International
Ethel Kennedy, veuve de "Bobby" Kennedy, est morte
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/10/ethel-kennedy-ici-a-la-maison-blanche-il-y-a-dix-ans-quand-elle-a-ete-decoree-par-barack-obama-1000x600.jpg&description=Ethel Kennedy, veuve de "Bobby" Kennedy, est morte', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Ethel Kennedy, veuve de l'ancien ministre américain de la Justice assassiné "Bobby" Kennedy, est décédée jeudi à l'âge de 96 ans des suites d'un AVC, a annoncé son petit-fils Joe Kennedy III.
"C'est avec nos coeurs emplis d'amour que nous annonçons le décès de notre fantastique grand-mère, Ethel Kennedy", a annoncé sur X l'ancien élu du Massachusetts, fief de la dynastie Kennedy.
"Elle est décédée ce matin de complications liées à un accident vasculaire cérébral subi la semaine dernière", a-t-il ajouté.
Ethel Kennedy était également la mère de Robert Kennedy Jr, un temps candidat indépendant à la présidentielle américaine de 2024 et qui a depuis apporté son soutien à Donald Trump, au grand dam de la majorité du clan Kennedy.
Née en 1928 d'un père magnat du charbon à Chicago, Ethel Kennedy avait rencontré à 17 ans son futur mari, Robert. Celui-ci deviendra en 1961 le ministre de la Justice de son frère, le président John Fitzgerald Kennedy.
11 enfants
Mais en 1968, cinq ans après l'assassinat de "JFK", "Bobby" Kennedy sera à son tour assassiné, à Los Angeles, au soir d'une victoire décisive à la primaire démocrate.
Robert Kennedy était alors idéalement positionné comme futur candidat des démocrates à la présidentielle américaine, à laquelle il était favori.
Six mois après la mort de son mari, Ethel Kennedy donnera naissance à leur 11e enfant. Elle fonde également l'organisation Robert F. Kennedy Human Rights, qui oeuvre notamment en faveur de la liberté d'expression et d'association à travers le monde.
En 2014, le président Barack Obama lui avait remis la Médaille présidentielle de la liberté, la plus haute distinction civile aux Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp / belga
International
Sánchez assure qu'il ne va pas jeter l'éponge malgré les scandales
Le Premier ministre socialiste espagnol Pedro Sánchez a exclu mercredi de "jeter l'éponge" et a confirmé qu'il resterait au pouvoir, malgré les affaires de corruption qui touchent son parti.
Dans une allocution solennelle aux députés, M. Sánchez, qui fait face à la plus grave crise depuis son arrivée au pouvoir en 2018, , a dit avoir "envisagé" de démissionner et de convoquer des élections anticipées après les révélations ayant abouti au placement en détention provisoire de l'ex-N.3 du Parti socialiste, Santos Cerdán.
"Après avoir réfléchi et écouté beaucoup de gens, j'ai compris que jeter l'éponge n'était pas une option", a-t-il lancé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Chine: les prix à la consommation rebondissent en juin
Les prix à la consommation en Chine ont légèrement augmenté en juin après quatre mois de baisse. Un signe positif pour la deuxième économie mondiale confrontée à une longue pression déflationniste et à une consommation morose.
L'indice des prix à la consommation (CPI) - un indicateur clé de l'inflation - a progressé de 0,1% sur un an le mois dernier, selon des données publiées mercredi par le Bureau national des statistiques (BNS). Ce chiffre contraste avec le recul de 0,1% enregistré en mai, et déjoue les prévisions des économistes sondés par l'agence Bloomberg qui anticipaient une baisse (-0,1%).
La déflation, certes appréciée des consommateurs, est généralement considérée comme un phénomène dangereux pour l'économie, notamment car elle incite les ménages à reporter leurs achats dans l'espoir de prix encore plus bas. Or, depuis la pandémie de Covid-19, la deuxième économie mondiale est confrontée à une demande atone, notamment en raison d'une longue crise de l'immobilier et d'un chômage élevé chez les jeunes.
Cette situation, qui tire les prix vers le bas, s'est aggravée avec la bataille commerciale engagée par les Etats-Unis. "Il est trop tôt pour parler de la fin de la déflation à ce stade", nuance ainsi l'économiste Zhiwei Zhang, de chez Pinpoint Asset Management.
"La dynamique du secteur immobilier continue de s'affaiblir", et le marché "sous-estime les dégâts que les droits de douane américains pourrait causer à l'économie mondiale", estime-t-il. Signe de ces difficultés persistantes, l'indice des prix à la production (IPP) a reculé en juin à son rythme le plus sévère (3,6%) depuis près de deux ans, selon le BNS.
