International
Alexander Zverev renverse Roman Safiullin en finale
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L'Allemand Alexander Zverev, tête de série no 1, a remporté le tournoi ATP 250 de Chengdu, en Chine, en renversant en finale le Russe Roman Safiullin 6-7 (2/7) 7-6 (7/5) 6-3.
Le joueur de 26 ans, tombeur du Bulgare Grigor Dimitrov 6-3 7-6 (7/2) en demi-finale, a eu du mal à rentrer dans son match, mais a fini par prendre le dessus, en s'imposant en 2h56 sur un bon Safiullin, vainqueur de l'Italien Lorenzo Musetti au tour précédent (6-3 6-4).
Zverev glane son 21e tournoi ATP, son deuxième en 2023 deux mois après celui de Hambourg.
L'Allemand, 10e mondial, l'emporte à Chengdu et succède à Pablo Carreno Busta, dernier vainqueur en 2019, après trois ans d'annulation en raison des mesures prises par la Chine pour lutter contre le Covid-19.
Grâce à cette finale, Safiullin, 26 ans également, va faire un bond de 14 places dans la hiérarchie mondiale pour émarger au 41e rang mondial, le meilleur classement de sa carrière, mais a raté l'occasion de remporter son premier tournoi ATP.
A Zhuai près de Macaco, le Russe Karen Khachanov, 15e joueur mondial, a remporté mardi son premier titre en cinq ans, en s'imposant en finale du tournoi ATP 250 face au Japonais Yoshihito Nishioka, en deux sets 7-6 (7/2) 6-1.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Visite d'Etat de Trump au Royaume-Uni fixée du 17 au 19 septembre
La visite d'Etat du président américain Donald Trump au Royaume-Uni a été fixée du 17 au 19 septembre, a annoncé lundi le palais de Buckingham. C'est la première fois qu'un chef d'Etat est invité deux fois par Londres pour une visite d'Etat.
Le locataire de la Maison-Blanche et son épouse Melania seront accueillis par le roi Charles III, chef d'Etat britannique, et la reine Camilla, au château de Windsor près de Londres.
Donald Trump avait été invité par une lettre du souverain que lui avait remise le premier ministre Keir Starmer en février dernier. L'invitation avait été qualifiée quelques minutes plus tard d'"immense honneur" par le président américain.
Accueilli par la reine
Lors de son premier mandat, Donald Trump avait été reçu en 2019 par la reine Elizabeth II, qui lui avait fait les honneurs de Buckingham Palace et avait présidé un banquet en son honneur.
Contrairement au président français Emmanuel Macron qui a pu s'exprimer devant le Parlement britannique lors de sa récente visite d'Etat, il n'est pas prévu que Donald Trump s'adresse devant la chambre des Communes à Westminster, en raison d'un problème de calendrier.
En effet, la chambre basse du Parlement britannique ne siègera pas au moment de la visite du président américain pour cause de pause parlementaire liée aux congrès de rentrée des partis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Cole Palmer crucifie le PSG
Ce fut le match de trop pour le PSG ! A bout de souffle, les Parisiens n’ont pas justifié leur statut de grandissime favori de la finale du mondial des clubs face à Chelsea.
A New York sous les yeux de Donald Trump, les Londoniens se sont imposés 3-0 face aux vainqueurs de la Ligue des Champions pour couronner une saison aussi magnifique que celle du PSG. Victorieux de la Conference League et quatrième de la Premier League, Chelsea a forcé la décision avant la pause grâce au pied gauche de Cole Palmer.
Auteur des deux premiers buts aux 22e et 30e, le no 10 de Chelsea a offert le 3-0 à Joao Pedro à la 43e pour tuer tout suspense dans cette finale. Cole Palmer a exploité à merveille les insuffisances des Parisiens, coupables notamment de trop de laxisme dans leur repli défensif. L’autre héros dans le camp des vainqueurs se nomme Robert Sanchez. Le portier espagnol a réussi les arrêts qu’il fallait pour interdire tout espoir de remontada aux Parisiens.
Même si cette première édition de ce mondial des clubs à 32 équipes a été marquée par les exploits de Fluminense, demi-finaliste après avoir notamment éliminé l’Inter, et d’Al-Hilal, "tombeur" de Manchester City en huitième de finale, elle a livré un le verdict attendu avec une finale 100 % européenne entre deux des formations les plus argentées au monde. Chelsea mérite amplement ce sacre planétaire qui annonce son grand retour à la table des grands avec des performances fort abouties tant en demi-finale face à Fluminense qu’en finale. Et dire que les Londoniens n’étaient pas passé très loin au mois d’août d’une élimination en barrage de la Conference League contre le Servette FC...
