Culture
Les Schtroumpfs ont attiré la foule au Château de St-Maurice (VS)
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/11/les-schtroumpfs-un-succes-planetaire-qui-ne-se-dement-pas-comme-la-prouve-lexpo-de-st-maurice-archives-1000x600.jpg&description=Les Schtroumpfs ont attiré la foule au Château de St-Maurice (VS)', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'exposition sur les Schtroumpfs organisée depuis le mois d'avril au Château de St-Maurice (VS) a battu des records de fréquentation: elle a attiré 38'400 visiteurs en sept mois. C'est le triple de la fréquentation habituelle, se félicite dimanche le musée agaunois.
Cette exposition célébrait les 65 ans de la création des Schroumpfs par l'auteur belge Peyo. Destinée autant aux familles qu'aux fans, elle a attiré un public âgé de 18 mois à 92 ans et venu de toute la Suisse romande, mais aussi de Suisse alémanique, du Tessin et de l'étranger, ajoute le Château.
Les Schtroumpfs ont fait leur entrée en octobre 1958 dans le journal Spirou comme personnages secondaires et dans la série moyenâgeuse Johan et Pirlouit. Depuis lors, plus de 40 albums, 400 épisodes de dessins animés, cinq films et plus de 100 millions de figurines leur ont été consacrés.
Le musée valaisan rouvrira ses portes le 6 avril prochain pour une exposition consacrée à l'oeuvre du Genevois Zep, "l'un des créateurs suisses les plus doués de sa génération". Cet événement "fera voyager petits et grands dans un vaste, sensible et très vibrant univers d’humour, de poésie et, bien évidemment, de narration dessinée", ajoute le musée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Les Diablerets: Grand Prix du FIFAD à l'Américain Ben Sturgulewski
Le 56e Festival international du film alpin des Diablerets (FIFAD) a attiré 15'000 spectateurs du 2 au 9 août, soit 15% de plus qu'en 2024, selon les organisateurs. Il a décerné son Grand Prix à "Champions of the Golden Valley" de l’Américain Ben Sturgulewski.
"Cela devait être un petit film de ski sur les actions d'une ONG, c'est devenu un hymne à la liberté", ont commenté les membres du jury pour expliquer leur choix samedi en début de soirée. "Lorsqu'il filme les communautés de Bamyan en Afghanistan, le réalisateur ne sait pas encore que les talibans vont revenir au pouvoir sous peu..." Ce film a également reçu le Prix de la narration.
Parmi les 70 films projetés, le Prix spécial du jury a récompensé "Agent of Hapiness" du Hongrois Arun Bhattarai et de la Bhoutanaise Dorottya Zurbò. "Le film démarre comme une enquête journalistique sur la notion de bonheur au Bhoutan, pour se transformer en une approche poétique et sensible des protagonistes", écrit le jury.
"Tout y est: émotion, profondeur, humour, mais aussi l'absurdité de vouloir cerner une notion aussi indéfinissable que le Bonheur à travers des questions parfois surréalistes", ont résumé les membres du jury .
Productions suisses primées
Le Prix du public est revenu à "Beyond Prognosis" de Silvalex et Morgan Le Faucheur. Il s'agit de l'histoire d'un jeune espoir de VTT qui, à 17 ans, perd l'usage de ses jambes après une chute. Il refuse le diagnostic et la chaise roulante. Rêve, volonté et chance l'amènent à nouveau à pratiquer le sport. Debout.
Le meilleur court-métrage est "Mollo", une production helvétique signée Thibault Lampe et Michelle Voss. "Ce film suit Michelle Voss, une grimpeuse de haut niveau, traversant une période de dépression qu'elle choisit de partager face caméra, offrant ainsi un témoignage poignant", a souligné le jury. "Son objectif de gravir une paroi vertigineuse devient le symbole de sa guérison et la preuve que la montagne peut avoir une portée thérapeutique."
La réalisatrice suisse Livia Vonaesch s'est, elle, vue attribuer le Prix des Jeunes pour "Home is the Ocean". Un couple se donne quatre ans pour traverser les mers en voilier, puis arpenter les terres afin de récolter des échantillons dans le but d'étudier les changements climatiques. Vingt-cinq ans et six enfants plus tard, la famille continue son périple.
