International
Un blessé léger dans le crash d'un hélicoptère à Vétroz (VS)
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Un hélicoptère s’est abîmé samedi sur un terrain d'entraînement sur la commune de Vétroz (VS). L'un des deux occupants a été légèrement blessé dans le crash.
Vers 13h20, un hélicoptère de type Guimbal Cabri G2 était utilisé dans le cadre d'une instruction de pilotage entre un élève et son instructeur sur un terrain d'entrainement situé sur la commune de Vétroz, indique samedi soir la police cantonale valaisanne. Pour une raison encore indéterminée, l'appareil s'est abîmé en percutant le sol avant de terminer sa course sur le flanc.
Légèrement blessé, l'instructeur, un Fribourgeois âgé de 41 ans et domicilié dans le Bas-Valais, a été transporté par ambulance aux urgences de l'hôpital de Sion. L'élève pilote, un ressortissant espagnol âgé de 62 ans et domicilié dans le canton de Genève, n'a pas été blessé dans l'accident.
Le Service suisse d’enquête de sécurité (SESE) a ouvert une enquête. Le Ministère public de la Confédération, compétent en matière d’accidents d’aviation, est responsable de l’enquête pénale en collaboration avec FEDPOL et la police cantonale valaisanne, précise le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Washington: la statue d'un général sudiste déboulonnée réinstallée
La statue d'un général sudiste durant la guerre de sécession (1861-1865), qui avait été déboulonnée et endommagée en 2020 par des manifestants, va être restaurée et réinstallée à Washington. Elle se trouvait dans un parc national, qui dépend de l'administration Trump.
Albert Pike (1809-1891), également juriste et écrivain, était la seule figure militaire du camp confédéré à avoir son monument dans la capitale des Etats-Unis.
Le service des parcs nationaux "va restaurer et réinstaller la statue en bronze d'Albert Pike, qui avait été renversée et vandalisée lors d'émeutes en juin 2020", a indiqué lundi un communiqué. Elle devrait retrouver sa place dans un parc de Washington en octobre.
Cette "réhabilitation fait partie des responsabilités fédérales juridiques en matière de préservation du patrimoine historique et découle des derniers décrets présidentiels destinés à embellir la capitale et réinstaller des statues", ont précisé les parcs nationaux, dépendants de l'administration du président américain Donald Trump.
Deux décrets
Ce dernier avait pris fin mars deux décrets "pour rendre le district de Columbia [Washington] sûr et magnifique" et "pour rétablir la vérité et le bon sens dans l'histoire américaine".
Le milliardaire conservateur républicain, qui achevait en juin 2020 son premier mandat, avait qualifié à l'époque le déboulonnage de la statue d'Albert Pike de "honte pour notre pays". Il avait accusé la police de la capitale, très majoritairement démocrate, de passivité.
En juin 2020, des manifestants avaient mis à terre le monument à l'aide d'une corde et tenté ensuite de l'incendier en scandant le slogan du mouvement antiraciste afro-américain "Black Lives Matter".
Cette destruction avait eu lieu en fin de rassemblements et commémorations du 155e anniversaire du "Juneteenth" (contraction en anglais de "juin" et de "dix-neuf"), date de 1865 où les derniers esclaves avaient été libérés au Texas et qui est, depuis la présidence de Barack Obama (2009-2017), un jour férié aux Etats-Unis.
De nombreux monuments érigés à la gloire de personnalités du camp confédéré pendant la guerre de sécession avaient été démolis au printemps 2020. Quelques jours après la mise à terre de la statue de Pike, des manifestants avaient tenté de faire de même avec celle du 7e président américain Andrew Jackson (1767-1845), qui soutenait l'esclavage, et dont Donald Trump est un fervent admirateur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Pékin évacue 82'000 personnes avant des pluies torrentielles
Les autorités chinoises ont évacué plus de 82'000 personnes à Pékin exposées à des pluies torrentielles, selon un média d'Etat, une semaine après des intempéries meurtrières ayant conduit les responsables locaux à présenter un rare mea culpa.
