Suisse
Les horlogers Doxa et Maurice Lacroix devraient croître en 2023
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Les marques horlogères suisses Doxa et Maurice Lacroix devraient enregistrer une modeste croissance en 2023. L'évolution de l'inflation, des taux d'intérêts et du franc auront un impact important sur la marche des affaires en 2024.
"Cette année nous n'allons pas connaître une progression aussi importante que les deux dernières années", a fait remarquer à l'agence AWP Jan Edöcs, le patron de la manufacture biennoise Doxa, connue en particulier pour ses montres de plongée multicolores, les SUB, et accessibles à partir d'environ 1000 francs.
L'avancée du chiffre d'affaires de 2023 en comparaison annuelle devrait s'inscrire à un chiffre en pourcentage. "Nos volumes ont continué à s'étoffer", assure celui qui a pris les rênes de l'entreprise en 2019, en marge des Geneva Watch Days ayant pris fin ce week-end.
L'entreprise se situe ainsi à contre-courant de l'évolution des volumes des exportations horlogères suisses, qui n'ont cessé de reculé depuis un certain nombre d'années, les garde-temps se situant dans l'entrée et le milieu de gamme, dont font partie Doxa et Maurice Lacroix, subissant la concurrence notamment des smartwatches. La valeur des exportations continue cependant d'avancer grâce au succès des montres haut de gamme.
"Nous avons vendu plus de 10'000 pièces à nos détaillants ou en ligne", affirme le patron.
Doxa, détenue par l'entreprise biennoise Walca, se distingue aussi de la plupart de ses concurrents du fait que la manufacture a commencé à vendre ses montres en ligne, notamment aux Etats-Unis. La société développe depuis quelques années son réseau de distribution physique, via des détaillants.
"Nous avons maintenant entre 140 et 150 points de vente", souligne le dirigeant, tout en relevant que la marque vient de mettre un pied en Asie grâce à des points de vente en Corée du Sud. L'e-commerce continue à assurer plus de 50% des ventes de Doxa alors que pour le reste de l'industrie horlogère helvétique, ce canal représente en moyenne 10% des recettes.
Doxa a senti la décélération aux Etats-Unis, le premier marché de la maison. Le Royaume-Uni et l'Allemagne, tout en continuant de croître, ont aussi montré des signes de faiblesse. "Nous sentons que les gens sont préoccupés par la hausse du coût de la vie", commente M. Edöcs.
Lancement de modèles plus chers
Pour attirer une catégorie de clients moins sensible à l'inflation, la maison a lancé la SUB 300 Beta Sharkhunter, vendue à presque 7000 francs, à l'occasion du salon horloger Geneva Watch Days. Le boitier en céramique noire et la lunette en or pourraient séduire une nouvelle clientèle, espère la marque.
Dans le même esprit, le jurassien Maurice Lacroix a présenté lors du salon genevois l'Aikon Skeleton Urban Tribe, vendue autour de 4000 francs, une montre automatique très différente de l'Aikon Tide coûtant 750 francs, ayant dopé les volumes en 2022.
La manufacture de Saignelégier anticipe une modeste croissance pour 2023, soutenue par l'Asie et les Etats-Unis. "L'Europe, c'est compliqué en ce moment", souligne le directeur général Stéphane Waser, comme nombre de ses concurrents.
Le Moyen-Orient et la Turquie profitent quant à eux des achats des Russes en voyage ou ayant quitté leur pays. "Avant l'invasion de l'Ukraine, la Russie était un marché très important", relève l'ancien cadre de Novartis, tout en rappelant ne plus servir ce pays.
M. Waser se montre plutôt satisfait du nombre de points de vente que la marque compte au niveau mondial, soit environ 1500. "Notre stratégie n'est pas d'augmenter nos points de vente, mais de renforcer les quantités vendues dans chaque magasin", a-t-il expliqué.
La filiale du groupe zurichois DKSH mise par ailleurs sur sa collection Aikon pour attirer une clientèle plus jeune, grâce à l'utilisation de bracelets faits en plastique recyclé pour ses modèles Tide.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Une conférence sur les dessous du raisonnement mathématique
L'intuition occupe une place essentielle dans le processus créatif, même en mathématiques. A l'occasion de la 5e édition des conférences Jean Piaget, le professeur à l'Université de Genève (UNIGE) Hugo Duminil-Copin, médaillé Fields 2022, donnera mercredi une conférence sur la question.
