International
Aramco: l'IA peut doubler la productivité des puits de pétrole
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L'intelligence artificielle (IA) peut aider à doubler la productivité des puits de pétrole, a affirmé mardi le PDG de Saudi Aramco, estimant que les combustibles fossiles fourniront une grande part des besoins énergétiques mondiaux pendant encore des décennies.
"Si vous forez un puits et que vous exploitez l'IA et la numérisation, vous pouvez augmenter la productivité deux fois plus", a déclaré Amin Nasser, patron du plus grand exportateur de pétrole au monde, lors de la conférence Future Investment Initiative (FII) à Ryad.
L'intelligence artificielle est l'un des principaux thèmes de cette édition de la FII, où l'Arabie saoudite, désireuse de se diversifier du pétrole, met en avant sa société locale Humain, dont les produits incluent l'IA générative et les grands centres de données.
Selon M. Nasser, l'IA peut également aider à l'exploration pétrolière en améliorant l'imagerie, et réduire les émissions polluantes en détectant les fuites et la corrosion.
Saudi Aramco a investi des dizaines de milliards de dollars dans l'informatique et embauché des milliers de scientifiques pour les centres de données, a-t-il précisé.
Les compagnies pétrolières sont au coeur du débat sur le changement climatique après les accords de Paris de 2015 visant à limiter le réchauffement climatique en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels, et si possible à 1,5°C, pour éviter de déclencher des catastrophes naturelles.
Cette année, les énergies renouvelables solaire et éolienne ont généré pour la première fois plus d'électricité que le charbon, a indiqué le groupe de réflexion sur l'énergie Ember plus tôt ce mois-ci.
Cependant, les changements de politique aux États-Unis et en Chine ralentissent la croissance des énergies renouvelables, selon Ember.
"Le pétrole et le gaz continueront à constituer une partie significative du mix énergétique pendant des décennies, cela ne va pas changer", a affirmé mardi le PDG de Saudi Aramco.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Les Etats-Unis ont "besoin" du Groenland, martèle Trump
Les Etats-Unis ont "besoin" du Groenland pour assurer leur sécurité face à la Chine et à la Russie, a martelé lundi le président américain Donald Trump. Peu avant, l'Union européenne s'était à nouveau opposée à toute mainmise américaine sur ce territoire danois.
"Nous avons besoin du Groenland pour notre sécurité nationale", a déclaré le président américain lors d'une intervention au côté du ministre américain de la défense, Pete Hegseth, à Palm Beach en Floride.
"Si on regarde les côtes du Groenland, il y a des bateaux russes et chinois partout. Nous en avons besoin pour notre sécurité nationale", a-t-il insisté. Les Groenlandais "ne sont pas protégés militairement" par Copenhague, a-t-il affirmé.
Ces propos interviennent après l'annonce par le chef d'Etat américain de la nomination d'un envoyé spécial pour ce vaste territoire autonome danois qu'il menace régulièrement d'annexer.
Cette nomination a provoqué une vive réaction de Copenhague et de l'Union européenne, qui a exprimé lundi sa "pleine solidarité avec le Danemark".
Le premier ministre du Groenland, Jens-Frederik Nielsen, et la première ministre danoise, Mette Frederiksen, ont rappelé dans une déclaration que "les frontières nationales et la souveraineté des Etats sont fondées sur le droit international".
Ambassadeur américain convoqué
"On ne peut pas annexer un autre pays, pas même en invoquant la sécurité internationale", ont souligné les deux dirigeants, ajoutant attendre "le respect de notre intégrité territoriale commune".
Copenhague a convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis. "Nous avons tracé très clairement une ligne rouge", a indiqué le ministre danois des affaires étrangères Lars Løkke Rasmussen.
"Tant que nous avons un royaume au Danemark qui se compose du Danemark, des îles Féroé et du Groenland, nous ne pouvons pas accepter que certains sapent notre souveraineté", a-t-il prévenu à la télévision publique DR.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, António Costa, ont eux rappelé sur le réseau social X que "l'intégrité territoriale et la souveraineté sont des principes fondamentaux du droit international".
