International
Après une année record pour le bitcoin, 2022 s'annonce incertaine
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Le bitcoin a vu son prix dopé en 2021 par l'appétit de la finance traditionnelle pour ce nouveau type d'investissement, mais les spécialistes des cryptomonnaies peinent à prévoir comment ce secteur volatil va se comporter en 2022.
Après avoir enchaîné les records fin 2020 et en début d'année, le bitcoin semble avoir perdu un peu de son éclat: entre décembre et avril, la cryptomonnaie enchaînait les plus hauts historiques, passant de moins de 20'000 dollars (18'320 francs) à plus de 60'000 dollars.
Une performance survoltée, alimentée par l'intérêt de grands noms des nouvelles technologies et de la finance, qui se tenaient jusqu'alors éloignés de cette technologie qui n'existe que depuis 2008.
Mais depuis, et malgré un nouveau record en octobre, le bitcoin enchaîne ses envolées avec des plongeons tout aussi spectaculaires, et évoluait fin décembre à moins de 50'000 dollars.
"La performance des prix, agitée et sans direction, qui pourrait se traduire par une nouvelle baisse à court terme, rend le marché très incertain", admet Loukas Lagoudis, du fonds d'investissement en cryptomonnaies ARK36.
Mais "nous nous attendons à ce que l'adoption des actifs numériques par les investisseurs institutionnels et leur intégration dans le système financier traditionnel poussent encore le marché des cryptos l'année prochaine", veut-il croire.
Le régulateur guette
C'est en effet ce qui a dopé le prix du bitcoin depuis fin 2020: les annonces liées aux cryptomonnaies se sont multipliées au fil des mois, des grands noms de la finance traditionnelle à ceux des nouvelles technologies.
Si l'adoption du bitcoin comme monnaie officielle par le Salvador a marqué les esprits, les investisseurs, eux, se sont focalisés sur l'appétit de Wall Street pour la cryptomonnaie.
Le plus haut du bitcoin au mois d'avril a coïncidé avec l'introduction en Bourse de la plateforme d'échanges et d'achats de cryptomonnaie Coinbase, et le record d'octobre avec l'approbation par le régulateur de produits indiciels liés au bitcoin.
Dans les deux cas, les amateurs de cryptomonnaies approuvent ce qu'ils considèrent comme des signes que le marché s'assagit.
Le risque d'une action du régulateur pèse en effet sur la cryptomonnaie, créée dans le sillage de la crise financière pour ne pas dépendre des banques centrales - et dont la consommation d'électricité très élevée est souvent critiquée.
En Chine, l'État a interdit les transactions en cryptomonnaies fin septembre, et les régulateurs en Europe et aux Etats-Unis se penchent de plus en plus sur ce réseau décentralisé, très difficile à encadrer.
"Il n'y a jamais de certitude en ce qui concerne la crypto, et encore moins la régulation. Mais une chose est certaine, les voix qui appellent à plus de régulation des cryptomonnaies vont être de plus en plus fortes", prévient Huong Hauduc, de la plateforme d'échange Bequant.
Dominance moins marquée
Pour l'instant, les critiques du bitcoin n'empêchent pas certains des hommes les plus riches du monde de s'y intéresser.
Le patron de Tesla Elon Musk a régulièrement fait bouger le marché, notamment en annonçant avoir investi une partie de la trésorerie de son groupe en bitcoin.
Plus radical, Jack Dorsey a quitté la direction de Twitter pour se focaliser sur sa société de paiement numérique, Square, qu'il a renommé Block et où il compte développer ses activités liées aux cryptomonnaies.
Mais le bitcoin risque également la concurrence d'autres cryptomonnaies.
Selon le site spécialisé CoinGecko, qui recense plus de 12'000 cryptomonnaies, ce marché représente 2.360 milliards de dollars, dont plus de 900 milliards pour le bitcoin uniquement.
Sa part a diminué au fil de l'année, et alors que le numéro 2, l'ethereum, s'apprête à tenter de faire évoluer son modèle, certains se demandent si la décentralisation qui rend virtuellement impossible l'évolution du bitcoin ne causera pas sa perte.
