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International

Federica Brignone devra attendre plusieurs mois avant de skier

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Federica Brignone après sa grave chute (© KEYSTONE/EPA/ELVIS GP PIAZZI/SOLERO)

Federica Brignone va devoir prendre son mal en patience. L'Italienne estime "impossible" de rechausser les skis avant quatre ou cinq mois, après sa grave blessure subie au début avril.

"Je ne sais pas quand je pourrai rechausser des skis, les médecins ne le savent pas non plus, tout dépendra du déroulement de ma rééducation, de ma guérison", a déclaré Brignone lors d'un point-presse de la Fédération italienne des sports d'hiver (Fisi) à Milan. Le faire "avant quatre-cinq mois est impossible", a-t-elle dit.

"La première étape va être l'IRM de contrôle des 45 jours" après l'opération, a poursuivi Brignone en visio-conférence depuis Turin où elle a débuté sa rééducation lundi. A 34 ans, la lauréate de la Coupe du monde a été victime d'une double fracture tibia-péroné de la jambe gauche lors de sa dernière course de l'hiver durant les Championnats d'Italie.

Attendre

Elle s'est également rompu le ligament croisé antérieur du genou gauche "qui n'a pas encore été réparé", a-t-elle précisé. "Il faut encore attendre la guérison complète du tibia pour voir ce qu'on fera", a-t-elle ajouté.

L'Italienne, qui a dominé l'hiver avec le globe de no 1 mondiale, dix victoires sur le circuit mondial et un titre mondial en géant, est désormais engagée dans une course pour la montre pour être prête pour les JO 2026 de Milan Cortina (6-22 février 2026). "Les JO sont là, je ne dis pas que je n'y pense pas, mais je suis concentrée sur quelque chose de tout autre pour l'instant", a expliqué Brignone qui a tout remporté durant sa carrière... sauf un titre olympique.

Un autre défi

Malgré sa grave blessure, la première de sa carrière, Brignone reste "super positive", selon ses dires. "Il est évident que je préférerais m'entraîner avec les filles de l'équipe cette semaine, faire des tests de matériel la semaine prochaine, célébrer ma saison et aller en vacances", a reconnu la skieuse du Val d'Aoste.

"Mais je suis sûre que je reprendrai la vie qui me plait, pleine de sport. C'est un autre défi de ma vie, de ma carrière, il faut apprendre à accepter", a-t-elle insisté.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Procès Kardashian: des peines jusqu'à trois ans de prison ferme

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Kim Kardashian. (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

La cour d'assises de Paris a condamné vendredi les "papys braqueurs" de la star américaine Kim Kardashian à des peines allant jusqu'à huit ans de prison dont trois ferme, pour le cerveau de l'opération. Ce dernier ne purgera cependant pas sa peine en prison.

La cour a décidé d'une confusion de peine avec une précédente condamnation à cinq ans de prison dans son cas, ce qui signifie qu'il ne retournera pas en détention, comme aucun autre des accusés, tous condamnés à des peines largement inférieures à celles réclamées mercredi par l'accusation.

La cour a en outre acquitté deux hommes accusés d'être les "taupes" ayant fourni de précieuses informations sur l'agenda de la reine des influenceuses.

"Les peines sont assez peu sévères, elles ont été pensées à distance de cet évènement grave qui a marqué les parties civiles et j'entends que vous entendiez, vous avez fait du mal", a déclaré le président David De Pas en s'adressant aux accusés.

La cour d'assises a pris en compte "le temps écoulé" et le fait que "aucun d'entre vous n'a fait parler de lui durant ces neuf années".

Mais aussi, "comment ne pas le voir, comment ne pas l'entendre, l'état de santé des principaux protagonistes interdit éthiquement d'incarcérer quiconque et de fait, il aurait été injuste de vous conduire en prison ce soir", a-t-il ajouté.

