International
AB InBev: bénéfice net 2022 en hausse de 13%
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Le brasseur belgo-brésilien AB InBev, leader mondial avec ses marques Budweiser, Stella Artois et Corona, a enregistré une hausse de 13% de son bénéfice net 2022, à 6,4 milliards de dollars (à peu près autant en francs ), porté par des volumes record.
AB InBev, dont le siège social est à Louvain (centre de la Belgique), a vu ses volumes mondiaux de boissons écoulés progresser de 2,3% en 2022, à 595 millions d'hectolitres, après une hausse de 9,6% l'année précédente.
Le groupe s'estime "en position favorable pour continuer à enregistrer une croissance rentable et soutenue" en 2023 après avoir profité depuis 2021 du redressement de la consommation de bière dans le monde et s'être bien remis des conséquences de la pandémie.
Le chiffre d'affaires a augmenté de 6,4% à 57,8 milliards de dollars (54,3 milliards d'euros), mais de 11,2% à périmètre et taux de change constant, bien plus rapidement que les volumes, profitant de hausses de tarifs facilitées par la stratégie de développement de marques haut de gamme.
La croissance a été portée par les labels Corona et Stella Artois qui ont progressé respectivement de 18,6% et 11,7% sur les marchés d'exportation. Budweiser a vu ses ventes augmenter de 2,5% en dehors des États-Unis, malgré l'impact des restrictions liées au COVID-19 en Chine, le plus gros marché de la marque.
Au total, le géant brassicole belgo-brésilien, qui revendique plus de 2 milliards de consommateurs de ses boissons dans 150 pays, souligne que ses ventes de l'an dernier sont supérieures de 5,8% à celles de l'exercice 2019, avant la pandémie de Covid.
La croissance a permis une hausse des profits, cependant moins forte que celle des ventes.
L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) a augmenté de 3,3% à 19,8 milliards de dollars (18,6 milliards d'euros). Mais le groupe retient plutôt une hausse de 7,2% calculée à périmètre et taux de change constants.
Pour 2022, AB InBev estime donc avoir atteint son objectif d'une progression de l'Ebitda "entre 4 et 8%", conforme à ses perspectives à moyen terme, et une croissance des ventes "supérieure à celle de l'Ebitda". Cet objectif est reconduit pour 2023.
La marge Ebitda (rapportée au chiffre d'affaires) a cependant reculé de 126 points de base, à 34,3% en raison notamment d'un "impact négatif des devises, des coûts de matières premières, de l'augmentation des frais de ventes, dépenses administratives et autres frais généraux".
"Nous avons enregistré une croissance record des volumes pendant l'exercice", s'est félicité le directeur général Michel Doukeris, soulignant que l'Ebitda avait atteint "la fourchette haute" des objectifs malgré la hausse des coûts et des problèmes dans les chaînes d'approvisionnement.
Il a également mis en avant le "solide" flux de trésorerie disponible de 8,5 milliards de dollars (8 milliards d'euros) dégagé en 2022 qui a permis de poursuivre le désendettement du groupe. L'endettement net est revenu à 69,7 milliards de dollars (65,5 milliards d'euros), en baisse de 6,5 milliards de dollars sur un an.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La 100e victoire de Novak Djokovic à Paris
Après le 100e titre à Genève, la 100e victoire à Roland-Garros : Novak Djokovic est parfaitement lancé pour, pourquoi pas, écrire à 38 ans un nouveau chef-d’½uvre.
Le Serbe s’est qualifié pour les quarts de finale à la faveur de son succès 6-2 6-3 6-2 devant Cameron Norrie (ATP 81) qu’il avait battu il y a dix jours en demi-finale à Genève. Il a gagné en seulement 2h14’ pour confirmer sa montée en puissance.
