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Le 9/12 LFM

Double Face: Karim Boubaker, médecin cantonal en temps de covid

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Karim Boubaker a été propulsé dans le quotidien des Vaudois avec la crise du Covid-19. (©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

La pandémie lui a valu le surnom de "Monsieur covid vaudois": le médecin cantonal Karim Boubaker est l'invité de Double Face cette semaine. Il se livre au micro de Valérie Ogier et Isabelle Bertolini.

Karim Boubaker est le médecin cantonal vaudois depuis plus de 10 ans. Et pourtant, une grande partie de la population n'a découvert son visage qu'avec la pandémie. Il a d'ailleurs, avec elle, décroché le surnom de "Monsieur covid vaudois". Isabelle Bertolini retrace le parcours de Karim Boubaker.

Mais comment l'homme a-t-il vécu cette soudaine notoriété? Karim Boubaker répond à Valérie Ogier.

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Le 9/12 LFM

Plongée dans le fantastique avec la 12e édition de "Chocolatissimo"

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La 12ème édition de "Chocolatissimo" a lieu jusqu'au 8 novembre à Neuchâtel. / @www.facebook.com/nechocolatissimo

La 12ème édition de "Chocolatissimo" a débuté samedi dernier à Neuchâtel et se tiendra jusqu'au 8 novembre. Une édition 2025 sur le thème du fantastique. Un événement évoqué par Valérie Ogier dans le 9/12 sur LFM.

"Chocolatissimo" se veut être le prolongement d'une longue tradition neuchâteloise remontant à Philippe Suchard, pionnier en la matière. Il permet au canton de célébrer un artisanat précieux qui a fait sa réputation loin à la ronde.

Cette année n'échappe pas à la règle. Pour cette 12ème édition, débutée le 1er novembre, les experts et apprentis de la confiserie-chocolaterie confectionnent notamment des pièces montées et des vitrines. Les meilleures créations chocolatières des apprentis de la région sont exposées à l’Hôtel de Ville, lieu qui accueille durant la manifestation, des dégustations et des démonstrations. Plus de 30 créations sont soumises au vote des visiteurs dans un décor enchanteur peuplé de dragons ailés, d’elfes et autres créatures magiques.

Une thématique du fantastique aussi présente sur l’affiche de la manifestation, signée de l’illustrateur John Howe, connu pour son travail sur les adaptations cinématographiques du "Seigneur des Anneaux", en collaboration avec le graphiste Maël Bächtold et le photographe Noé Cotter. John Howe qui a aussi participé à l'élaboration de l'emballage des plaques spéciales "Chocolatissimo", proposées chaque année au public à la dégustation sur place ou à l'achat.

Les trois plaques, proposées jusqu'au 8 novembre, ont le goût du blé soufflé et du poivre pour la version chocolat au lait, d’amandes et de coco pour la plaque au chocolat blanc et de cerise amarène et d’amaretti pour la variante au chocolat noir.

Enfin le festival "Chocolatissimo" se déroule aussi en d'autres lieux de la ville comme, par exemple, ce samedi 8 novembre au Jardin botanique, pour des dégustations à l’aveugle qui apprendront à décrire différents types de chocolat de provenances variées.

"Chocolatissimo" évoqué dans le 9/12 de Valérie Ogier :

www.chocolatissimo.ch

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Le 9/12 LFM

Les liens du son: Toto, l'union et la force de musiciens doués!

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Des succès planétaires devenus intemporels, c’est la marque de fabrique de Toto: le groupe californien a ainsi étoffé la bande son des années 80 et 90.

David Paich est la tête pensante de cette formation élaborée au cœur des années 70 avec des musiciens de studios qui avaient déjà fait leurs preuves auprès d’artistes renommés.

Le son de Toto, c’est lui, la créativité, c’est encore lui, la vivacité mélodique, c’est toujours lui! Tous les succès ont en effet  été écrits ou coécrits par le claviériste.

