International
Le parti au pouvoir, vainqueur d'élections locales, sort renforcé
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Le parti au pouvoir au Nigeria est sorti vainqueur dans deux des trois Etats du pays qui élisaient leur gouverneur samedi, lors de scrutins entachés de violences et d'accusations de fraude électorale.
Ces élections sont traditionnellement très disputées dans ce pays où les gouverneurs ont des pouvoirs étendus et, malgré d'importants moyens de sécurité déployés, plusieurs personnes ont été tuées par balle selon les médias locaux et un responsable de la Commission électorale nationale indépendante (Inec) a été enlevé.
Les scrutins ont eu lieu samedi dans les Etats de Kogi (centre), Bayelsa (sud) et Imo (sud-est).
Le parti du président Bola Ahmed Tinubu, le Congrès des progressistes (APC) est arrivé largement en tête dans l'Etat d'Imo où le gouverneur sortant Hope Uzodinma a été réélu pour un second mandat avec 540'308 voix contre 71'503 pour son opposant, selon les décomptes officiels.
L'APC conserve également l'Etat de Kogi, où Ahmed Usman Ododo remporte le scrutin avec plus de 446'000 voix. Le Parti social-démocrate (SDP) arrive en deuxième position avec 259'000 voix.
Toutefois, dans l'Etat de Bayelsa, le gouverneur sortant Douye Diri, membre du Parti démocratique populaire (PDP - opposition), conserve son poste avec 175'196 voix contre 110'108 pour le candidat de l'APC, selon les résultats proclamés lundi.
Au total, l'APC dirige 20 des 36 Etats du pays, contre 13 pour le PDP. Les gouverneurs des trois derniers Etats sont issus de trois autres partis.
Le Centre pour la démocratie et le développement (CDD), qui a observé les élections, a déclaré que la participation avait été faible dans plusieurs bureaux de vote, des Nigérians ayant été dissuadés de se déplacer "par peur de la violence".
Des médias nigérians et des groupes d'observation des scrutins ont rapporté plusieurs tirs mortels, dont l'un attribué à des militaires qui auraient cherché à empêcher un homme de s'enfuir avec une urne à Anyigba, dans l'Etat de Kogi. L'armée et la police n'ont pas répondu aux sollicitations de l'AFP à ce sujet.
Le CDD a également dénoncé des achats de votes moyennant des distributions de riz.
Le travail de la commission électorale était suivi de près, après les critiques survenues lors de la victoire à la présidentielle en début d'année de Bola Ahmed Tinubu avec 37% des suffrages, dans l'un des scrutins les plus serrés de l'histoire moderne du pays.
L'opposition avait dénoncé des retards dans la mise en ligne des résultats et des problèmes techniques offrant, selon elle, des opportunités de fraude électorale. La commission électorale a assuré avoir fait "tout ce qui est possible pour garantir" des élections "libres, équitables et crédibles".
L'Inec a annoncé samedi qu'un de ses employés, enlevé la veille dans l'Etat de Bayelsa, avait été libéré. Selon l'Inec, un bateau transportant des documents électoraux a chaviré, affectant plus de 5000 électeurs dans cet Etat.
Le Nigeria a une longue histoire de violences électorales depuis la fin du régime militaire en 1999 et les résultats des scrutins sont souvent contestés devant les tribunaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Crue subite dans une localité himalayenne: près de 100 disparus
Une crue soudaine entraînant un torrent de boue a frappé une ville de la région himalayenne du nord de l'Inde, faisant au moins quatre morts et environ 100 disparus, a indiqué un ministre de la Défense.
"C'est une situation grave... Nous avons reçu des informations faisant état de quatre décès et environ 100 personnes portées disparues. Nous prions pour leur sécurité", a déclaré Sanjay Seth, ministre d'Etat de la Défense, à l'agence de presse Press Trust of India (PTI).
Des vidéos diffusées sur les médias indiens montrent des eaux boueuses emporter des immeubles d'habitation à Dharali, un lieu touristique de l'Etat septentrional d'Uttarakhand. On y voit plusieurs personnes en train de courir avant d'être englouties par des vagues sombres encombrées de débris détruisant des bâtiments entiers.
Pushkar Singh Dhami, ministre en chef de cet Etat frontalier du Népal a indiqué que des équipes de secours étaient mobilisées.
La boue jusqu'au toit des maisons
"Un énorme glissement de terrain a frappé Dharali ... déclenchant un flot soudain d'eau et de débris", a déclaré l'armée.
Sur des images rendues publiques par l'armée, montrant le site après la survenue de la catastrophe, on pouvait voir une rivière de boue coulant lentement.
Une grande partie de la ville était submergée, et par endroits, la boue atteignait les toits des maisons.
"Les efforts de recherche et de sauvetage sont en cours, et tous les moyens disponibles déployés pour localiser et évacuer les personnes toujours prises au piège", a déclaré le porte-parole de l'armée Suneel Bartwal.
Alerte
Le ministre en chef Dhami a déclaré que l'inondation était due à des précipitations soudaines et intenses.
Les services météorologiques indiens avaient émis une alerte en raison de fortes pluies dans l'Uttarakhand, précisant avoir enregistré 21 cm de précipitations dans des zones isolées de cet Etat.
Les inondations meurtrières et les glissements de terrain sont courants lors de la saison de la mousson de juin à septembre en Inde. Les experts affirment que le changement climatique accroît leur intensité et leur fréquence.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Décès de Ion Iliescu, "petit père" de la Roumanie post-communiste
L'ancien président Ion Iliescu, décédé mardi à l'âge de 95 ans, restera associé à la transition chaotique de la Roumanie vers la démocratie, avant de voir son image ternie par des accusations de "crimes contre l'humanité".