"La réticence du bitcoin à changer son modèle est, selon nous, une des caractéristiques qui la rend stable et cohérente, ce qui est nécessaire pour une réelle monnaie mondiale", répond cependant Frank Downing, analyste chez ARK.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
L'évolution des religions depuis 2010 documentée
Le christianisme reste la première religion dans le monde, mais l'islam est en croissance et les non-croyants de plus en plus nombreux, selon une vaste étude du Pew Research Center sur l'évolution du paysage religieux entre 2010 et 2020.
Avec 2,3 milliards de personnes (+122 millions), "les chrétiens restent le plus important groupe religieux dans le monde" et ils représentent 28,8% de la population, souligne cette méta-analyse réalisée sur la base de plus de 2700 études et recensements et publiée le 9 juin.
Le christianisme n'a toutefois pas réussi à progresser au rythme de la population mondiale, et son poids a reculé de 1,8 point.
Deuxième religion du monde avec 2 milliards de personnes (+347 millions), l'islam a connu "la croissance la plus rapide de la décennie". Il représente 25,6% de la population mondiale (+1,8 point).
Sans religion en progression
Les non-croyants sont eux aussi de plus en plus nombreux (1,9 milliard de personnes) soit près d'un quart (24,2%) de la population mondiale.
En effet, "de nombreux croyants dans le monde, essentiellement des chrétiens, 'sortent' de la religion", explique l'étude qui parle de progression "frappante".
En dix ans, les Etats-Unis (où le christianisme a reculé de 14 points sur la période) ont ainsi vu le nombre de non-croyants quasiment doubler à 101 millions de personnes: ce sont 30% de la population qui se définissent comme athées, agnostiques ou "rien de particulier".
Les sans-religions représentent également plus de la moitié de la population aux Pays-Bas, en Uruguay et en Nouvelle-Zélande.
Le monde comptait aussi 1,2 milliard d'hindous, 300'000 bouddhistes et 14,8 millions de juifs en 2020.
Géographiquement, la région abritant le plus de chrétiens (30,7%) est désormais l'Afrique sub-saharienne, et non plus l'Europe (22,3%): une tendance que l'étude explique par la démographie et "la désaffiliation chrétienne généralisée en Europe occidentale".
Le christianisme reste majoritaire dans 120 pays, contre 124 dix ans auparavant. Mais pour la première fois il est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay.
Dans chacun de ces pays "les non-croyants représentent désormais 40% ou plus de la population", tandis que les autres croyants (musulmans, hindous, juifs...) pèsent ensemble "11% ou moins".
Deux mécanismes
Pourquoi ces changements ? L'étude invoque "deux mécanismes primordiaux": la désaffection religieuse, "principal moteur du déclin de la proportion de chrétiens dans la population mondiale" et l'augmentation démographique.
La progression de l'islam s'explique donc largement par la croissance générale de la population dans les pays musulmans, du fait "d'une pyramide des âges relativement jeune et d'un taux de natalité relativement élevé".
L'étude note aussi que "les habitants des pays les plus riches sont en moyenne moins croyants que ceux des économies moins avancées".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Rebeka Masarova déclasse Sofia Kenin à Berlin
Rebeka Masarova (WTA 112) s'est hissée en huitièmes de finale à Berlin. La Bâloise de 25 ans a battu l'Américaine Sofia Kenin (WTA 29) en 67 minutes 6-3 6-2.
Sofia Kenin a autrefois occupé la 4e place du classement WTA et a remporté l'Open d'Australie en 2020 avant d'atteindre la finale de Roland-Garros quatre mois plus tard. Depuis, Kenin n'a plus jamais atteint les huitièmes de finale d'un tournoi du Grand Chelem.
Rebeka Masarova a toujours mené la danse, réussissant le break pour mener 5-3 dans le premier set. Elle a ravi l'engagement de l'Américaine à deux reprises durant le deuxième set.
