International
Procédure ouverte contre le gardien de l'équipe de Suisse
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Nikola Portner traverse une tempête. Le gardien de l’équipe de Suisse et de Magdebourg est soupçonné de dopage. Il a fait l’objet d’un contrôle positif.
Ecarté par son club durant le temps de la procédure, Nikola Portner a affirmé son innocence sur les réseaux sociaux. "Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour démontrer que je n’ai pas enfreint les règles", écrit-il.
Agé de 31 ans, Nikoka Portner est sous contrat jusqu’en 2027 avec Magdebourg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les soeurs Vergé-Dépré en quarts de finale des CE
Anouk et Zoé Vergé-Dépré joueront les quarts de finale des Européens de Düsseldorf. Les soeurs bernoises ont dominé les Néerlandaises Emi van Driel/Wies Bekhuis 23-21 21-16 en 8e de finale.
Leur quart de finale est programmé vendredi également, dès 16h. La "Team Zouk" se frottera aux Espagnoles Daniela Alvarez Mendoza et Tania Moreno Matveeva pour une place dans le dernier carré.
Les deux soeurs ont déjà connu les joies d'un podium continental, avec une autre partenaire. Anouk s'était parée d'or en 2020 avec Joana Heidrich, Zoé de bronze en 2024 avec Esmée Böbner.
Second duo suisse encore en lice en 8e de finale, Adrian Heidrich et Jonathan Jordan ont en revanche échoué à ce stade dans le tableau masculin. Ils se sont inclinés 21-15 28-26 devant les Néerlandais Alexander Brouwer et Steven van de Velde.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les principaux incendies au Portugal et en Espagne stabilisés
Les pompiers portugais et espagnols sont parvenus à fixer les principaux feux de forêt qui ont ravagé les deux pays ibériques cette semaine, ont indiqué vendredi les autorités locales.
Dans le nord du Portugal, l'incendie qui s'était déclaré lundi dans la région d'Arouca a été circonscrit vendredi au petit matin, après avoir brûlé une surface estimée à 5183 hectares selon l'observatoire européen Copernicus.
Encore plus au nord, près de la frontière avec l'Espagne, le foyer qui faisait rage depuis samedi dans le parc national de Peneda-Gerês, classé réserve mondiale de la biosphère, a été "stabilisé" après "une nuit avec beaucoup de travail", a indiqué en milieu de matinée un responsable de la protection civile, Marco Domingues.
Selon des données encore provisoires, les flammes auraient détruit une surface de "plus de 7000 hectares", a-t-il précisé aux télévisions locales.
Autorités optimistes
En Espagne, les autorités se montraient également plus optimistes à la fin d'une semaine difficile sur le front des feux de forêt.
L'incendie de Caminomorisco, dans la région d'Extrémadure (ouest) frontalière avec le Portugal, était stabilisé à 80% et les populations évacuées avaient pu regagner leurs maisons. "De très bonnes nouvelles", a commenté un responsable du gouvernement régional, Abel Bautista, en référence à ce foyer qui a ravagé une surface de 2755 hectares.
Un autre brasier, dans la province d'Avila, située dans le centre ouest du pays, était maîtrisé et il n'y avait plus de flammes après une "nuit tranquille", selon le département régional en charge de l'environnement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: la Russie a lancé un nombre record de drones en juillet
La Russie a lancé davantage de drones contre l'Ukraine en juillet que lors de n'importe quel autre mois depuis le début de l'invasion en 2022, selon une analyse par l'AFP vendredi, montrant une intensification des bombardements en dépit des ultimatums de Donald Trump.
Le président russe Vladimir Poutine a malgré tout assuré vendredi vouloir une "paix durable" en Ukraine, son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky l'appelant, en réponse, à se rencontrer pour négocier.
L'analyse de l'AFP, qui se fonde sur des chiffres fournis par les autorités ukrainiennes, montre que l'armée russe a tiré 6.297 drones à longue portée contre l'Ukraine en juillet, un chiffre en augmentation pour le troisième mois consécutif et qui constitue une hausse de 16% par rapport à juin.
Ce chiffre comprend une importante part de drones leurres, surtout destinés à saturer des systèmes de défense antiaérienne ukrainiens déjà mis à mal par l'intensité des attaques.
Entre janvier et juin la Russie a triplé le nombre de missiles envoyés sur l'Ukraine (77 contre 239, puis 198 en juillet), selon les données analysées par l'AFP.
Ces attaques aériennes ont lieu toutes les nuits, poussant les habitants à se réfugier dans un abri, dans leur salle de bain ou dans les couloirs d'un métro, sous le vacarme des sirènes d'alerte.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, une attaque sur Kiev a tué 31 civils, selon un nouveau bilan communiqué vendredi par les autorités, l'une des pires de ce type contre la capitale en plus de trois ans de guerre.
Cinq enfants font partie des victimes, dont "le plus jeune n'avait que deux ans", a dit le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Vendredi matin, au lendemain de cette attaque, des secouristes ont encore sorti en l'espace de quelques minutes deux corps des décombres de l'un des bâtiments touchés, a constaté un journaliste de l'AFP.
Des habitants sont venus se recueillir, déposant des fleurs et jouets pour enfants. Parmi eux, Iryna Drozd, 28 ans, qui vit dans le quartier avec sa famille. "Nos enfants auraient pu mourir", a-t-elle dit à l'AFP.