Un talent renforcé par tous les maillons de la chaîne de production: Steve Lukather à la guitare, Jeff Porcaro à la batterie (disparu prématurément) ainsi que le chanteur Bobby Kimball ont largement contribué à la richesse musicale de Toto. Et leurs titres qui cumulent des milliards d'écoutes sont la preuve  d'un héritage durable.

Retour en 5 épisodes et 5 titres sur l’histoire de Toto qui dure depuis plus de 40 ans et 40 millions d’albums vendus!

 

Episode 1: Toto, Africa, un son éternel

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Episode 2: Toto, Hold the line, le début du succès

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Episode 3: Toto, I'll be over you, un nom qui fait débat

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Episode 4: Rosanna, l'art de durer

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Episode 5 : 99, démonstration de rock de plaisance

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Double Face

Double Face: Roland Buti, écrivain lausannois en lice pour le Prix de la Ville de Lausanne

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Roland Buti était l'invité de Double Face sur LFM. /@Gabriel Monnet, Ville de Lausanne

L'écrivain lausannois Roland Buti était l'invité de Double Face. Au micro de Valérie Ogier,  il a notamment évoqué son livre : "Les petites musiques" paru aux Editions Zoé. Un roman qui aborde un épisode délicat de l'histoire suisse, en lice pour le Prix du livre de la Ville de Lausanne 2025.

Roland Buti est né à Lausanne en 1964 et y fait des études de lettres et d’histoire. Il enseigne l’histoire dans un gymnase et consacre son temps libre à l’écriture. En 2004, il publie son premier roman "Un Nuage sur l’œil", couronné par le Prix Bibliomedia Suisse. En 2013 paraît "Le Milieu de l’horizon" qui reçoit un Prix suisse de littérature. Traduit en sept langues, il est adapté au cinéma par Delphine Lehericey en 2019. Avec "Les petites musiques", Roland Buti signe son sixième roman, publié aux éditions Zoé comme les précédents. Un dernier ouvrage en lice pour le Prix du livre de la Ville de Lausanne 2025. Une 12e édition placée sous le parrainage du réalisateur lausannois Lionel Baier.

"Il a enregistré un vague sourire engageant. Le sourire de ceux qui, mal à l'aise, voudraient seulement qu'on les prenne dans les bras"

L'histoire du livre "Les petites musiques" se déroule dans une petite ville des montagnes jurassiennes, réputée pour son industrie fine de boîtes à musique et de caméras, dans laquelle Jana et son demi-frère Ivo passent leur enfance dans l’insouciance. Mais indocile et sauvage, Jana inquiète ses parents et son attitude à l’adolescence devient intolérable aux yeux de la société. L’administration la condamne à l’internement pour la "remettre dans le droit chemin". Son frère assiste impuissant au destin de sa sœur, tout comme il est le témoin d’une industrie et de toute une région sur le déclin. Dans un paysage hivernal, les personnages lumineux de ce roman redonnent vie à un pan méconnu de notre histoire.

L'intégralité de cette rencontre est à écouter ici:

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Le livre de Roland Buti "Les Petites musiques" est disponible en ligne gratuitement jusqu'au 31 décembre :

www.lausanne.ch/agenda-et-actualites/prix-du-livre/romans-du-prix.html

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Double Face

Double Face : Jean-Marc Richard, ou la passion de l'Eurovision

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Jean-Marc Richard était l'invité de Valérie Ogier, sur LFM, dans Double Face. / @KEYSTONE, Peter Schneider

Dans ce dernier Double Face de la saison sur LFM, Valérie Ogier reçoit Jean-Marc Richard, à l'occasion de la sortie du livre : "Eurovision Song Contest, de 1956 à nos jours", réalisé en collaboration avec Mary Clapasson et Nicolas Tanner.

Connu et reconnu depuis 30 ans pour ses activités radio, télévisuelles et caritatives, Jean-Marc Richard ne se définit pas uniquement par ses succès professionnels, mais plutôt par ses passions. Lorsqu'il se présente, il aime souligner qu'il a de multiples activités, tout en affirmant que la spécialisation est "mère des solitudes", faisant sien un slogan de "Lôzanne Bouge", dont il fut une figure de proue.

