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Accord de l'UE sur une "feuille de route" qui reste à définir

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L'Europe fait face à une flambée de l'énergie, une situation compliquée par la fracture de plus en plus visible entre Paris et Berlin (archives).. (© KEYSTONE/EPA/RONALD WITTEK)

Les dirigeants de l'UE sont tombés d'accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur une "feuille de route" visant à mettre en place, dans les prochaines semaines, des mesures pour endiguer la flambée des prix de l'énergie. De nombreux points restent cependant à trancher.

La guerre en Ukraine et les sanctions imposées à la Russie ont provoqué un choc sur les prix du pétrole, du gaz et de l'électricité. Mais, depuis février, l'Europe réagit avec lenteur, affaiblie par les intérêts divergents des Etats membres.

Si, à l'issue d'âpres tractations, le bloc des 27 a voulu présenter un front uni, les négociations des prochaines semaines s'annoncent difficiles.

"Nous avons désormais une très bonne feuille de route", a souligné la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, tandis que le président du Conseil européen Charles Michel évoquait "un accord sur un paquet de mesures" qui doivent désormais être "traitées de manière fine".

Le chancelier allemand Olaf Scholz a cependant clairement indiqué que si les ministres de l'énergie n'arrivaient pas à s'entendre sur une version finale, un nouveau sommet des chefs d'Etat serait nécessaire.

"Message aux marchés"

Selon le président français Emmanuel Macron, les mécanismes envisagés pourraient être mis en oeuvre "fin octobre, début novembre". Il a estimé que les dirigeants avaient "envoyé de manière très claire aux marchés un signal de [leur] détermination et de [leur] unité".

Selon les conclusions diffusées à l'issue de la rencontre, les chefs d'Etat et de gouvernement demandent à la Commission européenne de leur soumettre "de façon urgente" des "décisions concrètes" sur un ensemble de mesures, dont des interventions pour dompter la volatilité des cours du gaz.

Les Vingt-Sept se sont mis d'accord pour favoriser les achats en commun de gaz à l'échelle de l'UE, avec l'idée qu'ils restent "volontaires", mais couvrent au moins un niveau-cible "obligatoire" de 15% des objectifs de remplissage des stocks de l'UE pour l'hiver 2023.

Ils ont également appelé à "accélérer ses négociations" avec des pays producteurs "fiables" comme la Norvège et les Etats-Unis, pour "tirer avantage du poids économique" agrégé de l'UE plutôt que de se faire concurrence sur le marché mondial au risque d'alimenter la fièvre des prix.

Outre une mesure d'encadrement du prix de gros dans les transactions de gaz naturel, les dirigeants demandent par ailleurs un projet précis de mécanisme "temporaire" pour plafonner les prix du gaz utilisé pour produire de l'électricité - un dispositif déjà mis en place en Espagne et au Portugal, et dont la France réclamait l'extension à l'ensemble de l'UE.

Apaisement entre Macron et Scholz

Mais, dans une concession faite à l'Allemagne, ce mécanisme devra être assorti de garde-fous pour "éviter toute consommation accrue de gaz". Il devra aussi éviter que l'UE ne subventionne de l'électricité qui serait in fine exportée vers des pays voisins, comme la Suisse, la Norvège ou le Royaume-Uni.

Interrogé sur le couple franco-allemand, moteur de la coopération européenne qui semble en panne, M. Macron a affirmé que son tête-à-tête avec le chancelier allemand avait permis de "clarifier beaucoup de choses". Quelques heures plus tôt, il avait estimé que Berlin jouait une partition solitaire, semblant rejeter sur les Allemands la responsabilité des difficultés européennes.

"Je pense que ce n'est pas bon ni pour l'Allemagne ni pour l'Europe qu'elle s'isole [...] Notre rôle est de tout faire pour qu'il y ait une unité européenne et que l'Allemagne en fasse partie", avait-il indiqué.

"Il est très clair que l'Allemagne a toujours agi de façon très solidaire", a répliqué Olaf Scholz. Le chancelier avait été accusé d'égoïsme après avoir annoncé à la fin septembre un plan de soutien à 200 milliards d'euros pour l'économie allemande, non concerté avec ses partenaires.

Gazoduc entre le Portugal et la France

C'est sans concertation avec Berlin que Paris a annoncé jeudi un projet d'infrastructure après des années de blocage: la France, l'Espagne et le Portugal ont annoncé un accord pour remplacer le projet de gazoduc MidCat par un pipeline sous-marin entre Barcelone et Marseille, destiné à acheminer du gaz puis de l'hydrogène vert.

