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Économie

La Banque cantonale du Valais sous enquête du gendarme de la Bourse

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La Banque cantonale du Valais (ici le siège à Sion) est soupçonnée de violation des prescriptions concernant la publicité événementielle, des "faits susceptibles d'avoir une influence sur les cours" (archives). (© KEYSTONE/THOMAS DELLEY)

Six Exchange Regulation (SER), le gendarme de la Bourse suisse, a ouvert ce vendredi une enquête à l'encontre de la Banque cantonale du Valais (BCVs). L'établissement est soupçonné de violation des prescriptions concernant la publicité événementielle, des "faits susceptibles d'avoir une influence sur les cours".

Un examen préliminaire a mis à jour suffisamment d'éléments concrets pour justifier des investigations, indique vendredi le SER dans un communiqué. Le gendarme de la Bourse affirme qu'il ne fournira aucune information sur l'enquête en cours, dont le contenu sera publié une fois la procédure arrivée à son terme.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Actualité

Le Royaume-Uni est sorti de la récession au premier trimestre

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La conjoncture s'améliore en Grande-Bretagne. (archive) (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Le Royaume-Uni est sorti au premier trimestre de la récession dans laquelle il était tombé fin 2023: son produit intérieur brut (PIB) a progressé de 0,6% lors des trois premiers mois de l'année, a annoncé vendredi l'Office national des statistiques (ONS).

Le PIB britannique avait reculé de 0,3% au quatrième trimestre 2023, après avoir baissé de 0,1% au troisième. Le rebond de l'économie est plus marqué que ce à quoi s'attendaient les économistes, qui tablaient sur une progression de 0,4% au premier trimestre de cette année.

Deux trimestres de contraction économique d'affilée sont généralement considérés par les économistes comme la définition d'une récession dite "technique".

L'économie a connu au premier trimestre "une vigueur généralisée dans les secteurs des services", en particulier dans "le commerce de détail, les transports publics et la santé", et ce malgré "un autre trimestre en berne dans le secteur de la construction", a détaillé sur X (ex-Twitter) Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS.

La croissance du PIB est aussi plus marquée que les prévisions de la Banque d'Angleterre (BoE), qui prévoyait également une progression de 0,4% sur les trois premiers mois de l'année.

La BoE, qui a relevé son taux directeur à 14 reprises entre décembre 2021 et septembre dernier pour lutter contre l'inflation, a maintenu sans surprise jeudi son taux directeur à 5,25% jeudi.

Mais elle s'est dite "optimiste" sur un reflux de l'inflation qui devrait lui permettre de baisser ses taux dans les prochains mois, et ainsi alléger une mesure qui pèse sur les finances des ménages et des entreprises, et donc sur l'économie.

L'institution monétaire a relevé jeudi ses prévisions de croissance à 0,5% pour l'ensemble de l'année 2024 et 1% en 2025 au Royaume-Uni.

L'inflation britannique a légèrement reculé au Royaume-Uni en mars, à 3,2% sur un an contre 3,4% le mois précédent. Elle a nettement ralenti depuis son pic à plus de 11% fin 2022, mais elle reste supérieure à l'objectif de 2% fixé par la Banque d'Angleterre.

Si "les choses sont encore difficiles pour beaucoup de gens", l'économie britannique "a franchi un cap", a salué le Premier ministre Rishi Sunak sur X vendredi.

"Nous nous attendons à la poursuite de la croissance pour le reste de cette année, soutenue par un contexte économique plus favorable", notamment la baisse de l'inflation et la hausse des salaires, a commenté Yael Selfin, économiste chez KPMG.

Pour autant, l'amélioration de la croissance "probablement limitée par la faiblesse persistante" constatée en matière de productivité et sur les difficultés à "augmenter le taux d'emploi" dans le pays, a ajouté l'économiste.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Climeworks inaugure une seconde usine de captage de CO2 en Islande

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La première usine de Climeworks en Islande, baptisée Orca. La seconde usine dévoilée mercredi, Mammoth, permettra de capter bien plus de CO2 (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les ventilateurs moulinent: la deuxième usine islandaise de captage de CO2 dans l'air et stockage sous terre a été dévoilée mercredi par la start-up suisse Climeworks. Elle décuple ainsi ses capacités et espère "éliminer" des millions de tonnes de ce gaz d'ici 2030.

Mammoth est située à quelques centaines de mètres de sa petite soeur, Orca, usine pionnière en service depuis septembre 2021, au milieu d'un champ de lave solidifiée recouverte de mousse, à une demi-heure de la capitale Reykjavik.

Entourés par des montagnes, douze conteneurs ont commencé ces derniers jours à ventiler de l'air pour en extraire le CO2 grâce à un procédé chimique, alimenté par la chaleur issue de la centrale géothermique voisine ON Power.

D'ici la fin de l'année, 72 unités seront installées autour de l'usine qui compresse ensuite le gaz et le dissout dans de l'eau avant de l'injecter sous terre. A 700 mètres profondeur, au contact du basalte, roche volcanique poreuse riche en calcium et magnésium, le CO2 met environ deux ans à se minéraliser et est ainsi stocké durablement, selon un procédé mis au point par la société islandaise Carbfix.

