International
Jannik Sinner trop fort pour Stan Wawrinka
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/09/stan-wawrinka-il-y-a-eu-match-contre-jannik-sinner-pour-le-vaudois-1000x600.jpg&description=Jannik Sinner trop fort pour Stan Wawrinka', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Stan Wawrnka (ATP 49) n’a pas renversé la montagne Jannik Sinner à New York. Il est tombé en 16e de finale devant l’Itralien, le troisième favori du tournoi derrière Carlos Alcaraz et Novak Djokovic.
Stan Wawrinka s’est incliné 6-3 2-6 6-4 6-2 devant le no 6 mondial. Il y a eu match jusqu’à 4-4 deuce au troisième set. C’est à cet instant que Jannik Sinner a frappé "le" coup du match, un contre magnifique en coup droit croisé pour se procurer une balle de break qu’il a su convertir. Stan Wawrinka venait de revenir à la hauteur de l’Italien au jeu précédent. Il lui a manqué un soupçon de relâchement pour passer devant au score à ce moment clé de la partie.
Comme à Wimbledon où il avait été éliminé par Novak Djokovic au même stade de la compétition, Stan Wawrinka a fait honneur à son rang de triple vainqueur en Grand Chelem. A 38 ans, il demeure un très grand joueur de tennis, capable de pousser vraiment les meilleurs dans leurs derniers retranchements. Jusqu’au dernier point, même si le quatrième set a sans doute filé un peu vite, Jannik Sinner a, ainsi, été sur ses gardes. Le protégé de Darren Cahill n’ignorait pas qu’il avait de l'autre côté du filet un homme capable de frapper la balle avec la même puissance que lui. Capable aussi de réussir des coups magnifiques avec son exceptionnel revers.
Huitième de finaliste à Cincinnati où il avait éliminé le no 10 mondial Frances Tiafoe et valeureux à l’US Open, Stan Wawrinka n'a pas fait vraiment ses 38 ans lors de cette tournée américaine. Dans quinze jours, le Vaudois espère évoluer dans le même registre à Manchester en Coupe Davis. Avec le "renfort" de Dominic Strcker, il veut croire que l’équipe de Suisse pourra aller loin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'armée israélienne dit avoir intercepté un missile tiré du Yémen
L'armée israélienne a annoncé jeudi avoir intercepté un missile lancé du Yémen. Lundi, elle avait mené une série d'attaques contre les infrastructures des rebelles houthis dans ce pays.
"A la suite du déclenchement il y a peu de temps des sirènes d'alerte dans plusieurs régions d'Israël, un missile lancé du Yémen a été intercepté", a indiqué l'armée sur le réseau social X.
L'armée israélienne avait bombardé tôt lundi le port de Hodeida et d'autres zones sous contrôle des insurgés yéménites soutenus par l'Iran, qui avaient riposté par des tirs de missiles eux aussi interceptés.
Depuis la fin 2023, les Houthis lancent régulièrement des missiles vers Israël, la plupart interceptés avant leur entrée dans l'espace aérien israélien. Ils ont aussi attaqué des navires considérés comme liés à l'Etat hébreu, affirmant agir par solidarité avec les Palestiniens dans la bande de Gaza où l'armée israélienne est en guerre contre le Hamas.
Les rebelles yéménites ont revendiqué mercredi une attaque contre un navire marchand en mer Rouge, la deuxième en 24 heures contre un bateau dans cette voie maritime essentielle pour le commerce mondial.
Mardi, les Etats-Unis, alliés d'Israël, ont accusé les Houthis de "porter atteinte à la liberté de navigation en mer Rouge", malgré un accord de cessez-le-feu en mai avec Washington qui a mis fin à des semaines de bombardements américains des cibles rebelles au Yémen.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La CEDH annonce ce matin sa décision dans l'affaire Semenya
La Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme publie ce jeudi sa décision définitive dans l'affaire de la Sud-Africaine Caster Semenya. En 2023, la cour avait déjà estimé que la Suisse avait violé plusieurs droits de l'athlète hyperandrogène.
Il y a deux ans, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) avait admis la requête de Caster Semenya sur plusieurs points. Elle avait estimé en particulier que son droit à la vie privée, en relation avec l'interdiction des discriminations, avait été violé par le règlement de World Athletics (WA) imposant aux femmes présentant un excès naturel d'hormones mâles (hyperandrogènes) à prendre des hormones féminines pour participer aux compétitions.
Après sa condamnation il y a deux ans, la Suisse a porté l'affaire devant la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) afin d'obtenir une décision définitive. En effet, le règlement de WA a été confirmé par le Tribunal administratif du sport (TAS), siégeant à Lausanne, puis par le Tribunal fédéral saisi successivement par Caster Semenya.
Examen très restreint
Dans cette affaire, le Tribunal fédéral a analysé les faits avec un pouvoir d'examen très restreint, comme le veut la loi suisse lorsque cette instance agit dans des procédures d'arbitrage. A ce titre, la Sud-Africaine estime que son droit à un procès équitable et à un recours effectif a été également violé par la Suisse.
Athlète spécialisée dans les courses de demi-fond, Caster Semenya se plaint du règlement de WA qui l'oblige à réduire son taux naturel de testostérone afin de pouvoir participer aux compétitions internationales dans la catégorie féminine.
Après le TAS, le Tribunal fédéral a débouté la Sud-Africaine en 2020. Il a estimé en substance que le règlement attaqué était une mesure apte et nécessaire aux buts légitimes de l'équité sportive.
