criminels", a assuré l'ancien producteur de 73 ans.
L'accusé comparaît détenu mais a obtenu de dormir à l'hôpital pendant le procès, à cause de nombreux problèmes de santé.
Celui qui est devenu le visage honni du mouvement #metoo contre les violences sexuelles a aussi accusé les trois femmes qui ont témoigné contre lui au procès de l'avoir fait pour des motivations financières, une thèse déjà mise en avant par ses avocats, et qu'elles ont réfuté vigoureusement.
Son interview a été diffusée au deuxième jour des délibérations des douze jurés, qui se sont séparés vendredi sans s'accorder sur un verdict.
"Nous aurons besoin de plus de temps pour délibérer", ont-ils fait savoir dans une note lue par le juge Curtis Farber.
Signe de possibles tensions, l'un d'eux a demandé à être démis de ses obligations après s'être plaint du comportement d'autres jurés. Mais le juge a catégoriquement refusé, trouvant normal que "ça puisse parfois chauffer" dans le huis clos des délibérations.
"Ne fais pas ça"
Le jury doit décider à l'unanimité si l'ancien puissant producteur, accusé par des dizaines de femmes d'être un prédateur sexuel, s'est rendu coupable d'agressions sur l'ancienne assistante de production Miriam Haley en 2006 et sur l'ex-mannequin Kaja Sokola la même année, en les forçant à subir un cunnilingus, et de viol en 2013 sur l'aspirante actrice Jessica Mann.
Les jurés ont demandé que leur soient relus de longs extraits des témoignages de ces trois femmes, qui ont raconté comment l'accusé leur avait imposé une relation sexuelle, après les avoir attirées dans son appartement ou une chambre d'hôtel à New York.
"S'il te plaît arrête, ne fais pas ça", ont-ils entendu par la voix d'une greffière, qui relisait l'audition de Kaja Sokola.
La défense a tout fait pour discréditer ces témoignages, en soulignant que les accusatrices avaient continué de fréquenter le producteur après les agressions alléguées.
Le fondateur des studios Miramax, producteur de films culte comme "Pulp Fiction" et d'innombrables succès ("Sexes, mensonges et vidéo", "Shakespeare in Love"), avait été condamné en 2020 à 23 ans de prison pour les faits concernant Miriam Haley et Jessica Mann, lors d'un procès retentissant qui symbolisait à l'époque une victoire pour le mouvement #MeToo.
Les enquêtes en octobre 2017 du New York Times et du New Yorker sur le tout puissant producteur, dont les films ont été auréolés de dizaines d'Oscars, avaient provoqué une onde de choc planétaire, libérant la parole de nombreuses victimes et contraignant les sociétés à de profondes remises en question sur la place des femmes.
Mais l'année dernière, la cour d'appel de New York avait annulé tout le procès, parce que d'autres victimes présumées avaient pu témoigner aux débats et raconter des agressions pour lesquelles Harvey Weinstein n'était pas inculpé.
Le procès s'est donc rejoué depuis mi-avril devant la cour pénale de Manhattan. Il a aussi porté sur l'agression sexuelle présumée contre Kaja Sokola, en 2006, des faits jugés pour la première fois au pénal.
A partir de sa chute, en 2017, Harvey Weinstein a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd.
Il n'a jamais reconnu aucune agression, évoquant toujours des relations consenties.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le concert de Black Sabbath en juillet sera diffusé en ligne
Le dernier concert du chanteur de heavy metal Ozzy Osbourne avec son groupe Black Sabbath le 5 juillet à Birmingham, dont les tickets se sont arrachés en 16 minutes, sera diffusé en ligne, a annoncé le groupe vendredi.
Le show, prévu dans le stade de football d'Aston Villa, réunira également les groupes Metallica, Guns N'Roses, Tool et Slayer.
Ozzy, qui a révélé en 2020 être atteint de la maladie de Parkinson, retrouvera Tony Iommi, Geezer Butler et Bill Ward pour un concert baptisé "Back To The Beginning" dans la ville du centre de l'Angleterre où le groupe a été fondé en 1968.
