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Agression: Le chanteur Chris Brown plaide non coupable

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Chris Brown, vendredi matin, à son arrivée à l'audience. (EPA/Neil Hall) (© KEYSTONE/EPA/NEIL HALL)

Le chanteur américain de R&B, Chris Brown, ancien petit ami de Rihanna, a plaidé non coupable vendredi devant un tribunal londonien d'avoir tenté de causer des blessures graves lors d'une agression dans une boîte de nuit londonienne en 2023.

La star de 36 ans est notamment accusée d'avoir frappé à plusieurs reprises avec une bouteille le producteur de musique Abraham "Abe" Diaw. Arrêté mi-mai à Manchester (nord de l'Angleterre), il a été libéré le 21 mai en échange d'une caution de 5 millions de livres (5,9 millions d'euros) et a été autorisé à poursuivre sa tournée internationale.

Déjà accusé de violences par le passé, il avait été arrêté trois jours plus tôt dans un hôtel puis inculpé, soupçonné d'une agression dans un club d'un quartier huppé de Londres le 19 février 2023. Il est accusé d'avoir frappé à plusieurs reprises avec une bouteille le producteur de musique Abraham "Abe" Diaw au bar de la boîte de nuit Tape.

Chris Brown était à l'époque en tournée au Royaume-Uni. Devenu une star du R&B à 19 ans seulement, il a vendu des dizaines de millions de disques. Il doit démarrer le 8 juin une nouvelle tournée mondiale en commençant par les Pays-Bas, puis l'Allemagne, le Royaume-Uni, la France, le Portugal, avant les Etats-Unis.

Chris Brown a régulièrement défrayé la chronique judiciaire aux Etats-Unis. En 2009, il a notamment été condamné pour avoir frappé sa petite amie de l'époque, la chanteuse et superstar mondiale Rihanna, qui avait dû annuler sa participation à la cérémonie des Grammy Awards en raison de ses blessures.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Frappes russes meurtrières en Ukraine malgré l'ultimatum de Trump

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La Russie multiplie depuis plusieurs semaines les frappes massives sur l'Ukraine, impliquant souvent des centaines de drones et des missiles, fournis par une industrie de défense qui tourne à plein régime. (© KEYSTONE/AP)

Une frappe russe contre une zone commerciale dans l'est de l'Ukraine a fait au moins deux morts et une vingtaine de blessés mercredi, ont indiqué les autorités locales. Cela quelques jours après l'ultimatum lancé par Donald Trump à Moscou pour mettre fin à la guerre.

Donald Trump a donné lundi 50 jours à Moscou pour parvenir à un accord de paix avec l'Ukraine, sous peine de sanctions sévères, mais les attaques russes en Ukraine se sont poursuivies depuis.

"Les Russes ont une nouvelle fois délibérément pris pour cible une zone très fréquentée, un centre commercial situé en plein centre-ville. Cette fois-ci, ils ont utilisé une bombe aérienne de 500 kg", a écrit sur Telegram Vadym Filachkine, gouverneur de la région de Donetsk.

La frappe sur la ville de Dobropillia a fait deux morts et 22 blessés, a-t-il dit. "Il est probable que des personnes soient encore coincées sous les décombres, et les recherches pour retrouver des survivants se poursuivent", a ajouté Vadym Filachkine.

Le gouverneur a partagé des photos montrant une rue couverte de débris, des bâtiments détruits et des magasins aux vitres soufflées par l'explosion.

"Faire le plus de victimes possible"

Le président Volodymyr Zelensky a jugé cette attaque russe "horrible". "Leurs frappes n'ont aucun sens militaire, elles ne visent qu'à faire le plus de victimes possible", a-t-il estimé lors de son adresse quotidienne à la nation.

Dobropillia est située à une vingtaine de kilomètres du front est, où les combats sont particulièrement violents. Elle a été de plus en plus fréquemment ciblée par des attaques de petits drones russes ces dernières semaines.

Centaines de drones

Lundi, Donald Trump a donné lundi à la Russie un ultimatum de 50 jours pour mettre fin à la guerre en Ukraine sous peine de sanctions sévères, et a annoncé un réarmement massif de Kiev à travers l'Otan.

