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Lausanne

Lausanne: fermeture prolongée de la piscine de Mon-Repos

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Encore une année d'attente pour les nageurs de Mon-Repos (photo d'illustration). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La piscine de Mon-Repos à Lausanne restera fermée encore une année. Une corrosion de la structure a été découverte lors des travaux de rénovation lancés le printemps dernier.

Cette "corrosion avancée des armatures" était restée invisible jusqu'ici, cachée sous les faux-plafonds et derrière une isolation thermique collée au béton, annonce lundi la Ville de Lausanne. Elle s'est développée au fil des ans, "à la faveur d'un environnement fortement humide et chargé de chlore".

Alors que la piscine devait rouvrir début 2024, de nouveaux travaux sont nécessaires et repoussent la réouverture à septembre 2024. Ils visent à "assainir et étanchéifier les armatures des plafonds, la dalle des vestiaires, ainsi que le pourtour des bassins. Les suspentes du plafond acoustique présentant des faiblesses seront intégralement remplacées", poursuit le communiqué.

Le coût de ces nouveaux travaux est estimé à 1,65 million de francs. Un crédit complémentaire auprès du Conseil communal sera demandé.

En attendant la réouverture, les nageurs de Mon-Repos pourront continuer à se rendre "sans surcoût" à la Vaudoise aréna. Les titulaires d'un abonnement AquaPass Regio (piscines lausannoises et région, sans la Vaudoise aréna) pourront le prolonger aux mêmes conditions qu'au moment de la fermeture de Mon-Repos.

Inaugurée en 1972, la piscine de Mon-Repos est l'une des installations sportives lausannoises les plus appréciées de la population et la plus fréquentée avec une moyenne de 200'000 entrées par année, rappelle la capitale vaudoise.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vols de véhicules: la police vaudoise arrête sept jeunes

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La police vaudoise a interpellé sept jeunes, suspectés d'avoir volé une quarantaine de véhicules l'an dernier (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La police vaudoise a mis la main sur sept jeunes, accusés d'avoir commis plusieurs vols de voitures et de deux-roues entre juin et novembre 2023. Dans le cadre de cette affaire, 41 plaintes pénales ont été enregistrées.

Les jeunes interpellés résident dans le canton de Vaud. Il s'agit de quatre mineurs et trois majeurs, de nationalité suisse, espagnole, portugaise et kosovare, âgés entre 15 et 20 ans au moment des faits, précise vendredi la police vaudoise dans son communiqué.

Les prévenus, qui agissaient en bande et dans diverses compositions, auraient agi "par opportunité", mais également en prenant contact via les applications de vente en ligne ou les annonces. Ils sont mis en cause pour les vols de 31 deux-roues (scooter et moto), de 5 voitures (tourisme et fourgon) et d'un quad. Les faits se sont déroulés partout dans le canton. Vingt-six véhicules ont été retrouvés.

Ils nient les faits

Outre les vols, certains des suspects se seraient rendus coupables de lésions corporelles et de mise en danger de la vie d'autrui, notamment pour des infractions graves à la loi sur la circulation routière (conduite sans permis de conduire et excès de vitesse).

Les protagonistes ont nié en majorité les faits et un des majeurs se trouve toujours en détention. La police rappelle qu'à ce stade, ils sont tous au bénéfice de la présomption d'innocence.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Péréquation: la justice cantonale donne raison au Conseil d'Etat

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Le Tribunal cantonal rejette le recours déposé par l'une des communes vaudoises sur la péréquation et facture sociale, et donne raison ainsi à l'Etat de Vaud (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Dans le bras de fer entre des communes vaudoises et le canton au sujet de la répartition de la facture sociale, la justice cantonale a une nouvelle fois tranché et donné raison à l'Etat. Elle a débouté une des 35 communes qui avaient fait recours au Tribunal cantonal contre des ponctions jugées excessives.

Ces communes, essentiellement situées sur la Côte, avaient déposé leur recours auprès de la Cour de droit administratif et public (CDAP). Il concernait les décomptes finaux 2022 de la péréquation intercommunale et de la facture sociale. Dans un arrêt du 14 mai, la CDAP rejette leur recours, a indiqué jeudi l'Etat de Vaud dans un communiqué.