Mercredi, il affrontera Alexander Zverev, le finaliste de l’an dernier, pour un quart de finale qui promet énormément. L’Allemand a également été très expéditif dans la mesure où son adversaire, le Néerlandais, Tallon Griekspoor, a été contraint à l’abandon au début du deuxième set. Le dernier affrontement entre Djokovic et Zverev avait tourné court en janvier à Melbourne. Blessé, le Serbe avait jeté l’éponge après la perte du premier set. Cette fois, il semble en pleine possession de ses moyens.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le durcissement migratoire du chancelier allemand Merz retoqué
La justice allemande a sanctionné lundi le tour de vis migratoire du nouveau chancelier conservateur Friedrich Merz. Elle a jugé illégale sa politique de refoulement aux frontières des demandeurs d'asile, déjà contestée par les pays voisins.
Cette mesure controversée, dont certains partis d'opposition ont souligné l'incompatibilité avec les règles européennes, a été mise en place dès le 7 mai, soit le lendemain de l'entrée en fonction du nouvel exécutif allemand.
Le chancelier de 69 ans tenait ainsi une promesse faite pendant la campagne électorale de réduire nettement l'immigration dans le pays, dans un contexte de montée de l'extrême droite et après plusieurs agressions mortelles ayant impliqué des étrangers.
Mais le tribunal administratif de Berlin s'est montré très clair dans un jugement publié lundi, où il juge "illégal" le refoulement de demandeurs d'asile.
"Les personnes qui demandent l'asile lors d'un contrôle aux frontières sur le territoire allemand ne peuvent être refoulées sans que la procédure (européenne) de Dublin ait été appliquée afin de déterminer l'État membre responsable de l'examen de leur demande d'asile", a-t-il indiqué dans un communiqué, après avoir été saisi par trois Somaliens.
Pas de "situation d'urgence"
Ces derniers, deux hommes et une femme, étaient arrivés en train depuis la Pologne. Après un contrôle le 9 mai 2025 à la gare de Francfort-sur-l'Oder, ils ont été renvoyés en Pologne le jour même, alors qu'ils avaient demandé l'asile. Ils ont alors contesté ce refoulement devant la justice allemande, qui leur a donc donné raison.
Comme les Somaliens avaient exprimé une demande d'asile, "ils devaient être autorisés à franchir la frontière" et la procédure de Dublin, déterminant quel pays était responsable de leur demande d'asile, devait être appliquée en Allemagne.
L'Allemagne ne peut pas "invoquer (...) une situation d'urgence", comme le fait le gouvernement, a poursuivi le tribunal, soulignant que la police "n'a pas suffisamment démontré l'existence d'une menace pour la sécurité ou l'ordre public".
La "décision n'est pas susceptible d'appel"", a-t-il ajouté. Si le jugement porte sur le cas précis des trois plaignants somaliens, "les considérations juridiques du tribunal sont transposables à des cas comparables", a indiqué une porte-parole à l'AFP, et devraient donc faire jurisprudence.
Les Somaliens pourront revenir en Allemagne, mais pas au-delà de la région frontalière, où leur demande devra être traitée.
Freiner l'AfD
La multiplication des contrôles et le refoulement des demandeurs d'asile ont irrité les voisins de l'Allemagne, notamment la Pologne et la Suisse. Les maires de Strasbourg et de Kehl, villes française et allemande situées de part et d'autre du Rhin, ont aussi dénoncé les contrôles aux frontières renforcés qui compliquent à leurs yeux la vie des frontaliers.
Le conservateur Friedrich Merz s'est engagé à réduire nettement l'immigration durant la campagne électorale des législatives du 23 février, dominée par les questions migratoires.
Pour lui, seul un renversement complet de la généreuse politique d'accueil héritée d'Angela Merkel (2005-2021) peut combattre efficacement l'essor du parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD), arrivé deuxième aux élections avec le meilleur score de son histoire.
Le gouvernement allemand vient en parallèle d'adopter des projets de loi visant à durcir les règles migratoires, notamment une suspension du regroupement familial pour les réfugiés n'ayant obtenu qu'un statut subsidiaire et la suppression d'un mécanisme de naturalisation accélérée.
Cette dernière mesure, introduite par le précédent gouvernement d'Olaf Scholz, visait à promouvoir les réfugiés ayant fait la preuve de leur bonne intégration dans un pays vieillissant et en manque de main-d'oeuvre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La sensation Loïs Boisson
Pour la première fois depuis huit ans, une Française jouera les quarts de finale de Roland-Garros. 361e mondiale, Loïs Boisson a signé l'exploit devant la tête de série no 3 Jessica Pegula.