Les avertissements de Donald Trump n'ont cependant pas fait cesser les frappes. Dans la nuit de mardi à mercredi, une quinzaine de personnes ont été blessées à travers le pays dans une attaque russe impliquant des centaines de drones, selon les autorités.

D'après l'armée de l'air ukrainienne, la Russie a tiré au cours de la nuit près de 400 drones explosifs et de nombreux leurres, dont 198 ont été abattus et 145 autres perdus sans atteindre leur cible.

A Nikopol (centre), des frappes d'artillerie russe ont aussi provoqué dans la matinée la mort d'une femme et blessé cinq personnes, ont indiqué les services de secours sur Telegram.

Un mort en Russie

La Russie multiplie depuis plusieurs semaines les frappes massives sur l'Ukraine, impliquant souvent des centaines de drones et des missiles, fournis par une industrie de défense qui tourne à plein régime.

En Russie, une personne a été tuée par une attaque de drone ukrainienne survenue mardi à Voronej, à environ 200 kilomètres de la frontière ukrainienne, a rapporté mercredi sur Telegram le gouverneur régional Alexandre Goussev.

L'annonce de Donald Trump constitue une volte-face, le locataire de la Maison Blanche ayant été critique de l'aide apportée à Kiev, et s'étant rapproché du président russe Vladimir Poutine.

Mais le refus de ce dernier d'accepter un cessez-le-feu a suscité la frustration croissante du président américain, qui se dit désormais "déçu" du maître du Kremlin.

Remaniement gouvernemental

Le commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandre Syrsky a par ailleurs dit avoir eu sa première conversation téléphonique avec le commandant suprême des forces armées de l'Otan en Europe, Alexus Grynkewich.

Après cet échange avec ce général américain, M. Syrsky s'est félicité des "engagements fermes de soutien de la part des Etats-Unis et de l'Alliance".

L'Ukraine traverse par ailleurs un remaniement gouvernemental d'ampleur, censé insuffler un nouvel élan après plus de trois ans et demi d'invasion russe.

La démission du gouvernement actuel a été entérinée par le parlement mercredi, et un nouveau, dirigé par la ministre Ioulia Svyrydenko, devrait être approuvé par les élus sous peu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Suisse commence de manière correcte

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Martin Fuchs et Conner Jei ont fait une erreur lors de la chasse (© KEYSTONE/EPA/Cabalar)

Pour l'ouverture des Européens de saut à La Corogne, l'équipe de Suisse a fait des débuts corrects, sans plus. Les Helvètes sont 6es après la première des trois épreuves du classement par équipes.

Le champion d'Europe et vice-champion olympique a pris le meilleur départ du quintette suisse, bien que le Jurassien ait ménagé son cheval phare Dynamix lors de ces championnats. Sur Iashin Sitte, Guerdat a fait une chasse sans faute et a terminé au 6e rang, comme son équipe.

Nadja Peter Steiner avec Mila (17e) et Janika Sprunger sur Orelie (24e) n'ont pas non plus écopé de secondes de pénalité. Les deux femmes ont toutefois privilégié la sécurité à la vitesse. Martin Fuchs, qui comme Guerdat a accordé une pause à son meilleur cheval, a misé sur la sécurité avec Conner Jei. Le Zurichois a commis une erreur qui lui a valu quatre secondes de pénalité et la 35e place.

Géraldine Straumann a totalement raté sa première participation à un championnat international. Par chance, les points de pénalité de sa 85e place ont été biffés et n'ont pas été comptabilisés dans le classement par équipe.

La Grande-Bretagne est en tête avec 3,96 points de pénalité. Six équipes, dont la Suisse avec 7,10, se tiennent en un seul point de pénalité. Jeudi et vendredi, une manche sera organisée comme pour une Coupe des Nations. Les médailles par équipe seront décernées vendredi soir. Les résultats des trois premiers jours seront pris en compte pour la finale individuelle de dimanche, qui comptera deux tours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Gaza: 20 morts dans une bousculade à un point d'aide humanitaire

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Un médecin de l'hôpital Nasser de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a annoncé avoir reçu les corps de neuf personnes, "dont plusieurs enfants", tuées dans ce secteur après des tirs de l'armée israélienne et du personnel de sécurité de GHF. (© KEYSTONE/AP/Mariam Dagga)

La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par Israël et les USA, a annoncé mercredi la mort de 20 personnes qui attendaient de l'aide. Elle a accusé des individus armés d'avoir provoqué "une bousculade", une version contestée par des sources palestiniennes.