En huitièmes de finale, Masarova affrontera la numéro un mondiale Aryna Sabalenka.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'ONU accuse le M23 de possibles crimes de guerre en RDC
Les parties au conflit dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) ont perpétré des violations des droits humains et du droit international humanitaire (DIH), selon l'ONU. Elle accuse le M23 de possibles crimes de guerre.
"La situation est encore plus grave et alarmante", a affirmé lundi le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk à Genève devant le Conseil des droits de l'homme. Les violences ont fait des milliers de victimes et environ un million de déplacés.
En avril, le Haut-Commissariat avait parlé de plus de 600 victimes d'exécutions sommaires et extrajudiciaires dans le Nord et Sud-Kivu. Selon ses indications préliminaires, la Mission d'établissement des faits pilotée par l'agence onusienne affirme désormais que ces exactions du M23, rebelles soutenus par le Rwanda, pourraient constituer des crimes de guerre.
Le Haut-Commissariat avait relayé en avril une augmentation de plus de 270% des violences sexuelles de janvier à février. Toutes les parties sont en cause, ajoute encore la mission.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Meta introduit la publicité sur WhatsApp
WhatsApp a annoncé lundi l'introduction prochaine de nouveaux espaces publicitaires, un tournant important pour la messagerie qui avait jusqu'ici largement échappé à la publicité.
Contrairement à Facebook, Instagram ou d'autres plateformes du groupe Meta, WhatsApp a conservé un modèle économique quasiment sans annonces depuis son rachat par le géant des réseaux sociaux en 2014.
L'application est notamment plébiscitée pour sa facilité d'utilisation et ses fonctionnalités (appels audio et vidéo, messages vocaux, etc), ses messages chiffrés et son apparente neutralité commerciale.
Jusqu'à présent, les seuls formats publicitaires consistaient en des messages promotionnels envoyés via l'outil WhatsApp Business à des utilisateurs ayant donné leur accord, ainsi que quelques expérimentations sur certains marchés.
L'entreprise précise que les nouveaux espaces publicitaires apparaîtront exclusivement dans l'onglet "Actus", qui regroupe les "Statuts" et les "Chaînes", et est utilisé quotidiennement par environ 1,5 milliard de personnes dans le monde.
Les nouvelles fonctionnalités incluent des abonnements payants à certaines Chaînes, la promotion de Chaînes dans l'annuaire de découverte et des publicités intégrées dans les Statuts, équivalents des Stories d'Instagram.
"Nous parlons depuis des années de notre intention de créer une activité qui n'interrompt pas vos conversations personnelles et nous pensons que l'onglet Actus est le bon endroit pour ces nouveaux outils", a déclaré la filiale de Meta.
Les utilisateurs qui se servent de WhatsApp uniquement pour discuter avec leurs proches ne verront aucun changement, cet onglet pouvant par ailleurs être désactivé dans les paramètres.
"Je veux être très claire: vos messages personnels, vos appels et vos statuts resteront chiffrés de bout en bout. Cela signifie que personne, pas même nous, ne peut les voir ou les écouter. Ils ne seront jamais utilisés pour de la publicité", a souligné Nikila Srinivasan, une vice-présidente de Meta, lors d'un appel à la presse.
L'entreprise s'est engagé à ne jamais vendre ou partager les numéros de téléphone avec des annonceurs, et a assuré que les informations issues des discussions personnelles, des appels ou des groupes ne serviront pas au ciblage publicitaire.
Les publicités diffusées dans l'onglet Actus reposeront uniquement sur des données basiques comme la localisation approximative, la langue du téléphone ou l'activité dans cet espace de la messagerie.
Meta cherche à tirer des revenus de l'énorme base d'utilisateurs de WhatsApp, qui compte plus de deux milliards d'utilisateurs actifs mensuels.
Les analystes du secteur spéculent depuis longtemps sur le fait que le groupe californien finira par ajouter de la publicité sur la messagerie, compte tenu de sa taille et de ses taux d'engagement.
Le calendrier de déploiement des nouvelles fonctionnalités n'a pas été précisé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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