Suisse
Le National relance l'aide indirecte à la presse régionale
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Deux ans et demi après le rejet du train de mesures en faveur des médias, le National relance l'aide indirecte à la presse régionale. Il a accepté jeudi, par 126 voix contre 61, un projet pour aider la presse locale, mais a taillé dans l'aide à la presse associative.
Tous les députés ont déploré la situation actuelle de la presse, les annonces de coupes s'étant multipliées ces dernières semaines. Une réalité déjà largement décrite lundi par le rapporteur de commission Damien Cottier (PLR/NE). La presse n'est pas un bien de consommation comme les autres, a déclaré Jon Pult (PS/GR), rappelant son rôle de quatrième pouvoir dans la démocratie.
Le projet, issu d'une initiative parlementaire de Christine Bulliard-Marbach (Centre/FR), cible les petits médias locaux. Il comprend une aide supplémentaire de 45 millions de francs aux 50 millions versés chaque année par la Confédération pour l'aide indirecte à la presse.
Les députés ont toutefois jugé inutile de maintenir l'aide de 20 milllions pour la presse associative, déjà inscrite dans la loi. Ils ont ainsi, par 94 voix contre 91, validé une proposition du groupe PLR, visant à compenser le montant débloqué pour la presse locale.
Aide limitée dans le temps
L'aide est limitée à sept ans et il est attendu des médias qu'ils profitent de ce délai pour investir dans un nouveau modèle d'affaires. Un point important pour le Centre, le PLR et les Vert'libéraux, qui ont insisté sur l'importance de trouver un modèle d'avenir dans ce laps de temps. Le Conseil fédéral voyait lui un danger dans le fait d'imposer une date butoir, tandis que l'UDC estimait que ce n'était pas à l'Etat de sauver la presse.
Le National a adopté dans la foulée deux motions. La première prévoit une aide aux médias électroniques proposant des contenus journalistiques, indépendante du canal de diffusion et du modèle commercial. La seconde concerne la suppression de la concurrence déloyale de l'aide à la presse associative et des fondations. Le dossier part au Conseil des Etats.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Journée des réfugiés: les 30'000 bateaux pas arrivés à Neuchâtel
Les 30'000 bateaux en papier attendus, symbolisant des décès en Méditerranée, n'ont pas pu être exposés à Neuchâtel à l'occasion de la Journée des réfugiés. Les organisations ont profité de cette journée pour alerter sur les conditions de travail au CFA à Boudry.
L'exposition "Et vogue la galère", réalisée par l'association Nela, devait s'arrêter au Péristyle de Neuchâtel de vendredi soir à dimanche mais elle n'est pas arrivée pour des raisons logistiques. "Le chauffeur qui avait été trouvé pour conduire le camion a paniqué en raison des obstacles liés à la Fête de la musique", qui a lieu juste à côté, a déclaré samedi à Keystone-ATS Pierre Bühler, responsable neuchâtelois de l'action "Les nommer par leur nom".
"Si l'on avait dû trouver un chauffeur et un camion, cela nous aurait coûté 1000 francs et on n'avait pas le financement pour cela", a ajouté Pierre Bühler. Le vernissage de l'exposition, qui avait été montrée pour la première fois en 2023 à la cathédrale de Lausanne, a été maintenu vendredi soir en présence de la directrice de Nela Valérie Despont.
Banderoles avec les noms de victimes
Pour quelque peu compenser cette annulation, les organisateurs ont réalisé quelques petits bateaux en papier, visibles durant l'action "Les nommer par leur nom", où les noms et les circonstances des décès des réfugiés sont nommés, entrecoupés d'intermèdes musicaux. Des banderoles avec les noms des victimes sont aussi déployées au Péristyle et dans d'autres endroits de la ville. Selon les organisateurs, "plus de 65'000 personnes sont victimes de la forteresse Europe".
De manière plus festive, une fête des réfugiés, avec stands et musique, a aussi lieu autour du Temple du Bas, à proximité de la fête de la musique. "D'habitude, la Journée des réfugiés ne tombe pas le même jour et cette coïncidence de date n'est pas très heureuse" dans le cas de Neuchâtel, a expliqué Pierre Bühler.
