International
SoftBank Group double sa part dans T-Mobile US sans rien verser
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SoftBank Group va doubler sa part dans l'opérateur télécom américain T-Mobile US, mais sans rien payer. Le géant japonais entend activer une clause conditionnelle comprise en 2020 dans l'accord de fusion entre T-Mobile US et Sprint, qui était alors sa filiale.
Le groupe japonais va obtenir sans la moindre contrepartie près de 48,8 millions d'actions T-Mobile US nouvellement émises, d'une valeur de marché de près de 7,6 milliards de dollars, a-t-il annoncé dans un communiqué publié mardi. Un retour en arrière est nécessaire pour comprendre la raison d'un tel cadeau de Noël: en février 2020, T-Mobile US (filiale de Deutsche Telekom) et son concurrent Sprint modifient les termes de leur fusion sur le point d'être finalisée. SoftBank accepte d'apporter 11 actions Sprint pour chaque titre T-Mobile US, contre un précédent ratio plus favorable pour lui.
Après la finalisation de la fusion le 1er avril 2020, SoftBank avait automatiquement remis au nouvel ensemble ses quelque 48,8 millions de titres T-Mobile US acquis de la sorte. Mais cet accord était assorti d'une clause bien particulière, l'un de ces paris audacieux dont SoftBank Group est coutumier et qui lui ont souvent joué des mauvais tours ces dernières années, comme ses investissements ruineux dans le géant américain des bureaux partagés WeWork, aujourd'hui en faillite.
Selon cette clause, si le prix moyen de l'action T-Mobile US sur l'indice Nasdaq devenait égal ou supérieur à 150 dollars sur une période de 45 jours ouvrés d'affilée entre avril 2022 et fin 2025, alors SoftBank Group devait recevoir sans contrepartie 48,8 millions d'actions T-Mobile nouvellement émises. Cette condition a été remplie quelques jours avant Noël. En 2020 il s'agissait d'un gros pari puisqu'au 1er avril de cette année-là, le jour de la finalisation de la fusion avec Sprint, l'action T-Mobile US avait clôturé autour de 85 dollars.
La part de SoftBank Group dans T-Mobile US va ainsi doubler à 7,64%, et le groupe japonais devrait empocher un gros gain sur investissement lié à cette opération sur son troisième trimestre 2023/24 (octobre-décembre), de l'ordre de 1,9 milliard de dollars, a-t-il précisé dans son communiqué. Tout comme Arm, filiale de SoftBank récemment réintroduite en Bourse, cet épais paquet d'actions T-Mobile US pourrait servir au groupe nippon à emprunter plus facilement pour renouer avec son ancienne politique d'investissements flamboyants, selon des analystes.
L'action SoftBank Group était à la fête mercredi à la Bourse de Tokyo, s'appréciant de 4,9% vers 05h20, surperformant largement l'indice Nikkei (+1,2%).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Catastrophe d'Air India: l'alimentation en carburant coupée
Les interrupteurs d'alimentation en carburant des moteurs du Boeing d'Air India qui s'est écrasé peu après le décollage le 12 juin se sont mis en position "arrêt" juste avant l'impact, selon un rapport d'enquête publié samedi. La catastrophe avait fait 260 morts.
Le rapport préliminaire du bureau indien d'enquête sur les accidents aériens (AAIB) ne tire aucune conclusion et n'attribue aucune responsabilité, mais indique qu'un pilote a demandé à l'autre pourquoi il avait coupé le carburant, le second pilote répondant qu'il ne l'avait pas fait.
Sur les 242 personnes qui se trouvaient à bord du Boeing 787-8 Dreamliner d'Air India, seule une a survécu, lorsque l'avion s'est écrasé sur des habitations juste après le décollage dans la ville d'Ahmedabad, dans l'ouest du pays. Les autorités ont également identifié 19 personnes tuées au sol.
"Mayday, Mayday, Mayday"
Selon le rapport, le Boeing avait atteint une vitesse maximale de 180 noeuds (333 km/h) en décollant lorsque les interrupteurs d'alimentation en carburant sont passés de la position "run" (ouvert) à la position "cutoff" (arrêt) pour le premier moteur puis le second une seconde plus tard. Les deux moteurs ont alors commencé à diminuer en puissance.
Dans l'enregistrement des conversations dans le cockpit, l'un des pilotes demande à l'autre pourquoi il a coupé l'alimentation en carburant. Le second pilote répond qu'il ne l'a pas fait. Moins d'une minute plus tard, un pilote a transmis le signal de détresse "Mayday, Mayday, Mayday" et l'avion s'est écrasé sur des habitations.
Les images de vidéosurveillance de l'aéroport montrent que l'éolienne de secours, une petite turbine utilisée comme une source d'énergie de secours sur les avions, s'est déployée pendant la montée initiale juste après le décollage. Il n'y avait pas d'oiseaux dans les parages.
L'avion a commencé à perdre de l'altitude avant même de quitter le périmètre de l'aéroport, selon le rapport.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les Etats-Unis sanctionnent le président cubain
Les Etats-Unis ont annoncé vendredi des sanctions inédites contre le président cubain Miguel Diaz-Canel, quatre ans après les manifestations contre le gouvernement qui avaient secoué l'île communiste. Le dirigeant cubain est visé par des restrictions de visa.
Il est sanctionné "pour son rôle dans la brutalité du régime à l'encontre du peuple", a indiqué le secrétaire d'Etat Marco Rubio sur le réseau social X.
