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International

Une forme de syphilis présente au Brésil il y a 2000 ans

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Les os analysés ont été déterrés en 2004 au Brésil. (© Nature/Jose Filippini)

Des scientifiques des universités de Bâle et Zurich ont trouvé une bactérie proche parente de la syphilis dans des tombes datant d'environ 2000 ans au Brésil. Cette preuve repousse d'un millier d'années les connaissances sur l'histoire de ce groupe d'agents pathogènes.

La probable première grande épidémie de syphilis en Europe, à la fin du 15e siècle, est souvent associée au voyage de Christophe Colomb en Amérique. Mais il manquait jusqu'à présent des preuves claires de telles maladies à l'époque précolombienne en Europe et en Amérique, origine souvent supposée de ces agents pathogènes.

Dans la revue Nature, l'équipe de Verena Schünemann, de l'Université de Bâle, annonce mercredi la découverte du plus ancien génome d'un agent pathogène appartenant à ce groupe de bactéries. Les scientifiques ont analysé des restes de quatre personnes enterrées dans l'actuel sud du Brésil. Ils y ont identifié le matériel génétique de déclencheurs de tréponématoses, un groupe de maladies infectieuses qui comprend la syphilis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / apa

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International

Harvard: Trump annonce interdire de visas les étudiants étrangers

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Donald Trump a affirmé qu'il "gagnerait" son duel avec Harvard, l'université sans doute la plus célèbre du monde (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/CJ GUNTHER)

Donald Trump a annoncé mercredi qu'il interdisait les visas des étudiants étrangers devant intégrer Harvard. Il s'agit d'une escalade supplémentaire dans son conflit contre les institutions universitaires américaines qu'il accuse de promouvoir les idées de gauche.

"Je suis arrivé à la conclusion qu'il est nécessaire de restreindre l'entrée aux ressortissants étrangers qui cherchent à venir aux Etats-Unis pour participer, exclusivement ou en grande partie, à un programme d'études de l'université Harvard", a indiqué le président américain dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump interdit aux ressortissants de douze pays l'entrée aux USA

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Donald Trump veut "protéger" les Etats-Unis des "terroristes étrangers". (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Donald Trump a interdit aux ressortissants de 12 pays l'entrée aux Etats-Unis pour "protéger" le pays de "terroristes étrangers". Il a pris cette décision pour "protéger" le pays de "terroristes étrangers", selon un document publié mercredi par la Maison Blanche.

Cette interdiction, effective le 9 juin, s'applique à l'encontre de l'Afghanistan, la Birmanie, le Tchad, la République du Congo, la Guinée équatoriale, l'Erythrée, Haïti, l'Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. Sept autres pays sont visés par des restrictions.

L'interdiction d'entrer aux Etats-Unis pour cette douzaine de pays est motivée par l'attaque dans le Colorado, a suggéré le président américain. Lors de cette attaque dans la ville de Boulder, un homme a lancé des engins incendiaires sur les participants d'une marche hebdomadaire en soutien aux otages israéliens retenus par le Hamas dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023.

Selon la Maison Blanche, l'auteur présumé de l'attaque était sur le territoire américain de manière "illégale".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Incendies de forêts au Canada: les évacuations se poursuivent

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Une jeune fille et son chat évacués dans le Saskatchewan. (© KEYSTONE/AP/Liam Richards)

Les évacuations d'habitants se poursuivent mercredi dans le centre du Canada touché par de grands incendies de forêt. Les feux sont décrits comme des "monstres" par les pompiers qui s'activent autour de plusieurs villages menacés par les flammes.

Depuis plusieurs jours, les provinces de la Saskatchewan et du Manitoba sont confrontées à des mégafeux qui les ont poussées à déclarer l'état d'urgence.

Sur l'ensemble du pays, plus de 200 incendies sont actifs, dont la moitié sont jugés hors de contrôle, et sept départs de feux ont été constatés mercredi.

"Les gens ont très peur et moi aussi", a expliqué à l'AFP Tareq Hosen Alin, le gérant d'un hôtel à La Ronge, en Saskatchewan où les flammes sont entrées dans la ville et ont détruit des commerces.

La commune a été évacuée mais il est resté pour loger les personnes d'urgence et les pompiers.

Au total dans le pays, plus de 31'000 personnes ont été forcées d'évacuer leur habitation souvent pour se réfugier à des centaines de kilomètres de chez eux.

"Je suis préoccupé parce que les gens perdent leurs biens, perdent leur argent, perdent leurs rêves en ce moment", ajoute Tareq Hosen Alin.

"Nous sommes face à un monstre. Les dernières heures ont été chaotiques", ont reconnu les pompiers de cette petite localité de 2500 habitants qui se trouve dans une région où brûlent plusieurs des plus grands feux actifs actuellement.

L'un d'eux a déjà consumé plus de 470'000 hectares et est toujours hors de contrôle et un autre un peu plus à l'ouest, qui n'est pas maîtrisé non plus, plus de 140'000 hectares.

Près de la commune de Flin Flon au Manitoba, évacuée la semaine dernière, les flammes continuent de se rapprocher et encerclent la ville, selon le maire.

Les pompiers de tout le pays sont en état d'alerte et 140 Américains sont déjà présents sur le territoire canadien pour les aider.