36'000 tonnes de CO2 par an

Quelque 10'000 tonnes de CO2 étaient jusqu'ici captées puis stockées par an dans le monde, dont 4000 par Orca et le reste principalement par des unités pilote expérimentales. Une fois pleinement opérationnelle, Mammoth permettra d'en absorber 36'000 tonnes par an.

"Nous sommes passés de quelques milligrammes de CO2 captés dans notre laboratoire il y a 15 ans à quelques kilos, puis des tonnes et des milliers de tonnes", se réjouit Jan Wurzbacher, fondateur et codirigeant de Climeworks. D'ici 2030, l'entreprise vise une capacité de plusieurs millions de tonnes et entrevoit le milliard pour 2050.

Une vingtaine d'autres projets développés par Climeworks et d'autres start-up devraient permettre d'atteindre les 10 millions de tonnes d'ici 2030. A comparer aux 40 milliards de tonnes émises l'année dernière dans le monde.

Crédit carbone

Ces usines énergivores se distinguent de celles qui captent le CO2, plus concentré, à la sortie d'infrastructures industrielles ou énergétiques mais aussi de celles qui réutilisent ce gaz au lieu de le stocker.

Pour chaque tonne de CO2 stockée, Climeworks peut ainsi générer un crédit carbone qui permet à ses clients (Lego, Microsoft, H&M, Swiss Re, JP Morgan Chase, Lufthansa...) de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre.

Ces technologies sont reconnues par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) comme une solution pour éliminer du CO2 de l'atmosphère mais ne sont pas encore très intégrées aux scénarios de réductions des émissions tant leur développement, extrêmement couteux, est encore au stade embryonnaire avec des financements publics limités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Avoirs en Russie: Raiffeisen renonce à un accord controversé

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Plus de deux ans après l'invasion de l'Ukraine, l'autrichien Raiffeisen demeure la plus grande banque occidentale opérant en Russie. (archives) (© KEYSTONE/EPA/YURI KOCHETKOV)

La banque autrichienne Raiffeisenbank (RBI) a annoncé mercredi abandonner son montage complexe impliquant l'oligarque russe Oleg Deripaska, visé par des sanctions occidentales, pour récupérer des avoirs gelés en Russie, face aux réticences notamment américaines.

"La banque a décidé de renoncer à la transaction par mesure de précaution", a déclaré RBI dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion de son conseil d'administration, expliquant "ne pas avoir obtenu le soutien nécessaire lors de récents entretiens avec les autorités compétentes".

Il y a plus d'un an, elle avait annoncé vouloir "vendre ou scinder" sa filiale russe. Puis en décembre, elle avait dit vouloir racheter les parts dans l'entreprise autrichienne de construction Strabag à une entité contrôlée à l'époque par Oleg Deripaska et depuis cédée.

Encore active en Russie

La filiale russe de RBI devait acquérir ces actions pour une valeur de plus d'un milliard d'euros puis rapatrier les avoirs vers la maison mère en Autriche sous forme de dividendes en nature.

L'opération était vue d'un mauvais oeil par le Trésor américain, dont une haute responsable était venue à Vienne en mars.

La semaine dernière, le PDG de RBI Johann Strobl avait affirmé que le projet serait annulé s'il existait "un risque de sanctions ou d'autres conséquences négatives de la part de l'une des autorités concernées".

Plus de deux ans après l'invasion de l'Ukraine, Raiffeisen demeure la plus grande banque occidentale opérant en Russie, malgré les appels de la Banque centrale européenne (BCE) à quitter le pays, parlant d'un risque peu contrôlable.

Raiffeisen y est présente depuis 1996 et emploie plus de 9.000 personnes, selon son rapport financier de 2023.

Elle affirme y réduire progressivement ses activités, dont le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait dénoncé en 2022 le maintien.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Genève veut atteindre un taux de canopée de 30% en ville en 2070

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Afin de faire face aux changements climatiques, le Conseil d'Etat genevois veut faire passer la surface de canopée en ville de 23% à 30%. Un objectif partagé par la Ville de Genève qui réaménage des espaces publics (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Afin de faire face aux changements climatiques, le Conseil d'Etat genevois veut augmenter la surface ombragée en ville en plantant 150'000 arbres en quinze ans. Objectif: atteindre 30% de canopée en 2070, contre 23% aujourd'hui.

Adoptée mercredi par le gouvernement, la stratégie d'arborisation de l'aire urbaine permettra ainsi d'augmenter la canopée de 1% d'ici à 2040 par la plantation de jeunes arbres et de 7% en 2070, grâce à leur croissance. L'équivalent de plus de 554 hectares supplémentaires seront ainsi ombragés.

"L'enjeu est de trouver la place pour ces nouvelles plantations", a relevé devant les médias Antonio Hodgers, président du Conseil d'Etat et chef du Département du territoire. Les besoins des arbres devront être intégrés dès la planification des projets afin de prévoir les plantations en pleine terre. La stratégie vise aussi à renforcer la conservation des arbres existants.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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