M. Trump a annoncé dimanche la nomination du gouverneur de Louisiane, le républicain Jeff Landry, au poste d'envoyé spécial des Etats-Unis au Groenland. "Jeff comprend à quel point le Groenland est essentiel à notre sécurité nationale et il défendra avec force les intérêts de notre pays", avait-il souligné sur son réseau social Truth Social.
Après son élection, Donald Trump avait déjà expliqué avoir "besoin" du Groenland pour la sécurité des Etats-Unis.
Flop de Vance
Jeff Landry a remercié M. Trump sur X pour cette mission visant à "faire du Groenland une partie des Etats-Unis". Il avait déjà salué en début d'année l'intention du président américain d'annexer le Groenland. "Nous devons faire en sorte que le Groenland rejoigne les Etats-Unis. Ce serait formidable pour lui, formidable pour nous! Faisons-le!", avait-il écrit sur X le 10 janvier.
Le Groenland, une immense île arctique peuplée de 57'000 habitants, répète ne pas être à vendre et vouloir décider seul de son avenir.
En janvier, 85% des Groenlandais s'étaient dit opposés à une future appartenance aux Etats-Unis, selon un sondage publié dans le quotidien groenlandais Sermitsiaq. Seuls 6% y étaient favorables.
A la fin mars, le vice-président américain, JD Vance, avait provoqué un tollé en prévoyant de se rendre sur le territoire sans y avoir été invité. Face à l'ire déclenchée au Groenland, au Danemark et à travers l'Europe, il avait limité son déplacement à la base aérienne américaine de Pituffik, la plus septentrionale des Etats-Unis.
A la fin août, la télévision danoise avait révélé qu'au moins trois Américains liés à Donald Trump avaient réalisé des opérations d'influence dans ce territoire polaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une nouvelle classe de navires de guerre portant le nom de Trump
Le président américain Donald Trump a annoncé lundi le lancement d'une nouvelle classe de navires de guerre de grande taille qui portera son nom. Il s'agit d'un fait extrêmement inhabituel pour un président en exercice.
Ces navires seront "les meilleurs au monde", a assuré le président américain pendant une conférence de presse à Mar-a-Lago en Floride, précisant que deux navires de guerre de la "Trump Class USS Defiant" seraient construits pour commencer. Des images représentant le futur navire en mer et en pleine action étaient exposées sur des chevalets autour du pupitre.
Il a estimé que la construction des deux premiers prendrait "environ 2 ans et demi", assurant que cette nouvelle classe de bâtiments compterait ensuite "rapidement" 10 navires et, au terme du projet, 20 à 25 navires.
Trump impliqué dans la conception
"Chacun d'eux sera le plus grand navire de guerre de l'histoire de notre pays" et même "du monde", a assuré le milliardaire de 79 ans, jamais avare en hyperboles.
Il a précisé que les bâtiments seraient équipés de canons et de lasers et qu'ils pourraient porter des armes hypersoniques et nucléaires.
Donald Trump a dit vouloir s'impliquer personnellement dans la conception des nouveaux bateaux, "parce que je suis une personne très portée sur l'esthétique".
Il a par ailleurs indiqué que cette nouvelle classe de bâtiments était conçue comme un message "pour tout le monde. Ce n'est pas pour la Chine. Nous nous entendons très bien avec la Chine", qui a renforcé et modernisé sa propre marine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Spotify affirme que des activistes ont piraté son catalogue
Le service de streaming musical Spotify a annoncé lundi avoir désactivé les comptes d'un groupe de pirates informatiques, qui affirmait avoir "sauvegardé" des millions de fichiers musicaux et de métadonnées de la plateforme.
