Climat
Au moins 24 morts et huit disparus au passage du cyclone Sitrang
Au moins 24 personnes sont mortes et huit autres portées disparues au passage du cyclone Sitrang dans le sud du Bangladesh. Un million d'habitants avaient préventivement été évacués des régions de basses terres, ont indiqué les autorités mardi.
Vingt-deux personnes ont péri, pour la plupart victimes de chutes d'arbres, et deux autres dans le naufrage d'un bateau sur la rivière Jamuna, dans le nord du pays, ont indiqué la police et des responsables gouvernementaux.
"Nous n'avons pas encore reçu tous les rapports sur les dommages" provoqués par le cyclone, a précisé Jebun Nahar, un responsable gouvernemental.
Huit personnes sont portées disparues dans le golfe du Bengale. Selon le chef des pompiers, elles se trouvaient à bord d'un bateau de dragage qui a coulé pendant la tempête, tard dans la nuit de lundi à mardi, près du parc industriel de Mirsarai, le plus grand du pays.
"Un vent fort a retourné la drague et elle a coulé instantanément dans le golfe du Bengale", a-t-il poursuivi, ajoutant que des plongeurs étaient à la recherche d'éventuels survivants.
Le cyclone Sitrang a touché l'île de Bhola, dans le sud du pays, à 21h00 lundi (17h00 suisse) avant de s'affaiblir tôt mardi et de prendre la direction de l'Etat de Meghalaya, dans le nord-est de l'Inde, a déclaré à l'AFP Bazlur Rashid, un responsable météorologique.
Les responsables des services météorologiques craignaient que le cyclone ne provoque une onde de tempête de trois mètres de haut. Ce risque ne s'est toutefois pas matérialisé.
Ecoles fermées
Dans la région de Barisal, la plus touchée, des pluies et des vents violents ont dévasté de nombreuses cultures maraîchères, a déclaré à l'AFP Aminul Ahsan, l'administrateur du district régional.
Les écoles ont été fermées dans tout le sud et le sud-ouest du pays.
Des arbres ont été déracinés jusque dans la capitale Dacca, pourtant située à des centaines de kilomètres de la tempête.
Dès lundi, "environ un million de personnes" des régions des basses terres, des îles et des berges des rivières avaient été évacuées et installées dans des milliers d'abris situés dans des immeubles où elles ont passé la nuit, a déclaré à l'AFP le secrétaire du ministère de la Gestion des catastrophes. Mardi matin, beaucoup rentraient chez eux, a-t-il ajouté.
Les autorités ont déclaré avoir parfois dû persuader des villageois réticents à l'idée de quitter leurs habitations.
10 millions d'habitants sans électricité
Quelque 10 millions de personnes n'avaient pas de courant dans les 15 districts côtiers du pays depuis lundi, a indiqué un responsable de la division de l'électricité.
Environ 33'000 réfugiés rohingyas sur l'île de Bhashan Char, exposée aux tempêtes, dans le golfe du Bengale, ont reçu l'ordre de ne pas sortir et aucune victime ni aucun dégât n'y ont été signalés, selon les autorités.
Le Bangladesh, pays d'environ 170 millions d'habitants, est classé parmi les pays les plus touchés par les phénomènes météorologiques extrêmes depuis le début du siècle, selon l'ONU.
Plus fréquents
Dans l'Etat indien voisin du Bengale occidental, des milliers de personnes ont été évacuées lundi vers une centaine de centres de secours, ont indiqué des responsables, ajoutant qu'aucun dommage n'avait été signalé et que la population rentrait chez elle mardi.
Selon les scientifiques, il est probable que le réchauffement climatique rende les cyclones plus intenses et plus fréquents dans les pays d'Asie du Sud, bordés par le golfe du Bengale, mais les procédures d'évacuation se sont aussi grandement améliorées grâce à des prévisions plus précises.
L'an dernier, plus d'un million de personnes ont été évacuées le long de la côte est de l'Inde avant que le cyclone Yaas ne s'abatte sur la région avec des rafales de vent de 155 km/h, équivalant à un ouragan de catégorie 2.
En 2020, le cyclone Amphan, le deuxième "super cyclone" jamais enregistré dans le golfe du Bengale, a fait plus de cent morts au Bangladesh et en Inde et des millions de sinistrés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Barrage détruit en Ukraine: 600 km2 inondés, Zelensky à Kherson
La destruction du barrage de Kakhovka a, selon l'Ukraine, a inondé plus de 600 km2 dans la région de Kherson (sud), où s'est rendu jeudi le président Volodymyr Zelensky. L'occupation russe annonçe la mort de cinq civils noyés dans la zone sous son contrôle.
Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité de la destruction, mardi, de ce barrage situé sur le fleuve Dniepr, qui fait craindre une catastrophe humanitaire et écologique.
Volodymyr Zelensky a ainsi effectué jeudi un déplacement à Kherson, ville sinistrée depuis deux jours par d'importantes inondations entraînées par la destruction du barrage de Kakhovka.
Sur place, il est arrivé à un point d'évacuation pour les civils, échangeant avec des responsables. Des petits bateaux pneumatiques flottaient à côté de lui.
"Notre tâche est de protéger des vies et d'aider les gens autant que possible. Je remercie les sauveteurs et les bénévoles !", a salué le président ukrainien dans un message publié sur les réseaux sociaux.
Il a également dit avoir tenu, dans la région de Kherson, une "réunion de coordination" sur "la situation opérationnelle de la région à la suite de la catastrophe (et) l'évacuation de la population des zones potentiellement inondables".
Indemnisations
Il a aussi promis "des indemnisations" pour "les habitants touchés par la catastrophe" et "un programme pour compenser les pertes ou relocaliser les entreprises dans la région".
Selon le gouverneur Oleksandre Prokoudine, "six cents kilomètres carrés sont inondés dans la région de Kherson. 32% se trouvent sur la rive droite" du fleuve Dniepr contrôlée par les Ukrainiens, et "68% sur la rive gauche", occupée par les Russes.
Selon les services d'urgence de l'État ukrainien, 1995 personnes ont été évacuées, dont 103 enfants. De nombreuses autres personnes ont fui par leurs propres moyens.
Les services d'urgence ont expliqué que, du côté ukrainien de la rivière, "20 localités et 2629 maisons" avaient été inondées. Les inondations ont submergé une partie de la capitale régionale Kherson.
Côté russe, 4500 personnes "ont déjà été évacuées", selon les autorités d'occupation jeudi, et "cinq personnes qui faisaient paître le bétail sont mortes noyées", selon Vladimir Leontiev, le maire de la ville de Nova Kakhovka, installé par la Russie, cité par les agences russes.
C'est le premier bilan de victimes par les autorités depuis la destruction du barrage de Kakhovka.
Personnes coincées
Jeudi, les évacuations continuaient toutefois à Kherson, menées par les secours ukrainiens.
Selon une employée de l'agence météorologique locale, Laura Moussiïane, le niveau de l'eau dépasse de 5,33 mètres la normale. Mais il "a commencé à baisser un peu. Si cette tendance se poursuit, ce sera une bonne nouvelle pour les habitants", estime-t-il auprès de l'AFP.
La veille, Volodymyr Zelensky avait toutefois déploré l'absence d'aide humanitaire: "l'ONU, les Nations Unies et les représentants de la Croix-Rouge ne sont pas là", a-t-il dénoncé dans une interview diffusée par les médias allemands Welt TV et Bild.
Il s'est dit "choqué", car "ce sont les forces qui doivent être là pour sauver la vie des gens".
Après un entretien téléphonique avec M. Zelensky, le président français Emmanuel Macron a annoncé mercredi soir l'envoi, "dans les toutes prochaines heures", d'une "aide pour répondre aux besoins immédiats" de l'Ukraine.
Volodymyr Zelensky a accusé dès mardi la Russie d'avoir miné le barrage et de l'avoir fait exploser, barrant de facto la route à une contre-offensive de ses troupes dans cette zone du sud du pays.
Son homologue russe Vladimir Poutine a pour sa part affirmé mercredi qu'il s'agissait d'"un acte barbare" à imputer à Kiev. Jeudi, la Russie a accusé l'Ukraine devant la Cour internationale de justice (CIJ) d'avoir attaqué "massivement" le barrage avec de l'artillerie.
Boucliers humains
M. Zelensky avait par ailleurs accusé les forces russes de prendre pour cible les sauveteurs tentant d'apporter de l'aide dans la zone sinistrée. "Dès que nos forces tentent de sortir quelqu'un de là, les occupants leur tirent dessus à distance".
Selon son état-major, les Russes "n'étaient pas préparés aux conséquences de l'explosion" et "ont subi des pertes en hommes, en armes et en équipements militaires". Volodymyr Zelensky a aussi dit craindre "des dégâts environnementaux massifs".
