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International

Des milliers d'Américains dans la rue contre Trump

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Des milliers d'Amércains sont à nouveau descendus dans la rue samedi pour manifester contre la politique de Donald Trump. (© KEYSTONE/EPA/CRISTOBAL HERRERA-ULASHKEVICH)

Des milliers d'Américains sont descendus dans la rue samedi à New York et dans d'autres grandes villes du pays pour une deuxième journée de mobilisation anti-Trump en l'espace de deux semaines.

"Pas de roi en Amérique" ou "Résistons à la tyrannie" peut-on lire sur des pancartes à la manifestation new-yorkaise, à côté d'images du président américain affublé d'une moustache à la Hitler.

"La démocratie court un grand danger", déclare à l'AFP Kathy Valy, 73 ans, une descendante de survivants de la Shoah, qui affirme que ce que lui ont raconté ses parents à propos de la montée du nazisme dans les années 1930 "est en train de se passer ici".

"La différence avec les autres fascistes (...) c'est que Trump est trop bête pour être efficace et son équipe est divisée", se rassure-t-elle.

Les manifestants dénoncent particulièrement la politique anti-immigration de la Maison Blanche, au moment où la Cour suprême a suspendu les expulsions d'immigrés sur la base d'une loi de 1798 sur "les ennemis étrangers".

"Les immigrés sont les bienvenus ici", crient les manifestants réunis devant la bibliothèque de la plus grande ville des Etats-Unis, à quelques encablures de la célèbre Trump Tower du milliardaire.

Des contestataires sont aussi rassemblés devant la Maison Blanche à Washington, quoiqu'en nombre apparemment inférieurs à la précédente mobilisation le samedi 5 avril, qui avait réuni des dizaines de milliers de personnes.

Elon Musk aussi visé

Des rassemblements ont également été signalés à l'extérieur de concessions Tesla, la marque automobile propriété d'Elon Musk, le milliardaire chargé par Donald Trump d'une cure d'amaigrissement drastique dans la fonction publique.

La mobilisation est organisée par un groupement baptisé 50501, un chiffre correspondant à 50 manifestations dans les 50 Etats du pays et aboutissant à 1 mouvement unique d'opposition au milliardaire républicain.

Le mouvement constitue "une réponse décentralisée rapide aux actes anti-démocratiques et illégaux de l'administration Trump et de ses alliés ploutocrates", explique-t-il sur son site internet.

Selon cette organisation, quelque 400 manifestations sont prévues dans la journée et 50501 appelle 11 millions de personnes à descendre dans la rue, un chiffre très probablement supérieur à celui du 5 avril.

Les chiffres réels sont difficiles à obtenir, de nombreux services de police se refusant à fournir des estimations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Munich: une femme poignarde des passants, la police l'abat

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La police allemande est intervenue à Munich, samedi soir, où une femme a poignardé plusieurs personnes. (Photo d'archive). (© KEYSTONE/DPA/DAVID INDERLIED)

Après avoir attaqué plusieurs personnes au couteau, une femme a été abattue par la police sur la Theresienwiese à Munich, samedi soir. Selon les informations de la police, les agents ont tiré sur la trentenaire. Transportée à l'hôpital, elle a succombé à ses blessures.

La femme a d'abord blessé au couteau un homme de 56 ans dans la Westendstrasse, derrière la Theresienwiese, a indiqué la police. Il a été légèrement blessé et a reçu un traitement ambulatoire. Un peu plus tard, elle a blessé au couteau une femme de 25 ans à la Schwanthalerhöhe. La gravité de ses blessures n'était pas claire au début, mais il n'y a pas de danger de mort.

La femme de 30 ans a continué à manipuler le couteau. La police a alors tiré. Transportée à l'hôpital, elle y est décédée des suites de ses blessures.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa

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Football

La Suisse remporte son premier match aux Etats-Unis

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Dan Ndoye a inscrit le but du 3-1 face au Mexique. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'équipe de Suisse a entamé sa tournée américaine par une victoire samedi face au Mexique en match amical. La sélection de Murat Yakin s'est imposée 4-2 à Salt Lake City.