Un homme de 69 ans a été reconnu coupable d'avoir été le "cerveau" de ce braquage record à 9 millions d'euros de bijoux qui s'est déroulé dans la nuit du 2 au 3 octobre 2016 pendant la Fashion Week.

Surnommé "Omar le Vieux" et aujourd'hui sourd et quasiment muet, il a suivi les quatre semaines d'audiences sur un écran où étaient retranscrits les débats.

"Yeux bleus" (69 ans également), qui jurait ne pas être le deuxième homme monté dans la chambre d'hôtel de Kim Kardashian, s'est vu infliger sept ans de prison dont deux ans ferme.

Il était absent du délibéré - il suivait une chimiothérapie en marge du procès pour un cancer et a dû être hospitalisé il y a quelques jours.

Deux complices de respectivement 71 ans et 35 ans, ont été sanctionnés de la même peine pour avoir fait le guet ce soir-là. Le premier a été opéré du coeur pendant sa détention provisoire et est atteint de la maladie de Parkinson.

Le fils du cerveau de l'opération a écopé de cinq ans dont un an ferme et son ancienne compagne, de quatre ans de prison avec sursis.

En dehors des deux acquittés, les deux derniers accusés ont été condamnés à une amende ou du sursis pour des délits connexes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Etudiants étrangers aux USA: Harvard obtient un sursis face à Trump

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L'université de Harvard. (AP Photo/Charles Krupa) (© KEYSTONE/AP/CHARLES KRUPA)

Bref soupir de soulagement à Harvard. Un tribunal américain a bloqué temporairement vendredi la décision de l'administration Trump d'interdire l'inscription de milliers d'étudiants étrangers dans la prestigieuse université, au coeur d'un bras de fer avec le président.

Après les déclarations au vitriol, les appels à changer le cursus et les coupes dans les subventions de recherche, l'administration Trump a écrit jeudi un nouveau chapitre de son offensive contre l'enseignement supérieur en révoquant la certification SEVIS (Student and Exchange Visitor) de Harvard.

L'université, située en banlieue de Boston, ne peut ainsi plus accueillir d'étudiants étrangers. Et ceux sur le campus pourraient avoir à quitter les Etats-Unis dès la remise des diplômes prévue la semaine prochaine.

D'après le site internet de l'université, classée parmi les meilleures au monde et qui a produit 162 prix Nobel, l'établissement accueille cette année quelque 6700 "étudiants internationaux", soit 27% de ses effectifs.

"D'un seul coup de crayon, le gouvernement efface un quart des étudiants d'Harvard", peut-on lire dans la plainte déposée auprès du tribunal fédéral du Massachusetts, Etat du nord-est américain où est située l'université.

Cette décision est "le dernier acte de représailles" de l'administration Trump "qui cherche à prendre le contrôle de la direction d'Harvard, de ses programmes et de l''idéologie' de l'université et des étudiants", poursuit la requête de 72 pages qui appelle à sa révocation "immédiate."

La juge fédérale Allison D. Burroughs a bloqué temporairement la décision de l'administration d'ici la tenue d'une audience préliminaire le 29 mai.

Griefs de Trump

L'administration Trump a lancé une vaste offensive contre l'enseignement supérieur aux Etats-Unis, accusant les universités privées les plus prestigieuses, notamment Harvard et Columbia, d'avoir laissé prospérer l'antisémitisme et de n'avoir pas protégé suffisamment les étudiants juifs pendant les manifestations contre la guerre d'Israël à Gaza, lancée après les attaques du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023.

Sur ce dossier, Harvard a affirmé ces dernières semaines avoir pris des mesures pour s'assurer que les étudiants et le personnel juifs ou israéliens ne se sentent ni exclus, ni intimidés sur le campus, et refuse de renoncer à sa liberté académique.

L'administration Trump reproche aussi à Harvard de se coordonner avec le Parti communiste chinois sur son campus. Le Parti communiste chinois exerce un contrôle serré sur de nombreux aspects de la société chinoise, dont l'éducation supérieure, et de nombreux étudiants chinois vont se former à l'étranger.