Hospitalisé pour un cancer du poumon début juin, M. Iliescu suivait son traitement à l'hôpital de Bucarest, où son état général avait été jugé "critique" la semaine passée.
Né le 3 mars 1930 d'une buandière et d'un cheminot dans un milieu communiste modeste à Oltenita (sud), il suit des études d'ingénieur à Moscou, avant de gravir très vite les échelons et d'occuper le poste de ministre de la Jeunesse sous Nicolae Ceausescu.
Après l'arrestation en décembre 1989 du dictateur et son exécution dans des circonstances opaques, il s'empare du pouvoir en homme providentiel, à la tête d'un Front du salut national (FSN), promettant de stabiliser le pays.
Ses adversaires l'accusent toutefois d'avoir "détourné" la révolution anticommuniste en orchestrant des violences qui feront plus de 850 morts et des milliers de blessés.
Il se fait triomphalement élire dans un contexte de multipartisme en mai 1990 à la tête de l'Etat avec 85% des suffrages exprimés. Proche du dernier président de l'Union soviétique Mikhaïl Gorbatchev, il s'oppose à toute politique de lustration, visant à interdire aux anciens hauts responsables communistes de se présenter à des fonctions publiques.
"Pauvre, mais honnête"
Il va susciter un mois plus tard l'effroi à travers le monde en encourageant des milliers de mineurs venus des provinces à briser violemment le mouvement des étudiants qui bloquaient la circulation de Bucarest pour protester notamment contre son dirigisme.
Réélu en novembre 1992 (61%), on le crédite d'avoir orienté la Roumanie vers l'économie de marché. Il est battu en 1996 avant de revenir au pouvoir en 2000, accompagnant alors son pays vers l'adhésion à l'Otan et à l'Union européenne, tout en teintant cet atlantisme d'une rhétorique paradoxalement antilibérale.
En 2004, il est élu sénateur avant d'être écarté de la présidence du Parti social-démocrate (PSD) par des réformateurs, devenant alors une figure tutélaire appréciée pour sa probité personnelle et la discrétion qu'il cultive sur sa vie privée.
"Je suis pauvre, mais honnête", avait-il l'habitude de lancer, bravache.
Maniant très bien le français, avenant, Ion Iliescu avait épousé Nina, rencontrée à l'université dans la capitale russe. Le couple n'avait pas d'enfants.
Mais son rôle durant la transition le rattrape tardivement. En 2017, sa convocation par la justice sera sa dernière apparition publique.
Il a par la suite été renvoyé deux fois en procès pour "crimes contre l'humanité", afin d'établir sa responsabilité dans les troubles sanglants de décembre 1989. Mais l'audience n'a jamais eu lieu et son dossier est retourné au parquet, où il est toujours.
Il a aussi été inculpé du même chef d'accusation pour son rôle dans la répression de la manifestation de 1990, qui avait fait quatre morts.
"Une honte"
Ion Iliescu balayait les allégations, qualifiant les procureurs de "honte nationale" et prenant très mal les soupçons pesant sur lui, alors qu'il a "joué un rôle important dans la démocratisation du pays".
Demeuré populaire dans les campagnes, où l'on appréciait sa simplicité et voyait en lui un "petit père" à l'ancienne, rassurant dans une ère de bouleversements profonds, il était en revanche méprisé par les milieux intellectuels.
Ses rivaux voyaient en lui l'incarnation d'un "néo-communisme" faisant perdurer sous un vernis pluraliste l'ancien système clientéliste, tolérant la corruption et hypothéquant par conséquence la place de la Roumanie dans la compétition mondiale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Décès à 53 ans de l'ancien international portugais Jorge Costa
L'ancien international portugais Jorge Costa est décédé mardi à 53 ans des suites d'un arrêt cardiaque. Le FC Porto, l'a annoncé en rendant hommage "à une figure incontournable de l'histoire du club".
"Le légendaire capitaine du FC Porto et actuel directeur du football professionnel (du club), est décédé ce mardi des suites d'un arrêt cardiorespiratoire", a annoncé le club dans un communiqué.
L'ex-défenseur international a été victime d'un malaise mardi matin au centre d'entraînement du FC Porto. Hospitalisé en urgence, il est décédé peu après son arrivée à l'hopital, rapportent les médias locaux.
Jorge Costa avait effectué l'essentiel de sa carrière au FC Porto, club avec lequel il avait remporté la Ligue des champions en 2004 et avait été sacré huit fois champion du Portugal, et dont il fut le capitaine pendant plusieurs saisons.
Celui qui fut 50 fois international appartient à la génération dorée des champions du monde des moins de 20 ans en 1991, avec notamment Luis Figo.
Les deux autres géants du football portugais, le Benfica et le Sporting, lui ont également rendu hommage.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Remco Evenepoel rejoindra Red Bull-Bora à la fin de la saison
Le double champion olympique en titre Remco Evenepoel quittera la formation Soudal-Quick Step dès la fin de la saison. Il rejoindra Red Bull-Bora, a annoncé mardi l'équipe belge.
"Les représentants de Remco ont informé la direction de l'équipe qu'il ne souhaitait pas discuter d'une prolongation de son contrat actuel, qui expire fin 2026", indique la formation belge dans un communiqué, annonçant elle-même le départ d'Evenepoel (25 ans) pour Red Bull-Bora dès la saison prochaine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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