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Alessandra Keller 7e, le titre pour Pauline-Ferrand-Prévot

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Alessandra Keller n'a pu faire mieux que 7e de l'épreuve olympique de cross-country (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Pas de médaille suisse lors de l'épreuve olympique de cross-country féminin. A Elancourt, Alessandra Keller n'a pu faire mieux que 7e à 4'41 de Pauline Ferrand-Prévot.

Pas de course de rêve comme il y a trois ans à Tokyo pour la délégation helvétique. L'incroyable triplé ne pouvait de toute façon pas être réitéré puisque les nations n'ont droit qu'à deux athlètes cette année.

Les espoirs suisses reposaient sur les épaules d'Alessandra Keller. Mais la Nidwaldienne n'a pu suivre les meilleures dont Pauline Ferrand-Prévot, Haley Batten et Jenny Rissveds. Keller a fait un immense effort pour revenir sur les deux dernières citées, mais elle a payé cela en fin de course. De la 4e place, la dominatrice du classement de la Coupe du monde a rétrogradé à la 7e place. La deuxième Suissesse, Sina Frei, a disputé une course anonyme, elle qui avait décroché l'argent au Japon.

Partie comme une fusée, Pauline Ferrand-Prévot a dominé cette épreuve de la tête et des épaules avec près de trois minutes d'avance sur ses rivales. Un final en apothéose pour la Tricolore de 32 ans, quintuple championne du monde, qui avait préparé cette course comme jamais. Batten a pris l'argent et Rissveds le bronze.

A noter les déboires de deux athlètes qui étaient bien placées. Au 4e tour, l'autre Française, Loana Lecomte, a fait un soleil sur une partie technique et a dû abandonner alors qu'elle occupait la 3e place derrière Puck Pieterse. La Néerlandaise était installée dans un fauteuil pour aller chercher dans la médaille d'argent, mais une crevaison a eu raison de ses ambitions. Le changement de vélo lui a fait perdre le rythme, même si elle a pu finalement se classer 4e. Ces événements ont profité à la Suédoise Jenny Rissveds, championne olympique à Rio en 2016, et à l'Américaine Haley Batten.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'abbé Pierre visé par 12 nouvelles accusations de violences

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Ce rapport porte à 45 le nombre de témoignages visant le prêtre décédé en 2007. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Un an après les premières révélations, l'abbé Pierre est visé par douze nouvelles accusations de violences sexuelles. "Sept concernent des personnes mineures" au moment des faits, selon un rapport du cabinet spécialisé Egaé, publié mercredi.

Figure iconique de la défense des démunis, Henri Grouès, décédé en 2007, est désormais visé par 45 accusations de violences sexuelles.

Pour ces victimes, Emmaüs et la Conférence des évêques de France (CEF) ont "décidé conjointement la mise en place d'un dispositif de réparation financière", précise Emmaüs dans un communiqué.

Parmi les témoignages anonymisés, le rapport cite ceux de deux soeurs dont l'une a "fait état d'une masturbation de l'abbé Pierre sur son sexe alors qu'elle venait d'avoir 11 ans", au milieu des années 70. Sa soeur "lui a confié avoir subi une fellation forcée à ses 15 ans", ce qui relève du viol.

"Tout imaginé"

Une autre victime a décrit dans un courriel "au moins trois faits de violences sexuelles lorsqu'elle avait 10 ans" dans les années 1990, selon le compte-rendu d'activité de la ligne d'écoute dédiée aux victimes de l'abbé Pierre entre janvier 2025 et juillet 2025.

Une autre encore, âgée de 17 ans à l'époque, "a subi un contact entre ses cuisses, sous sa jupe" alors qu'elle voyageait en train dans le wagon de l'abbé Pierre en 1953. A son arrivée, les soeurs qui l'ont accueillie "lui ont dit qu'elle avait tout imaginé", rapporte le cabinet.

Fonds de réparation financé par Emmaüs

Le dispositif de réparation financière pour sa part "sera porté par la commission reconnaissance et réparation (CRR)", une instance mise en place par la CEF après les révélations, en 2021, sur la pédocriminalité dans l'Eglise depuis les années 50, précise le communiqué.