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Cameroun: le président Paul Biya candidat à un huitième mandat
Le président camerounais Paul Biya, âgé de 92 ans et au pouvoir depuis près de 43 ans, a annoncé dimanche sur X briguer un huitième septennat à la présidentielle d'octobre.
"Je suis candidat à l'élection présidentielle du 12 octobre 2025. Soyez assurés que ma détermination à vous servir est à la mesure de l'acuité des défis auxquels nous sommes confrontés", a déclaré le chef de l'Etat.
Des voix s'étaient élevées ces dernières semaines au Cameroun pour demander au président de ce pays d'Afrique centrale de passer la main, tandis que d'autres avaient réaffirmé leur soutien au chef de l'Etat.
Défections
Le camp Biya a récemment connu plusieurs défections avec la déclaration de candidature à présidentielle d'Issa Tchiroma Bakary et Bello Bouba Maïgari, tout deux membres du gouvernement et soutiens de longue date de Paul Biya.
Maurice Kamto, plus farouche opposant au chef de l'Etat, arrivé deuxième lors de la présidentielle de 2018 et Cabral Libii, une figure importante de l'opposition, sont également en course pour la présidentielle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Allemagne: Merz tente d'atténuer les turbulences dans sa coalition
Le chancelier allemand Friedrich Merz a tenté dimanche de désamorcer la crise qui fragilise sa coalition gouvernementale en conflit sur la nomination de juges constitutionnels. Il a reconnu des erreurs et promis de "faire mieux".
Le renouvellement de trois des juges suprêmes de la Cour constitutionnelle de Karlsruhe est au coeur de ce différend entre le camp conservateur CDU-CSU du chancelier et son allié de gouvernement social-démocrate (SPD), au pouvoir depuis moins de trois mois.
Alors que cette élection devait être une simple formalité, le vote a dû être annulé vendredi faute de majorité suffisante au sein de la chambre basse du Parlement, le Bundestag.
"Nous aurions bien sûr pu nous rendre compte plus tôt qu'il y avait un grand mécontentement", a concédé dimanche le chancelier sur la chaine de télévisions ARD.
Coalition "abîmée"
Le chef de l'Etat Frank-Walter Steinmeier a été beaucoup plus sévère sur cette première crise ouverte au sein du gouvernement allemand: elle a "abîmé la coalition", a-t-il estimé dimanche dans une interview.
Si des "décisions ne sont pas prises dans un avenir proche, (...) nous devrons nous inquiéter", a averti M. Steinmeier avec une inhabituelle fermeté.
Pas de majorité renforcée
L'objectif de Friedrich Merz est désormais de "discuter calmement avec le SPD" et de "faire mieux" en vue du vote, après l'été, tout en reconnaissant que "cela restera difficile" puisqu'une majorité des deux tiers des députés est requise pour désigner les juges de la plus haute juridiction du pays.
Dans la chambre basse issue des législatives de février, marquée par une forte progression de l'extrême droite et de l'extrême gauche, la coalition du pouvoir ne dispose pas de cette majorité renforcée.
Une candidate jugée "trop à gauche"
La blocage porte sur les positions d'une des juristes candidate pour ces mandats de douze ans.
La constitutionnaliste Frauke Brosius-Gersdorf, 54 ans, proposée par le SPD, est jugée trop à gauche par les conservateurs qui lui reprochent ses positions libérales sur l'avortement ou le port du voile. Vendredi, des allégations de plagiat d'une partie de sa thèse universitaire sont venues s'ajouter à ces désaccords.
Compromis critiqués
La presse allemande ne mâche pas ses mots depuis vendredi face à ce bras de fer inédit, parlant de "désastre", de "fiasco", de "crise majeure".
Conservateurs et sociaux-démocrates ont déjà été contraints à plusieurs compromis ces dernières semaines qui ont mécontenté une partie de leur base.
L'alliance gouvernementale n'est "pas un mariage d'amour, mais une coalition de travail", a rappelé M. Merz dimanche.
Cette première confrontation ravive le spectre des tensions internes qui avaient paralysé la coalition précédente, dirigée par le social-démocrate Olaf Scholz, et mené à son implosion, précipitant la tenue d'élections anticipées en février.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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