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International

Huitième sacre de Marcel Hug à Boston

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Marcel Hug a remporté son 8e marathon de Boston (© KEYSTONE/EPA/CJ GUNTHER)

Marcel Hug a remporté pour la huitième fois le marathon de Boston en fauteuil roulant. Chez les dames, deux Suissesses, Catherine Debrunner et Manuela Schär, sont montées sur le podium.

Sur les 42,195 kilomètres, Marcel Hug a couvert la distance en 1h21'34, soit plus de six minutes de plus que son record de l'année précédente, qu'il avait réalisé malgré une chute. Mais le Thurgovien de 39 ans n'a pas été sérieusement inquiété par la concurrence lors de sa cinquième victoire consécutive à Boston. Le septuple vainqueur des Jeux paralympiques a distancé l'Américain Daniel Romanchuk, 2e, de trois bonnes minutes et demie.

"Cela signifie beaucoup pour moi de gagner cette année, 50 ans de course en fauteuil roulant à Boston, a déclaré Hug à l'arrivée. Pour moi, il me faudra du temps pour comprendre ce que cela signifie de gagner huit fois. C'est un chiffre tellement incroyable."

Dans la course féminine, Catherine Debrunner et Manuela Schär n'ont dû s'avouer vaincues que par l'Américaine Susannah Scaroni. Le trio était encore à égalité à mi-parcours avec la gagnante de l'année dernière, Eden Rainbow-Cooper, mais Scaroni a franchi la ligne d'arrivée avec près de deux minutes d'avance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

USA: Mahmoud Khalil libéré d'un centre de détention fédéral

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L'activiste palestinien Mahmoud Khalil s'est exprimé après sa libération d'un centre de détention fédéral. (© KEYSTONE/AP/Matthew Hinton)

Figure clé des manifestations propalestiniennes sur le campus de l'université Columbia, Mahmoud Khalil a été libéré vendredi soir après plus de trois mois de détention sur ordre d'un juge américain qui s'est dressé contre l'administration Trump.

"Trump et son administration ont choisi la mauvaise personne", a déclaré M.Khalil, revêtant un keffieh palestinien, à sa sortie du centre de détention pour immigrants de Jena, en Louisiane (sud) qu'il a qualifié de "musée témoignant des politiques racistes des Etats-Unis". "Personne ne devrait être écroué pour dénoncer un génocide", a-t-il ajouté.

Depuis son arrestation à New York le 8 mars, pour son rôle de porte-parole de la contestation contre la guerre à Gaza sur le campus new-yorkais, Mahmoud Khalil est devenu le symbole de la volonté du président américain Donald Trump de museler ce mouvement étudiant.

Après son interpellation par la police fédérale de l'immigration (ICE), Mahmoud Khalil, né en Syrie de parents palestiniens, titulaire d'une carte verte de résident permanent, avait été transféré à près de 2000 kilomètres dans ce centre en Louisiane.

La semaine dernière, le juge Michael Farbiarz du tribunal fédéral du New Jersey, près de New York, avait décrété que le gouvernement ne pouvait détenir M.Khalil en se basant sur les affirmations du secrétaire d'Etat Marco Rubio. Selon ce dernier, sa présence sur le sol américain posait "potentiellement des conséquences sérieuses pour la politique étrangère" américaine.

"Réduire au silence"

Mais le ministère de la Justice avait rétorqué qu'il ne serait "pas illégal" de détenir M.Khalil sur la base d'un autre motif d'accusation, ce qui avait poussé le juge à surseoir à sa libération.

Dans un nouveau rebondissement de cette saga juridico-politico-universitaire, le juge Farbiarz a ordonné vendredi la libération, le jour même, de M.Khalil. Une décision fustigée par l'administration Trump qui a accusé "le pouvoir judiciaire de miner la sécurité nationale".

En vertu de ces conditions de libération, M.Khalil ne sera pas autorisé à quitter le territoire américain, hormis dans le cas d'une démarche "d'auto-expulsion", et devra limiter ses déplacements à quelques Etats, dont celui de New York, où il réside, et celui du Michigan, d'où est originaire son épouse, qui a donné naissance à leur fils, Deen, alors qu'il était en détention.

