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Économie

Huit Suisses parmi les 500 milliardaires les plus riches

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Ernesto Bertarelli partage en grande partie sa vie entre la Suisse et les Etats-Unis (Archives © KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Huit Suisses figurent dans la liste des 500 plus riches milliardaires de Bloomberg. Ernesto Bertarelli et sa famille, qui pointent au 92e rang, sont les plus nantis de Suisse, avec une fortune estimée à 20,4 milliards de dollars (18,4 milliards de francs).

Le deuxième, Gianluigi Aponte, arrive beaucoup plus loin dans le classement de Bloomberg, à la 241e place. Sa fortune est évaluée à 10 milliards de dollars. Cet Italien qui réside à Genève possède la Mediterranean Shipping Company (MSC), dont le siège social est également implanté dans la cité de Calvin.

Le fondateur du groupe de techniques médicales Hansjörg Wyss arrive, lui, à la 280e place, avec un capital estimé de 9,2 milliards de dollars. Viennent ensuite au 334e rang la conseillère nationale UDC Magdalena Martullo-Blocher, la patronne d'Ems-Chemie, avec une fortune de 8 milliards de dollars, et à la 342e place sa sœur Rahel Blocher, avec une fortune de 7,8 milliards de dollars.

Enfin, les familles actionnaires du groupe pharmaceutique Roche complètent le classement du côté suisse. André Hoffmann est classé au 430e rang, avec une fortune de 6,4 milliards de dollars, tandis que Vera Michalski-Hoffmann et Maja Hoffmann suivent en 453e et 454e positions, avec une fortune de 6,1 milliards de dollars chacune.

Bezos devant Arnault et Musk

À une exception près, les premières places du classement Bloomberg sont occupées par des entrepreneurs américains. En tête de liste se trouve le patron d'Amazon, Jeff Bezos, dont la fortune s'élève à 190 milliards de dollars. Seul le Français Bernard Arnault (2e), du groupe de luxe LVMH, vient briser l'hégémonie américaine, avec une fortune de 161 milliards de dollars.

L'entrepreneur vedette Elon Musk, 49 ans, se retrouve, quant à lui, à la troisième place. Sa fortune s'est récemment considérablement réduite en raison de la baisse de 30% du cours de l'action du constructeur de voitures électriques Tesla. Selon les estimations de Bloomberg, les actifs privés de M. Musk ont chuté de 24% à 161 milliards de dollars depuis janvier.

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Économie

L'or bat son record historique à plus de 2100 dollars l'once

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Les cambistes ont commencé à se tourner vers l'or après que le patron de la Fed a déclaré vendredi que les taux avaient "atteint un niveau suffisamment restrictif" (archives). (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

Le prix de l'or a battu lundi son record historique à plus de 2100 dollars l'once, les courtiers en bourse misant sur une baisse des taux d'intérêt de la Fed au cours de la nouvelle année. Le métal précieux a atteint 2135,39 dollars au début des échanges asiatiques.

Il a dépassé le précédent record historique établi en 2020, pendant la pandémie de Covid-19. Ces dernières semaines, les cambistes se sont rués sur l'or pour acheter des valeurs sûres depuis le déclenchement de la guerre entre Israël et le Hamas.

Cette tendance a été renforcée par une série de données indiquant un ralentissement de l'inflation pour octobre aux Etats-Unis, ce qui a conduit à spéculer sur une baisse des taux d'intérêt de la banque centrale américaine, la Réserve fédérale (Fed).

Les paris d'une baisse des taux ont en outre pesé sur le dollar, ce qui a rendu l'or moins cher pour les acheteurs internationaux.

Les cambistes ont commencé à se tourner vers le métal jaune après que le patron de la Fed, Jerome Powell, a déclaré vendredi que les taux avaient "atteint un niveau suffisamment restrictif", attisant l'espoir que la banque centrale commence prochainement à réduire ses taux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

UBS: Iqbal Khan vaut gagner massivement de nouveaux fonds clientèle

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UBS annonce la couleur dans la gestion de fortune. (© KEYSTONE/AP/Ennio Leanza)

UBS s'est fixé d'ambitieux objectifs de croissance. Iqbal Khan, le directeur Gestion de fortune globale, veut rattraper les principaux fournisseurs aux Etats-Unis en y investissant massivement ces trois prochaines années, a-t-il déclaré à la NZZ am Sonntag.

Du côté de la clientèle, on s'attend à ce que la banque aux trois clés constitue un contrepoids à l'oligopole des banques américaines. "Nous avons la chance unique d'être une banque entièrement globale basée en Suisse", a relevé M. Khan. L'objectif est d'acquérir chaque année 150 milliards de dollars de nouveaux fonds clientèle.

Quant à la crainte que la taille d'UBS puisse devenir un risque, M. Khan souligne qu'au contraire, une présence globale constitue un avantage, gage de plus de stabilité et de prévisibilité des affaires.

M. Khan entend susciter la confiance des anciens collaborateurs de Credit Suisse qui sont passés à UBS "avec transparence et présence". Les employés veulent de la clarté, ce qui leur permet de faire face aux difficultés. Cela vaut pour tous, et la différence entre CS et UBS n'a pas d'importance, selon le dirigeant.

Ce qui est décisif, a-t-il ajouté, c'est que l'intégration soit juste, transparente et basée sur des critères de méritocratie. Tout le monde doit comprendre que, pour chaque position, c'est la personne la plus capable et la plus adéquate qui a été choisie.