Il s'agira du premier concert du groupe en vingt ans, et du dernier pour Ozzy Osbourne.
Les fans qui n'ont pas pu acheter de billet pourront se consoler avec la retransmission du show en ligne, qui se fera toutefois avec deux heures de décalage.
Pour cela, ils peuvent depuis 14h00 GMT (16h00 en Suisse) ce vendredi acheter des tickets en ligne, d'un prix de 24,99 livres (environ 27,80 francs).
Demande massive
"Nous avons reçu une demande massive de la part de fans du monde entier qui n'ont pas pu obtenir de place. Ils se sont rués sur les réseaux sociaux, nous suppliant de diffuser le concert en direct. Comme c'est un événement historique, nous ne pouvions pas les laisser tomber", a déclaré Sharon Osbourne, épouse du chanteur, citée dans le communiqué du groupe.
L'intégralité des bénéfices du concert sera reversée à plusieurs associations, dont Cure Parkinson's et l'hôpital pour enfants de Birmingham.
Véritable légende du genre, Black Sabbath a vendu plus de 75 millions d'albums dans le monde et est considéré comme l'un des pionniers du heavy metal.
Pour Ozzy Osbourne, ce concert marquera la fin de sa carrière scénique, a confirmé son épouse à la BBC: "C'est son point final", a-t-elle déclaré.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Plus de 30 spectacles pour l'édition 2025 de Morges-sous-Rire
La 37e édition du festival d'humour Morges-sous-Rire se tient du 11 au 18 juin prochains. Pas moins de 32 spectacles sont programmés au Théâtre de Beausobre, au Cube ainsi qu'à la Paille. Au total, une cinquantaine d'artistes fouleront les planches durant les sept soirées.
"Entre spectacles en solo, en duo ou en plateau, nouvelles stars ou grands noms de l'humour francophone et romand, la programmation joue la carte de la variété pour séduire tous les publics", écrivent les organisateurs de la manifestation. Ils vantent "une affiche éclectique et irrésistible".
Le Théâtre de Beausobre ouvrira ses portes avec une tête d'affiche très attendue: Dany Boon. L'acteur, humoriste, réalisateur, scénariste et producteur français remonte sur scène après sept ans d'absence avec "Clown n'est pas un métier!". Ce spectacle est inspiré de sa passion d'enfance pour le cirque.
Des femmes et de l'impro
L'humour au féminin est également au programme de cette édition. A Morges, le rendez-vous est pris avec notamment Brigitte Rosset, Laura Calu, Marine Leonardi ou encore Nawell Madani. Toujours au Théâtre, le public découvrira aussi Alexandre Kominek, Aymeric Lompret, Issa Doumbia, Vérino et Alex Vizorek & Friends.
Le festival se dit aussi particulièrement enthousiaste d'accueillir pour la première fois à Morges le plateau d'humoristes Mokiri, référence dans le monde du stand-up avec aux commandes Tristan Lucas. Un enchaînement de blagues mené par des humoristes français Mathieu Madenian, Blandine Lehout, Marion Mezadorian, et celui du cru, Thomas Wiesel.
Le Cube proposera, lui, treize spectacles, alors que la Paille en programme sept. Pour cette dernière scène, à ciel ouvert, encerclée de bottes de paille, c'est l'improvisation qui est à l'honneur.
L'an dernier, plus de 15'000 spectateurs, un record, avaient assisté aux 28 spectacles de la 36e édition de Morges-sous-Rire.
www.morges-sous-rire.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Premier jour de délibérations des jurés au procès Weinstein
Douze jurés ont commencé jeudi leurs délibérations au tribunal de New York pour trouver un verdict au procès de l'ancien producteur de cinéma et roi d'Hollywood Harvey Weinstein. Il est rejugé pour agressions sexuelles et viol.
Les jurés, qui se sont retirés à huis clos vers 11h40 locales (17h40 en Suisse), ont planché sur le dossier jusqu'à environ 16h30 (22h30) et reprendront vendredi matin.
