Culture
Kyrgios remercie Murray de son aide psychologique
Nick Kyrgios a exprimé sa gratitude envers Andy Murray pour avoir repéré les signes d'autodestruction dont il souffrait dans une période "sombre" de sa vie de star du tennis.
Une période marquée par une "dépendance à la douleur", a-t-il dit dans une interview diffusée vendredi.
"Andy a toujours été d'un grand soutien pour moi", a déclaré l'ex-13e joueur mondial dans l'émission TalkTV animée par l'animateur britannique Piers Morgan.
"Dès que je suis arrivé sur le circuit, il a vu mon potentiel et m'a pris sous son aile. Plus tard dans ma carrière, il s'est rendu compte que je pensais ne pas être +entraînable+ ou que j'étais isolé, mais il a toujours été là pour veiller sur moi", a expliqué l'Australien aujourd'hui âgé de 28 ans.
Kyrgios, qui n'a disputé qu'un seul match en 2023, s'est déjà confié sur les problèmes de santé mentale dont il a souffert ces dernières années et a révélé dans un documentaire diffusé sur Netflix qu'il avait séjourné dans un hôpital psychiatrique après une défaite à Wimbledon en 2019.
A Piers Morgan, il a raconté que Murray avait repéré ses scarifications. "Il les a vues et m'a dit: +Qu'est-ce que tu as sur le bras ?+ C'était assez grave à ce moment-là. Je me retrouvais dans les vestiaires et les gens pouvaient voir mes automutilations (...) Ils devaient se dire +Wow, ce gars est en pleine tempête mentale et il essaie quand même de jouer+".
"Andy essayait manifestement de me donner des conseils. Mais j'étais tellement coincé dans mes habitudes à l'époque que je n'ai pas écouté. Je lui suis évidemment très reconnaissant, je le remercie beaucoup", a ajouté Kyrgios.
"Assez glauque"
L'année dernière, la mère du joueur australien avait déclaré que Murray avait repéré les signes d'automutilation de son fils avant elle.
Au cours de l'interview, Kyrgios, qui n'est plus classé à l'ATP, est revenu sur l'ampleur des automutilations qu'il s'infligeait, même lorsqu'il remportait des succès sur le circuit ATP.
"J'ai passé un an et demi ou deux à me faire du mal. C'était assez glauque... J'ai gagné des tournois sur le circuit professionnel en buvant tous les soirs, en m'automutilant, en me brûlant le bras, en me coupant pour le plaisir. C'était devenu une addiction à la douleur. Je me détestais. Je détestais me réveiller et être Nick Kyrgios", s'est-il souvenu.
Depuis qu'il a révélé publiquement ses problèmes de santé mentale, l'Australien a été contacté par des personnes souffrant de pathologies similaires sur les réseaux sociaux. Leur venir en aide, a-t-il dit, est la "chose la plus puissante" qu'il ait faite au cours de sa carrière.
"Cela fait une vraie différence et j'en suis vraiment très fier", a déclaré le finaliste de Wimbledon en 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Kate Winslet à Zurich pour présenter son film "Lee"
L'actrice britannique Kate Winslet a présenté son nouveau film "Lee" au Zurich Film Festival (ZFF) et reçu un Golden Eye Award lundi soir. Elle s'est aussi rapprochée du public en serrant quelques mains, en signant des autographes et en faisant des selfies.
La visite de l'actrice oscarisée est "l'un des points forts des 20 ans d'histoire du ZFF", s'est enthousiasmé le directeur du festival Christian Jungen dans son éloge lundi soir au Palais des congrès. Dans l'après-midi, elle a plongé dans le lac de Zurich dans une eau à 15 degrés.
Film sur la photographe Miller
Lorsqu'elle a tenu dans ses mains l'¼il d'or pour l'ensemble de sa carrière, la star de cinéma de 49 ans est devenue sérieuse. Car elle avait dans ses bagages le film le plus important de sa carrière, selon elle: un biopic sur la photographe de guerre américaine Lee Miller (1907-1977), qui a toujours été considérée comme une ex-mannequin, alors qu'elle a documenté la libération des camps de concentration de Buchenwald et Dachau.
Productrice et actrice principale, Kate Winslet a investi environ dix ans dans ce projet. Le fils de Miller, Anthony Penrose, qui était également présent. Son histoire est elle aussi unique, puisqu'il n'a appris qu'après la mort de sa mère ce que celle-ci avait accompli pendant la Seconde Guerre mondiale.