"Après plus de trois mois, nous pouvons enfin pousser un soupir de soulagement et savoir que Mahmoud est sur le chemin du retour, auprès de moi et de Deen, qui n'aurait jamais dû être séparé de son père", a réagi son épouse Noor Abdalla, accusant le gouvernement Trump de "tenter de réduire au silence" ceux qui "dénoncent le génocide israélien à l'encontre des Palestiniens".

Cas emblématique

"Il s'agit d'une victoire, mais il n'aurait jamais dû être arrêté en premier lieu", a déclaré à l'AFP Elora Mukherjee, professeure de droit à l'université Columbia pour qui la mesure "obscure" évoquée pour écrouer Mahmoud Khalil n'avait "jamais" été utilisée auparavant, selon ses recherches, sur le titulaire d'un permis de résidence.

Emblématique, le cas de Mahmoud Khalil s'inscrit dans le cadre d'une charge du gouvernement Trump contre des universités qu'il accuse de ne pas avoir suffisamment protégé des étudiants juifs pendant les manifestations étudiantes contre la guerre dévastatrice d'Israël dans la bande de Gaza.

Et plus généralement contre une idéologie dite "woke", terme utilisé de manière péjorative par les conservateurs pour dénoncer ce qu'ils perçoivent comme un excès de militantisme en faveur des minorités.

L'ami de Mahmoud Khalil, Mohsen Mahdawi, cofondateur d'un groupe d'étudiants palestiniens à Columbia, avait été arrêté le 14 avril par des agents de l'ICE avant d'être libéré sous conditions deux semaines plus tard par une décision de justice.

Et début mai, un juge avait ordonné la libération de Rumeysa Ozturk, une doctorante turque de l'université Tufts dans le Massachusetts, arrêtée par des agents de l'ICE pour un article qu'elle avait cosigné dans son journal universitaire critiquant la façon dont son établissement gérait le mouvement de protestation contre la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza.

Lors de la cérémonie de la remise des diplômes, fin mai, à Columbia, la présidente de l'université avait été copieusement huée par des étudiants qui lui reprochaient de ne pas avoir défendu Mahmoud Khalil, arrêté dans une résidence de l'université et de céder aux pressions de Trump.

En sens contraire, le président de l'université Harvard avait reçu une ovation monstre de ses étudiants pour avoir défendu les libertés d'expression et académique face à cette offensive de Washington.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Guerre Iran-Israël: les derniers développements

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L'USS Gerald Ford va reprendre la route maritime des eaux européennes. (© KEYSTONE/EPA ANA-MPA/GEORGE VITSARAS)

Voici les derniers développements samedi, au neuvième jour de la guerre entre l'Iran et Israël, marqué par une affirmation israélienne selon laquelle le programme militaire nucléaire iranien aurait été retardé d'au moins deux ans.

"Deux ou trois ans" de retard pour une éventuelle bombe iranienne

Israël estime avoir "déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, a déclaré le ministre des affaires étrangères israélien Gideon Saar dans un entretien au journal allemand Bild publié samedi, jugeant le résultat de l'offensive israélienne "très significatif".

"Campagne prolongée"

Israël doit se préparer à une "campagne prolongée" contre l'Iran, a déclaré le chef d'état-major de l'armée israélienne Eyal Zamir dans un message vidéo adressé aux "citoyens d'Israël", appelant la population à se préparer à "des jours difficiles".

Négocier "sans attendre"

L'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ont exhorté l'Iran à négocier "sans attendre l'arrêt des frappes" israéliennes, après une rencontre à Genève avec le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi.

Ils ont appelé Téhéran "poursuivre les discussions avec les Etats-Unis" sur son programme nucléaire.

"Deux semaines"

Le président américain Donald Trump, qui s'était donné jeudi "deux semaines" pour décider d'une éventuelle participation militaire des Etats-Unis aux frappes contre l'Iran, a affirmé vendredi que cette date butoir était un "maximum" et qu'il pourrait prendre sa décision avant. "L'Iran ne veut pas parler à l'Europe. Ils veulent nous parler à nous. L'Europe ne va pas pouvoir aider sur ce sujet", a-t-il déclaré.

Pas de diplomatie avant l'arrêt de "l'agression"

M.Araghchi a affirmé, lui, que son pays était prêt à "envisager" un retour à la diplomatie avec les Etats-Unis "une fois l'agression" israélienne "stoppée".