Ils ont demandé jeudi en fin de journée à disposer de plusieurs pièces du dossier, notamment les retranscriptions des témoignages de deux des trois accusatrices durant le procès.
Après six semaines de débats, le jury doit décider à l'unanimité si le roi déchu du cinéma indépendant, accusé par des dizaines de femmes d'être un prédateur sexuel, s'est rendu coupable d'agressions sexuelles sur l'ancienne assistante de production Miriam Haley en 2006 et sur l'ex-mannequin Kaja Sokola la même année, en les forçant à subir un cunnilingus, et de viol en 2013 sur l'aspirante actrice Jessica Mann.
Les trois femmes ont témoigné à visage découvert pendant plusieurs jours pour raconter comment Harvey Weinstein leur avait imposé une relation sexuelle, après les avoir attirées dans son appartement ou une chambre d'hôtel à New York.
"Promotion canapé"
"Il a violé trois femmes, elles ont toutes dit non!", a martelé une dernière fois la procureure Nicole Blumberg lors de son réquisitoire final mercredi. "Dites-lui ce qu'il sait déjà, qu'il est coupable des trois crimes", a-t-elle lancé.
La défense a tout fait pour discréditer les victimes présumées, en pointant des incohérences et surtout en soulignant qu'elles avaient continué de fréquenter le magnat du cinéma indépendant après les agressions alléguées.
Lors d'une dernière plaidoirie, l'avocat Arthur Aidala a assuré que les relations sexuelles étaient consenties, dans une logique de "promotion canapé" entre de jeunes femmes qui "utilisent leur beauté, leur charmes" et un homme plus âgé qui pouvait leur ouvrir des portes dans l'univers du spectacle.
Le fondateur des studios Miramax, producteur de films culte comme "Pulp Fiction" et d'innombrables succès ("Sexes, mensonges et vidéo", "Shakespeare in Love"), avait été condamné en 2020 à 23 ans de prison pour les faits concernant Miriam Haley et Jessica Mann, lors d'un procès retentissant qui symbolisait à l'époque une victoire pour le mouvement #MeToo contre les violences sexuelles.
Les enquêtes en octobre 2017 du New York Times et du New Yorker sur le tout puissant producteur, dont les films ont été auréolés de dizaines d'Oscars, avaient provoqué une onde de choc planétaire, libérant la parole de nombreuses victimes et contraignant les sociétés à de profondes remises en question sur la place des femmes.
Voisin de P. Diddy
Mais l'année dernière, la cour d'appel de New York avait annulé tout le procès, parce que d'autres victimes présumées avaient pu témoigner aux débats et raconter des agressions pour lesquelles Harvey Weinstein n'était pas inculpé.
Le procès s'est donc rejoué depuis mi-avril devant la cour pénale de Manhattan, mais dans une plus grande indifférence qu'en 2020, quand des manifestations avaient lieu chaque jour au pied du tribunal contre les violences sexuelles.
L'avocat d'Harvey Weinstein a assuré que ce contexte jouera en faveur de son client, alors que se déroule, dans un bâtiment voisin, le procès devant la justice fédérale du magnat du hip-hop P. Diddy pour trafic sexuel.
Diminué par de nombreux problèmes de santé, toujours détenu à cause d'une autre condamnation pour crimes sexuels en Californie, Harvey Weinstein, 73 ans, a comparu chaque jour sur une chaise roulante, le teint pâle.
Il n'a pas pris la parole pour se défendre mais a prononcé quelques mots jeudi matin pour "dire merci" au personnel du tribunal et aux agents des forces de l'ordre qui l'ont "traité de manière équitable".
Le procès a aussi porté sur une nouvelle inculpation d'agression sexuelle contre l'ancien mannequin polonaise Kaja Sokola, quand elle avait 19 ans.
A partir de sa chute, Harvey Weinstein a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd. Il n'a jamais reconnu aucune agression, évoquant toujours des relations consenties.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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