International
Zelensky déçu de l'absence d'engagement de "certains dirigeants"
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Volodymyr Zelensky s'est dit déçu que "certains dirigeants mondiaux" ne se soient pas engagés à participer au Sommet pour la paix en Ukraine, prévu en juin au Bürgenstock. La présence de la Chine et des Etats-Unis dans le canton de Nidwald n'est pas acquise.
La Chine a indiqué que son président Xi Jinping n'y participerait pas et le président américain Joe Biden ne s'est pas encore engagé.
"Nous sommes déçus que certains dirigeants mondiaux n'aient pas encore confirmé leur participation au Sommet de la paix", a déclaré le président ukrainien sans mentionner nommément la Chine ou les Etats-Unis. Plus d'une centaine de pays et d'organisations se sont engagés à participer à ce Sommet prévu en juin en Suisse, a indiqué M. Zelensky et il a exhorté les pays de la région Asie-Pacifique à s'y joindre.
Scepticisme chinois
La Chine a estimé vendredi qu'il lui serait "difficile" de participer à ce Sommet si la Russie n'y est pas conviée, une déclaration approuvée par Moscou.
"Il existe un décalage évident entre d'un côté les dispositions prises pour la conférence et de l'autre les demandes de la Chine et les attentes générales de la communauté internationale, ce qui rend difficile la participation de la Chine", a déclaré vendredi Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
"Sinon, la conférence pourra difficilement jouer un rôle substantiel dans le retour de la paix", a-t-elle ajouté lors d'un briefing de presse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Poutine appelle ses alliés avant une possible rencontre avec Trump
Vladimir Poutine s'est entretenu vendredi au téléphone avec le président chinois Xi Jinping et le Premier ministre indien Narendra Modi avant sa rencontre prévue, dans les jours à venir, avec Donald Trump pour tenter de mettre fin au conflit en Ukraine.
Ces appels interviennent le jour où doit expirer l'ultimatum lancé à la Russie la semaine dernière par M. Trump pour faire avancer les négociations avec Kiev, sous peine de nouvelles sanctions américaines.
L'offensive russe à grande échelle contre l'Ukraine, déclenchée en février 2022, a fait a minima des dizaines de milliers de morts dans les deux pays et causé d'immenses destructions.
Mais après plus de trois ans de combats, les positions ukrainienne et russe sont toujours irréconciliables. La Russie est accusée de bloquer les pourparlers en maintenant des demandes maximalistes, à un moment où ses forces ont l'avantage sur le front et continuent d'y gagner du terrain.
Pour tenter de faire avancer les choses, l'émissaire américain Steve Witkoff a été reçu au Kremlin par Vladimir Poutine, ce qui a permis une accélération au plan diplomatique marquée par l'annonce jeudi par Moscou d'un "accord de principe" pour un prochain sommet entre les dirigeants américain et russe.
Il s'agirait du premier tête-à-tête entre les deux hommes depuis juin 2019 au Japon. Ni sa date, ni son lieu n'ont toutefois été annoncés pour l'heure.
Pas de "solutions simples"
Dans ce contexte, Vladimir Poutine a informé vendredi au téléphone Xi Jinping des "résultats" des discussions concernant le conflit en Ukraine qu'il a eues mercredi avec Steve Witkoff, a fait savoir le Kremlin.
"La Chine se réjouit de voir la Russie et les Etats-Unis maintenir le contact, améliorer leurs relations et promouvoir un règlement politique de la crise ukrainienne", a dit le chef de l'Etat chinois à son homologue russe, selon l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
M. Xi "a souligné que les questions complexes n'avaient pas de solutions simples", ajoutant que "la Chine soutiendra toujours (...) la paix et la promotion des pourparlers", selon la télévision publique CCTV.
Le Premier ministre indien Narendra Modi a, quant à lui, déclaré vendredi qu'il avait eu un "bon" échange avec son "ami" Vladimir Poutine. Dans un communiqué, le Kremlin a écrit que M. Poutine avait parlé à M. Modi des "résultats" de sa rencontre avec l'émissaire américain.
La veille, Vladimir Poutine avait reçu à Moscou le conseiller à la sécurité nationale du Premier ministre indien. Cette rencontre avait eu lieu au lendemain de la décision américaine d'imposer 50% de droits de douane sur les produits indiens importés, les Etats-Unis reprochant à l'Inde ses achats de pétrole russe.
Ultimatum américain
Washington a menacé de s'en prendre aux pays qui commercent avec la Russie, comme l'Inde et la Chine. Mais, jeudi, interrogé sur le maintien ou non de son ultimatum adressé à la Russie, qui doit expirer vendredi, le président américain a esquivé : "Cela va dépendre de Poutine, on va voir ce qu'il va dire."