Khan rejette les critiques sur Greensill

M. Khan a par ailleurs rejeté les critiques selon lesquelles il serait coresponsable de la faillite des fonds Greensill parce qu'il faisait partie, jusqu'en 2019, de la direction de Credit Suisse. "Je n'ai jamais rencontré M. Greensill et n'ai jamais eu de discussion avec lui", a-t-il affirmé. Par ailleurs, aucune enquête interne ou externe par la Finma n'a montré de manquement de sa part.

Agé de 47 ans, M. Khan fait partie des papables qui pourraient, le moment venu, succéder au directeur général (CEO) Sergio Ermotti. Il est prématuré de parler de cela, a-t-il relevé, précisant que la collaboration avec M. Ermotti était "super".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Le climat au Conseil fédéral est très bon, dit Karin Keller-Sutter

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La collaboration entre conseillers fédéraux est à nouveau très bonne, estime Karin Keller-Sutter (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La ministre des finances Karin Keller-Sutter réfute l'existence d'un climat empoisonné au Conseil fédéral, comme l'ont décrit les commissions de gestion. "Tout se passe très bien actuellement. Nous avons une culture ouverte de la discussion et de la contradiction".

La période de la pandémie de Covid-19, sur laquelle les commissions parlementaires ont enquêté dans le cadre des fuites dans la presse, n'a effectivement pas été facile en raison des nombreuses indiscrétions, relève Mme Keller-Sutter dans un entretien diffusé dimanche par la SonntagsZeitung. "Mais, entre-temps, la collaboration est redevenue vraiment bonne".

"C'est comme dans toute relation: il arrive parfois des choses qui laissent des traces. Il faut alors se ressaisir. Il n'en va pas autrement au Conseil fédéral", ajoute la St-Galloise, citant comme exemple la collaboration de tous les départements pour le budget 2024. Pourtant, "cela n'allait pas de soi", dit-elle.

Credit Suisse

La ministre PLR évoque encore dans le journal le rapport attendu du Conseil fédéral sur la régulation des banques d'importance systémique. Le texte doit être présenté au Parlement d'ici au printemps.

"Ce qui est clair, c'est que nous devons renforcer la FINMA [l'autorité fédérale de surveillance des marchés financiers, ndlr]. Des hausses des liquidités et des fonds propres sont également à l'étude et, en cas de crise, la capacité de liquidation d'une banque d'importance systémique doit être améliorée", indique-t-elle.

Elle estime également choquant le fait que la direction de Credit Suisse échappe à toute sanction après la fusion forcée avec UBS sous la protection de l'Etat. "Je suis d'avis que les personnes qui dirigent mal une entreprise comme Credit Suisse doivent être tenues responsables", lâche la conseillère fédérale. "Pour que cela soit possible à l'avenir, il faudra, le cas échéant, écarter les obstacles légaux".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La fille d'Uderzo veut empêcher la vente d'un dessin d'Astérix

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René Goscinny (à droite) et Albert Uderzo (à gauche) signent des autographes avant la première du film "Astérix et Cléopâtre" à Zurich en 1970 (archives). (© KEYSTONE/PHOTOPRESS-ARCHIV/KL)

La fille du dessinateur Albert Uderzo a déposé plainte pour empêcher la vente d'une célèbre planche d'"Astérix et Cléopâtre". Elle juge douteuses les conditions d'acquisition de l'oeuvre par le vendeur, a-t-on appris samedi auprès de son avocate.

Le dessin original de la couverture d'"Astérix et Cléopâtre" doit être mis en vente à Bruxelles le 10 décembre par la maison d'enchères Millon. La valeur de cette gouache de 32x17 cm, datant de 1963, est estimée de 400'000 à 500'000 euros.

Elle est vendue par un particulier qui affirme la détenir depuis "plus de 50 ans". Uderzo l'avait offerte "lors d'un dîner entre amis", avait affirmé Millon fin novembre dans un communiqué.

Pas de dédicace

"L'objectif, c'est à court terme d'empêcher la vente, en tout cas d'avoir le temps de faire le plus de lumière possible sur les circonstances de la détention de cette planche et peut-être même de la récupérer à terme", a expliqué à l'AFP Orly Rezlan, avocate de Sylvie Uderzo, confirmant une information du quotidien Le Figaro. La plainte a été déposée pour recel d'abus de confiance ou de vol.

L'avocate souligne qu'Albert Uderzo avait l'habitude de dédicacer les planches qu'il offrait, or celle-ci ne l'est pas. Selon elle, Sylvie Uderzo et sa mère ont été informées par la maison d'enchères de la mise en vente, avec "un narratif " qui "paraissait assez fumeux" sur les conditions d'obtention de l'oeuvre par le père du vendeur.

"Sûrs de notre bon droit"

Le directeur général de Millon Belgique, Arnaud de Partz, a indiqué à l'AFP avoir été informé de la plainte sans l'avoir encore reçue. Il reconnaît que la vente est désormais "incertaine".

Selon lui, le dessin a bien été offert par Albert Uderzo à un ami, dont le fils veut désormais le vendre. "Il y a beaucoup de planches qui ont été données et n'ont pas été dédicacées", affirme Arnaud de Partz, soulignant qu'à l'époque ces originaux n'avaient "pas de valeur".

"On est sûrs de notre bon droit. On a tout l'historique. On a une photo (du père du vendeur) avec Uderzo, il est certain qu'ils se connaissaient", a-t-il ajouté.

Sur le dessin de Une, Uderzo parodie l'affiche de la production hollywoodienne "Cléopâtre" de 1963, à l'époque le film le plus cher de l'histoire. La Cléopâtre d'Uderzo prend la même pose qu'Elizabeth Taylor, Astérix remplace le Jules César incarné par Rex Harrison, et Obélix Marc Antoine, joué par Richard Burton.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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