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Culture

"Pyxis" sera le nom de la Maison de la culture et du numérique

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La Ville de Lausanne avait annoncé en avril dernier la mue de la Maison Gaudard, ancien bâtiment du mudac sur le parvis de la cathédrale, en Maison de la culture et de l'innovation numérique (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Maison de la culture et de l'innovation numérique à Lausanne a trouvé son nom: ce sera "Pyxis, en référence à la constellation de la Boussole tout comme à la diversité des activités qu’elle abritera, a indiqué mercredi la Ville dans un communiqué. Le lieu culturel sera piloté par trois associations. L'ouverture au public est prévue à la fin de cet été.

"Original, court et incisif, novateur dans les domaines de la culture et de ses réseaux, Pyxis reflète aussi la diversité des activités du lieu et souhaite incarner la modernité digitale d'aujourd'hui", écrit la Ville. Elle avait annoncé en avril 2022 la mue de la Maison Gaudard, ancien bâtiment du mudac sur le parvis de la cathédrale, en "laboratoire dédié à la culture et à la participation numérique".

Les travaux de rénovation et d'aménagement ont débuté fin janvier pour une durée de six mois. Ils permettront d'accueillir les futurs résidents du lieu, à savoir le Bureau culturel Vaud et les bureaux permanents de six festivals lausannois (Festival de la Cité, Label Suisse, les Garden Parties de Lausanne, le Lausanne Underground Film & Music Festival, la Fête du Slip et la Fête de la musique).

Le public pourra continuer à fréquenter la Maison Gaudard, puisque la nouvelle structure disposera d'une salle de diffusion polyvalente proposant entre autres des expositions, des installations et des conférences. Il sera aussi le bienvenu au café culturel. Outre des boissons, celui-ci offrira la possibilité de consulter des ouvrages spécialisés.

Revoilà Chantal Prod'Hom

Afin d'assurer la gestion, l'organisation et l'administration de la pluralité d'activités qui prendront vie dans la maison, trois associations distinctes ont été créées. L'association Pyxis aura pour but d'assurer la gestion et l'exploitation du bâtiment et de ses espaces. Elle sera présidée par Chantal Prod'Hom, ancienne directrice du mudac.

L'association Pyxis exploration numérique aura, elle, pour but de développer le volet numérique. Sa direction sera assurée par Caroline Hirt, ethnologue de formation, spécialisée en arts, sciences et technologies, chercheuse, enseignante et consultante. En 2016, elle a fondé puis dirigé le Museum of Digital Art (MuDA) à Zurich. Enfin, l'association Pyxis Café aura pour but d'assurer la gestion et l'exploitation du café culturel au sein de la maison.

Le programme des activités culturelles du lieu sera dévoilé en juin prochain. L'ouverture des activités numériques destinées au public est prévue en septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les métiers de la forge inscrits au patrimoine immatériel vaudois

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Craignant une perte de connaissances en lien avec leurs métiers, plusieurs professionnels de la forge traditionnelle alliés au Musée du fer et du chemin de fer de Vallorbe (sur l'image) se sont adressés au Canton de Vaud afin de faire reconnaître l’importance de ce patrimoine (archive). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les savoir-faire de la forge traditionnelle font leur entrée à l'Inventaire cantonal du patrimoine immatériel vaudois. Ils rejoignent le fromage d'alpage, les boîtes à musique ou encore le tavillonnage.

Craignant une perte de connaissances en lien avec leurs métiers, devenus de nos jours plus rares, plusieurs professionnels de la forge traditionnelle alliés au Musée du fer et du chemin de fer de Vallorbe se sont adressés au Canton afin de faire reconnaître l'importance de ce patrimoine, explique lundi un communiqué de l'Etat de Vaud. Leur demande a été satisfaite.

"Cette démarche, qui acte légalement la reconnaissance symbolique de la valeur historique d'une tradition, permet aux détenteurs d'obtenir des soutiens financiers pour des actions de préservation, de recherche ou de visibilisation", indique le communiqué. Pour acquérir ce statut, les pratiques doivent avoir un lien significatif avec le territoire, son histoire et son identité, exister depuis plus de 30 ans et être toujours vivantes, précise le Canton.

Pratique raréfiée

Le travail du fer, attesté dans l'arc jurassien dès le IVe siècle avant notre ère, se pratique toujours aujourd'hui "avec excellence" dans certaines régions du canton de Vaud. Les fouilles archéologiques ont établi la présence au pied du Jura de près de 60 exploitations sidérurgiques dès 350 avant notre ère et, à Vallorbe, l'existence d’un véritable centre industriel avec trois ferrières alimentant le travail de dizaines de forgerons dès le XVIe siècle.

L'activité, ayant perduré dans la région au travers des siècles et faisant ces dernières années l'objet d’un regain d'intérêt de la part du public, n'occupe néanmoins qu'une place réduite dans les systèmes de production et de consommation actuels. Comme d'autres métiers artisanaux, les savoir-faire de la forge traditionnelle sont utilisés aujourd'hui dans des buts pratiques ou artistiques, sur commande de particuliers ou lors de restaurations.