La fumée des incendies continue par ailleurs d'engendrer une qualité de l'air jugée dangereuse dans le centre du Canada, dans certaines parties du nord des États-Unis et un ciel brumeux dans l'est.

Chaque été, le Canada est confronté à des incendies de forêt mais ce début de saison inquiète par sa précocité et sa virulence: 2,2 millions d'hectares ont déjà brûlé, soit plus que la superficie de la Slovénie.

Avec le réchauffement climatique, le Canada est de plus en plus souvent touché par des événements météorologiques extrêmes. Et le pays reste traumatisé par l'été 2023 qui fut apocalyptique avec 15 millions d'hectares brûlés.

La plupart des incendies jusqu'à présent ont été déclenchés par des activités humaines, souvent de façon accidentelle, notamment par des feux de camp mal éteints ou le passage d'un train ou de véhicules tout terrain dans un paysage très asséché.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

"Quand c'est non, c'est non" dit la procureure au procès Weinstein

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Harvey Weinstein ne s'est pas exprimé. (© KEYSTONE/EPA/CURTIS MEANS / POOL)

"Quand c'est non, c'est non !", a lancé mercredi la procureure en concluant son réquisitoire final au procès à New York de l'ancien producteur de cinéma Harvey Weinstein, pour convaincre les jurés que les victimes avaient bien été "violées" par l'ex-roi d'Hollywood.

"Il a violé trois femmes, elles ont toutes dit non !", a encore martelé la procureure Nicole Blumberg, qui est longuement revenue sur chacun des trois épisodes au coeur du dossier pour démontrer au jury qu'Harvey Weinstein avait "tout le pouvoir", "tout le contrôle" sur les victimes présumées et qu'il doit être déclaré coupable.

"L'accusé pensait que la loi ne s'appliquait pas à lui, il est temps de lui faire savoir", a-t-elle ajouté, avant de conclure: "dites-lui ce qu'il sait déjà, qu'il est coupable des trois crimes".

La défense assure au contraire que le fondateur et ancien patron des studios Miramax n'a eu que des relations sexuelles consenties avec les trois accusatrices, dans une logique de "promotion canapé" où elles cherchaient à le séduire pour percer dans l'univers du spectacle.

"Nous ne sommes pas ici pour faire la police de la chambre à coucher, tant que ne s'y déroule pas un viol", a rétorqué la procureure.

La dernière plaidoirie de la défense et le dernier réquisitoire de l'accusation ont conclu mardi et mercredi six semaines de débats lors de ce nouveau procès du roi déchu du cinéma indépendant, plus de sept ans après le début de cette affaire emblématique du mouvement #MeToo.

Le juge Curtis Farber a indiqué qu'il donnerait ses instructions aux jurés jeudi matin, dernière étape avant qu'ils se retirent à huis clos pour délibérer.

Procès annulé

Devant la cour pénale de Manhattan, le jury devra décider si le roi déchu du cinéma indépendant, accusé par des dizaines de femmes d'être un prédateur sexuel, s'est rendu coupable d'agressions sexuelles en 2006 sur l'ancienne assistante de production Miriam Haley et l'ex-mannequin Kaja Sokola, et de viol en 2013 sur l'aspirante actrice Jessica Mann, trois femmes qui ont témoigné à visage découvert, parfois pendant plusieurs jours. Dans les trois cas, Harvey Weinstein est accusé de leur avoir imposé une relation sexuelle par la force.

Le fondateur des studios Miramax, producteur de films culte comme "Pulp Fiction" et de succès comme "Shakespeare in Love", avait été condamné en 2020 à 23 ans de prison pour les faits concernant Miriam Haley et Jessica Mann, lors d'un procès retentissant qui symbolisait à l'époque une victoire pour le mouvement #MeToo contre les violences sexuelles.

Mais l'année dernière, la cour d'appel de New York avait annulé ce procès, parce que d'autres victimes présumées avaient pu témoigner aux débats et raconter des agressions pour lesquelles Harvey Weinstein n'était pas inculpé.

Le procès s'est donc rejoué devant la cour pénale de Manhattan, où l'ancien producteur, âgé de 73 ans, a comparu, diminué par de nombreux problèmes de santé, le teint pâle et en chaise roulante. Il est toujours détenu en raison d'une autre condamnation pour crimes sexuels en Californie.

"Traumatisme"

Harvey Weinstein n'a pas pris la parole à son procès, qui portait aussi sur une nouvelle inculpation d'agression sexuelle contre l'ancien mannequin polonaise Kaja Sokola, quand elle avait 19 ans. Ses avocats ont, eux, tenté tout au long des débats d'attaquer la crédibilité des trois accusatrices, des "femmes qui ont eu leurs rêves (de carrière) brisés" et qui auraient menti pour obtenir de l'argent d'Harvey Weinstein, le "pécheur originel du mouvement #MeToo", a ironisé son avocat, Arthur Aidala.

Ce dernier a notamment insisté sur le fait que les victimes ont toutes continué à fréquenter Harvey Weinstein après les violences dont elles l'accusent.

"Elles savaient qu'il fallait rester de son côté" et ont préféré "enterrer leur traumatisme" pour ne pas subir de représailles d'un homme tout-puissant à Hollywood, a justifié la procureure Nicole Blumberg. Mais quand, en octobre 2017, des enquêtes du New York Times et du New Yorker ont révélé que de nombreuses femmes l'accusaient, "elles n'étaient plus seules", a-t-elle ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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