Le constat de Cédric Lachat
Le FIFAD a également décerné le Prix Ehrard Loretan, à "The Future of Climbing" de Guillaume Broust. Le protagoniste principal est le multimédaillé mondial d'escalade en salle, Cédric Lachat. Le Jurassien y dresse un constat pas toujours reluisant de la pratique de la grimpe en extérieur.
Le Diable d'or, catégorie exploration et aventure a été attribué à "Postcards from the Verge", un film polonais signé Natalia Koniarz. "The Last Observers" de Maja K. Mikkelsen (USA/Suède) a obtenu la même distinction dans la catégorie nature et environnement.
Dans la catégorie verticale, le Diable d'or revient à "L'ultime ascension" de la Polonaise Eliza Kubarska. Et le Diable d'or, catégorie culture du monde a été décerné à "One with the Whale", un film des Américains Pete Chelkowski et Jim Wickens.
La littérature à l'honneur
Enfin, la littérature a également été mise à l'honneur. Le Grand Prix du livre de Montagne revient à "La Longe" de l'écrivaine valaisanne Sarah Jollien-Fardel. Un roman bouleversant sur le deuil et la reconstruction.
Dans la catégorie "Récits et témoignages", le Jury a retenu "Au c½ur de l'hiver", du Français Jean-Marc Rochette. Le récit sobre et inspiré d'un retrait volontaire dans un hameau alpin. Solitude, nature et renaissance.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Locarno: l'actrice britannique Emma Thompson rencontre le public
L'actrice et scénariste britannique Emma Thompson a rencontré samedi matin le public du Festival du film de Locarno au Forum, qui affichait complet. Une occasion de retracer sa carrière.
Vendredi soir, Emma Thompson a reçu sur la Piazza Grande le prestigieux Leopard Club Award, saluant une carrière exceptionnelle. L'actrice, visiblement émue, a entamé son discours en italien: "O, che sono vecchia stasera" ("Comme je suis vieille ce soir"), provoquant les rires du public.
Elle a poursuivi en français, exprimant sa gratitude: "Je n'arrive pas à croire que nous sommes ici, sous le ciel étoilé". Elle était accompagnée de sa fille Gaia Wise, également actrice dans "The Dead of Winter".
Après la cérémonie, le thriller "The Dead of Winter", réalisé par Brian Kirk, a été projeté en première mondiale. L'actrice y incarne Babs, une veuve du Minnesota qui, lors d'une expédition de pêche sur un lac gelé, découvre une situation terrifiante.
Poussée à ses limites
Ce rôle physique l'a poussée à ses limites: "Pendant le tournage, je me suis demandé pourquoi j'avais commencé à jouer dans des films d'action à 66 ans", a-t-elle plaisanté, suscitant les rires du public. Elle a également révélé avoir séjourné un mois en Finlande avant le tournage pour s'adapter au froid extrême, une expérience éprouvante tant pour le corps que pour l'esprit.
Femme de convictions, Emma Thompson n'a pas manqué de partager son engagement féministe lors de la rencontre avec le public. "Nous sommes toutes des héroïnes, nous n'avons pas le choix, nous vivons dans une société patriarcale", a-t-elle déclaré. Des propos chaleureusement applaudis par l'audience.
Parcours atypique
Issue d'une famille d'artistes, Emma Thompson a évoqué son parcours atypique. "Je ne voulais pas être actrice quand j'étais jeune, cela me semblait un métier précaire", a-t-elle confié. Elle a ajouté: "Je n'avais jamais imaginé faire des films, c'est arrivé par hasard".
Sa carrière l'a conduite à remporter deux Oscars: celui de la meilleure actrice dans "Howards End" (1993) et l'autre pour le meilleur scénario adapté de "Raison et sentiments" (1996). Elle est la seule personne à avoir obtenu ces deux distinctions.
Comparant Hollywood à l'industrie européenne, Emma Thompson a exprimé une préférence pour le travail en Europe, soulignant une atmosphère plus collaborative et moins hiérarchique. "Je suis quelqu'un de collégial, et aux Etats-Unis, un fossé sépare les acteurs de l'équipe. Je n'étais pas prête pour cela", a-t-elle expliqué.