"D'après les informations dont nous disposons, 19 des victimes ont été piétinées et une autre a été poignardée dans une bousculade chaotique et dangereuse provoquée par des agitateurs dans la foule", a précisé la GHF.

La Défense civile de Gaza a également rapporté la mort de 20 personnes mercredi, mais affirmé qu'elles avaient succombé à des "tirs de l'occupation israélienne" à la suite d'un mouvement de foule parmi les personnes en quête de nourriture dans la zone d'al-Tina, au sud-ouest de Khan Younès, près d'un centre de distribution d'aide".

Plusieurs enfants tués

Un médecin de l'hôpital Nasser de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, avait annoncé plus tôt avoir reçu les corps de neuf personnes, "dont plusieurs enfants", tuées dans ce secteur après des tirs de l'armée israélienne et du personnel de sécurité de GHF.

La GHF a entamé ses opérations à Gaza fin mai et répète régulièrement que ses opérations de distribution à l'intérieur de ses centres se déroulent sans encombre.

Israël empêche les médias de travailler

Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège la bande de Gaza, et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.

Sollicitée par l'AFP, l'armée israélienne a dit "se renseigner".

Près de 900 personnes tuées

Mardi, les Nations unies avaient affirmé que 875 personnes avaient été tuées dans la bande de Gaza alors qu'elles tentaient de trouver de quoi manger depuis le début des opérations de la GHF.

Israël avait assoupli fin mai le blocus hermétique imposé pendant deux mois à la bande de Gaza, où l'armée israélienne est en guerre contre le Hamas depuis l'attaque du mouvement islamiste le 7 octobre 2023 en Israël, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien.

L'ONU et les principales organisations humanitaires refusent de travailler avec la GHF, accusée de violer les principes humanitaires.

"Un piège"

Dans la cour de l'hôpital Nasser où ont été amenées les dépouilles des personnes tuées près du site de distribution, Abdoullah Alian qui a assisté à la scène a expliqué que "cette aide (était) un piège".

"Ils nous tirent dessus, lancent des bombes et nous aspergent de gaz (lacrymogène) dans les yeux", a-t-il dit.

"Ce qui se passe sur le terrain confirme les intentions et les plans de l'occupation (Israël) de maintenir et de prolonger son contrôle militaire dans la bande de Gaza", a commenté un membre du bureau politique du Hamas, Bassem Naïm.

"Aucun progrès" en vue d'une trêve

Par ailleurs, un haut responsable du Hamas ainsi que deux sources palestiniennes proches des négociations indirectes avec Israël ont démenti mercredi les informations publiées par des médias israéliens selon lesquelles les pourparlers en vue d'une trêve à Gaza progressaient.

"Aucun progrès n'a été réalisé jusqu'à présent dans les négociations indirectes en cours à Doha entre les délégations du Hamas et d'Israël", a déclaré à l'AFP l'une des sources palestiniennes.

Israël et le Hamas ont entamé le 6 juillet au Qatar des discussions indirectes en vue d'une trêve de 60 jours associée à une libération d'otages. Mais les deux parties s'accusent mutuellement d'enrayer les pourparlers.

Au moins 58'573 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas à Gaza, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Syrie: début de retrait de Soueida après des combats meurtriers

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L'armée israélienne a mené de nouvelles frappes à Damas, visant l'entrée du QG de l'armée syrienne et une "cible militaire" dans la zone du palais présidentiel. Les autorités syriennes ont fait état de 3 mort et de 34 blessés. (© KEYSTONE/AP/Ghaith Alsayed)

Les autorités syriennes ont annoncé mercredi le début du retrait de leurs forces de la région méridionale de Soueida, meurtrie par des violences communautaires meurtrières. Cela après un appel en ce sens des Etats-Unis.

Le début du retrait a été annoncé après un communiqué du ministère de l'Intérieur faisant état de la conclusion d'un accord de cessez-le-feu, prévoyant notamment "un arrêt total et immédiat de toutes les opérations militaires".

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a annoncé "un accord sur des mesures spécifiques qui permettront de mettre fin à cette situation troublante et terrifiante dès ce soir" en Syrie, disant attendre à présent que "toutes les parties tiennent leurs engagements".

