International
Philippe en meeting à Marseille pendant que LR élit son chef

- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/05/bruno-retailleau-figure-parmi-les-favoris-archives-1000x600.jpg&description=Philippe en meeting à Marseille pendant que LR élit son chef', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Edouard Philippe tient samedi à Marseille un troisième "meeting inter-régional". Parallèlement à cette réunion, son ancien parti, Les Républicains (LR), élit son président, entre un Bruno Retailleau jugé compatible et un Laurent Wauquiez nettement plus fermé.
L'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron (2017-2020), fondateur et président du parti Horizons (2021), convie ses soutiens - plus de 1700 inscrits - au Parc Chanot, à proximité du stade Vélodrome. Le meeting, prévu initialement dimanche, a été avancé voici plusieurs semaines.
Dimanche soir, seront annoncés les résultats du congrès LR, qui oppose ces derniers mois le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau et le président du groupe à l'Assemblée, Laurent Wauquiez.
Edouard Philippe a d'ailleurs été invité dans les débats de cette campagne interne des LR, M. Wauquiez soupçonnant M. Retailleau d'envisager une alliance à son profit.
M. Wauquiez "veut la pureté de la droite, moi je souhaite rassembler, et les électeurs veulent que le pays passe avant le parti. Je n'ai rencontré personne sur le terrain me dire qu'il fallait qu'on se divise", a rétorqué Edouard Philippe dans le Parisien.
A deux ans du terme du second mandat d'Emmanuel Macron, Edouard Philippe domine les sondages dans le bloc central pour affronter le candidat du RN au deuxième tour de l'élection présidentielle.
"Justice" et "contrat social"
Le maire du Havre doit cependant composer, dans le camp macroniste, avec la potentielle candidature de Gabriel Attal et, sur sa droite, avec le retour au premier plan des Républicains, au gouvernement depuis le passage éphémère de Michel Barnier à Matignon.
Après avoir dévoilé sa méthode et son calendrier mi-mars à Lille, il doit aborder samedi les thèmes régaliens, et notamment celui de la justice. "Avec quelques propositions concrètes", précise à l'AFP M. Philippe, qui abordera la question de la formation des magistrats, des peines plancher et des peines ultra courtes et suggèrera "qu'on réfléchisse à la mission, voire à l'existence du juge d'application des peines".
"Imaginer transformer puissamment le pays sans l'idée de s'appuyer sur une plus grande justice est voué à l'échec", explique M. Philippe, qui va aborder "la question du contrat social, des injustices auxquelles les Français sont confrontés".
"Contrat social"
Le patron d'Horizons va aborder "l'injustice faite à la jeunesse: l'accès au logement, infiniment plus dur que les générations d'avant. Le système de financement de la protection sociale, qui repose essentiellement sur le travail et fait peser sur ses épaules un poids démentiel".
"Il faut traiter cette notion d'injustice, et la ré-instiller dans le contrat social", prône-t-il.
Avant le patron d'Horizons (15h45), devaient s'exprimer également le ministre de la Fonction publique Laurent Marcangeli, le maire de Nice et vice-président d'Horizons Christian Estrosi (ex-LR), le président de la région Renaud Muselier (Renaissance, ex-LR) et la présidente de la métropole d'Aix-Marseille Martine Vassal (LR).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Chine: les exportations ont bondi en juin, dépassant les prévisions
Les exportations chinoises ont bondi en juin, selon des données officielles publiées lundi, dépassant les prévisions des économistes. Washington et Pékin ont conclu un accord provisoire pour réduire leurs tensions commerciales.
Selon les douanes chinoises, les exportations ont grimpé de 5,8% sur un an en juin, dépassant les prévisions d'économistes sondés par l'agence Bloomberg, qui tablaient sur une hausse de 5%. Les importations ont également grimpé de 1,1% sur la même période par rapport à l'an passé, dépassant les attentes (+0,3%).
L'an dernier, les exportations chinoises ont atteint des niveaux records, faisant office de moteur pour une économie en perte de vitesse.
La Chine peine à maintenir ses niveaux de croissance passés depuis la fin de la pandémie de Covid-19, en raison d'une longue crise du secteur immobilier, d'une consommation intérieure chroniquement faible et d'un chômage élevé chez les jeunes. La guerre commerciale avec les Etats-Unis, déclenchée au début de l'année par le président américain Donald Trump, a aggravé la situation.
Deuxième trimestre incertain
"La vigueur des exportations contribue en partie à compenser la faiblesse de la demande intérieure et devrait permettre de maintenir la croissance du PIB autour de l'objectif gouvernemental de 5% au deuxième trimestre", analyse l'économiste Zhiwei Zhang, de Pinpoint Asset Management.
Mais "les perspectives pour le second semestre de l'année restent incertaines", ajoute-t-il. Washington et Pékin se sont, certes, accordés sur le cadre d'un accord lors de discussions à Londres le mois dernier, mais les différends persistent.
Selon les données des douanes chinoises, les exportations chinoises à destination des Etats-Unis ont augmenté de 32,4% en juin par rapport au mois précédent. La Chine a expédié quelque 38,2 milliards de dollars de marchandises vers les Etats-Unis le mois dernier, contre 28,8 milliards de dollars en mai.
Pékin "espère que les Etats-Unis continueront de travailler avec la Chine dans la même direction", a déclaré lundi le responsable des douanes chinoises, Wang Lingjun, lors d'une conférence de presse rapportée par la chaîne publique CCTV.