Depuis sa disparition, il a voulu filmer son histoire (il l'a lui-même publiée sous forme de livre avec "The Lives of Lee Miller"). Avant sa rencontre avec Kate Winslet, il a rejeté d'innombrables propositions au fil des ans.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
La Revue vaudoise de retour à Territet (VD) pour deux mois
La Revue Vaudoise est de retour dans son chapiteau de bois au port de Territet, à Montreux (VD). Cinquante représentations sont prévues dès mardi et jusqu'au 8 décembre. Cette sixième édition revisitera l’actualité locale et régionale, mélangeant humour, musique live et esprit cabaret.
Le spectacle se déroulera dans le "Magic Mirror", à savoir un chapiteau de bois, toiles et miroirs, conçu comme une salle de bal itinérante des années folles. Il se joue sur une scène à 360 degrés avec des places autour de la piste centrale.
Les sketches passeront différents sujets d'actualité au peigne fin: des travaux sur l’autoroute A9 à l'accident du bateau Simplon à Cully, en passant par une leçon d'économie à Valérie Dittli, un petit hommage à Pierre-Yves Maillard et un clin d’oeil aux Jeux olympiques de Paris.
Le spectacle qui dure 1h45 est animé par des fidèles tels que Nathalie Devantay, Jenny Lorant, Jessie Kobel, Cuche et Barbezat. Ils seront accompagnés par le beatboxeur Keumart et sa complice Léa Gamba pour la touche musicale.
Deux nouveaux-venus, David Charles (alias Mc Roger) et le "déjanté comique français" Pierre Aucaigne complèteront le casting de cette édition. La mise en scène est signée Jean-Luc Barbezat, avec Karim Slama à la co-écriture et comme conseiller artistique.
revuevaudoise.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Chantier de Notre-Dame de Paris: la repose des 8 cloches terminée
La repose des huit cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris "vient de se terminer avec celle de la cloche Gabriel", a annoncé la ministre de la Culture samedi, à presque deux mois de la réouverture de l'édifice.
Les huit cloches de la tour Nord, déposées pour les nettoyer ou les restaurer après l'incendie du 15 avril 2019 qui a partiellement ravagé ce chef d'oeuvre de l'art gothique, avaient commencé à être réinstallées le 12 septembre.
La "repose (...) vient de se terminer avec celle de la cloche Gabriel, la plus lourde des huit (4162 kg)", a déclaré Rachida Dati sur le réseau X.
L'établissement public chargé de la restauration a de son côté publié, vendredi, une vidéo sur Instagram montrant le montage et l'installation de cette dernière cloche "Gabriel" par les équipes de ce chantier hors norme qui est dans sa dernière ligne droite.
"Les fidèles et les Parisiens pourront de nouveau entendre les appels sonores et le marquage du temps lancés du haut des tours de notre cathédrale de Paris", a ajouté Rachida Dati, soulignant qu'"une nouvelle étape importante et symbolique (a été) franchie, à 64 (sic) jours de la réouverture" prévue le 7 décembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Château d'Aigle (VD): Géa Augsbourg à l'honneur
À l’occasion du 50e anniversaire de la disparition de Géa Augsbourg, le Château d’Aigle consacre dès mercredi et jusqu'au 17 août 2025 une exposition à cet artiste incontournable du Pays de Vaud. Réunissant dessins, peintures et documents personnels, cette collection a été patiemment constituée par le plasticien Claude Augsburger, fervent admirateur et collectionneur de l'½uvre du maître.
Artiste aux multiples talents, Géa Augsbourg a marqué son époque en tant que dessinateur, peintre, céramiste et journaliste. Collaborateur de personnalités comme Marc Chagall et Charles Albert Cingria, son travail se distingue par une incroyable diversité.
L'exposition mettra également en lumière son lien étroit avec la vigne, notamment à travers les étiquettes de vin qu’il a créées, ainsi que le portefeuille "La terre vaudoise et ses vignes", illustré d'un texte de Charles-François Landry. Parallèlement, Claude Augsburger présentera une série de ses propres ½uvres.
Entre France et Suisse
Né en 1902 à Yverdon-les-Bains, Georges-Charles Augsburger, dit Gea Augsbourg, a quitté des études scientifiques pour se consacrer à l’art. Après un séjour à Ostende (B) où il découvre la peinture, il s'installe à Paris dans les années 1930. Il y côtoie des artistes comme Jean Cocteau et Max Jacob.
Reconnu pour ses dessins de presse et ses portraits de la ruralité suisse, l'artiste alterne entre la France et la Suisse, où il reçoit en 1937 le prix des Arts franco-suisse. Marqué par la Seconde Guerre mondiale, il retourne en Suisse, où il continue à illustrer et à collaborer avec la presse.
Son ½uvre, vaste et multiforme, a fait l’objet de plusieurs monographies et rétrospectives, notamment pour son centenaire en 2002. Il est décédé le 7 février 1974 à Prilly.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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