Inspection du travail saisie
Droit de rester et l'Union syndicale cantonale avaient profité de la Journée des réfugiés pour alerter jeudi soir déjà sur le fait que la délégation de tâches à des entreprises privées dans les centres fédéraux d’asile serait "source de maltraitances". Les deux organisations ont pointé la situation au centre fédéral pour requérants d’asile (CFA) à Boudry.
"Les réfugiés y subissent des conditions de vie indignes alors que les sociétés commerciales, ORS1, Protectas et Securitas principalement, imposent des conditions de travail inacceptables à leurs employés. Cette violence institutionnelle est le fruit de décennies de politiques fédérales toujours plus restrictives en matière de procédures, de droit d’asile et de budgets alloués", peut-on lire dans leur communiqué.
Après des plaintes de collaborateurs syndiqués, une rencontre a eu lieu l’an dernier avec la conseillère d’Etat Florence Nater. Le syndicat lui a rappelé que l’Etat avait une obligation de contrôler les conditions de travail, même dans une institution fédérale.
Contactée par Arcinfo, la conseillère d'Etat en charge de la cohésion sociale, Florence Nater, a déclaré que l’inspection cantonale du travail avait été saisie et qu'un contrôle sera effectué prochainement.
Les deux organisations ont lu différents témoignages pour étayer leurs propos. Un demandeur d'asile burundais, qui a vécu 20 jours au CFA à Boudry en 2022, a dit qu'il vivait sous un contrôle constant, avec parfois plus de 20 fouilles par jour. Selon lui, "le plus dur, c’était le silence. Beaucoup de requérants n’osaient pas parler", de peur d’être refoulés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Peter Zeidler prend les rênes de Lausanne
Lausanne-Sport a officialisé samedi l'arrivée de Peter Zeidler au poste d'entraîneur.
Le technicien allemand succède à Ludovic Magnin, lequel vient de signer à Bâle. La durée de son contrat n'a pas été précisée.
Zeidler "était le premier choix du club pour occuper ce poste-clé", rappelle le LS, qui se dit "heureux de pouvoir compter sur un entraîneur de sa trempe, dont les qualités humaines et professionnelles s’inscrivent pleinement dans la vision et les ambitions du club."
Peter Zeidler (62 ans) reste sur une expérience malheureuse sur le banc de Bochum, où il a été limogé en octobre dernier après seulement huit matches (et sept défaites au passage). Il avait auparavant dirigé pendant six ans le FC St-Gall, après être passé par Tours, Salzbourg, Sion et Sochaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Maja Riniker demande une loi pour l'aide en cas de catastrophe
La présidente du Conseil national Maja Riniker (PLR) a demandé samedi lors d'un discours à Blatten (VS) la mise en place d'une nouvelle base légale pour l'aide en cas de catastrophe. L'éboulement survenu fin mai a montré l'urgence d'une telle démarche.
Il faut maintenant tirer des leçons pour l'avenir, a déclaré la première citoyenne de Suisse dans le village haut-valaisan dévasté. La Confédération doit pouvoir réagir rapidement et clairement aux futurs événements. Il en va de l'égalité de traitement, de la sécurité juridique et de la confiance dans l'État.
Le changement climatique apportera d'autres défis et il faut s'y préparer, a ajouté l'élue argovienne. Il est du devoir et de la responsabilité du monde politique de soutenir les habitants de Blatten dans leur nouveau départ.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Erwin Sperisen porte plainte auprès du Ministère public genevois
Erwin Sperisen a déposé une plainte pénale auprès du Ministère public genevois contre plusieurs juges de la Cour d'appel de Genève pour abus d'autorité et atteintes à l'honneur. Son avocat demande la nomination d'un procureur extraordinaire extracantonal.
Dans sa plainte pénale, l'ancien chef de la police guatémaltèque reproche aux juges d'avoir délibérément violé la présomption d'innocence au mépris du code pénal, ignoré les instructions de la plus haute instance judiciaire et maintenu au procès une partie civile décédée depuis longtemps, écrit son avocat Dominic Nellen samedi dans un communiqué.
L'affaire Sperisen a été jugée à plusieurs reprises par des tribunaux nationaux et internationaux. En 2023, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a condamné la Suisse pour violation du droit à un procès équitable. Erwin Sperisen a été condamné à nouveau en septembre 2024, avec un jugement qui, "selon la défense, constitue clairement un abus de pouvoir".
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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