Ce repli, plus marqué que les prévisions des experts interrogés par Bloomberg, est synonyme de marges réduites pour les entreprises.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Climat
Un mois de juin record en Europe de l'Ouest
Juin 2025 a été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Europe de l'Ouest, a annoncé mercredi le service européen Copernicus. Des températures "extrêmes" ont frappé le continent lors de deux vagues de chaleur consécutives précoces.
Dans le monde, le mois dernier était le 3e mois de juin le plus chaud, juste derrière juin 2024 (qui était 0,2 degré plus chaud) et quasiment au même niveau (0,06 degré) que juin 2023, poursuivant pour la troisième année une série de températures moyennes jamais vues auparavant, alors que la planète se réchauffe en raison des émissions humaines de gaz à effet de serre.
Selon les calculs de l'AFP effectués à partir des données de Copernicus, 12 pays et quelque 790 millions d'habitants de la planète ont connu leur mois de juin le plus chaud. Cela a été le cas au Japon, en Corée du Nord et du Sud, ainsi qu'au Pakistan et au Tadjikistan.
"Stress thermique extrême"
Les températures ont été également particulièrement "extrêmes" en Europe, qui se réchauffe deux fois plus vite que la moyenne mondiale. Juin y a été marqué par deux vagues de chaleur - entre le 17 et le 22 puis à partir du 30 juin - "exceptionnelles", note dans un communiqué Samantha Burgess, climatologue pour Copernicus.
Dans le contexte du réchauffement climatique, "ces vagues de chaleur sont susceptibles d'être plus fréquentes, plus intenses et affecteront de plus en plus de personnes en Europe", a-t-elle souligné.
Localement les températures ont dépassé régulièrement les 40 degrés Celsius dans plusieurs pays et ont atteint jusqu'à 46 degrés en Espagne ou au Portugal. Le 30 juin, nouveau record journalier mensuel, a été "l'une des journées d'été les plus chaudes jamais connues" sur le continent.
Mais ces moyennes ne sont rien comparées aux températures ressenties, qui mesurent l'impact sur le corps humain en tenant compte de l'humidité et du vent: au nord de Lisbonne, l'indice universel du climat thermique (UTCI) a atteint jusqu'à 48 degrés, ce qui correspond à un "stress thermique extrême", souligne Copernicus.
Conséquences dramatiques
Les nuits tropicales, où la température ne descend pas sous les 20 degrés, ont mis les organismes à rude épreuve: l'Espagne en a connu 24, soit 18 de plus qu'un mois de juin normal, et certaines zones côtières de Méditerranée en ont subi 10 à 15 au lieu de zéro habituellement en juin, souligne Copernicus.
Incendies dévastateurs dans certaines régions du Canada et du sud de l'Europe, inondations meurtrières sur certaines zones d'Afrique du Sud, de Chine et du Pakistan: les conséquences du réchauffement climatique ont été particulièrement dramatiques dans le monde le mois dernier.
Juin marque toutefois un léger répit après l'enchaînement des deux années les plus chaudes, 2023 et 2024: il a été en moyenne 1,3 degré plus chaud qu'un mois de juin de l'ère pré-industrielle (1850-1900), soit "seulement le troisième mois sur les 24 derniers écoulés où la température planétaire a été inférieure à 1,5 degré au-dessus du niveau préindustriel", souligne Copernicus.
Selon la tendance actuelle, 2025 pourrait devenir la troisième année la plus chaude.
Canicule marine
L'accord de Paris sur le climat a vu les pays s'engager à limiter le réchauffement climatique à long terme à 1,5 degré, au-delà duquel des changements climatiques et environnementaux majeurs et durables deviennent plus probables. Mais de nombreux scientifiques affirment désormais qu'il sera presque impossible de rester en dessous de ce niveau.
"Au niveau mondial, le climat est environ 1,35 à 1,4 degré plus chaud que l'ère pré-industrielle", a déclaré à la fin juin à l'AFP Samantha Burgess, dont l'observatoire prévoit que la barre de 1,5 degré de réchauffement sera considérée atteinte, au rythme actuel, dès 2029.
Juin 2025 a en outre été marqué par une canicule marine en Méditerranée occidentale, le thermomètre à la surface de l'eau grimpant en flèche dès le début du mois pour atteindre une température moyenne record absolue de 27 degrés Celsius le 30 juin.
"Ces températures exceptionnelles de l'eau de la Méditerranée ont réduit le refroidissement nocturne de l'air le long des côtes et ont augmenté l'humidité, aggravant ainsi les effets du stress thermique", souligne Copernicus.