"Nous risquons de perdre de nombreuses espèces de plantes et d'animaux figurant sur la liste rouge" de l'Union internationale pour la conservation de la nature, qui recense les espèces menacées, a précisé Andriï Iermak, le chef de l'administration présidentielle ukrainienne.
Dans le reste de l'Ukraine, "dans un contexte opérationnel extrêmement complexe, de violents combats se poursuivent dans de multiples secteurs", a indiqué le ministère britannique de la Défense sur Twitter.
"Dans la plupart des zones, l'Ukraine conserve l'initiative. Il est probable que les forces russes reçoivent encore l'ordre de reprendre l'offensive dès que possible", a-t-il ajouté.
"L'ennemi continue de concentrer ses efforts sur les tentatives d'occupation totale des régions de Lougansk et de Donetsk", a indiqué de son côté l'État-major des forces armées ukrainiennes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Destruction d'un barrage: près de 5900 personnes évacuées
Près de 5900 personnes ont été évacuées des zones inondées à la suite de la destruction du barrage de Kakhovka dans le sud de l'Ukraine, ont affirmé mercredi les autorités ukrainiennes et celles d'occupation russe, qui contrôlent chacune une rive du Dniepr.
La destruction de ce barrage hydroélectrique, dont Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité, a inondé des villes et villages situés sur les deux rives du fleuve, dont des quartiers de la capitale régionale, Kherson.
"L'évacuation de la population se poursuit dans la région de Kherson. Nos sauveteurs, policiers et bénévoles ont déjà évacué 1894 citoyens", a indiqué à la télévision le ministre ukrainien de l'Intérieur, Igor Klymenko.
Selon lui, 30 localités sont inondées, dont 10 dans la zone sous contrôle des forces russes.
Les autorités installées par Moscou ont de leur côté annoncé avoir évacué "plus de 4000 personnes" à ce stade.
"L'hébergement des habitants de la région de Kherson touchés par les inondations s'effectue, entre autres, dans des centres temporaires. Plus de 4000 personnes ont été évacuées jusqu'à présent", a indiqué sur Telegram Vladimir Saldo, le chef de l'occupation russe dans la région.
Les journalistes de l'AFP ont vu mercredi dans les quartiers de Kherson des habitants évacués avec leurs animaux de compagnie et quelques affaires à bord de bateaux et de véhicules amphibies.
Du côté des zones contrôlées par la Russie, la principale ville touchée est celle de Nova Kakhovka à proximité du barrage, où l'eau commencera à être pompée à partir de jeudi, selon le maire pro-Moscou Vladimir Léontiev.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Barrage détruit: évacuations, risque de catastrophe écologique
L'Ukraine et les forces d'occupation russes continuaient mercredi l'évacuation des civils des zones inondées après la destruction dans une zone sous contrôle russe du barrage de Kakhova dans le sud, qui fait craindre une catastrophe humanitaire et écologique.
La Russie a par ailleurs accusé mercredi l'Ukraine d'avoir fait exploser dans un "acte terroriste" un pipeline reliant la ville russe de Togliatti au port ukrainien d'Odessa, essentiel pour l'exportation d'amoniac et les engrais, désactivé depuis février 2022 mais dont Moscou espérait la remise en route.
A Kherson, ville reconquise par les Ukrainiens en novembre dernier située à 70 km en aval du barrage de Kakhovka, les évacuations étaient toujours en cours mercredi sous la pression de l'eau du fleuve tout proche. Une habitante, Natalia Korj, 68 ans, raconte avoir dû nager pour quitter son domicile.
"Toutes mes pièces sont sous l'eau. Mon frigo flotte, le congélateur, tout. On a l'habitude des tirs (d'artillerie), mais une catastrophe naturelle c'est un vrai cauchemar", se désole-t-elle, les pieds nus et les mains transies de froid après avoir été secourue par les services locaux.
Elle n'a pu emporter avec elle que quelques affaires et des médicaments, abandonnant ses deux chiens et son chat. "Je ne sais pas ce qui leur est arrivé", se désole-t-elle.
"Nous n'avons plus rien"
Dans les rues du centre, l'eau arrive à la taille. En contrebas au bord du Dniepr, c'est de cinq mètres que le fleuve est monté.
"Tout a été inondé", se lamente Dmitri Melnikov, 46 ans. "Nous sommes ici depuis le début de la guerre, nous avons survécu à l'occupation. Mais maintenant nous n'avons plus de maison, plus rien".