Le Département des institutions, du territoire et du sport (DITS) de Christelle Luisier dit prend acte du rejet par le Tribunal cantonal.

La Cour relève, notamment, que "l'autonomie communale n'est pas violée par le système péréquatif en vigueur et que les contrôles des décomptes incriminés ont bel et bien été effectués par les entités concernées", écrit le Canton. L'arrêt-pilote du tribunal concerne le recours de la commune de Jouxtens-Mézery, mais devrait s'appliquer à l'ensemble des recourantes, est-il précisé.

Une fronde en quatre temps

Trois autres frondes communales contre la facture sociale s'étaient aussi déjà organisées. Le décompte de 2019 avait été attaqué par treize localités, celui de 2020 par onze et celui de 2021 par 36 communes. Elles avaient aussi déposé leur recours auprès de la CDAP. Après avoir aussi été rejetée par cette dernière, celle des treize communes avaient trouvé raison auprès du Tribunal fédéral (TF).

Dans ce cas précis, la plus haute magistrature de Suisse avait estimé que l'Etat n'avait pas respecté leur droit à être entendues.

Toutes ces attaques contre la répartition de la facture sociale est un sujet qui envenime les relations entre les communes et le canton depuis plusieurs années. La contestation s'est aussi concrétisée via l'initiative populaire "SOS Communes", qui avait abouti en juin 2021. Le texte demande que le canton reprenne à sa charge l'entier de la facture sociale.

Accord et nouvelle péréquation

Entre-temps, un accord a été conclu en mars 2023 entre le Conseil d'Etat et les faîtières des communes. Il est concrétisé par une nouvelle péréquation intercommunale (NPIV), équivalent d'un contre-projet à l'initiative, actuellement débattue au Grand Conseil.

La NPIV intègre notamment une nouvelle répartition de certaines factures cantonales (sociale et policière). Elle prévoit aussi un renforcement du rééquilibrage financier en faveur des communes.

Quant aux initiants, ils veulent attendre la fin des débats au Grand Conseil avant de se prononcer pour la suite. S'ils devaient maintenir leur texte, une votation populaire aurait lieu en septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Prix PERL: la société Elythor remporte le prix principal

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Beaulieu a accueilli mercredi soir la 22e édition des prix PERL (photo d'illustration). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

La société Elythor a été la grande gagnante mercredi soir de la 22e cérémonie des Prix entreprendre Lausanne Région (PERL). L'entreprise a remporté le Trophée Lausanne Région, doté de 50'000 francs, pour son drone permettant d'entretenir et de vérifier l'état des infrastructures énergétiques sur terre comme sur mer.

Elythor a également remporté le Prix du public d'une valeur de 10'000 francs, lors d'une cérémonie organisée à Beaulieu et suivie par 300 personnes, indiquent les organisateurs dans leur communiqué de presse. Cette année, les PERL avaient reçu 44 candidatures (+19% par rapport à 2023).

Trois autres sociétés ont gagné le Prix de l'innovation, recevant 10'000 francs chacune. Il s'agit de csky.ai, qui utilise l'intelligence artificielle pour garantir le caractère privé d'échanges sensibles, d'Ex Nunc Intelligence, qui permet l'obtention d'une réponse argumentée à une question juridique complexe et d'Uzufly, qui modélise les villes par drones pour de futurs projets urbanistiques.

Quant au Prix coup de coeur du jury, doté également de 10'000 francs, il a été attribué à Atipikey, qui propose des services d'inclusion pour et par les personnes neuroatypiques.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'occupation des étudiants pro-palestiniens prend fin à l'UNIL

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Des étudiants et militants pro-palestiniens ont tiré un bilan de leur mobilisation mercredi à l'Université de Lausanne. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le dialogue entre l'Université de Lausanne (UNIL) et le collectif pro-palestinien a abouti à un accord. L'occupation du bâtiment Géopolis, qui durait depuis près de quinze jours, a pris fin mercredi soir. Les étudiants ont promis de poursuivre la mobilisation.