La Dijonnaise de 22 ans s’est imposée 3-6 6-4 6-4 après 2h40’ de jeu devant l’Américaine. Mirra Andreeva (WTA 6), sa prochaine adversaire, devra vraiment se méfier de cette joueuse qui pratique un tennis en toucher dans un style qui lui est propre. Et qui possède un coup droit bien percutant.
Avant cette quinzaine, Loïs Boisson n’avait gagné qu’un seul match sur le Circuit de la WTA, en avril dernier au WTA 250 de Rouen. Son accession en quart de finale à Roland-Garros a vraiment quelque chose d’irréel.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Musée Grévin: la statue de Macron volée par des activistes
La statue en cire d'Emmanuel Macron a été dérobée au musée Grévin lundi par des militants de Greenpeace. Ils l'ont ensuite déposée devant l'ambassade de Russie en signe de protestation contre les liens économiques de la France avec la Russie.
Selon une source policière, deux femmes et un homme sont entrés lundi matin dans le musée parisien, situé dans le IXe arrondissement (centre). Après s'être changés, se faisant passer pour des artisans ou des employés de l'établissement, ils ont réussi à dérober la statue, d'une valeur de 40'000 euros, en la dissimulant sous une couverture et en sortant par une issue de secours.
D'après une porte-parole du musée, ils ont détourné l'attention du vigile en posant une question sur l'accès de l'ascenseur aux personnes handicapées pendant que d'autres revêtaient une blouse d'agent d'entretien.
"Ils avaient manifestement fait des repérages très précis", a-t-elle déclaré à l'AFP, ajoutant que les militants avaient rapidement appelé le musée pour leur garantir que la statue serait restituée "indemne".
La statue du président de la République française a ensuite été déposée dans l'après-midi devant l'ambassade de Russie, située dans le XVIe arrondissement (ouest) de la capitale, a constaté une journaliste présente sur les lieux.
L'action devant l'ambassade n'a duré que quelques minutes: un drapeau russe a été déployé derrière la statue d'Emmanuel Macron et un militant de l'ONG a brandi une pancarte jaune fluo portant l'inscription "Business is business". Des membres de Greenpeace ont lancé de faux billets de banque.
"Double jeu"
"Pour nous la France joue un double jeu" et "Emmanuel Macron incarne ce double discours: il soutient l'Ukraine mais encourage les entreprises françaises à continuer à faire commerce avec la Russie", a déclaré Jean-Francois Julliard, directeur général de Greenpeace France.
L'ONG veut protester contre les liens économiques entre la France et la Russie dans les secteurs du gaz, des engrais chimiques et du nucléaire.
Greenpeace déplore notamment l'explosion des importations d'engrais russe dans l'UE entre 2021 et 2023 (de plus de 80% selon les fabricants français d'engrais, rassemblés au sein de l'Union des industries de la fertilisation, l'Unifa).
L'Union européenne veut taxer les importations d'engrais russes, pour réduire cette dépendance. Les agriculteurs européens, eux, mettent en garde contre une mesure qui ne ferait que renchérir les prix des engrais et réclament d'abord la suppression des droits de douane sur les fertilisants en provenance du reste du monde.
"On vise nommément Emmanuel Macron, parce qu'il a une responsabilité toute particulière dans cette situation-là", a ajouté Jean-Francois Julliard. "C'est lui qui devrait être le premier dans les discussions européennes" pour mettre fin aux contrats commerciaux entre la Russie et les pays européens.
Précédents
L'effigie en cire de Jacques Chirac avait elle aussi été dérobée au musée Grévin, en décembre 1983, lorsqu'il était maire de Paris, avant d'être retrouvée quelques jours plus tard au zoo de Vincennes.
Celle de Georges Marchais, secrétaire national du PCF, avait elle été dérobée par un groupe nationaliste en 1980 et retrouvée au Jardin des plantes à Paris.
Enfin, pendant son mandat à l'Elysée (1974-1981), la statue de Valéry Giscard d'Estaing avait été subtilisée par des motards en colère.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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