Lancé initialement en 2003, ce projet MidCat (pour Midi-Catalogne), était défendu par Lisbonne, Madrid et Berlin, mais se heurtait à l'opposition de Paris. Il visait à relier les réseaux gaziers français et espagnol via un pipeline de 190 km allant d'Hostalric, au nord de Barcelone, à Barbaira, à l'est de Carcassonne, par les Pyrénées.

En milieu de nuit, à l'issue d'une douzaine d'heures de négociations entre les 27, Emmanuel Macron et Olaf Scholz ont joué l'apaisement, ce dernier évoquant en particulier une relation "intense et fructueuse". Les deux hommes doivent se retrouver mercredi à Paris.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Oklahoma City à un succès du titre

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Jalen Williams a sorti le grand jeu lundi (© KEYSTONE/AP/Kyle Phillips)

Le Thunder est à un succès du titre en NBA. Oklahoma City a dominé les Indiana Pacers 120-109 à domicile lundi pour mener 3-2 dans cette finale des play-off.

OKC, qui a pu craindre un temps un nouveau retour miraculeux des Pacers, a donc pris pour la première fois l'avantage dans cette série. Le Thunder bénéficiera d'une première occasion de conclure jeudi à Indianapolis lors du match 6.

Lieutenant du MVP Shai Gilgeous-Alexander (31 points, 10 passes), Jalen Williams a été exceptionnel avec 40 points, 6 rebonds et 4 passes décisives. "Mes coéquipiers me donnent une grande confiance en moi, me demandent de rester moi-même", a-t-il expliqué au micro du diffuseur.

"On a l'opportunité de se servir de nos expériences passées. Ce soir, c'était honnêtement exactement comme le match 1 (avec un retour victorieux des Pacers). On apprend au fil de cette finale, c'est ce qui rend notre équipe si bonne. On a été capables collectivement d'obtenir des stops défensifs pour l'emporter."

Les Pacers, largement dominés en première période (59-45 à la pause, après avoir accusé jusqu'à 18 longueurs de retard), sont en effet revenus à deux points en début de quatrième quart dans le sillage de Pascal Siakam (28 points, 6 rebonds, 5 assists, 3 interceptions) et de l'étonnant T.J. McConnell (18 points).

Leur héros habituel Tyrese Haliburton, touché au mollet droit en début de partie, a en revanche raté son match (4 points, tous sur la ligne des lancers-francs, 0/6 au tir). Et, contrairement à ce qui s'était passé dans un acte I remporté par Indiana en Oklahoma, le Thunder a cette fois-ci tenu bon dans le "money time".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Conflit Israël-Iran: Trump quitte prématurément le G7

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Le président américain Donald Trump va quitter prématurément le sommet du G7. (© KEYSTONE/AP/Suzanne Plunkett)

Donald Trump a décidé de quitter prématurément lundi le sommet du G7 au Canada. Une décision motivée par son envie de se consacrer à l'évolution du confit entre Israël et l'Iran, a annoncé la Maison Blanche.

"A cause de ce qui se passe au Moyen-Orient, le président Trump va partir ce soir après le dîner" avec les autres dirigeants du sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt que prévu, a annoncé lundi sa porte-parole Karoline Leavitt sur X.

Le président américain, dont le séjour dans les Rocheuses canadiennes devait se prolonger jusqu'à mardi en fin de journée et se conclure par une conférence de presse, "rentre à Washington pour s'occuper de nombreux sujets importants", a-t-elle déclaré par ailleurs dans un court communiqué.

Cette annonce vient peu après que Donald Trump a écrit sur son réseau Truth Social: "Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement.

Le milliardaire républicain de 79 ans avait auparavant assuré qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël, sans bien expliquer si ce serait le résultat de la contrainte militaire ou de négociations.

Il est par ailleurs resté évasif lundi sur la question d'une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël.

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive, Téhéran annonçant des frappes "sans interruption jusqu'à l'aube" après une nouvelle vague d'attaques israéliennes contre sa télévision nationale et plusieurs autres cibles.

Egalement depuis le Canada, le président français Emmanuel Macron a lui averti que vouloir renverser le régime iranien par la force serait une "erreur stratégique", en appelant à "cesser" les frappes contre les civils, que ce soit en Iran et en Israël.

Le départ prématuré de M. Trump ignifie par ailleurs que la rencontre bilatérale prévue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'aura pas lieu, et que les Européens n'ont guère eu le temps de le convaincre de durcir les sanctions sur le pétrole russe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran

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Cette capture d'écran est issue d'une vidéo diffusée par la télévision d'Etat iranienne. Elle montre le siège de la télévision nationale en flammes, après une attaque de drône israélien. (© KEYSTONE/AP)

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive mardi, alimentant les craintes d'escalade de la part des grandes puissances. A tel point que Donald Trump appelle à "évacuer Téhéran immédiatement".

