International
New York fait le break face à Indiana
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New York mène 2-0 en demi-finale de la Conférence Est de la NBA. Les Knicks ont battu une deuxième fois les Pacers d'Indiana au Madison Square Garden mercredi, sur le score de 130-121.
La franchise de "Big Apple" est en bonne position pour retrouver la finale de la Conférence Est qu'elle n'a plus disputée depuis la saison 1999-2000 (déjà face à Indiana). Devant son public, le cinq majeur new-yorkais a une nouvelle fois livré la marchandise mercredi.
Jalen Brunson, cinquième du vote du MVP de la saison régulière remporté par Nikola Jokic, a inscrit 24 points (29 au total) en deuxième mi-temps pour permettre aux Knicks de réaliser un joli come-back. Le meneur all-star a surtout rassuré le public du MSG qui a retenu son souffle après l'avoir vu rejoindre les vestiaires lors du deuxième quart-temps, visiblement touché au pied droit.
Les quatre autres titulaires OG Anunoby (28 points), Donte DiVincenzo (28), Josh Hart (19 points et 15 rebonds) et Isaiah Hartenstein (14 points et 12 rebonds) ont répondu présents côté new-yorkais. En face, les 34 unités de Tyrese Haliburton et l'apport du banc des Pacers (46 points, contre seulement 12 pour celui des Knicks), n'ont pas suffi.
A voir si l'utilisation intensive des cinq hommes forts de Tom Thibodeau ne s'avérera pas fatale à New-York pour la suite de la série. Après Brunson, Anunoby a en effet lui aussi quitté le parquet dans le troisième quart-temps en raison d'une blessure.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Iran: les USA ont attaqué trois sites nucléaires
Le président américain Donald Trump a annoncé dans la nuit de samedi à dimanche que les Etats-Unis ont mené une attaque "très réussie" sur trois sites nucléaires iraniens.
Une charge complète de bombes a notamment visé le site nucléaire de Fordo, au sud de la capitale iranienne Téhéran.
"Nous avons mené à bien une attaque très réussie sur les trois sites nucléaires en Iran, notamment Fordo, Natanz et Ispahan", a déclaré le président américain dans un communiqué.
"Une pleine charge de bombes a été larguée sur le site principal, Fordo", a-t-il poursuivi, ajoutant que tous les avions ayant participé à l'attaque étaient "désormais hors de l'espace aérien iranien".
"Félicitations à nos grands guerriers américains. Aucune autre armée au monde n'aurait pu faire cela. L'HEURE DE LA PAIX A SONNÉ!", a-t-il encore dit, affirmant que l'Iran devait "maintenant accepter de mettre fin à cette guerre".
Les experts s'accordent sur le fait que seuls les Etats-Unis ont la capacité de détruire les installations nucléaires iraniennes profondément enfouies, comme l'usine d'enrichissement d'uranium de Fordo, située au sud de Téhéran et au coeur du programme nucléaire iranien.
Des avions bombardiers B-2 ont décollé d'une base aux Etats-Unis en direction de l'ouest, au-dessus du Pacifique, ont rapporté samedi le New York Times et des sites de suivi de vols, sans que l'on sache s'ils ont participé à l'attaque.
Le président américain, qui avait assuré que l'Iran ne pouvait en aucun cas disposer de l'arme nucléaire, avait dit vendredi donner au "maximum" deux semaines à l'Iran pour éviter d'éventuelles frappes américaines, mais il a finalement décidé d'aller de l'avant au côté de son allié israélien.
Il avait réuni en début de soirée à la Maison Blanche son conseil de sécurité et doit s'exprimer plus tard dans la soirée, à 4h00 en Suisse.
Vague d'attaque de drones
Auparavant, le président iranien Masoud Pezeshkian a menacé Israël d'une riposte "plus dévastatrice" à son attaque, et exclu tout arrêt du programme nucléaire de Téhéran.
Samedi soir, Téhéran a annoncé le lancement d'une "vague importante de drones d'attaque et de drones suicides" vers Israël.
Israël a de son côté prévenu d'une "longue" opération militaire, le chef de la diplomatie, Gideon Saar, affirmant que le risque que Téhéran se dote de "la bombe atomique" avait déjà été "retardé d'au moins deux ou trois ans".
Assurant que son ennemi juré était sur le point de l'acquérir, Israël a lancé le 13 juin une attaque massive contre des centaines de sites militaires et nucléaires, tuant les plus hauts gradés du pays et des scientifiques de l'atome.
L'Iran dément vouloir se doter de l'arme atomique, mais défend son droit à un programme nucléaire civil.
L'Iran et Israël ont échangé de nouvelles frappes samedi, et dans la soirée, Israël a annoncé mener des raids dans la région de Bandar Abbas, grand port du sud de l'Iran, dans le détroit d'Ormuz. Des médias iraniens ont rapporté qu'une base militaire dans le sud de Téhéran avait été touchée et fait état de frappes sur Chiraz, grande ville du sud de l'Iran.
L'Iran a menacé de représailles contre les intérêts américains au Moyen-Orient si les Etats-Unis décidaient d'intervenir directement dans le conflit.
Jusqu'à présent, Washington s'était contenté d'apporter une aide défensive à Israël face aux missiles iraniens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Début de l'évacuation des ressortissants américains d'Israël
Les États-Unis ont commencé samedi l'évacuation volontaire de leurs ressortissants d'Israël, au neuvième jour de la guerre qui oppose ce pays à l'Iran, a annoncé l'ambassadeur américain à Jérusalem.
"Le Département d'État a commencé les vols d'évacuation depuis Israël", a fait savoir Mike Huckabee sur son compte X.