Ce premier match aux Etats-Unis n'a pas été parfait. La Suisse a paru fébrile par moments, mais elle s'est aussi montrée diablement efficace pour battre une formation mexicaine jamais facile à manoeuvrer.

Habitué des surprises, Yakin avait fait le choix d'aligner Aurèle Amenda en défense centrale et Silvan Widmer sur le flanc droit. Avec Fabian Rieder, titularisé en attaque, le Bâlois faisait confiance à trois hommes loin d'être indiscutables en club.

Le manque de rythme d'Amenda et de Widmer s'est d'ailleurs fait ressentir en début de match, même si le Biennois a pris confiance au fil des minutes dans un Rice-Eccles Stadium un brin moins rempli qu'annoncé (41'508 spectateurs), mais dans lequel les supporters mexicains ont mis une belle ambiance.

Le sang-froid d'Embolo

La défense suisse a ainsi paru fébrile par moments, jusqu'à l'ouverture du score signée Breel Embolo. Parfaitement lancé par Ricardo Rodriguez, le Bâlois a inscrit son 17e but en sélection avec beaucoup de sang-froid, devançant la sortie du gardien mexicain Raul Rangel (20e).

Les joueurs de Murat Yakin ont ensuite pris le contrôle du match et auraient pu faire le break avant la pause. Mais Dan Ndoye (22e) et Widmer (40e) ont buté sur Rangel tandis que Vincent Sierro (34e) a touché la barre transversale.

Les introductions d'Ardon Jashari (pour Granit Xhaka) et d'Ulisses Garcia (pour Rodriguez) après le thé ont quelque peu perturbé l'équilibre helvétique. Et c'est une intervention ratée du latéral gauche genevois qui a offert l'égalisation à la Tri (51e Gimenez).

Deuxième mi-temps spectaculaire

Mais la Suisse a montré une belle réaction sous la chaleur de l'Utah. Peu après avoir remplacé Embolo, Zeki Amdouni, oublié dans par la défense mexicaine, a redonné l'avantage à ses couleurs (64e) avant que Dan Ndoye ne marque le troisième but d'un tir létal au premier poteau (71e).

La réduction du score rapide du Mexique à la 75e signée Angel Sepuvelda a donné l'espoir d'une remontée aux supporters de la Tri. Mais Fabian Rieder a assuré le succès des Suisses en fin de match (90e).

Forts de cette victoire, les hommes de Murat Yakin s'envoleront dimanche pour le Tennessee. Mardi à Nashville (mercredi 2h00 en Suisse), ils défieront les Etats-Unis avec l'espoir de conclure cette tournée américaine sur un deuxième succès.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Sierro et Amenda titulaires, Jashari sur le banc

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Vincent Sierro est titularisé par Murat Yakin pour le troisième match de rang. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Ardon Jashari devra encore attendre avant de fêter sa première titularisation avec la Suisse. Murat Yakin a préféré aligner Vincent Sierro au milieu pour affronter le Mexique à Salt Lake City samedi.

Le forfait de Denis Zakaria a également changé les plans du sélectionneur, qui n'avait pas caché son envie d'aligner le Genevois dans une défense à trois. Il a finalement opté pour une ligne de quatre, dans laquelle Aurèle Amenda va faire la paire avec Manuel Akanji. Ricardo Rodriguez et Silvan Widmer devraient occuper les côtés.

La Suisse devrait selon toute vraisemblance évoluer dans un 4-3-3 avec Granit Xhaka, Remo Freuler et Sierro dans l'entrejeu et Dan Ndoye, Breel Embolo et Fabian Rieder en attaque.