Malgré les appels à la fin des hostilités émis par la communauté internationale, les deux ennemis jurés ne montrent aucun signe d'apaisement dans la confrontation militaire qui les oppose depuis vendredi, quand Israël a lancé une offensive sans précédent contre l'Iran avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de la bombe atomique.

Après une nouvelle vague de frappes israéliennes qui a touché la télévision nationale iranienne, les deux pays ont activé dans la nuit leurs systèmes de défense anti-aérienne et les capitales étrangères semblent se préparer à une poursuite de l'escalade.

La Chine, via son ambassade, a pressé ses ressortissants à quitter Israël au plus vite tandis que les Etats-Unis ont annoncé déployer des "ressources supplémentaires" au Moyen-Orient pour y renforcer leur "dispositif défensif", selon le ministre de la Défense Peter Hegseth.

Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, a mis le cap à l'ouest et prend la direction du Moyen-Orient, selon le Pentagone.

"Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement", a déclaré Donald Trump, qui va quitter le sommet des pays riches du G7 prématurément, dès lundi soir, pour se consacrer à l'évolution du conflit.

"L'Iran aurait dû signer l''accord' quand je leur ai dit de signer. Quel dommage et quel gâchis de vies humaines", a tempêté le président républicain, qui avait relancé récemment les négociations avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien, sur son réseau Truth Social.

Mais la République islamique s'est retirée de ces pourparlers en raison des attaques israéliennes et sa riposte continue. Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont annoncé une "neuvième salve d'attaque combinée de drones et missiles (qui) se poursuivra sans interruption jusqu'à l'aube".

Télévision d'Etat attaquée

Les sirènes d'alerte ont retenti à deux reprises mardi à l'aube dans plusieurs points d'Israël, notamment dans le nord, après que l'armée a annoncé avoir "identifié des missiles lancés depuis l'Iran vers le territoire de l'Etat d'Israël". Mais dans les deux cas, les habitants ont été autorisés à quitter les abris quelques instants plus tard.

Selon le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, les représailles iraniennes ont fait au moins 24 morts depuis vendredi.

Du côté iranien, les frappes israéliennes, qui ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, ont fait au moins 224 morts et plus d'un millier de blessés depuis vendredi, selon un bilan officiel établi dimanche.

Trois secouristes du Croissant-Rouge iranien ont été tués lundi à Téhéran dans un bombardement durant leur travail, a annoncé l'organisation. Et les émissions de la télévision publique iranienne ont été brièvement interrompues par une attaque israélienne contre son bâtiment.

Cette attaque s'est produite alors qu'une présentatrice critiquait vivement Israël à l'antenne. Elle a été vue quittant précipitamment le plateau dans un nuage de poussière, tandis que des débris du plafond tombaient autour d'elle.

Téhéran a condamné "un acte ignoble et un crime de guerre", et a appelé deux chaînes de télévision israéliennes à évacuer leurs locaux.

Changer "la face du Moyen-Orient"

Le Grand Bazar, le principal marché de Téhéran, est resté fermé lundi. Les rues de la capitale étaient pour la plupart désertes, les magasins fermés à l'exception de quelques épiceries, et de nombreux automobilistes faisaient la queue aux stations-service.

Un vendeur a signalé une augmentation des achats compulsifs, disant que son magasin "était en rupture de stocks d'eau".

Lors d'une conférence de presse télévisée lundi, Benjamin Netanyahu a affirmé qu'Israël était en train de changer "la face du Moyen-Orient".

"Nous avons éliminé les responsables de la sécurité de l'Iran parmi lesquels trois chefs d'état-major, le commandant de l'armée de l'air et deux chefs des services de renseignement. Nous les éliminons un par un", s'est-il vanté.

Dans plusieurs interviews à des médias internationaux, le Premier ministre israélien a également lancé un appel au peuple iranien pour qu'il se soulève contre la "tyrannie" et estimé qu'assassiner le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, mettrait "fin au conflit".

"Arrêter la guerre"

Au G7, le président français Emmanuel Macron a estimé que vouloir changer le régime en Iran par la force serait une "erreur stratégique" et a jugé "absolument essentiel que toutes les frappes qui se font de part et d'autre contre des infrastructures énergétiques, administratives, culturelles et encore plus contre la population civile cessent".

"Si les États-Unis peuvent obtenir un cessez-le-feu, c'est une très bonne chose", a également déclaré le dirigeant français, alors que Donald Trump avait assuré dans la soirée qu'un "accord" allait être trouvé. "A ce stade, de manière objective, rien ne me laisse espérer que dans les prochaines heures les choses bougent".