Une autre habitante, Oksana Kinal, explique avoir perdu une collègue, "une femme au grand coeur", tuée par l'attaque en même temps que son fils.
Malgré sa peine, Oksana Kinal dit qu'elle va bien. "On s'est habitués à tout cela maintenant. Malheureusement."
"Paix durable"?
Le président américain Donald Trump a donné en juin un délai de 50 jours à son homologue russe Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre sous peine de sanctions, avant de le réduire cette semaine à dix jours - soit jusqu'à vendredi prochain.
Le président russe a assuré vendredi vouloir une "paix durable" en Ukraine, tout en rappelant que les conditions russes pour l'atteindre restent "inchangées".
Son pays demande la cession de quatre régions du sud et de l'est de l'Ukraine, ainsi que de la Crimée, la "démilitarisation" du pays et son renoncement à rejoindre l'Otan, ce que Kiev juge inacceptable.
Volodymyr Zelensky a lui invité le président russe à se rencontrer, ce qu'il a déjà réclamé plusieurs fois sans succès.
"L'Ukraine propose, au lieu des échanges de déclarations et des réunions au niveau technique, de passer à des pourparlers entre dirigeants", a-t-il dit sur son compte Telegram.
La Russie et l'Ukraine ont tenu trois sessions de pourparlers directs menés par des équipes de négociateurs, sans parvenir à de réelles avancées vers un accord de paix.
Le Kremlin rejette l'idée d'un cessez-le-feu durable en Ukraine, qu'il voit comme un cadeau fait aux troupes de Kiev, malgré la frustration exprimée par Donald Trump face à ce refus.
L'Ukraine réclame de son côté des systèmes de défense antiaérienne à ses alliés européens et espère notamment pouvoir obtenir des batteries modernes Patriot.
L'Allemagne a annoncé vendredi qu'elle pourrait livrer "dans les prochains jours" deux de ces systèmes coûteux à l'Ukraine, dans le cadre d'un accord trouvé avec Washington.
Sur le front, l'armée russe a accéléré sa progression en juillet pour le quatrième mois consécutif, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW).
Jeudi, le ministère russe de la Défense a revendiqué la prise de Tchassiv Iar, une petite ville d'importance stratégique dans la région de Donetsk (est), même si l'Ukraine a ensuite qualifié cette annonce de "mensonge total".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une étude révèle que la pomme de terre descend de la tomate
Le croisement entre des tomates et des espèces de pomme de terre a donné naissance à nos patates modernes, révèle une nouvelle étude publiée jeudi dans la revue scientifique Cell.
L'origine de la pomme de terre, l'une des cultures agricoles les plus importantes au monde, intrigue depuis longtemps les scientifiques.
Mais une équipe internationale de chercheurs semble en avoir percé le secret en analysant 450 génomes de pommes de terre cultivées et 56 espèces de pommes de terre sauvages.
"Les pommes de terre sauvages sont très difficiles à récupérer en échantillon, ce qui fait de ces données la collection la plus complète de données génomiques sur les pommes de terre sauvages jamais analysée", explique l'auteur principal de l'étude Zhiyang Zhang, de l'Agricultural Genomics Institute de Shenzhen, en Chine.
A la suite de leurs recherches, les scientifiques ont découvert que le patrimoine génétique des pommes de terre modernes provenait de deux espèces ancestrales.
D'une part, pour 60%, de l'Etuberosum, un ensemble de trois espèces venues du Chili qui ressemblent aux plants de pomme de terre modernes mais sans tubercule, la partie de pomme de terre que l'on mange.
Et, d'autre part, de la tomate, pour 40% - une proportion équivalente pour l'ensemble des pommes de terre, qu'elles soient sauvages ou cultivées.
"Cela indique clairement qu'il s'agit d'une hybridation ancienne plutôt que de divers échanges génétiques ultérieurs", a déclaré à l'AFP Sandra Knapp, botaniste du musée d'histoire naturelle de Grande-Bretagne.
"Changement profond"
Le co-auteur de l'étude Loren Rieseberg, professeur à l'université de Colombie-Britannique, a lui assuré à l'AFP que cette étude indiquait un "changement profond" dans la biologie de l'évolution.
Alors qu'on pensait que les mutations aléatoires étaient de loin la principale source d'apparition de nouvelles espèces, "nous convenons aujourd'hui que le rôle de l'hybridation a été sous-estimé", a-t-il ajouté.
L'Etuberosum et les tomates auraient commencé à diverger il y a 14 millions d'années. Cette divergence se serait terminée il y a neuf millions d'années.
Dans le cas de la pomme de terre moderne, le gène lié au tubercule vient de la tomate, mais il n'a pu fonctionner qu'avec un gène de l'Etuberosum codant pour le développement souterrain de la plante.
Un autre élément clé de la pomme de terre moderne est sa capacité à se reproduire de façon asexuée, soit sans avoir besoin de graines ou de pollinisation. Une caractéristique qui leur a permis de se développer rapidement en Amérique du Sud puis, transportée par l'Homme, dans le monde.
Le co-auteur Sanwen Huang, professeur à l'Agricultural Genomics Institute de Shenzhen, a affirmé à l'AFP que son laboratoire travaillait maintenant sur une pomme de terre hybride, pouvant se reproduire à l'aide de graines pour accélérer sa culture.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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