Mardi après-midi, la direction de l’UNIL a présenté à une délégation du collectif ses dernières réponses aux revendications. Elles ont été acceptées dans la soirée par l’assemblée générale du collectif.

Si la direction de l'alma mater a à nouveau refusé d’entrer en matière sur le boycott académique réclamé par le collectif, elle a pris un certain nombre d'engagements, dont la création d'une cellule d’experts. Cette dernière évaluera les collaborations avec des instituts scientifiques de pays en guerre "sous l’angle de l’éthique, de l’intégrité scientifique, du droit international et de la liberté académique".

La principale revendication du collectif était justement ce boycott académique. Les porte-paroles des étudiants ont présenté en fin de journée mercredi leurs recherches sur les universités israéliennes avec qui l'UNIL collabore. Le rapport de 30 pages pointerait notamment l’Université hébraïque de Jérusalem (HUJ) et l’Ashkelon Academic College (AAC). Il détaillerait les violations de droits humains commises par ces institutions et leurs collaborations avec l’armée israélienne et des compagnies militaires privées. Joseph Daher est professeur invité à l'Université de Lausanne, et soutien au mouvement :

Joseph Daher était présent au rassemblement, comme soutien au mouvement. Il salue le courage et la détermination de ces étudiants :

Le professeur de l'université espère que la mobilisation ne s'arrêtera pas là :

Pressions dénoncées

En fin d'après-midi mercredi, plusieurs centaines d'étudiants, 1300 selon le collectif pro-palestinien, ont participé à un rassemblement devant Géopolis. S'ils ont détaillé les avancées obtenues dans l'accord, ils ont déploré les pressions de l'Université et la gestion autoritaire du ministre de l'éducation Frédéric Borloz, copieusement hué. Sam est étudiant à l'Université de Lausanne :

"L'accord met fin à l'occupation mercredi soir, mais pas à la mobilisation", ont-ils assuré. "Une voie pour le militantisme s'est ouverte dans toute la Suisse", se sont-ils réjouis. Et le collectif poursuivra la surveillance des engagements pris par l'université. Sam, étudiant de l'UNIL :

En début de soirée, les étudiants ont évacué leurs dernières affaires du hall de Geopolis

Mesures transparentes

Dans l'accord finalement trouvé, l'UNIL accepte d'inciter ses chercheuses à faire preuve "de la plus grande diligence" dans leurs collaborations scientifiques. Elle renforcera par ailleurs le réseau et le dispositif "Scholars at risk" pour les chercheurs palestiniens, ainsi que son appui aux étudiants palestiniens.

La direction mettra également en place un programme de soutien à la reconstruction des capacités académiques palestiniennes et émettra une prise de position sur la situation de ces universités.

Garantissant la transparence sur ces mesures, l'UNIL souligne toutefois qu'elles sont soumises au respect par le collectif des engagements pris de son côté. Elle réitère sa condamnation ferme de tout propos contraire aux valeurs édictées dans sa charte. Les actes et discours répréhensibles qui auront été constatés feront l’objet d’une investigation.

Entre satisfaction et regrets

Le conseiller d’Etat en charge de la formation Frédéric Borloz a salué "la fin de l’occupation non autorisée des locaux de l’Université de Lausanne, conformément à la volonté de l’Université, du Conseil d’Etat et du Grand Conseil". Il s'est dit satisfait de l'issue trouvée sur plusieurs points.

"Il n’y a pas eu d’intervention de police, l’occupation est terminée et le dialogue a pu être maintenu. Il n’y a pas eu non plus de violences physiques ni de déprédations", déclare-t-il dans une note aux médias. Il regrette néanmoins le sentiment d’insécurité vécu pendant trop longtemps par des étudiants et des membres du personnel de l'UNIL.

Le ministre déplore également "les messages injurieux, voire racistes et qui incitent à la haine. Enfin, il y avait clairement d’autres moyens qu’une occupation non autorisée de locaux pour manifester", a-t-il estimé. Les universités doivent rester des institutions dédiées à la recherche de la vérité et à la diffusion du savoir".

Robin Jaunin avec Keystone-ATS

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