Ce dispositif, opérationnel à compter de septembre 2025, "sera entièrement financé par les fonds propres du mouvement Emmaüs et ceux de la CEF".

Le principe est celui de "responsabilité partagée" car "à partir de 1954, l'abbé Pierre devient une figure publique associée à la fois à son sacerdoce et à son rôle dans la fondation d'Emmaüs", ajoute le communiqué.

L'autre instance de réparation mise en place par l'Eglise, l'Inirr, s'est elle engagée "prendre en charge la réparation pour les trois victimes de l'abbé Pierre qui l'ont déjà contactée", assure Emmaüs.

La CRR et l'Inirr recueillent les témoignages de victimes et proposent une réparation financière pouvant aller jusqu'à 60'000 euros.

Rapport attendu début 2027

Dans le "travail de transparence" engagé depuis la révélation des premières accusations, en juillet 2024, Emmaüs rappelle avoir créé en interne une commission de recherche dont le rapport est attendu "début 2027".

"Désormais, une nouvelle phase s'ouvre, avec un dispositif complet au service des victimes", assure l'association de lutte contre la pauvreté

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Gaza: au moins 22 morts dans de nouvelles attaques d'Israël

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Selon l'ONG Médecins sans frontières (MSF), le taux de mortalité avait été multiplié par dix pour les enfants de moins de cinq ans par rapport à avant la guerre. Ici, un enfant tué par un bombardement israélien à l'hôpital Al-Chifa, à Gaza. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

La Défense civile de Gaza a fait état mercredi de 22 personnes tuées, dont six enfants, dans des bombardements israéliens sur le territoire palestinien dévasté par 21 mois de guerre.

Les nouveaux bombardements israéliens ont touché le sud et le centre de la bande de Gaza, ainsi que deux zones du nord, notamment un camp de réfugiés en bordure de la ville de Gaza, a précisé à l'AFP Mahmoud Bassal, porte-parole de cet organisme de premiers secours.

Sollicitée par l'AFP, l'armée israélienne a dit se renseigner sur les faits rapportés par M. Bassal.

"L'explosion a été massive, comme un tremblement de terre", a dit au téléphone à l'AFP Zouhair Joudeh, 40 ans, un habitant du camp de réfugiés d'al-Chati, où dix personnes ont été tuées, dont six enfants, selon la Défense civile.

"Les corps et les restes des martyrs ont été éparpillés", a-t-il ajouté. "On ne sait pas quand ils vont frapper ni pourquoi, il ne nous reste qu'à nous en remettre à Dieu", commente une voisine, Abir Charbassi, 36 ans.

Hôpital hors-service faute de carburant

Une foule en larmes s'est rassemblée à l'hôpital Al-Chifa, à Gaza-ville, après la frappe.

Le directeur de cet important complexe médical, Mohammad Abou Salmiya, a déclaré mercredi matin aux journalistes qu'il serait "complètement hors-service dans quelques heures en raison de la pénurie de carburant".

Le système de santé s'est effondré dans le territoire palestinien en raison de l'offensive militaire israélienne et des restrictions imposées par Israël sur l'entrée des denrées dans le territoire.

"Extrêmement fatigués"

L'autre bombardement a eu lieu dans le sud du territoire palestinien, à al-Mawassi, près de Khan Younès.

"Nous sommes extrêmement fatigués. Chaque jour, ils parlent d'un cessez-le-feu, mais les massacres continuent", a déclaré Oum Ahmed, au milieu de tentes de fortune sens dessus dessous.

Plusieurs enfants blessés ont été transportés dans la nuit à l'hôpital Nasser de Khan Younès, où une femme était assise dans un coin de l'établissement, le regard dans le vide, entre deux brancards maculés de sang.

Médias empêchés de travailler par Israël

Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël dans la bande de Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.

