Culture
A Lausanne, le Musée olympique célèbre samedi prochain ses 30 ans
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Le 23 juin 1993, le Musée olympique était inauguré à Lausanne, au bord du lac Léman. Le bâtiment blanc, posé dans un écrin de verdure, a accueilli 6 millions de visiteurs en 30 ans. Une journée portes ouvertes se tient samedi, avec animations et visites des coulisses.
"Quand il est arrivé à Lausanne en 1915, Pierre de Coubertin avait déjà le souhait de créer un musée", explique à Keystone-ATS Julia Thum, médiatrice culturelle auprès du Musée olympique. Mais des décennies vont s'écouler avant la complète réalisation du projet.
Après un temps au casino de Montbenon, le CIO et les premières collections réunies par le baron s'installent en 1922 à la villa Mon-Repos. Mais la place commence rapidement à manquer compte tenu des nombreuses donations.
Au début des années 1970, le musée ferme, puis le CIO emménage au château de Vidy, au bord du lac. Elu président en 1980, Juan Antonio Samaranch fait de la création d'un musée olympique une de ses priorités. La genèse du musée va alors s'accélérer.
Un parc et un musée
En 1982, le musée renaît sous une forme provisoire à l'avenue Ruchonnet, près de la gare. Trois ans plus tard, le CIO et Lausanne achètent deux parcelles contiguës à Ouchy. "A un moment, M. Samaranch souhaitait même fusionner le musée avec le CIO, mais le siège restera finalement à Vidy", relate Mme Thum.
Le musée sera érigé sur les parcelles proches du lac et sera entouré d'un parc qui abrite actuellement 41 sculptures. Les travaux débutent fin 1988 et vont coûter plus de 100 millions de francs.
Site en pente douce
Les architectes Pedro Ramirez Vasquez et Jean-Pierre Cahen imaginent un bâtiment qui s'intègre dans le site descendant en pente douce vers le lac. On accède au musée par une volée de 97 marches sur lesquelles sont inscrits les noms de toutes celles et ceux qui ont allumé la vasque olympique. En haut des marches, le visiteur passe entre deux rangées de quatre colonnes blanches d'inspiration grecque.
Le musée proprement dit s'étend sur trois niveaux, accessibles via une rampe en spirale. Sur 3400 m2, l'exposition permanente présente plus de 1500 objets et 150 écrans qui font revivre les grands moments des JO et découvrir les sports et le monde olympique.
Récolte directement aux Jeux
"Le musée abrite les collections les plus larges et les plus complètes en lien avec les Jeux", ajoute Mme Thum. Fait particulier: depuis les JO de Los Angeles, en 1984, les collaborateurs du musée récoltent objets et documents directement sur place.
"Des collègues vont aux Jeux. Ils sont en contact avec les athlètes et leur demandent si on peut prendre une partie de leur équipement", explique la médiatrice culturelle. Auparavant, le musée procédait par donations, spontanées ou non, voire par achats.
Etudier l'olympisme
Juste derrière le musée, un centre d'études olympiques a vu le jour en 1982, créé à partir de la bibliothèque de Pierre de Coubertin, qui compile ses archives depuis le début du mouvement. Il s'est installé en 2013 à la villa du centenaire. Avec son équipe de plus de quinze experts, il constitue une source reconnue pour les chercheurs qui travaillent sur les JO ou sur le mouvement olympique.
Lors de la journée anniversaire du 24 juin, le public pourra gratuitement assister à des projections et visiter les coulisses du musée. Des ateliers et des jeux d'énigmes ont été conçus pour les enfants, sans oublier un numéro de vélo acrobatique sur le parvis.
Durant la soirée, il sera possible de déguster des tapas au TOM Café. Peut-être en écoutant les Coubertines, un groupe de pop constitué exclusivement d'employés du CIO.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
L'année 2025 sous le crayon des dessinateurs de presse à Morges
La Maison du dessin de presse à Morges (VD) présente du 6 décembre au 8 février une rétrospective de l'année 2025. L'exposition réunit près de 180 dessins de 37 artistes de toute la Suisse. Son maître-mot: l'effondrement.
L'effondrement peut être celui de la montagne à Blatten (VS), des villes subissant la guerre ou celui de la démocratie, avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Pour illustrer ces phénomènes, l'exposition se présente sous la forme de décombres au milieu desquels s'imbriquent les dessins, disposés de façon chronologique, explique la Maison du dessin de presse.
Les dessinateurs passent en revue les moments forts de l'actualité, comme, en janvier, les dix ans de la commémoration des attentats contre Charlie Hebdo ou l'élection de Zohran Mamdani à la mairie de New York en novembre. Forcément, il est beaucoup question du président américain Donald Trump, de ses taxes douanières, de ses velléités de conquête du monde et du Nobel de la Paix.
Dessinateurs exposés en hausse
L'Euro féminin de football, la violence urbaine, la famine à Gaza, la guerre en Ukraine, la mort du pape François, l'incarcération de Nicolas Sarkozy ou les inégalités se retrouvent sous le crayon bien taillé des dessinateurs. En Suisse, la chute du glacier au-dessus de Blatten a enseveli le village, marquant tous les esprits.
Le nombre de dessinateurs exposés est en augmentation. "De nouveaux auteurs, jeunes et motivés par l'actualité, font leur apparition, ce qui rend la sélection d'autant plus difficile", note le musée. Deux dessins au minimum sont exposés par artiste.