Elles ont également des effets désastreux pour la biodiversité marine et des répercussions sur la pêche et l'aquaculture.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
PSG-Real Madrid, le nouvel empereur contre le roi ressuscité
Le Paris St-Germain affronte le Real Madrid mercredi (21h00) à East Rutherford en demi-finale du Mondial des clubs.
Cette partie déborde d'attraits, entre les retrouvailles de Kylian Mbappé avec son ancien club et les prétentions hégémoniques du champion d'Europe face au géant en plein renouveau.
Le Mondial des clubs n'a que rarement fait le plein, que ce soit dans les stades aux Etats-Unis ou sur les écrans européens, mais la compétition tient là une affiche de rêve. Pour le public français en particulier, ce match revêt une signification particulière, puisque le capitaine des Bleus Kylian Mbappé va, à un an de la Coupe du monde, mesurer un peu plus la signification de son départ au Real.
Parti l'été dernier à l'issue de derniers mois de relations acrimonieuses avec la direction parisienne, après sept saisons, Mbappé a vu ses anciens coéquipiers remporter sans lui, dès la saison suivante, la tant convoitée Ligue des champions.
Et avec la manière: le 5-0 infligé à l'Inter Milan en finale à Munich a couvert le PSG de gloire en Europe et dans le monde, que le jeu séduisant et intense n'a fait qu'accentuer. Le club a confirmé ses ambitions hégémoniques dans ce Mondial des clubs, balayant l'Atlético Madrid et le Miami de Messi et prenant le meilleur d'un excellent Bayern Munich à 9 contre 11 (2-0) samedi.
La patte Xabi Alonso
Le Real Madrid, lui, essaie de regagner son lustre de la dernière décennie (six titres de Ligue des champions sur ses 15 au total) et de l'année dernière, quand il avait réalisé le doublé C1-Liga. Il n'a gagné aucun titre majeur cette saison, vécue dans l'ombre du grand rival le FC Barcelone.
De surcroît, le Real a proposé un fonds de jeu décevant, avec de multiples questions autour des relations techniques et tactiques entre ses stars Kylian Mbappé, Vinicius Junior, Jude Bellingham et Rodrygo. C'est bien Mbappé qui est attendu par le peuple Merengue pour justifier rétrospectivement les longues années à patienter, avant qu'il ne se décide à venir à la Maison blanche.
Mais les regards sont aussi tournés vers le nouvel entraîneur Xabi Alonso. Arrivé de Leverkusen juste avant le Mondial des clubs, l'ancien joueur du Real Madrid n'a pas tardé à améliorer l'équipe, solide après un premier match décevant contre Al-Hilal (1-1). Les Madrilènes ont retrouvé une certaine sérénité même dans les moments tendus, à l'image du ciseau de Mbappé contre un Dortmund qui se réveillait, en fin de quart de finale (3-2).
Les stars sont là
Xabi Alonso a confié sa satisfaction et sonné le tocsin: "Nous devons gagner la demi-finale. Espérons que nous arriverons en finale, que nous nous améliorerons et grandirons en tant qu'équipe. Nous en sommes beaucoup plus proches maintenant et nous allons continuer comme ça, le rythme est bon".
Un feu d'artifice offensif ne serait pas étonnant, d'autant que de part et d'autre la grande star a recouvré tous ses moyens. Mbappé a fini de se remettre de la sévère gastro-entérite qui l'avait privé du début de la compétition. Après deux entrées en jeu, il postule à une place de titulaire mercredi. Le PSG aussi a pleinement retrouvé Ousmane Dembélé, buteur contre le Bayern pour sa seconde entrée en jeu après une blessure le 5 juin.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
SuisseIl y a 3 jours
Un père tue sa femme et son bébé près de Fribourg
-
CultureIl y a 3 jours
Lausanne: carton plein pour le Festival de la Cité
-
FootballIl y a 3 jours
14'000 supporters défilent en ville de Berne
-
InternationalIl y a 3 jours
Le Dalaï Lama fête ses 90 ans avec une prière pour la paix
-
ClimatIl y a 2 jours
Texas: plus de 80 morts dans les inondations, l'espoir s'amenuise
-
InternationalIl y a 2 jours
Theres Rösti parle de sa vie au côté d'un conseiller fédéral
-
ClimatIl y a 2 jours
Texas: 27 personnes du camp de vacances dévasté décédées
-
LausanneIl y a 2 jours
Les "Seniors en forme" reviennent cet été