Dans son exposé intitulé "AnaLogique: ce qui se cache derrière le raisonnement mathématique", le mathématicien parlera de l'importance fondamentale de l'analogie dans le processus mathématique. La mise en relation d'idées complexes sans lien apparent entre elles constitue un des piliers de la pensée scientifique, relève l'UNIGE.
Cette série de conférences est organisée par le Centre Jean Piaget de l'UNIGE en collaboration avec le laboratoire Instruction, Développement, Education et Apprentissage (IDEA) et le groupe de recherche en didactique des sciences. Neuf conférenciers s'exprimeront sur la thématique de "l'analogie" jusqu'à vendredi. Le colloque est ouvert au public.
www.unige.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Pour Cassis, la situation mondiale a aidé le dossier européen
Selon le conseiller fédéral Ignazio Cassis, la situation mondiale difficile a aidé le dossier de l'UE en Suisse. Dans les négociations sur les nouveaux accords, la Suisse a obtenu plus qu'elle ne pouvait espérer, a-t-il laissé entendre dans une interview.
"Par rapport aux discussions sur l'accord-cadre il y a quatre ans, lorsque l'état du monde était meilleur, nous ressentons aujourd'hui une plus grande urgence", a déclaré le ministre des affaires étrangères dans une interview publiée samedi par la "NZZ". Des relations étroites et stables avec les voisins les plus proches sont de plus en plus importantes, ajoute-t-il.
"La participation au marché intérieur européen est vitale pour la Suisse - et elle le sera encore plus si d'autres marchés ne sont plus accessibles ou seulement à de moins bonnes conditions", souligne M.Cassis.
La publication des accords avec l'UE a été "un coup de pouce après des mois extrêmement intenses et éprouvants". "Je constate un grand intérêt de la part du public", déclare le Tessinois. On veut comprendre dans toute son ampleur et sa profondeur "ce que nous avons négocié" sans se limiter aux "sempiternels mots-clés".
Le conseiller fédéral pense que tout le paquet d'accords est bon pour la Suisse, mais il ne sait pas si le peuple le verra exactement de la même manière. "Aujourd'hui, je peux dire avec assurance que le résultat dépasse nos espoirs. A l'inverse, cela signifie que je ne peux pas imaginer que nous trouvions une meilleure solution pour sauver la voie bilatérale", déclare le ministre suisse des affaires étrangères.
La Suisse a obtenu davantage, par exemple en ce qui concerne la clause de sauvegarde sur la libre circulation des personnes. Nous avons surtout pu garantir le noyau dur: chez nous, la libre circulation des travailleurs continue de prévaloir, et non celle des citoyens", souligne Cassis. Seules les personnes qui travaillent en Suisse ou qui peuvent subvenir à leurs besoins peuvent y vivre avec leur famille.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions vendredi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 5, 8, 24, 37 et 47 et les étoiles 3 et 9.
Lors du prochain tirage mardi, 25 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.
https://jeux.loro.ch/games/euromillions
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
L'achat des avions F-35 pourrait coûter nettement plus cher
L'acquisition des avions de combat F-35A pourrait coûter nettement plus cher, environ 1,3 milliard de francs, en plus du prix fixe convenu de 6 milliards. C'est ce que révèlent les recherches de Beni Gafner, un connaisseur de l'armée, sur lesquelles s'appuie la SRF.
Plusieurs sources crédibles dans différents départements ont assuré à M. Gafner que le prix fixe ne pourrait pas être respecté, a-t-il déclaré vendredi soir à l'agence de presse Keystone-ATS. Un dépassement de coûts de 1,3 milliard de francs pour l'achat des 36 avions de combat commandés aux Etats-Unis a été évoqué à plusieurs reprises.
Le Département de la défense (DDPS) indique pour sa part que le Conseil fédéral reste d'avis que le prix fixe convenu avec le gouvernement américain s'applique à l'achat des F-35A. Le Conseil fédéral examine toutefois la situation en permanence et informerait en cas de changement de situation.
La votation populaire en faveur de nouveaux avions de combat, en septembre 2020, avait été extrêmement serrée, avec 50,1 % des voix.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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