La rétrospective s'accompagne d'un catalogue. Celui-ci réunit 93 dessins choisis parmi ceux de l'accrochage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Netflix en négociation pour racheter Warner Bros Discovery
Le géant du streaming Netflix est entré en "négociations exclusives" pour acquérir Warner Bros Discovery (WBD), ont rapporté vendredi les médias américains. Avec ce rachat, Netflix mettrait la main sur un immense catalogue de films et le service de streaming HBO Max.
Netflix a proposé l'offre la plus élevée pour acquérir le studio de cinéma et de télévision dans une transaction évaluée à 28 dollars par action. Les deux groupes doivent officialiser l'information de façon imminente, assure le Wall Street Journal.
Si Netflix et WBD parviennent à un accord, ce serait la plus grosse opération de consolidation dans le domaine du divertissement depuis le rachat de Fox par Disney, pour 71 milliards de dollars en 2019.
Bataille du streaming
La valorisation boursière de Warner Bros Discovery tourne autour de 60 milliards de dollars selon Bloomberg, qui a révélé l'information. Mais son conseil d'administration souhaiterait un montant autour de 75 milliards de dollars, hors dette.
Paramount Skydance et l'opérateur Comcast étaient également en lice pour le rachat de WBD. La bataille du streaming et la décroissance de la télévision traditionnelle entraînent des réorganisations stratégiques majeures chez les grands acteurs américains.
Pour rivaliser avec Netflix et Disney, les concurrents cherchent à s'unir pour se renforcer dans le streaming et améliorer leur rentabilité.
Maison Blanche inquiète
Selon le New York Post, des responsables de la Maison Blanche se seraient récemment inquiétés de cette possible acquisition de WBD par Netflix. Elle confèrerait à la plateforme vidéo, selon eux, une position dominante sur le marché américain des contenus.
"Le vainqueur va orienter la manière dont les plus gros films d'Hollywood sont distribués et comment les annonceurs s'y adaptent", a commenté dans une note Jeremy Goldman, analyste du cabinet Emarketer.
Lors d'un entretien au podcast "The Town", mis en ligne vendredi dernier, le réalisateur James Cameron ("Avatar" et "Titanic" notamment) s'était dit opposé à cette absorption, au motif que les dirigeants de ce dernier privilégient leur plateforme au détriment des salles de cinéma.
Selon Bloomberg, Netflix aurait promis une indemnité de 5 milliards de dollars en cas d'échec du rachat. Le risque n'est pas mince car la transaction pourrait déplaire aux autorités de la concurrence tant aux États-Unis qu'en Europe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Culture
Notre-Dame de Paris: besoin d'encore 140 millions d'euros de dons
La restauration complète de la cathédrale Notre-Dame de Paris nécessite encore 140 millions d' euros de dons, a indiqué jeudi l'établissement public maître d'ouvrage de la restauration. Plus de 840 millions ont déjà été récoltés.
"Grâce à la générosité des donateurs et à une gestion rigoureuse, saluée par la Cour des comptes, nous avons encore près de 140 millions disponibles" sur la totalité des dons récoltés, s'est réjoui l'établissement public Rebâtir Notre-Dame de Paris.
"Mais pour achever au plus vite la restauration complète du monument qui n'était pas en bon état avant 2019, il manque encore au moins l'équivalent", a poursuivi l'organisme, qui lance un appel aux dons.
Cela comprend des travaux de restauration sur la sacristie, "qui n'a pas fait l'objet de restaurations extérieures depuis sa construction", les trois grandes roses de la cathédrale, les façades nord et sud du transept, le presbytère, la nef ou encore l'arrière des tours.
Plus de 840 millions d'euros de dons émanant de 340.000 donateurs de 150 pays différents ont déjà été récoltés, d'après Rebâtir Notre-Dame de Paris.
Un an après sa réouverture en grande pompe sous les yeux de dirigeants du monde entier dont Donald Trump, le monument a déjà accueilli plus de 11 millions de visiteurs. La cathédrale a été rouverte le 7 décembre 2024, après plus de cinq ans de travaux qui ont suivi l'incendie qui l'avait dévastée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Israël pourra participer à l'Eurovision 2026 en Autriche
Israël pourra participer à l'Eurovision de la chanson en 2026 en Autriche. Les membres de l'Union européenne de radiotélévision (UER) ont validé jeudi ce scénario à Genève, selon des sources convergentes. Plusieurs pays ont promis de boycotter le concours.
Après un vote secret, les diffuseurs publics ont validé avec deux tiers des voix les nouvelles règles dévoilées il y a deux semaines par l'UER. Un scrutin sur Israël était conditionné au rejet de cette motion.
A Bâle cette année, la candidate israélienne était arrivée deuxième grâce au public. Certains avaient remis en cause le fonctionnement du vote. Des diffuseurs de pays comme l'Espagne, l'Irlande, la Slovénie ou encore les Pays-Bas ont promis de boycotter le concours en cas de maintien de l'Etat hébreu. La SSR ne souhaitait elle pas une éviction israélienne.
Jeudi, le président du diffuseur espagnol a accusé l'UER d'avoir provoqué "les tensions les plus importantes" jamais observées. Cette situation fait redouter une diminution de l'audience qui s'établit à 150 millions de personnes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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