La professeure Sibylle Trelawney
Parmi ses rôles les plus connus, Emma Thompson a incarné la professeure Sibylle Trelawney dans la saga Harry Potter. "Je suis désolée pour ceux qui aiment le jeune sorcier, mais je n'ai pas fait grand-chose et j'ai été bien payée", a déclaré l'actrice en riant et en imitant les mimiques de la professeure.
Elle a également parlé de l'importance de créer des films pour les enfants, soulignant que "les enfants sont le meilleur public, car ils garderont ces films en mémoire toute leur vie". Elle a soulignée ne pas avoir écrit "Nanny McPhee" (2005) "pour les enfants, mais pour tout le monde". Elle a ajouté que le personnage de Nanny McPhee lui apportait un réconfort personnel, ayant perdu son père très jeune.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Lex Netflix: premiers millions pour le cinéma helvétique
La Lex Netflix, trois ans après le oui des Suisses dans les urnes, commence à produire ses effets. Sur les 30 millions attendus grâce à cette nouvelle source de financement du cinéma helvétique - pour le premier exercice en 2024 -, 15,9 millions ont déjà été attribués.
La nouvelle loi sur le cinéma - entrée en vigueur au 1er janvier 2024 - impose aux entreprises de streaming, comme Netflix ou Amazon et aux grandes chaînes étrangères (telles que TF1 ou M6) d’investir dans la création cinématographique helvétique. Elles doivent verser au moins 4% de leurs recettes brutes réalisées en Suisse.
Plus de 70 sociétés se sont enregistrées fin mars 2024, dont 21 sont concernées par cette obligation de financement, a indiqué l'Office fédéral de la culture dans une fiche d'information publiée samedi à Locarno. Le chiffre d’affaires déterminant déclaré pour 2024 atteint 752 millions de francs, en ligne avec les estimations avancées par l'OFC pendant les débats parlementaires il y a quatre ans.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Voyager sous les étoiles au Château de Prangins (VD)
Le Château de Prangins (VD) invite à se faire une toile dans sa cour d'honneur du jeudi 21 au samedi 23 août. Cette 9e édition a le voyage comme fil conducteur. "Mort sur le Nil" de John Guillermin, "Les aventuriers de l'arche perdue" de Steven Spielberg et "A bord du Darjeeling Limited" de Wes Anderson embarqueront le public aux quatre coins du monde.
Le Musée national suisse organise l'événement en collaboration avec la Cinémathèque suisse, dont un des spécialistes fera chaque soir une présentation du film. Avant les projections, le public pourra profiter d'une visite guidée de l'exposition dédiée à Jules Verne.
"Mort sur le Nil" (1978), un classique du cinéma britannique adapté d'Agatha Christie ouvre les feux le jeudi. A bord d'un bateau descendant le Nil, Hercule Poirot mène l'enquête après le meurtre d'une riche héritière. Le film réunit une belle brochette d'acteurs comme Peter Ustinov, Jane Birkin, Bette Davis et Mia Farrow.
Place à l'action, vendredi, avec "Les aventuriers de l'arche perdue" (1981), avec Harrison Ford dans le rôle titre. Samedi, "A bord du Darjeeling Limited" (2007) raconte l'histoire de trois frères qui embarquent à bord d'un train pour tenter de renouer les liens rompus. Les projections auront lieu en extérieur par tous les temps.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
LausanneIl y a 1 jour
Vevey: un homme plongé dans le coma artificiel après une bagarre
-
GenèveIl y a 3 jours
Plastique: Greenpeace asperge de noir l'accès à l'ONU à Genève
-
GenèveIl y a 1 jour
Plastique: la Suisse veut "un changement de rythme" des discussions
-
InternationalIl y a 23 heures
Zelensky rejette tout compromis territorial
-
InternationalIl y a 2 jours
Vaccins: l'OMS cible un "coup significatif" après l'annonce de RFK
-
InternationalIl y a 2 jours
Israël se prépare à prendre le contrôle de la ville de Gaza
-
InternationalIl y a 2 jours
Venezuela: prime américaine de 50 millions pour arrêter Maduro
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: une grosse intervention policière a eu lieu devant l'UBS