Près de 1300 Chinois

Près de 1300 étudiants chinois sont actuellement inscrits à Harvard selon les chiffres officiels et environ 280'000 étudient dans d'autres universités aux Etats-Unis.

"La Chine s'est toujours opposée à la politisation de la coopération éducative", a réagi vendredi le ministère chinois des Affaires étrangères, estimant que cette démarche "ne fera que nuire à l'image et à la réputation internationale des Etats-Unis".

Il y a également environ 550 étudiants allemands à Harvard. La ministre allemande pour la Recherche, Dorothee Bär, s'est dite "très, très préoccupée par ce qui se passe aux Etats-Unis en ce moment" et par cette "très, très mauvaise décision".

"La décision du gouvernement américain (...) m'attriste beaucoup. Ce n'est pas un signal positif, ni pour la jeune génération, ni pour le monde libre", a-t-elle poursuivi.

"Illégales et injustifiées"

Dans son bras de fer, le gouvernement américain avait coupé 2,7 milliards de dollars de subventions à Harvard. L'université, l'une des plus riches au monde, a dénoncé ces coupes devant les tribunaux disant ne pas vouloir sacrifier sa liberté académique pour tenter de récupérer ces fonds.

Selon la ministre américaine de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, la décision du gouvernement fédéral de retirer à Harvard son droit de recevoir des étudiants étrangers pourrait aussi priver l'institution d'importants deniers.

La ministre a assorti jeudi sa décision choc d'un ultimatum: si Harvard veut retrouver ce "privilège", elle doit fournir dans les 72 heures toute une série d'informations dont elle disposerait sur d'hypothétiques activités "illégales" de ses étudiants étrangers dans les cinq dernières années.

"Nous condamnons ces mesures illégales et injustifiées", a répliqué vendredi dans un communiqué le président de Harvard, Alan Garber, précisant que cette décision "mettait en péril le futur de milliers d'étudiants" de l'université et servait "d'avertissement" à ceux qui avaient choisi les Etats-Unis pour étudier et "réaliser leurs rêves".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à 81 ans

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Sebastiao Salgado devant l'une de ses oeuvres lors d'une exposition à Lausanne en 2013 (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BRUN)

Le photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à 81 ans, a annoncé vendredi l'Académie des Beaux-Arts française, dont il était membre. Il était connu pour ses grands photos en noir et blanc de conflits ou de la forêt amazonienne.

"Laurent Petitgirard, secrétaire perpétuel, les membres et correspondants de l'Académie des beaux-arts ont l'immense tristesse de faire part du décès, ce vendredi 23 mai à l'âge de 81 ans, de leur confrère Sebastião Salgado", a écrit l'Académie. L'institution avait élu parmi les siens en 2016 ce "grand témoin de la condition humaine et de l'état de la planète".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

France: 20 ans de prison requis contre le chirurgien pédophile

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L'avocat général Stephane Kellenberger (à dr.) a demandé la peine maximale de 20 ans de prison assortie de mesures de sûreté à l'encontre du chirurgien pédocriminel Joèel Le Souarnec. EPA/TERESA SUAREZ (© KEYSTONE/EPA/TERESA SUAREZ)

Une peine maximale de 20 ans de réclusion assortie d'une série de mesures de sûreté en raison du "risque très élevé de récidive", a été requise vendredi contre l'ex-chirurgien pédocriminel Joël Le Scouarnec. Le verdict sera prononcé dans quelques jours.

Devant la cour criminelle du Morbihan à Vannes, l'avocat général Stéphane Kellenberger a demandé aux juges de prononcer vingt années de réclusion criminelle avec une "période de sûreté spéciale des deux-tiers eu égard à la gravité" des faits reprochés à l'accusé, jugé pour des viols et agressions sexuelles aggravés sur 299 personnes, pour la plupart des patients mineurs au moment des faits.

