International
Les Etats-Unis vont envoyer des systèmes Patriot à l'Ukraine
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Les États-Unis vont envoyer des systèmes de défense antiaérienne Patriot à l'Ukraine pour l'aider à répondre aux frappes russes, a annoncé dimanche le président américain Donald Trump, alors que sa relation avec son homologue russe Vladimir Poutine s'est dégradée.
"Nous leur enverrons des Patriots, dont ils ont désespérément besoin", a déclaré Donald Trump, deux semaines après que Washington a annoncé la suspension de certaines livraisons d'armes à Kiev. "Je n'ai pas encore décidé du nombre, mais ils vont en avoir, parce qu'ils ont besoin de protection", a-t-il ajouté.
La livraison d'armes fera partie d'un accord impliquant l'OTAN, qui paiera les États-Unis pour des armes qu'elle enverra à l'Ukraine, selon M. Trump. "Nous allons, en fait, leur envoyer divers équipements militaires très sophistiqués et ils vont nous les payer à 100%", a déclaré Donald Trump.
"Déçu" par Poutine
Le président américain a répété qu'il était "déçu" par son homologue russe, pointant les intenses frappes russes qui ont continué à s'abattre sur l'Ukraine, sans cessez-le-feu en vue. "Poutine a vraiment surpris beaucoup de gens. Il parle gentiment et, ensuite, il bombarde tout le monde le soir", a déclaré M. Trump, visiblement mécontent.
Donald Trump avait au début de son mandat tenté de convaincre Vladimir Poutine de négocier sur la fin du conflit.
L'émissaire américain Keith Kellogg doit entamer une nouvelle visite en Ukraine lundi.
Donald Trump a également précisé qu'il rencontrerait le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, lundi, date à laquelle il a annoncé précédemment avoir "une déclaration importante à faire sur la Russie".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nokia France: vers la suppression de 421 postes
La branche française de l'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a signé un accord avec deux syndicats en vue de supprimer 421 postes, ont indiqué lundi à l'AFP plusieurs sources syndicales.
Les syndicats CFDT et CFE-CGC, majoritaires, ont approuvé le 19 décembre un plan de rupture conventionnelle collective (RCC), qui concerne 78 postes sur le site de Lannion (Côtes-d'Armor) et 343 postes sur les sites de Paris-Saclay, en région parisienne.
Les RCC, qui n'ont pas à être justifiées par des motifs économiques, doivent nécessairement obtenir l'approbation des représentants du personnel pour être mises en oeuvre.
"Les suppressions d'emplois ne sont jamais une bonne nouvelle" même si ce plan peut constituer "une opportunité" pour les salariés les plus anciens, a commenté auprès de l'AFP Olivier Marcé, délégué syndical central CFE-CGC.
Pour ce représentant du personnel, l'enjeu est de "rajeunir la moyenne d'âge de la société".
Les salariés pourront se porter volontaire au départ à partir de début janvier 2026 jusqu'à fin juin, a précisé M. Marcé, ajoutant que l'accord devait encore être validé par la direction du travail.
Cette réduction d'effectifs concerne plus de 18% des quelque 2.300 salariés de Nokia en France.
Le syndicat CGT, qui n'a pas signé l'accord, a de son côté dénoncé dans un tract "une stratégie de démantèlement qui sacrifie l'emploi".
La rupture conventionnelle collective est devenue "un outil presque routinier de gestion des effectifs, permettant d'enchaîner les réductions sans jamais interroger la stratégie industrielle", a fustigé l'organisation syndicale, qui avait signé les deux RCC précédentes, en 2023 et 2024.
"On ne peut plus accompagner ce genre de procédés", a complété un délégué syndical central CGT.
Sollicitée par l'AFP, la direction de Nokia France n'avait pas réagi dans l'immédiat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Slalom d'Alta Badia: Loïc Meillard troisième après la 1re manche
Loïc Meillard figure sur le podium provisoire après la 1re manche du slalom Coupe du monde d'Alta Badia. Le champion du monde en titre a signé le troisième temps, à 0''26 du Français Clément Noël.