Israël bombarde

Israël a de nouveau bombardé des cibles du pouvoir en Syrie et menacé d'intensifier ses frappes si les forces syriennes ne quittaient pas la région à majorité druze de Soueida, où les violences ont fait en trois jours plus de 300 morts selon une ONG.

Les combats entre des tribus bédouines sunnites et des combattants druzes ont éclaté dimanche dans la province de Soueida après l'enlèvement d'un marchand de légumes druze, selon cette ONG, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Les forces gouvernementales et des groupes alliés se sont déployés mardi dans la ville de Soueida, jusque-là tenue par des combattants de la communauté druze, une minorité ésotérique issue de l'islam. Mais selon l'OSDH et des témoins, ils ont combattu au côté des tribus bédouines et exécuté des civils.

"Retrait de l'armée syrienne"

"Les forces de l'armée syrienne ont commencé à se retirer de la ville de Soueida en application des termes d'un accord (de cessez-le-feu) conclu après la fin des opérations de ratissage contre les groupes hors-la-loi", a indiqué le ministère syrien de la Défense dans un communiqué. Il n'a pas fait mention du retrait d'autres forces relevant du pouvoir déployées dans la ville.

Plus tôt, le département d'Etat a appelé le gouvernement syrien à quitter la zone de conflit afin d'apaiser les tensions avec Israël.

"Nous demandons au gouvernement syrien de retirer son armée afin de permettre à toutes les parties de désamorcer la situation", a-t-elle déclaré, se refusant à dire si les Etats-Unis avaient demandé à leur allié israélien de cesser ses frappes en Syrie.

QG de l'armée à Damas attaqué

Mercredi, l'armée israélienne a mené des frappes sur le QG de l'armée à Damas et sur une "cible militaire" dans la zone du palais présidentiel. Les autorités syriennes ont fait état de trois morts.

Des frappes ont aussi visé près de Damas "les environs de l'aéroport militaire de Mazzé", selon les autorités syriennes. D'autres ont ciblé notamment Soueida et l'autoroute Damas-Deraa, d'après l'agence Sana.

Le chef d'état-major israélien Eyal Zamir a affirmé que son armée agissait "avec retenue" en Syrie, après que le pouvoir syrien a dénoncé "l'escalade dangereuse d'Israël".

Israël, qui assure vouloir protéger la communauté druze, affirme qu'il ne permettra pas une présence militaire dans le sud de la Syrie, près de sa frontière, et considère avec méfiance le pouvoir islamiste syrien.

Le ministre de la Défense, Israël Katz, a assuré que l'armée frapperait "avec force" "pour éliminer les forces qui ont attaqué les druzes, jusqu'à leur retrait complet" et exigé du pouvoir syrien qu'il "laisse tranquilles" les druzes.

Israël, qui occupe une partie du plateau syrien du Golan depuis 1967 en violation du droit international, affirme qu'il ne permettra pas de présence militaire dans le sud de la Syrie, près de sa frontière.

"Punir" les auteurs d'exactions

"Je suis au coeur de la ville de Soueida (...) Il n'y a aucune possibilité de fuir", a affirmé dans la journée à l'AFP un habitant joint par téléphone, qui n'a pas dévoilé son identité. "S'ils arrivent ici, je suis mort."

Un correspondant de l'AFP a vu le matin une trentaine de corps gisant par terre, certains de membres des forces gouvernementales et d'autres de combattants en civil.

Le ministère de la Défense avait affirmé que "des groupes hors-la-loi avaient attaqué les forces armées à Soueida" et que celles-ci ripostaient.

Selon l'OSDH, plus de 300 personnes ont été tuées depuis le début des combats dimanche, en majorité des combattants des deux bords ainsi que 28 civils druzes, dont "21 exécutés sommairement" par les forces gouvernementales.

La présidence syrienne s'est engagée à "punir" les auteurs d'exactions.

Défis pour le nouveau pouvoir

Cette province abrite la plus importante communauté druze du pays, une communauté qui comptait quelque 700'000 membres en Syrie avant la guerre civile, et est aussi implantée au Liban et en Israël.

Ces violences illustrent les défis auxquels fait face le pouvoir Chareh depuis qu'il a renversé, avec une coalition de groupes rebelles islamistes sunnites, le président Bachar al-Assad en décembre, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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