La composition suisse: Kobel; Widmer, Amenda, Akanji, Rodriguez; Xhaka, Sierro, Freuler; Rieder, Embolo, Ndoye.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Trump menace Musk de représailles s'il s'oppose aux républicains

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Donald Trump et Elon Musk semblent bien loin d'un potentiel rabibochage (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le président américain Donald Trump a menacé dans une interview samedi son ancien allié Elon Musk de "très lourdes conséquences" s'il tentait de nuire à des élus républicains, deux jours après leur violente rupture qui a éclaté aux yeux du monde entier.

Malgré une accalmie apparente depuis vendredi, les deux hommes s'étant souhaité mutuellement "bonne chance" et Elon Musk ayant supprimé plusieurs messages accusateurs et menaçants, les deux hommes semblent décidément bien loin d'un potentiel rabibochage.

Née d'un désaccord sur la vaste loi budgétaire voulue par le républicain, la rupture entre le président de la première puissance mondiale et l'homme le plus riche de la planète pourrait être porteuse de lourdes conséquences politiques et économiques.

Interrogé sur la possibilité que le richissime entrepreneur finance des candidats démocrates en campagne contre des élus républicains soutenant ce texte, Donald Trump a répondu à la chaîne NBC: "s'il le fait, il devra en payer les conséquences".

"Il devra faire face à de très lourdes conséquences", a-t-il ajouté, sans détailler la nature de ces potentielles répercussions.

"Très irrespectueux"

Après des mois d'une alliance idyllique savamment mise en scène, Donald Trump et Elon Musk se sont déchirés publiquement jeudi à coup de messages interposés sur leurs réseaux sociaux respectifs, s'accusant de "folie" pour le premier, "d'ingratitude" pour le second.

Interrogé sur l'avenir de leur relation, le président américain a déclaré samedi n'avoir "aucun" désir de renouer avec M. Musk et "aucune intention de lui parler". "Il est très irrespectueux. On ne peut pas manquer de respect à la fonction présidentielle", a-t-il encore dit.

Après être resté longtemps silencieux face aux attaques incessantes de l'entrepreneur contre sa "grande et belle loi", un texte qui prévoit d'énormes allègements fiscaux, de lourdes dépenses pour la défense et des coupes dans les prestations sociales, Donald Trump a fini par répliquer jeudi vertement.

Le qualifiant de "fou", le président a menacé "d'annuler les subventions et contrats gouvernementaux" du patron de Tesla et SpaceX, ce dernier ripostant avec une flopée de posts dans lesquels il a notamment accusé Donald Trump d'être impliqué dans l'affaire Jeffrey Epstein, du nom d'un financier accusé d'exploitation sexuelle de mineures.

"Pas nouveau"

"Il est temps de lâcher la grosse bombe: (Trump) est dans les dossiers Epstein", avait-il ainsi écrit sur X. "C'est la véritable raison pour laquelle ils n'ont pas été rendus publics."

Ce message, comme d'autres publiés ou partagés le même jour par le multimilliardaire, dont l'un appelait à destituer le président, n'étaient plus visibles sur son compte samedi.

Interrogé par NBC sur ses liens amicaux passés avec le financier, mis en avant par Elon Musk, le républicain a répondu samedi: "ce n'est pas nouveau, on en parle depuis des années".

Si Donald Trump l'a côtoyé, il a toujours nié avoir passé du temps dans la propriété d'Epstein sur les îles Vierges américaines où, selon les procureurs, le financier se livrait à un trafic sexuel avec des jeunes filles mineures.

L'histoire de Jeffrey Epstein, au coeur d'un vaste scandale international de crimes et d'exploitation sexuels et qui s'est suicidé en prison en 2019 avant d'être jugé, alimente de nombreuses théories complotistes et obsède une partie de la droite radicale américaine.

"Même l'avocat d'Epstein a dit que je n'avais rien à voir avec cela", a réaffirmé Donald Trump samedi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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