Des dizaines de milliers de personnes avaient été déplacées des zones vulnérables lundi à 21h00, selon le quartier général de réponse aux inondations de la municipalité, cité par l'agence étatique Chine nouvelle.
Les autorités ont alerté sur le risque d'inondations dans la banlieue nord-ouest du district de Miyun, le sud-ouest de Fangshan, l'ouest de Mentougou et le nord de Huairou, selon la même source.
La municipalité de Pékin avait émis lundi son alerte maximale pour des pluies torrentielles entre lundi midi et mardi matin.
Intempéries
Les districts ruraux du nord de Pékin avaient été sévèrement touchés la semaine dernière par des intempéries, qui ont fait au moins 44 morts et neuf disparus, selon les chiffres officiels. La majorité des décès ont eu lieu dans un centre de soins pour personnes âgées du district de Miyun.
Cette catastrophe a conduit les autorités à reconnaître des "lacunes" dans la préparation des services municipaux.
Les catastrophes naturelles sont courantes en Chine, surtout durant l'été, quand certaines régions sont submergées par des pluies diluviennes pendant que d'autres sont en proie à la sécheresse.
La Chine est le plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre, qui, selon les scientifiques, accélèrent le changement climatique et rendent plus fréquents et intenses les événements météorologiques extrêmes.
Le géant asiatique se présente aussi comme un meneur mondial des énergies renouvelables et vise la neutralité carbone d'ici à 2060.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Mexique: les restes de 32 cadavres démembrés dans une maison
Des restes humains retrouvés la semaine dernière dans une maison abandonnée de l'État de Guanajuato (centre), le plus violent du Mexique, sont ceux de 32 cadavres, a annoncé lundi le parquet régional. Quinze victimes ont été "pleinement identifiées".
Les cadavres démembrés avaient été retrouvés dans des sacs en plastique lors d'une perquisition dans une maison à Irapuato dans le cadre d'une enquête sur des personnes disparues.
Les 32 corps ont été retrouvés "dans des conditions fragmentées et complexes", précise le parquet, ajoutant que le processus d'identification des autres victimes est en cours.
En mai dernier, dans une autre maison abandonnée d'Irapuato, 17 corps avaient été retrouvés "à différents stades de décomposition", selon le parquet.
Rivalité entre deux gangs
En 2024, Guanajuato a encore terminé l'année en tête des 32 Etats par le nombre d'homicides: 3151, soit 10,5% des cas survenus dans tout le pays, selon les chiffres officiels. Plus de 3600 personnes y sont portées disparues.
Etat industriel, culturel et touristique avec ses usines et ses villes coloniales, le Guanajuato est le théâtre de la rivalité entre deux organisations criminelles: le cartel Jalisco Nueva Generacion, récemment classé par le gouvernement américain sur une liste de huit mafias d'Amérique latine "terroristes", et un gang local, le cartel de Santa Rosa de Lima (CSRL).
Les morgues mexicaines croulent sous le nombre de cadavres non identifiés: plus de 50'000, jusqu'à 72'000 selon certaines estimations parues en septembre 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un "projectile houthi" tiré vers Israël du Yémen
L'armée israélienne a annoncé mardi avoir intercepté un missile tiré depuis le Yémen. Son lancement avait déclenché les sirènes d'alerte aérienne dans plusieurs zones d'Israël.
"Un missile qui avait été lancé du Yémen a été intercepté" par l'armée de l'air, a écrit l'armée israélienne sur ses réseaux sociaux. "Les sirènes ont retenti conformément au protocole".
Les Houthis, qui contrôlent la capitale Sanaa et de larges pans du Yémen, en guerre depuis 2014, font partie de l'alliance contre Israël mise en place par Téhéran, qui comprend d'autres groupes comme le Hezbollah au Liban et le Hamas palestinien.
Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, le 7 octobre 2023, les rebelles tirent régulièrement des missiles vers Israël, dont la plupart sont interceptés.
En riposte, Israël a bombardé plusieurs fois des infrastructures sous leur contrôle, y compris des ports de l'ouest du pays et l'aéroport de Sanaa.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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