Le Valaisan d'origine neuchâteloise, qui s'élançait avec le dossard no 1, a livré une manche très solide, signant notamment le meilleur chrono dans le secteur 3. Il peut envisager la 2e manche, au programme dès 13h30, avec confiance.
Noël s'est montré le plus rapide lundi matin. Il a devancé de 0''09 le Norvégien Atle Lie McGrath. Derrière Meillard, le deuxième meilleur Suisse a été le Genevois Tanguy Nef (10e), qui a concédé 0''89.
Le Zougois Matthias Iten, avec le dossard no 47, a réussi un petit exploit en se classant 23e à 1''43. Le Valaisan Daniel Yule a lui fini à 1''74 et devrait se qualifier de justesse pour la finale.
Marc Rochat, Ramon Zenhäusern et Luca Aerni peuvent pour leur part déjà ranger leurs skis. Avec un retard respectif de 2''11, 2''48 et 2''69, le Vaudois, le géant valaisan et le Fribourgeois n'ont pas passé le cut du top 30.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Italie: Apple sanctionné pour abus de position dominante
Le gendarme italien de la concurrence (AGCM) a annoncé lundi avoir infligé une amende de 98,6 millions d'euros (91,9 millions de francs) à l'américain Apple pour "abus de position dominante".
Selon le gendarme italien, Apple a "violé" la loi concernant la concurrence sur le marché des développeurs d'applications, précise un communiqué.
"Dans ce marché, Apple est en position de domination absolue à travers son App Store", assure l'AGCM.
Le gendarme italien ajoute en outre qu'Apple a imposé des conditions trop restrictives, sur le plan de la concurrence, concernant le respect de la vie privée des utilisateurs d'applications.
Ces conditions d'Apple "sont imposées de manière unilatérale, elles portent atteinte aux intérêts des partenaires commerciaux d'Apple et ne sont pas proportionnelles à l'objectif de respect de la vie privée", estime le gendarme italien.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Royaume-Uni: la croissance revue à la baisse au deuxième trimestre
La croissance de l'économie britannique au deuxième trimestre a été revue à la baisse lundi par l'Office national des statistiques (ONS), qui l'estime désormais à 0,2%, contre 0,3% précédemment, une mauvaise nouvelle supplémentaire pour le gouvernement travailliste.
L'estimation pour le troisième trimestre reste inchangée, à 0,1%, mais elle confirme le net ralentissement enregistré au fil de l'année 2025, après la progression inattendue de 0,7% sur les trois premiers mois de l'année.
Le deuxième trimestre a notamment été marqué par l'entrée en vigueur d'une forte hausse des cotisations patronales, très critiquée par les entreprises, annoncées dans l'espoir de redresser les comptes publics.
Ces chiffres "ne changent pas le constat général: la croissance du PIB a nettement ralenti", résume Alex Kerr, de Capital Economics, pour qui "l'économie demeure très faible et aborde 2026 avec très peu d'élan".
Pour Lindsay James, analyste chez Quilter, ils montrent que "l'économie britannique est en train de s'enrayer", d'autant que les dernières mesures budgétaires annoncées fin novembre par la ministre des Finances Rachel Reeves n'auront, selon elle, "aucun effet sur la croissance".
"Le gouvernement va devoir espérer que les mesures prises jusqu'à présent commencent à porter leurs fruits, ou que les défis géopolitiques s'apaisent suffisamment pour que le commerce mondial puisse rebondir", poursuit-elle, évoquant même déjà "le spectre de la récession".
Le gouvernement a déjà encaissé un recul inattendu du PIB de 0,1% en octobre, premier mois du quatrième trimestre, d'après l'ONS.
Dans l'espoir de soutenir l'activité, la Banque d'Angleterre a abaissé la semaine dernière son taux directeur d'un quart de point, à 3,75%, confortée par le ralentissement de l'inflation. Les analystes tablent sur deux ou trois nouvelles baisses en 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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