"Très déçu", a-t-il enchaîné, semblant parler du chef de l'Etat russe. En juillet, il s'était déjà dit "déçu" à plusieurs reprises par M. Poutine du fait de l'absence d'avancées dans les négociations entre Kiev et Moscou.
Entre la Russie et l'Ukraine, les positions sont encore aux antipodes. Le dernier cycle de négociations directes entre les deux belligérants à Istanbul en juillet n'avait débouché que sur un nouvel échange de prisonniers et de dépouilles de soldats.
Parallèlement, l'armée russe poursuit ses attaques aériennes meurtrières sur l'Ukraine et ses assauts sur le front, où ses soldats sont plus nombreux et mieux équipés.
Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (celles de Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan.
Des exigences inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales, dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose la Russie. L'Ukraine demande aussi, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Lewandowski blessé et incertain pour le début de saison du Barça
L'attaquant star du FC Barcelone Robert Lewandowski est blessé à la cuisse gauche et incertain pour le début de saison. C'est ce qu'a annoncé vendredi le club catalan.
"Robert Lewandowski souffre d'une gêne musculaire au biceps fémoral de la cuisse gauche", écrit le Barça dans un communiqué, sans préciser la durée d'indisponibilité du buteur polonais.
L'attaquant de 36 ans est "forfait" pour le match amical prévu dimanche contre Côme, et incertain pour la première journée de Liga, contre Majorque, le 16 août prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un groupe de cryptomonnaies revendique les lancers de sex-toys
Les promoteurs d'une cryptomonnaie ont revendiqué les récents lancers de sex-toys sur des parquets de WNBA. Ils ont assuré avoir voulu se faire de la publicité, selon la presse américaine.
Selon le quotidien "USA Today", un porte-parole anonyme d'un groupe derrière la cryptomonnaie Green Dildo Coin a affirmé que le but était de faire le buzz pour attirer l'attention.
"Nous savions que pour nous faire entendre (...) nous devions créer l'événement et faire un buzz viral, afin de ne pas avoir à payer tous ces influenceurs en sacrifiant notre âme et le sort du projet", a dit ce porte-parole, cité par "USA Today".
Depuis fin juillet, plusieurs matches du championnat de basket féminin ont dû être brièvement interrompus après le lancer de sex-toys depuis les tribunes.
"Pour l'avenir, nous avons beaucoup d'autres plaisanteries en réserve, mais elles seront beaucoup plus légères et de meilleur goût", a déclaré la source anonyme à "USA Today".
Deux personnes ont été arrêtées, à Atlanta et Phoenix, dans le cadre de l'enquête sur ces incidents, mais aucune source officielle n'a évoqué l'hypothèse d'une action liée aux cryptomonnaies.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Droits de douane: l'or, possiblement taxé, s'envole à New York
Le cours de l'or a atteint un nouveau record vendredi à New York après des informations de presse selon lesquelles les Etats-Unis imposeront désormais des droits de douane sur certains lingots.
Les États-Unis pourraient désormais taxer les importations de lingots d'or d'un kilo et ceux de 100 onces, les formats négociés à New York, d'après un article du Financial Times jeudi, qui donne comme source un document de l'administration américaine.
Dans la foulée de sa publication, le prix de l'or sur la bourse des matières premières de New York, le Comex, a atteint un sommet de 3534,10 dollars l'once (31,1 g).
Le marché affiche "son choc et sa confusion" devant cette nouvelle inattendue, explique à l'AFP Han Tan, analyste chez Nemo.Money.
Vers 11H30, l'once d'or évoluait à 3488,80 dollars à New York. Mais son équivalent négocié à Londres s'affichait à 3400,65 dollars, à plus de 100 dollars de son record historique enregistré en avril.
La demande en or - et avec elle son cours - avait déjà explosé plus tôt cette année outre-Atlantique, les acheteurs américains cherchant à accumuler des stocks en prévisions d'éventuelles surtaxes sur le métal précieux, jusqu'à présent épargné par l'offensive douanière de Donald Trump.
Ces "provisions restent élevées", précise Stephen Innes, analyste chez SPI AM.
Pour la Suisse, haut lieu du raffinage d'or, il s'agit d'un nouveau coup dur, alors que le pays alpin s'est vu infliger jeudi de lourdes surtaxes de 39% sur ses produits importés aux Etats-Unis.
La Suisse "sert souvent de plaque tournante du raffinage entre le marché londonien, qui se négocie généralement en lingots de 400 onces (12,44 kg), et les tailles plus petites, principalement échangées et acceptées sur le marché américain", précise Ole Hansen, analyste de Saxo Bank.
"Au cours de l'année écoulée, la Suisse a expédié pour 61,5 milliards de dollars d'or outre-Atlantique", dont "deux cinquièmes transitent par les États-Unis", souligne M. Innes.
Elle "risque désormais une gifle de 24 milliards de dollars" de surtaxes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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