Pour rappel, le patrimoine immatériel rassemble les traditions orales (contes et légendes, etc.), les coutumes (Saint-Nicolas, guet de la cathédrale de Lausanne, etc.) les fêtes (carnavals, etc.) et les savoir-faire de métiers (tavillonnage, etc.). A l'instar des savoir-faire en mécanique horlogère et mécanique d'art inscrits en 2020 à l'UNESCO, le patrimoine immatériel vaudois est, dans certains cas, reconnu au-delà des frontières.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le prochain Astérix sera une fable sur la "pensée positive"

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Les deux Gaulois créés par Albert Uderzo (au centre) et René Goscinny repartent pour une 40e aventure (archives). (© KEYSTONE/EPA/FRANCOIS WALSCHAERTS)

Le prochain album d'Astérix sera intitulé "L'Iris blanc", ont annoncé les éditions Albert René lundi. Il s'agira d'une fable humoristique autour de la "pensée positive" et du développement personnel.

Cette 40e aventure du Gaulois à la potion magique doit être publiée le 26 octobre. Le scénario est signé Fabcaro, pour la première fois. Au dessin, on retrouve Didier Conrad, qui a repris la série en 2013 après la retraite d'Uderzo.

Dans ce Ier siècle avant Jésus-Christ, l'Iris blanc est le nom d'une nouvelle école de pensée, venue de Rome, qui prône bienveillance, vie saine, épanouissement individuel. Parmi ses préceptes: "Pour éclairer la forêt, la floraison d'un seul iris suffit".

Jules César a l'idée d'insuffler cet état d'esprit à ses troupes démoralisées, stationnées près du village gaulois qui résiste en Armorique. Ce que personne n'a prévu, c'est que cette philosophie en vogue, qui recommande entre autres de manger beaucoup moins de sanglier, va entrer dans le village. Et diviser les pro et anti-Iris blanc.

Phénomène contemporain

"Je ne suis pas trop New Age, mais l'album ne se veut pas une critique de toute cette mouvance. A partir du moment où le développement personnel a des effets positifs, pourquoi pas? Moi, je m'en sers pas trop mais, si ça marche sur certaines personnes, je ne tire pas de généralités", explique à l'AFP Fabcaro.

"Je veux traiter ce phénomène contemporain comme le faisaient Albert Uderzo et René Goscinny à l'époque. Par exemple, dans 'Obélix et Compagnie', un album que j'aime beaucoup, ils parlaient du capitalisme et de la concentration des entreprises, avec humour", ajoute-t-il.

"L'Iris blanc" devrait ainsi être tiré à cinq millions d'exemplaires dans le monde. Selon les éditions Albert René, cette série entamée en 1961 a été traduite dans plus d'une centaine de langues et dialectes (de l'afrikaans au vietnamien en passant par le latin, l'occitan ou le suisse allemand). Les ventes atteignent 393 millions d'exemplaires au total.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Carton plein pour la 6e édition du Prémices Festival

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Tous les billets étaient vendus quelques minutes après l’ouverture des portes le vendredi, et avant même le début des premiers concerts le samedi. (© Prémices Festival, Lausanne, mars 2023 © Indra Crittin)

La 6e édition du Prémices Festival qui s'est déroulée sur huit scènes lausannoises vendredi et samedi a été un succès, selon les organisateurs. Les concerts payants de cette manifestation qui met en avant des artistes émergents de Suisse et d'ailleurs ont tous affiché complet, se félicitent-ils dimanche à l'heure du bilan.

Durant ces deux jours de concerts, le public a pu découvrir une quarantaine de jeunes artistes locaux et internationaux en devenir dans la capitale vaudoise. Les spectateurs ont notamment eu le choix entre la chanson française de Yoa, le rock de L'Objectif ou la techno-pop de Walter Astral.

Comme à chaque édition, le Prémices Festival s'est partagé entre des concerts gratuits durant l'après-midi et une partie payante en soirée. Plus de 2000 personnes ont rempli les salles de la Datcha, le Bourg, la Cave du Bleu Lézard, et le Cactus Club pour la partie payante, et le Superposé, le Café Saint Pierre, le Bruxelles Café, et le disquaire Disc-à-Brac pour les concerts en libre accès.

Tous les billets étaient vendus quelques minutes après l’ouverture des portes le vendredi, et avant même le début des premiers concerts le samedi: "La preuve que le public est toujours là pour découvrir des artistes souvent peu connus", notent les organisateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les bibliothèques de Carouge (GE) "mettent les voiles"

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Les bibliothèques seront à l'honneur le week-end du 24 au 26 mars (image d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A l'occasion du BiblioWeekend national qui aura lieu du 24 au 26 mars, les bibliothèques seront à l'honneur en Suisse. Les deux bibliothèques carougeoises participent à la manifestation qui se décline cette année sur le thème "Mettre les voiles".

La Bibliothèque de Carouge organise une lecture par la conteuse Lorette Andersen. Elle lira des extraits du livre "La route à bout de bras" écrit par Elisabeth Zurbriggen. Ce texte est inspiré du témoignage de Mamadou Saw, un migrant en situation de handicap qui a traversé le désert, la Libye puis la Méditerranée.

Le Biblioquartier des Hutins propose, quant à lui, un jeu immersif et interactif sur tablette qui suit le parcours migratoire de Nour. Les joueurs découvrent quel est l'événement qui pousse la jeune femme à quitter la Syrie. Ils pourront l'aider à déterminer son itinéraire, et donc ses chances d'atteindre un pays d'accueil.

Plus de 380 bibliothèques de toute la Suisse proposent plus de 900 événements. L'objectif du BiblioWeekend est de mettre en avant les multiples compétences des bibliothèques et de centres de documentation.

www.biblioweekend.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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