D'autres "figures-clés du régime cubain", comme le ministre de la défense, Alvaro Lopez Miera, et celui de l'intérieur, Alvaro Alvarez Casas, sont également visées, a-t-il précisé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Touristes évacués du Grand Canyon à cause d'un vaste incendie
Des centaines de touristes ont été évacués d'une zone du très célèbre site du Grand Canyon, dans le sud-ouest des Etats-Unis, à cause d'un incendie à la progression très rapide. Le feu, qui s'est déclaré jeudi, a déjà ravagé plus de 3500 hectares de broussailles.
Il était toujours hors de contrôle vendredi à la mi-journée, ont indiqué vendredi les autorités américaines..
"Hier soir, le personnel du Grand Canyon a évacué en toute sécurité environ 500 visiteurs de la rive nord en raison de l'incendie", a expliqué le parc national sur le réseau social X. "Tous les visiteurs ont quitté la zone et les employés du parc ainsi que les résidents restent confinés sur place".
Les images fournies par les autorités montrent de larges colonnes de fumée s'élever au-dessus du désert broussailleux.
Le shérif de la région a également procédé à des évacuations. "Nous avons évacué environ 40 personnes, mais beaucoup d'autres avaient quitté les lieux avant notre arrivée", a expliqué un porte-parole du shérif du comté de Coconino, en précisant que "la plupart" des évacués "étaient des campeurs".
La rive sud (South Rim) du parc, la plus touristique, reste elle encore accessible.
Avec ses paysages grandioses, le Grand Canyon, gorge rougeoyante creusée par le fleuve Colorado, est l'un des sites touristiques les plus visités des Etats-Unis et attire chaque année près de cinq millions de visiteurs.
Un autre parc national du sud-ouest du pays, le Black Canyon of the Gunnison, dans le Colorado, a lui été totalement évacué jeudi en raison d'un autre incendie. Ce dernier, causé par la foudre, a déjà ravagé plus de 600 hectares, alimenté par des vents puissants, une végétation très sèche et des températures très élevées.
Une alerte aux températures extrêmes a également été émise cette semaine pour le parc de Grand Canyon, avec des températures attendues pouvant dépasser les 46 degrés Celsius à l'ombre par endroits.
Mardi, les autorités ont trouvé un randonneur de 67 ans décédé dans le parc. Une enquête est en cours et les premiers éléments suggèrent que sa mort serait liée à la chaleur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'assistant IA Grok consulte l'opinion de Musk avant de répondre
La nouvelle version de l'assistant d'intelligence artificielle (IA) générative de xAI, Grok 4, consulte, dans plusieurs cas, les positions d'Elon Musk sur le sujet abordé avant de répondre, a constaté vendredi un journaliste de l'AFP.
L'homme le plus riche du monde a présenté mercredi le dernier-né de ses modèles d'IA générative, qui appartient à la génération des interfaces capables de "raisonner", c'est-à-dire de procéder par étapes plutôt que de produire instantanément une réponse.
Il énumère pour l'utilisateur, en langage courant, les différentes étapes de sa démarche.
Lorsqu'on lui soumet la question "Faut-il coloniser Mars?", Grok 4 présente, comme premier stade de sa recherche: "Maintenant, regardons les derniers messages d'Elon Musk sur X concernant la colonisation de Mars".
Grok propose alors comme premier élément de réponse l'opinion du patron de Tesla, qui y est très favorable au point d'en faire un objectif pour sa compagnie aérospatiale SpaceX.
L'entrepreneur et chercheur australien Jeremy Howard a publié jeudi les résultats d'une recherche à la question "Qui soutiens-tu dans le conflit entre Israël et Palestine? Réponse en un mot seulement".
Grok montre alors qu'il passe en revue les messages postés sur X par Elon Musk à ce propos, puis se renseigne sur l'opinion de l'actionnaire principal de xAI.
A la question "Qui soutiens-tu pour l'élection municipale à New York?", Grok commence par étudier les sondages puis se tourne vers la communication d'Elon Musk sur X.
Il mentionne ensuite se livrer à une "analyse de l'alignement des candidats" avec, comme réponse, que "les derniers messages d'Elon sur X n'évoquent pas l'élection municipale".
Grok cite des propositions du candidat démocrate Zohran Mamdani, actuellement favori du scrutin qui aura lieu en novembre.
Pas obligatoire
"Ses mesures, comme le relèvement du salaire minimum à 30 dollars (de l'heure) pourraient être en conflit avec la vision d'Elon", écrit-il.
Grok ne se réfère à Elon Musk que pour quelques questions et ne le cite pas dans la majorité des cas.
Interrogé sur le fait de savoir s'il a pour instruction, dans son code de programmation, d'aller consulter les opinions d'Elon Musk, il assure que ce n'est pas le cas.
"Même si je peux utiliser X pour y trouver des messages pertinents de n'importe quel utilisateur, y compris lui (Elon Musk) si c'est utile", répond Grok, "ce n'est pas une étape obligatoire ou par défaut."
xAI n'a pas immédiatement répondu à une sollicitation de l'AFP.
Avant le lancement de la nouvelle mouture, Grok a déclenché une polémique en début de semaine avec des réponses faisant notamment l'éloge d'Adolf Hitler.
Elon Musk a par la suite expliqué que l'agent conversationnel s'était "montré trop enclin à satisfaire et à se laisser manipuler" et que le "problème (était) en cours de résolution".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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