Sur X, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi s'est demandé si le président américain Donald Trump "prend au sérieux la diplomatie et est intéressé d'arrêter la guerre". "Il suffit d'un seul coup de téléphone de Washington pour museler quelqu'un comme Netanyahu", a-t-il écrit.

Ce conflit a éclaté au moment où l'Iran et les Etats-Unis prévoyaient une nouvelle séance de négociations à Oman sur le nucléaire iranien dimanche.

Soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir fabriquer l'arme nucléaire, l'Iran dément et défend son droit à enrichir de l'uranium afin de développer un programme nucléaire civil.

Israël affirme avoir détruit "la principale installation" du site d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a cependant affirmé qu'il n'y a "pas d'indication d'attaque" contre la partie souterraine du site, qui abrite la principale usine d'enrichissement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Culture

USA: le principal médecin de Matthew Perry va plaider coupable

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Matthew Perry lors de l'une de ses dernières apparitions en public en novembre 2022. (© KEYSTONE/AP/Willy Sanjuan)

Le médecin de Matthew Perry, la star de la série "Friends", avant sa mort par overdose en 2023, a accepté un accord de plaider coupable, a annoncé lundi le parquet fédéral de Californie. Le médecin est soupçonné d'avoir exploité l'addiction à la kétamine

Principal médecin poursuivi dans cette affaire, Salvador Plasencia prévoit de plaider coupable de distribution de kétamine "dans les semaines à venir", a expliqué le parquet dans un communiqué. Il risque pour cela jusqu'à "40 ans d'emprisonnement".

Un second médecin de Los Angeles, Mark Chavez, a déjà reconnu avoir illégalement contribué à fournir de la kétamine à l'acteur et risque jusqu'à 10 ans d'emprisonnement.

La mort de Matthew Perry, retrouvé inconscient dans son jacuzzi en octobre 2023, avait choqué les fans de "Friends" et suscité une pluie d'hommages à Hollywood.

L'acteur avait parlé publiquement de ses problèmes d'addiction.

Il prenait de la kétamine de manière supervisée dans le cadre de sessions de thérapie contre la dépression. Mais cet anesthésiant légal est parfois détourné à des fins stimulantes ou euphorisantes, et il est retombé dans l'addiction à l'automne 2023, selon le parquet fédéral.

Une rechute qui l'a poussé dans les griffes de médecins "sans scrupules", d'après les autorités.

Le docteur Salvador Plasencia est soupçonné d'avoir joué un rôle central dans cette affaire, même s'il n'a pas fourni la kétamine qui a tué l'acteur.

Selon l'enquête, c'est lui qui aurait organisé "l'exploitation" du comédien malade.

"Je me demande combien ce crétin va payer", avait écrit en septembre 2023 le docteur Plasencia, dans un SMS exhumé par les enquêteurs.

L'accord de plaider coupable publié lundi par le parquet souligne que M.Plasencia se fournissait auprès du docteur Chavez, et se déplaçait lui-même au domicile de Matthew Perry pour lui injecter de la kétamine, ou la fournir à l'assistant de la star.

Au total, M.Plasencia "a distribué vingt flacons" de kétamine à l'acteur sur une quinzaine de jours à l'automne 2023, selon le parquet.

Les autorités ont précédemment expliqué que les flacons de kétamine coûtaient environ 12 dollars aux médecins impliqués, mais étaient revendus "2'000 dollars" à l'acteur.

Cinq suspects sont poursuivis pour leur implication dans la mort de M.Perry.

L'autre accusée au centre du dossier est Jasveen Sangha, une dealeuse connue à Hollywood comme la "reine de la kétamine".

Cette Américano-Britannique de 41 ans a vendu le flacon de kétamine qui a tué l'acteur, et risque la prison à perpétuité.

L'assistant personnel de Matthew Perry et un intermédiaire ont eux accepté de plaider coupable.

Longs problèmes d'addiction

Véritable phénomène culturel, la série diffusée entre 1994 et 2004 a marqué toute une génération de téléspectateurs, en narrant les péripéties d'une bande de joyeux copains à New York.

Mais en coulisses, Matthew Perry a longtemps caché un mal-être derrière son personnage jovial de Chandler. Il luttait de longue date contre son addiction aux médicaments et à l'alcool.

Dans ses mémoires publiés en 2022, il avait confié avoir suivi 65 séances de sevrage, dépensant plus de neuf millions de dollars.

Il avait aussi subi plusieurs opérations chirurgicales liées à ses problèmes d'addiction à la drogue, dont une intervention durant sept heures au niveau du colon en 2018, allant jusqu'à affirmer: "Je devrais être mort."

Lors d'une apparition à la télévision peu avant son décès, l'acteur avait surpris l'auditoire en admettant avoir souffert d'une grave anxiété "tous les soirs" pendant le tournage de "Friends".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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