Médecins Sans Frontières (MSF) a déclaré mercredi qu'une récente enquête sur la mortalité menée auprès de son personnel et de leurs familles à Gaza corroborait les chiffres fournis par le ministère de la Santé du territoire qui affirme que 57'680 personnes ont été tuées depuis le début de la guerre, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien déclenché par l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.

Mortalité des enfants multipliée par 10

Cette ONG a indiqué que le taux de mortalité avait été multiplié par dix pour les enfants de moins de cinq ans par rapport aux estimations d'avant le 7 octobre 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Des bons en euros pour lutter contre l'exode frontalier

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Des frontaliers de la province de Varèse se rendent également chaque jour dans le Tessin tout proche. La Chambre de commerce a désormais déclaré la guerre à cet "exode" (photo d'archives) (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

Afin de rester attractive auprès des travailleurs, frontaliers ou non Varèse propose jusqu'à 6000 euros en bons d'achat à ces derniers. La chambre de commerce locale a confirmé un article du "Corriere del Ticino" à ce sujet.

La ville de Varèse, située à une quinzaine de kilomètres de la Suisse, a déclaré la guerre à la fuite des cerveaux. "Vieni a Vivere a Varese" est le slogan de l'initiative de la chambre de commerce locale. L'appel d'offres "Viens à Varèse", lancé dès la mi-septembre, s'adresse aux jeunes, aux travailleurs et aux familles, a expliqué un porte-parole de la chambre de commerce interrogé par l'agence de presse Keystone-ATS.

Concrètement, l'appel d'offres porte sur un volume total de 300'000 euros et prévoit des contributions allant jusqu'à 6000 euros sur trois ans. Les bons peuvent être utilisés pour des biens et des services dans la province de Varèse et sont destinés aux jeunes de 18 à 40 ans.

Les travailleurs doivent présenter un contrat de travail avec une entreprise enregistrée auprès de la chambre de commerce ainsi que transférer leur domicile dans la province de Varèse dans les 90 jours suivant le début de leur travail. L'objectif: qu'ils s'installent "durablement" dans la région de Varèse, comme le précise l'appel d'offres.

Proximité difficile avec Milan et la Suisse

La province de Varèse compte parmi les régions italiennes les plus importantes sur le plan industriel. Selon le rapport paru dans le quotidien tessinois "Corriere del Ticino", il y a 50 entreprises par kilomètre carré. Le produit intérieur brut s'est élevé l'année dernière à près de 28 milliards d'euros.

Malgré cela, de nombreuses branches luttent contre d'importantes pénuries de personnel - selon le porte-parole de la chambre de commerce, notamment dans l'industrie, le secteur des services, le tourisme et l'hôtellerie-restauration. Cette pénurie de main-d'½uvre qualifiée, associée à un taux de fluctuation élevé, entraînerait un déficit structurel. Selon les experts, la proximité de Milan et de la frontière suisse influence également fortement le marché du travail de la province de Varèse.

Fin 2024, selon les recherches du "Corriere del Ticino", 392'000 personnes travaillaient dans la province de Varèse, dont environ 30'000 frontaliers, soit près de huit pour cent de la population active. Au total, 78'433 "frontaliers" étaient employés au Tessin au premier trimestre de l'année en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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France: le parti d'extrême droite RN perquisitionné

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"Soupçonner d''exercice illégal de la profession de banquier'" nos militants - souvent âgés, honnêtes, engagés - qui prêtent au RN faute de banque prête à le faire, c'est une farce", a estimé Jordan Bardella. (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Une perquisition était en cours mercredi au siège du parti d'extrême droite français Rassemblement national (RN) dans le cadre d'une enquête pour financement illicite des campagnes électorales en 2022 et 2024. Son président a dénoncé un "acharnement".

La perquisition était menée au siège du parti à Paris par "une vingtaine de policiers de la brigade financière" et "deux juges d'instruction", a annoncé sur X le président du RN, Jordan Bardella.

Elle a démarré à 08h50, a-t-il ajouté, dénonçant un "acharnement" et une "opération spectaculaire et inédite" s'inscrivant selon lui "dans une nouvelle opération de harcèlement".