La sportive, qui présente un excès naturel d'hormones sexuelles mâles, mène depuis plus de dix ans un bras de fer avec WA. Expertises à l'appui, cette dernière a défini en avril 2018 un seuil maximal de testostérone (5 nanomoles par litre de sang) pour concourir avec les femmes sur des distances allant du 400 m au mile (1609 m), et englobant donc le 800 m où la Sud-Africaine excelle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Trump annonce des taxes de 50% sur le cuivre dès le 1er août
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi des droits de douane de 50% sur les importations de cuivre à partir du 1er août. Ce métal était jusqu'à présent exempté des taxes douanières plancher de 10% imposées en avril.
"J'annonce une surtaxe de 50% sur le cuivre, qui entrera en vigueur le 1er août 2025, après avoir reçu une évaluation approfondie en matière de sécurité nationale", a déclaré mercredi le président américain sur son réseau social Truth Social, sans doute en référence à une enquête du département du commerce.
"Le cuivre est le deuxième matériau le plus utilisé par le ministère de la défense", a-t-il tempêté, évoquant les besoins du pays pour construire des semi-conducteurs, avions, navires, munitions, centres de données et systèmes de défense anti-missiles, entre autres.
Au nom du rééquilibrage des relations commerciales au profit des Etats-Unis, Donald Trump a imposé en avril une surtaxe plancher de 10% sur les importations, y compris si elles ne peuvent être produites sur place, mais avec des exemptions, notamment pour l'or, le cuivre, le pétrole et les médicaments.
Brésil visé
Il est revenu mardi sur ces exceptions, envisageant par exemple une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques et de 50% sur le cuivre, une menace qui a fait s'envoler le cours du métal de près de 10% à New York mardi, dépassant son sommet historique.
Si les droits de douane sur le cuivre entrent en vigueur, les prix des biens fabriqués avec ce métal (réfrigérateurs, voitures) pourraient grimper, comme pour les autres produits surtaxés à l'importation.
Mercredi, le président américain a aussi annoncé une surtaxe de 50% sur les produits brésiliens, jusqu'ici épargnés, car les Etats-Unis dégagent un excédent commercial dans leurs échanges avec le géant sud-américain.
Dans un courrier adressé au président brésilien Lula, M. Trump affirme que ces droits de douane seront imposés en réponse aux poursuites lancées contre l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro, jugé dans son pays pour tentative de coup d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La capitale ukrainienne Kiev encore visée par une attaque russe
Une attaque russe nocturne contre la capitale ukrainienne a fait au moins deux morts, a annoncé le chef de l'administration militaire de Kiev Timour Tkatchenko jeudi matin. Il avait fait état auparavant de 13 blessés.
L'administration militaire de Kiev a mis en garde contre une menace de missile balistique sur la ville. Au moins six districts ont été visés.
Les frappes ou les débris de drones interceptés ont notamment touché des immeubles résidentiels, des véhicules, des entrepôts et des immeubles de bureaux, selon le chef de l'administration militaire Timour Tkatchenko, qui a appelé les habitants à rester dans les abris.
"L'attaque ennemie se poursuit, les forces de défense abattent les cibles ennemies", a-t-il ajouté sur Telegram. L'armée de l'air ukrainienne a pour sa part annoncé qu'un "groupe de missiles" était "en approche de Kiev depuis l'est".
Intensification des attaques
Des journalistes de l'AFP à Kiev ont entendu de puissantes déflagrations sur la ville pendant la nuit et ont vu les explosions de projectiles interceptés par la défense antiaérienne.
Plusieurs dizaines d'habitants ont trouvé refuge dans une station de métro du centre-ville où des matelas et du matériel de camping étaient à leur disposition en attendant la fin de l'attaque.
L'Ukraine a affirmé mercredi que la Russie avait lancé la nuit précédente sa plus grande attaque aérienne depuis le début de l'invasion en février 2022, avec 728 drones et 13 missiles dont la quasi-majorité a été interceptée, selon Kiev, dans un contexte d'intensification des frappes russes et d'impasse diplomatique.
Réunions à Londres et Kuala Lumpur
A Londres, le premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron doivent participer jeudi à une réunion en visioconférence sur l'Ukraine, avec notamment le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la première ministre italienne Giorgia Meloni ou le chancelier allemand Friedrich Merz.
Selon l'Elysée, des représentants américains devraient également y assister. Le président américain Donald Trump a durci le ton contre la Russie ces derniers jours, menaçant de nouvelles sanctions tout en promettant du matériel militaire supplémentaire aux Ukrainiens.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio doit pour sa part rencontrer jeudi son homologue russe Sergueï Lavrov en marge de la réunion des chefs de diplomatie des pays d'Asie du Sud-Est (Asean) à Kuala Lumpur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 3 jours
Les "Seniors en forme" reviennent cet été
-
ClimatIl y a 3 jours
Texas: 27 personnes du camp de vacances dévasté décédées
-
InternationalIl y a 3 jours
Theres Rösti parle de sa vie au côté d'un conseiller fédéral
-
InternationalIl y a 3 jours
France: le député LR Olivier Marleix a mis fin à ses jours
-
InternationalIl y a 3 jours
Australienne coupable d'un triple meurtre aux champignons vénéneux
-
SuisseIl y a 3 jours
Zurich veut interdire les adaptations de sexe chez les ados
-
GenèveIl y a 3 jours
L'Imad a effectué 226 visites supplémentaires durant la canicule
-
InternationalIl y a 3 jours
Un ministre démis de ses fonctions par Poutine s'est suicidé