"Le chantage et la coercition ne mènent nulle part. Le dialogue et la coopération sont la bonne voie à suivre", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump veut que la question de Gaza soit réglée la semaine prochaine
Le président américain Donald Trump a dit dimanche espérer que la question de la bande de Gaza soit "réglée" la semaine prochaine. Les tractations entre Israël et le Hamas palestinien pour parvenir à un cessez-le-feu piétinent ces derniers jours.
Les deux camps s'accusent mutuellement d'enrayer les négociations lancées le 6 juillet à Doha par l'intermédiaire du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, pour mettre fin à 21 mois de guerre déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023.
"Sur Gaza, nous discutons et nous espérons que ce sera réglé la semaine prochaine", a dit M. Trump dimanche soir, réitérant ses déclarations optimistes du 4 juillet.
Une source palestinienne avait affirmé samedi que les négociations en vue d'une trêve rencontraient "des obstacles" et que le Hamas rejetait "totalement" un plan d'Israël prévoyant le maintien de ses forces "sur plus de 40% de la superficie de Gaza".
"Déplacement forcé"
Selon cette source, l'objectif d'Israël est "d'entasser des centaines de milliers de déplacés" dans le sud de Gaza, "en préparation d'un déplacement forcé de la population vers l'Egypte ou d'autres pays".
Une deuxième source palestinienne a néanmoins fait état de "progrès" sur les questions liées à l'entrée de l'aide humanitaire et l'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.
"Israël a démontré sa volonté de faire preuve de flexibilité dans les négociations", a rétorqué un responsable israélien, en accusant le Hamas de chercher "à saboter les négociations".
Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a réaffirmé ces derniers jours les objectifs d'Israël: libérer les otages, désarmer le Hamas et le chasser de Gaza, où le mouvement islamiste a pris le pouvoir en 2007.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les Etats-Unis vont envoyer des systèmes Patriot à l'Ukraine
Les États-Unis vont envoyer des systèmes de défense antiaérienne Patriot à l'Ukraine pour l'aider à répondre aux frappes russes, a annoncé dimanche le président américain Donald Trump, alors que sa relation avec son homologue russe Vladimir Poutine s'est dégradée.
"Nous leur enverrons des Patriots, dont ils ont désespérément besoin", a déclaré Donald Trump, deux semaines après que Washington a annoncé la suspension de certaines livraisons d'armes à Kiev. "Je n'ai pas encore décidé du nombre, mais ils vont en avoir, parce qu'ils ont besoin de protection", a-t-il ajouté.
La livraison d'armes fera partie d'un accord impliquant l'OTAN, qui paiera les États-Unis pour des armes qu'elle enverra à l'Ukraine, selon M. Trump. "Nous allons, en fait, leur envoyer divers équipements militaires très sophistiqués et ils vont nous les payer à 100%", a déclaré Donald Trump.
"Déçu" par Poutine
Le président américain a répété qu'il était "déçu" par son homologue russe, pointant les intenses frappes russes qui ont continué à s'abattre sur l'Ukraine, sans cessez-le-feu en vue. "Poutine a vraiment surpris beaucoup de gens. Il parle gentiment et, ensuite, il bombarde tout le monde le soir", a déclaré M. Trump, visiblement mécontent.
Donald Trump avait au début de son mandat tenté de convaincre Vladimir Poutine de négocier sur la fin du conflit.
L'émissaire américain Keith Kellogg doit entamer une nouvelle visite en Ukraine lundi.
Donald Trump a également précisé qu'il rencontrerait le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, lundi, date à laquelle il a annoncé précédemment avoir "une déclaration importante à faire sur la Russie".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Visite d'Etat de Trump au Royaume-Uni fixée du 17 au 19 septembre
La visite d'Etat du président américain Donald Trump au Royaume-Uni a été fixée du 17 au 19 septembre, a annoncé lundi le palais de Buckingham. C'est la première fois qu'un chef d'Etat est invité deux fois par Londres pour une visite d'Etat.
Le locataire de la Maison-Blanche et son épouse Melania seront accueillis par le roi Charles III, chef d'Etat britannique, et la reine Camilla, au château de Windsor près de Londres.
Donald Trump avait été invité par une lettre du souverain que lui avait remise le premier ministre Keir Starmer en février dernier. L'invitation avait été qualifiée quelques minutes plus tard d'"immense honneur" par le président américain.
Accueilli par la reine
Lors de son premier mandat, Donald Trump avait été reçu en 2019 par la reine Elizabeth II, qui lui avait fait les honneurs de Buckingham Palace et avait présidé un banquet en son honneur.
Contrairement au président français Emmanuel Macron qui a pu s'exprimer devant le Parlement britannique lors de sa récente visite d'Etat, il n'est pas prévu que Donald Trump s'adresse devant la chambre des Communes à Westminster, en raison d'un problème de calendrier.
En effet, la chambre basse du Parlement britannique ne siègera pas au moment de la visite du président américain pour cause de pause parlementaire liée aux congrès de rentrée des partis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
ClimatIl y a 3 jours
Directeur de Festi'neuch: "A aucun moment, j'ai eu envie de partir"
-
LausanneIl y a 3 jours
Vaud finance la formation de spécialistes de l'énergie
-
InternationalIl y a 3 jours
L'assistant IA Grok consulte l'opinion de Musk avant de répondre
-
InternationalIl y a 3 jours
Tadej Pogacar fait coup double à Mûr-de-Bretagne
-
InternationalIl y a 3 jours
Une touriste allemande survit à 12 jours d'errance dans la brousse australienne
-
InternationalIl y a 3 jours
L'aéroport londonien d'Heathrow veut investir 10 milliards en 5 ans
-
InternationalIl y a 2 jours
Catastrophe d'Air India: l'alimentation en carburant coupée
-
InternationalIl y a 3 jours
Une enquête ouverte en France contre X (ex-Twitter)