"Nous sommes favorables à la poursuite des discussions avec l'E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni Ndlr) et l'Union européenne", a-t-il néanmoins dit.

Iran: 657 morts selon une ONG

Au moins 657 civils et militaires ont été tués et plus de 2000 blessés en Iran par les frappes israéliennes depuis le 13 juin, selon l'organisation Human Rights Activists News Agency (HRANA) basée aux Etats-Unis.

Explosions à Téhéran

Plusieurs explosions ont été entendues vendredi soir à Téhéran. Les défenses anti-aériennes ont été activées selon un média iranien.

L'armée israélienne a annoncé plus tôt avoir visé des lanceurs de missiles dans le sud-ouest de l'Iran, et frappé des cibles à Téhéran, Ispahan (centre) et dans l'ouest du pays.

Inspections "incontestables"

Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a assuré que son organisation pouvait "garantir", par un système d'inspections "incontestables", que l'Iran ne pourrait pas développer l'arme nucléaire.

"Une solution diplomatique est possible si la volonté politique est là. Des éléments d'un accord ont été discutés", a-t-il dit.

19 blessés à Haïfa

L'hôpital Rambam de Haïfa a annoncé avoir pris en charge 19 blessés, dont un dans un état grave, après des tirs de missiles iraniens sur cette ville du nord d'Israël.

Un 3e porte-avions américain vers le Moyen-Orient

L'USS Gerald Ford, le dernier-né des porte-avions américains, va prendre la semaine prochaine la route de l'Europe, a annoncé un responsable de la Marine, qui place ainsi un troisième porte-avions à proximité du Moyen-Orient.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Mondial des clubs: Flamengo terrasse Chelsea

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Les Brésiliens de Flamengo ont renversé les Blues à Philadelphie. (© KEYSTONE/AP/Derik Hamilton)

Flamengo a effectué un grand pas vers la qualification pour les 8es de finale du Mondial des clubs. Les Brésiliens ont battu les Blues de Chelsea 3-1, vendredi à Philadelphie.

La formation de Rio, déjà victorieuse de l'Espérance de Tunis 2-0, compte désormais six points avant d'affronter le Los Angeles FC, mercredi, alors que les Blues devront aller chercher leur billet contre l'équipe tunisienne.

Chelsea a ouvert la marque par Pedro Neto (14e), auteur de son deuxième but du tournoi, mais Flamengo a réussi à égaliser grâce à Bruno Henrique (62e) avant de passer devant au tableau d'affichage par l'intermédiaire de Danilo (65e) et de Wallace Yan (83e). Chelsea a terminé la partie à dix après l'exclusion de Nicolas Jackson (68e).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Jason Joseph égale son record de Suisse

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Jason Joseph (à gauche) a réussi une belle remontée en fin de course. (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

Jason Joseph a égalé son record de Suisse du 110 m haies vendredi au meeting de Paris (13''07). Le Bâlois a pris la troisième place de cette course disputée dans le cadre de la Diamond League.

Déjà auteur d'un très bon chrono en séries (13''09), le médaillé de bronze des championnats d'Europe 2024 n'a été battu que par les Américains Trey Cunningham (13''00) et Dylan Beard (13''02) au stade Charléty. Le champion olympique Grant Holloway a terminé 5e, en 13''11.

Vainqueur du précédent 110 m haies de Diamond League à Rome il y a deux semaines, Joseph poursuit sa montée en puissance à trois mois des Mondiaux de Tokyo (13-21 septembre). Après un départ moyen, le hurdleur de 26 ans a fait parler sa puissance en fin de course pour rattraper plusieurs concurrents.

Joseph n'avait plus couru aussi vite depuis septembre 2023, lorsqu'il avait retranché un centième à son précédent record devant son public, à Bâle.

Moser bloquée à 4m63

Angelica Moser a de son côté pris la 4e place du concours de la perche. Après avoir passé la barre de 4m63 à son premier essai, la Zurichoise de 27 ans a raté ses trois tentatives à 4m73, comme lors du meeting de Stockholm la semaine passée.

La détentrice du record de Suisse (4m88) a été battue par trois Américaines: Katie Moon, Sandi Morris et Emily Grove.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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