Le parquet de Paris a confirmé l'information et précisé que d'autres perquisitions avaient été menées simultanément dans des sociétés et au domicile de leurs dirigeants.

Document saisis

Jordan Bardella a expliqué que "tous les courriels, documents et éléments de comptabilité" avaient été saisis, les "bureaux des dirigeants" du parti fouillés.

"L'intégralité des dossiers qui concernent les dernières campagnes régionales, présidentielles, législatives et européennes sont aujourd'hui entre les mains de la justice", a ajouté le député européen, pointant un "prétexte pour fouiller (son) bureau".

Ces perquisitions ont été menées dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en juillet 2024 sur des soupçons de financement illégal de la campagne présidentielle de 2022 de la cheffe de file de l'extrême droite française Marine Le Pen et des législatives qui ont suivi ainsi que des européennes de 2024, a indiqué le parquet.

Prêts illégaux?

Ces investigations doivent "permettre de déterminer si ces campagnes ont été notamment financées grâce à des prêts illégaux de particuliers bénéficiant au parti ou à des candidats du Rassemblement National, ainsi que par des surfacturations de prestations ou des facturations de prestations fictives ayant été intégrées par la suite dans les demandes de remboursement forfaitaire par l'Etat des dépenses de campagne", a ajouté le parquet.

Marine Le Pen a été condamnée en France dans une affaire distincte, dite des assistants parlementaires européens, notamment à une peine d'inéligibilité. Elle a fait appel mais M. Bardella pourrait être appelé à la remplacer à la présidentielle de 2027 si elle venait à être de nouveau déclaré inéligible lors d'un second procès.

La cour d'appel de Paris s'est engagée à rendre sa décision à l'été 2026. Mme Le Pen a par ailleurs annoncé mardi qu'elle avait saisi la Cour européenne des droits de l'homme pour contester cette peine d'inéligibilité.

"Une farce"

"Soupçonner d''exercice illégal de la profession de banquier'" nos militants - souvent âgés, honnêtes, engagés - qui prêtent au RN faute de banque prête à le faire, c'est une farce", a encore estimé M. Bardella.

L'enquête s'appuie sur un signalement de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) pour des prêts accordés par des particuliers au mouvement d'extrême droite.

Ces prêts sont autorisés, selon des conditions précises et avec un plafond, mais le RN est "le parti qui les a le plus utilisés", avait expliqué début juillet le président de la CNCCFP, Christian Charpy.

Ces dernières années, le parti a "concentré une forte majorité" de ce type d'emprunts: 613 en 2021 sur un total de 764 tous partis confondus, puis 425 en 2022 (sur un total de 492) et encore 96 en 2023 (sur un total de 123), selon ce responsable.

Au total, le RN affichait fin 2023 plus de 20 millions d'encours à rembourser "auprès de personnes physiques", le plus ancien remontant à 2007. "Il est essentiel que ces prêts soient remboursés, sinon ce sont des dons déguisés", avait souligné M. Charpy.

Actualité judiciaire du RN alourdie

Ces perquisitions alourdissent l'actualité judiciaire autour du RN. Outre la condamnation de Mme Le Pen, le parquet européen a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur la famille politique à laquelle appartenait le Rassemblement national au Parlement européen avant 2024 pour diverses irrégularités financières.

De nombreux cadres du RN ont repris mercredi l'argumentaire utilisé au moment de la condamnation de Marine Le Pen, criant au "harcèlement" et à la "peur" de voir le parti remporter la présidentielle. Il s'agissait "probablement de connaître nos secrets de fabrication et les futures stratégies pour les municipales, les législatives qui pourraient arriver et la présidentielle", a laissé entendre Laurent Jacobelli, le porte-parole du RN.

"Le Système sombre dans les basses oeuvres", a commenté sur X le président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale (chambre basse du Parlement), Jean-Philippe Tanguy. "Les institutions sont dévoyées par des bandes qui veulent garder le pouvoir à tout prix !", a-t-il lancé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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