Le groupe Anna's Archives avait déclaré sur un blog avoir sauvegardé 86 millions de titres Spotify et les métadonnées de 256 millions de titres, un processus appelé "scraping", afin de créer "des archives de préservation" musicales ouvertes.
Anna's Archives affirme que les 86 millions de titres musicaux représentaient plus de 99,6% des écoutes sur Spotify et que les copies de métadonnées représentaient 99,9% de tous les titres disponibles sur Spotify.
Archives musicales gratuites
Cette faille, qui n'a pas d'impact pour les utilisateurs de Spotify, signifie, en théorie, que n'importe qui peut utiliser ces informations pour constituer ses propres archives musicales gratuites, bien qu'en pratique, on puisse être rapidement poursuivi par les détenteurs des droits.
"Spotify a identifié et désactivé les comptes d'utilisateurs malveillants qui se livraient à un 'scraping' illégal", a indiqué la société suédoise dans un communiqué. "Nous avons mis en place de nouvelles mesures de sécurité contre ce type d'attaque contre les droits d'auteur et surveillons activement les activités suspectes", a assuré la société.
"Depuis le premier jour, nous sommes engagés au côté de la communauté artistique contre le piratage et travaillons activement avec nos partenaires de l'industrie de la musique pour protéger les créateurs et défendre leurs droits", a-t-elle souligné.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Affaire Epstein: des victimes dénoncent la publication partielle
Des victimes du criminel sexuel américain Jeffrey Epstein ont dénoncé lundi la publication partielle par le ministère américain de la justice de l'enquête sur le financier décédé en prison. L'homme était connu pour ses liens avec les célébrités, dont Donald Trump.
Une quinzaine de victimes s'est plaint dans un communiqué publié sur le réseau social X que seule une "partie" des documents a été rendue publique et a évoqué un caviardage "anormal et extrême" des éléments publiés vendredi sans "aucune explication".
Elles ont reproché aussi au ministère de la justice d'avoir "laissé les identités de nombreuses victimes apparentes, causant un préjudice immédiat et réel". Le ministère était contraint par une loi, promulguée à contre-coeur par le président américain Donald Trump, de publier l'ensemble du dossier avant la date limite du vendredi 19 décembre.
Mais seule une partie des documents était disponible sur le site du ministère de la justice vendredi soir et de nombreux fichiers ont été caviardés, comme par exemple les 119 pages de retranscription de délibérations du jury, dont la publication était pourtant "autorisée par un juge fédéral", ont déploré les victimes.
"Une opération de dissimulation"
Le ministère a répondu avoir besoin de davantage de temps pour publier avec précaution le reste des fichiers dans le but de protéger au mieux les victimes dont l'identité pourrait être dévoilée.
L'opposition démocrate voit cependant ce retard comme une manoeuvre politique destinée à éviter la publication d'informations supposées compromettantes pour le président Donald Trump, qui apparaît sur des images au côté de Jeffrey Esptein.
"C'est clairement une opération de dissimulation", a dénoncé lundi le chef des démocrates au Sénat, Chuck Schumer, en soumettant une proposition de loi pour accentuer la pression sur le ministère qui, estime le sénateur, a "enfreint la loi" en n'ayant pas tout publié vendredi.
La publication de ces documents, issus de l'enquête menée par les autorités américaines sur l'influent financier et criminel sexuel new-yorkais, mort en 2019 avant son procès, doit aider à faire la lumière sur ses liens passés avec des personnalités de premier plan, dont le président américain.
Ce dernier, qui s'exprimait lundi pour la première fois depuis la publication partielle du dossier, s'est inquiété du mal que pourrait faire les documents, notamment des photographies. "Tout le monde était sympathique avec ce type".
"Bill Clinton était ami avec lui, mais tout le monde l'était", a poursuivi M. Trump, estimant que certaines personnes, "ayant innocemment rencontré" M. Epstein "parce qu'il était à une fête", puissent être embarrassées par la publication de ces documents. "Vous ruinez l'image de quelqu'un", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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