Deux vols ont été affrétés au départ de Tel-Aviv, avec à leur bord quelque 70 personnes, en direction d'Athènes, a précisé un responsable du Département d'Etat.
Ces évacuations interviennent au moment où le président américain Donald Trump soupèse une intervention militaire contre l'Iran. Il a donné vendredi au "maximum" deux semaines à Téhéran pour éviter d'éventuelles frappes américaines.
Donald Trump, qui a dit que l'Iran ne pouvait pas disposer d'une arme nucléaire, est rentré samedi en fin d'après-midi à la Maison Blanche pour y présider un nouveau conseil de sécurité.
Les experts s'accordent sur le fait que seuls les Etats-Unis ont la capacité de détruire les installations nucléaires iraniennes profondément enfouies, dont celles de Fordo, au sud de Téhéran.
Parallèlement, des avions bombardiers B-2 ont décollé d'une base aux Etats-Unis et se dirigeaient vers l'Ouest, au-dessus du Pacifique, ont rapporté samedi le New York Times et des sites de suivi de vols.
Ces bombardiers stratégiques furtifs sont les seuls capables de transporter des puissantes bombes anti-bunker de type GBU-57. Cette ogive de 13 tonnes peut s'enfoncer à des dizaines de mètres de profondeur avant d'exploser.
Les Etats-Unis déconseillent aux Américains de se rendre notamment en Israël et en Irak et de ne surtout pas voyager en Iran, "quelles que soient les circonstances".
Les Etats-Unis ont déjà réduit les effectifs de leur ambassade en Irak et autorisé du personnel non essentiel, ainsi que leurs proches, à quitter ce pays, ainsi qu'Israël.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
L'Inter s'en sort de justesse face à Urawa
L'Inter Milan a évité de peu le camouflet pour son deuxième match dans le Mondial des clubs.
L'ancien portier de l'équipe de Suisse Yann Sommer et ses équipiers ont renversé les Urawa Red Diamonds (2-1) samedi à Seattle en marquant deux fois dans le dernier quart d'heure.
Mené dès la 11e minute sur un but de Ryoma Watanabe, le finaliste malheureux de la dernière Ligue des champions a longtemps été incapable de déstabiliser le bloc bas des Red Diamonds. Mais une reprise acrobatique de Lautaro Martinez sur corner a permis aux Intéristes d'égaliser (78e).
Valentin Carboni a ensuite marqué avec calme dans les arrêts de jeu (92e), ce qui élimine le club japonais, défait pour la seconde fois. L'Inter, qui a monopolisé le cuit samedi (82% de possession de balle), totalise quant à lui 4 points avant son troisième match contre River Plate mercredi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Présidentielle ivoirienne: Ouattara désigné candidat par son parti
Le président ivoirien Alassane Ouattara a été désigné samedi soir candidat à la présidentielle du 25 octobre par son parti. Il n'a toutefois pas encore confirmé s'il allait briguer ou non un quatrième mandat.
Le climat politique en Côte d'Ivoire est tendu depuis quelques semaines après l'exclusion du scrutin, par des décisions de justice, de plusieurs figures de l'opposition, dont l'ancien président de Credit Suisse Tidjane Thiam. Le président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), la principale formation d'opposition, a été écarté pour des problèmes de nationalité.
Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) a adopté par acclamation la désignation de M. Ouattara lors de son congrès organisé à Abidjan. Les milliers de participants ont accueilli l'annonce par des "ADO, ADO, ADO", le surnom d'Alassane Dramane Ouattara, qui a par ailleurs été réélu président du parti.
Suspense
La question d'un éventuel quatrième mandat de M. Ouattara, qui aura 84 ans en janvier, est sur toutes les lèvres en Côte d'Ivoire. Le chef de l'Etat entretient savamment le suspense depuis des mois, le seul indice public qu'il ait donné étant une déclaration en janvier où il se disait "désireux de continuer à servir son pays".
Le RHDP, unanime derrière sa candidature, a multiplié les meetings ces dernières semaines dans toutes les régions du pays pour l'appeler à se présenter. Désormais intronisé, M. Ouattara doit s'exprimer dimanche lors d'un grand meeting au stade d'Ebimpé, où la Côte d'Ivoire avait remporté la Coupe d'Afrique des nations en 2024.
Reste à savoir si le chef de l'Etat, absent samedi, acceptera immédiatement d'endosser le costume du candidat ou s'il s'accordera encore un délai de réflexion. "Il est obligé d'accepter et d'écouter le cri de ses enfants qui l'appellent à continuer l'aventure", prédit Honoré Adom, un congressiste de l'est du pays.
Concert de louanges
Samedi, devant plusieurs milliers de congressistes à Abidjan, les cadres du parti ont loué le bilan du chef de l'Etat, au pouvoir depuis 2011. "La Côte d'Ivoire a réalisé des avancées majeures sur le plan économique, social et culturel, avec une croissance soutenue que beaucoup nous envient encore. Nous sommes fiers d'être ivoiriens", a lancé le vice-président Tiemoko Meyliet Koné.
"Grâce à lui, la Côte d'Ivoire est redevenue une puissance économique en Afrique de l'Ouest, un modèle de résilience et de stabilité, et un havre de paix dans un monde en proie à tant d'incertitudes", a ajouté le ministre de l'équipement, Amédée Koffi Kouakou.
L'opposition, elle, est vent debout contre une telle candidature, a fortiori après l'exclusion des principales tête d'affiches de la course. L'ex-président Laurent Gbagbo (2000-2011), son ancien bras droit Charles Blé Goudé et l'ancien Premier ministre en exil Guillaume Soro sont radiés de la liste électorale pour des condamnations en justice.
Le pouvoir nie toute intervention politique dans le processus électoral, assurant qu'il s'agit de décisions prises par une justice indépendante.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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