Son parcours, débuté comme apprenti libraire, l'a mené à devenir une figure emblématique en Suisse. Jean-Marc Richard a exploré diverses expériences professionnelles, notamment à Radio Acidule ou il a commenté en 1989 l'Eurovision pour la première fois. Une édition ayant eu lieu à Lausanne Beaulieu. Un événement qui l'a ensuite commenté dès 1992 pour la TSR, devenue RTS. Cette année, il a fait le choix de commenter l'événement une dernière fois, en mai dernier, à Bâle.

À l'issue du concours, il a publié un ouvrage monumental de 450 pages, véritable encyclopédie dédiée à l'Eurovision, qui compile 34 ans de notes et d'anecdotes sur cet événement emblématique, coécrit avec Nicolas Tanner, commentateur, complice de longue date à la RTS, et la réalisatrice Mary Clapasson. Ensemble, ils ont mis en lumière les coulisses de l'Eurovision, cherchant notamment à transmettre l'histoire de cet événement à une nouvelle génération de fans. Autrefois critiquée, comme le rappelle Jean-Marc Richard, l'Eurovision captive aujourd'hui 62% de part de marché via la RTS, lors de sa dernière édition, un succès que notre invité attribue à l'évolution de la manifestation et à la passion qui entourent cet événement.

SON 1

Jean-Marc Richard, fervent défenseur de l’Eurovision, évoque, pour nous, dans Double Face, son livre “Eurovision Song Contest, de 1956 à nos jours”, publié aux Editions Favre. Un ouvrage riche en anecdotes qui aborde non seulement l’histoire du concours, mais également le phénomène des fans clubs, qui comptent à ce jour pas moins de 11 000 membres répartis à travers le monde.

Depuis ses débuts, Jean-Marc Richard a toujours cru en la valeur de cet événement, malgré les doutes exprimés par certains responsables de la radio et télévision publique quant à sa diffusion. Il nous révèle qu’il n’a pas commenté 34 Concours Eurovision, comme souvent mentionné, mais bel et bien 35. Son premier concours remonte à 1989, commenté pour Radio Acidule, radio associative, ancêtre de la radio LFM. Une édition qui avait lieu à Morges, suite à la victoire de Céline Dion à Dublin avec “Ne partez pas sans moi, un an plus tôt, en 1988. Un moment mémorable qui a marqué le début d’une aventure unique, où il se remémore, pour nous, les conditions de cette première retransmission "pirate", ayant repris le signal du média public, en y apposant ses commentaires et les interventions de ses invités en studio à Lausanne.

Avec nostalgie, il se souvient de cette première édition, tout en se réjouissant encore aujourd’hui de la victoire de l’artiste biennois Nemo l'an dernier. Beaucoup, y compris Jean-Marc Richard, imaginaient qu’il pourrait remporter le prix, témoignant ainsi de l’enthousiasme qu'il a suscité parmi ses fans.

Au-delà de l’Eurovision, Jean-Marc Richard nous plonge dans ses premiers émois radiophoniques, témoignant d’un parcours riche. C’est au sein de radios libres qu’il fait ses premiers pas, mais c’est surtout en animant l’émission “Banane Rock” à Radio Acidule qu’il a véritablement débuté. Une émission qu'a animé le co-fondateur de la Dolce Vita, club de rock emblématique de Lausanne.

"Fréquence Banane", la radio de l’Université de Lausanne, est née dans le sillage de cette effervescence créative. Jean-Marc Richard se souvient avec nostalgie d’autres moments forts de ses débuts, comme cette émission audacieuse réalisée en direct des égouts lausannois avec Daniel Brélaz. Pourtant, c’est aux matinales de Radio Acidule qu’il garde son premier fait d'armes marquant.