Il a également requis une mesure spéciale de "rétention de sûreté", s'appliquant après qu'un condamné a purgé sa peine, "du fait des troubles graves de sa personnalité et de la dangerosité induites par ces troubles en termes de risques très élevés de récidive".

Le magistrat a aussi demandé un suivi socio-judiciaire pendant 20 ans, une injonction de soins avec "sept ans supplémentaires encourus en cas d'infraction".

Joël Le Scouarnec (74 ans) doit en outre être interdit définitivement d'exercer la médecine ou une autre profession dans le domaine de la santé, et ne plus avoir le droit d'exercer auprès de mineurs, mais aussi de posséder un animal, en raison de sa zoophilie, a exigé M. Kellenberger.

L'ex-chirurgien doit aussi être privé pour dix ans de ses droits civiques et de famille, a estimé le représentant du ministère public, qui a également demandé une interdiction de séjour dans les régions Bretagne, Centre-Val-de-Loire, Pays de Loire, Normandie et Île-de-France "pour préserver les victimes de la terreur" de le croiser.

"La peine maximum, c'est celle qui était attendue (...) avec quelques petites surprises comme l'interdiction de détenir un animal (...) ou d'être dans les départements", a réagi Me Louise Aubret-Lebas, avocate de victimes. "Mes clients y sont très sensibles."

"Le diable"

Pendant trois heures, l'avocat général a repris le fil de ce procès commencé le 24 février, un "procès hors-norme (qui) a été au-delà de l'abjection et de l'entendement."

Un procès qui ne sera pas le dernier: "il y aura probablement une autre procédure Le Scouarnec" concernant d'autres victimes potentielles, a ainsi déclaré le magistrat. "Vous étiez le diable et il s'habille parfois en blouse blanche", a-t-il lancé.

Tout au long de son réquisitoire, M. Kellenberger a avancé sur une ligne parfois ténue pour justifier les décisions du parquet de Lorient, critiquées par certaines parties civiles.

"Dans une affaire d'une telle ampleur", s'étendant de 1989 à 2014 et sur de multiples départements, la justice ne pouvait pas identifier chacune des victimes, ou pas dans les délais impartis pour ce procès ouvert le 24 février devant la cour criminelle du Morbihan, a expliqué M. Kellenberger.

Mais "ces victimes ne sont pas oubliées" et "des investigations complémentaires sont en cours et pourront donner lieu à un procès", a-t-il souligné. De même, le parquet de Lorient a ouvert une enquête distincte "contre X pour non-empêchement de crime et de délit", a rappelé le magistrat. "Joël Le Scouarnec devait-il être seul dans le box?"

Enfin, il a semblé faire son mea culpa concernant "la maladresse" avec laquelle les victimes avaient appris de la bouche des enquêteurs leur présence dans les carnets de l'accusé, qui y décrivait scrupuleusement les violences sexuelles qu'il leur infligeait.

"A la hauteur des enjeux"

Pour Stéphane Kellenberger, "aucune circonstance n'a jamais freiné Joël Le Scouarnec, aucune sauf son emprisonnement". Arrêté en juin 2017, Joël Le Scouarnec purge actuellement une première peine de 15 ans de prison pour des violences sexuelles sur quatre enfants.

Le cumul des peines n'existant pas dans le droit français, l'accusé n'effectuera peut-être pas l'entièreté des 20 ans requis par M.Kellenberger, a-t-il rappelé. Aux Etats-Unis, il aurait à purger "deux millénaires".

Mais la cour, a insisté le magistrat, ne peut "aller en deçà" de cette peine maximale de 20 ans: "cela n'aurait aucun sens pour les victimes et l'accusé lui-même."

Un réquisitoire "à la hauteur des enjeux" même si "nous avons de nombreux désaccords", a salué l'un des avocats de la défense, Me Maxime Tessier, qui a souhaité réserver ses arguments pour sa plaidoirie lundi. Le verdict est attendu le 28 mai.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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