Radio Acidule, en tant que radio associative, avait pour mission de donner la parole à ceux qui ne l’avaient pas. C'est ainsi que Jean-Marc Richard a eu l’opportunité de réaliser un portrait poignant d’une détenue atteinte du sida. Une interview qui a permis à la détenue d’obtenir sa libération et à l'homme de radio de recevoir le prestigieux prix Goretta en 1990.

En repensant à cette époque, Jean-Marc Richard évoque d'autres souvenirs de rencontres, d’échanges et de proximité. Une période où la radio n’était pas seulement un moyen de communication, mais un véritable espace de dialogue et de solidarité. Son parcours, guidé par la passion de la musique et l’engagement social, continuent de le guider aujourd’hui.

Jean-Marc Richard évoque un engagement profondément ancré dans son enfance, une période où l’Eglise de Chailly à Lausanne jouait un rôle central dans sa vie. C’est là qu’il se rendait pour assister au culte, baignant dans un univers empreint de valeurs sociales et d’un profond engagement communautaire. Certains de ses proches voyaient en lui un futur pasteur, tant son implication était palpable.

Sa sensibilité face aux injustices du monde l’a toujours poussé à réagir. Pour lui, l’injustice est une réalité insupportable, suscitant une révolte qui se traduit par une colère constructive, mais aussi par un engagement en faveur des plus démunis. Sa mère, elle-même une figure engagée, a été son modèle, lui transmettant des valeurs de solidarité et de compassion.

Bien que Jean-Marc Richard ait d’abord souhaité s’investir dans l’humanitaire plutôt que de se tourner vers les médias, son chemin l’a conduit à faire de la radio. Néanmoins sa rencontre avec Edmond Kaiser, le fondateur de l’association Terre des hommes, a marqué un tournant décisif dans son parcours qui lui permettra d'allier médias et humanitaire, en devenant, à la demande de Jean Martel, alors directeur, la voix de la Chaîne du bonheur.

Cependant, Jean-Marc Richard insiste sur le fait que l’argent n’a jamais guidé ses choix de vie. Jusqu’à l’âge de 32 ans, il gagnait à peine 800 francs, se débrouillant avec différents mandats, animant des jeux tels que la “roue de la chance” dans des magasins, et participant à des événements comme le Comptoir Suisse ou la Foire du Valais. Pour lui, la réussite ne se mesure pas en termes financiers, mais plutôt par l’impact qu’il peut avoir sur la vie des autres.

Conscient des dérives de la vie, vécus notamment durant la période “Lôzane Bouge”, Jean-Marc ayant vu certains de son entourage sombrer dans la toxicomanie, cela a renforcé son désir de rester ancré dans la réalité. Il ne veut pas que son existence soit résumée à une simple carrière, mais plutôt qu’elle soit définie par ses valeurs, ses engagements et son humanité.

Dans ce Double Face animé par Valérie Ogier, Jean-Marc Richard a évoqué également la fin imminente de sa collaboration avec la RTS, prévue pour la fin de l’année 2025, marquée par la dernière émission de "La ligne de cœur". Malgré cette séparation, l’animateur continuera de travailler avec la SSR, notamment pour les mandats du "Kiosque à musique", et maintiendra son engagement envers "La chaîne du bonheur".

Un épisode de "Double Face" qui s’est terminé, comme avec chacun de nos invités, avec la séquence de questions à la volée nommée :"Tac-au-tac". Jean-Marc Richard nous a ainsi partagé une anecdote amusante, se remémorant les moqueries qu’il a subies lorsqu’il était animateur pour la Loterie romande, à la TSR, où on l’avait qualifié de "singe hurleur". Plus profondément, le Vaudois a révélé, avec émotion, que sa famille est son bien le plus précieux, une attache solide qui lui permet de rester ancré dans la réalité. Il a exprimé le regret de ne pas avoir pu leur consacrer davantage de temps.

"Eurovision Song Contest, de 1956 à nos jours", de Jean-Marc Richard, Mary Clapasson et Nicolas Tanner, disponible aux Editions Favre.

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