Ce père de cinq enfants vient d'être secouru par les sauveteurs ukrainiens: "Toute la zone est maintenant sous l'eau", explique-t-il à l'AFP.
"Soit le danger vient de là, soit d'ici", peste Svetlana Abramovitch, 56 ans, une autre habitante, pointant la ligne de front au loin où se situent les canons russes, puis l'eau à ses pieds.
Selon Oleksandre Prokoudine, chef de l'administration militaire de la région de Kherson, "1.700 personnes ont été évacuées" des zones inondées sous contrôle ukrainien.
Les autorités ukrainiennes vont devoir évacuer "plus de 17'000" civils, avait indiqué mardi le procureur général ukrainien Andriï Kostine. Côté russe, les autorités ont évacué 1274 personnes et l'état d'urgence a été décrété dans la partie de la région de Kherson contrôlée par Moscou.
Un nombre inconnu de civils ont également quitté les zones inondées des deux côtés par leurs propres moyens.
La veille, l'Ukraine a accusé Moscou d'avoir fait "exploser" le barrage, une stratégie qui vise selon elle à "freiner" ses troupes à l'approche d'une vaste contre-offensive.
Moscou, à l'inverse, accuse Kiev d'un "sabotage délibéré" à des fins militaires.
Le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal a estimé mercredi dans un discours donné en ligne au cours d'un événement à l'OCDE que la Russie avait provoqué "l'une des pires catastrophes environnementales de ces dernières décennies".
Sur des images satellites partagées par Maxar Technologies, on pouvait très clairement voir l'ampleur de l'inondation de zones situées sur les rives du fleuve Dniepr.
Les alliés occidentaux de l'Ukraine ont, eux, condamné un acte mettant en danger la vie des civils, dans une région déjà meurtrie par les combats.
La Maison Blanche a dit craindre que la destruction du barrage entraîne de "nombreux morts".
La Chine a exprimé mercredi sa "vive préoccupation", et le président turc Recep Tayyip Erdogan a suggéré la création d'une commission d'enquête internationale.
Catastrophe environnementale
Selon Volodymyr Zelensky, qui craint "des dégâts environnementaux massifs", "des milliers et des milliers d'animaux sont piégés dans les inondations". Plus de 150 tonnes d'huile de moteur ont été répandues dans le fleuve et des milliers d'hectares de terres arables vont être inondées, selon Kiev.
Le ministère de l'Agriculture a dit avoir déjà enregistré une mortalité de poissons dans la zone, prédisant également des pénuries d'eau pour l'irrigation des cultures, le réservoir de Kakhovka se vidant.
La végétation en amont du barrage "mourra à cause du drainage, tandis que les zones situées en aval seront inondées, y compris les complexes steppiques et forestiers", a alerté pour sa part l'ONG ukrainienne Ecoaction.
La destruction de ce barrage construit dans les années 1950 a aussi suscité de nouvelles inquiétudes pour la centrale nucléaire de Zaporijjia, sous contrôle russe, située à 150 km en amont et refroidie par l'eau du barrage.
Il n'y a "pas de danger nucléaire immédiat", a toutefois rassuré l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA).
Quant à l'explosion qui a selon Moscou détruit le pipeline d'amoniac lundi soir près de Massioutovka, un petit village contrôlé par les forces russes dans la région de Kharkiv (nord-est de l'Ukraine), elle a touché un équipement "crucial pour assurer la sécurité alimentaire dans le monde", a affirmé mercredi la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova.
Le pipeline, qui relie la ville russe de Togliatti, sur les rives de la Volga, à Odessa, le port ukrainien le plus important de la mer Noire, permettait à la Russie d'exporter annuellement plus de 2,5 millions de tonnes d'ammoniac - composant clé des engrais minéraux - notamment à destination de l'Union européenne.
Son fonctionnement avait été suspendu avec le début de l'invasion russe en février 2022 et Moscou exigeait son redémarrage.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Un mort et deux disparus au Japon dans des pluies torrentielles
Les pluies torrentielles qui se sont abattues sur le Japon ont fait un mort, deux disparus et une trentaine de blessés, ont annoncé samedi des responsables de l'archipel. Des centaines de milliers d'habitants avaient été appelés à évacuer vendredi.
Les autorités japonaises ont exhorté à l'extrême vigilance "face aux risques de glissements de terrain, d'inondations et de rivières en crue" provoqués par la tempête tropicale Mawar, auparavant classée comme typhon.
Dans le centre du pays, une équipe de sauveteurs "a trouvé un homme d'une soixantaine d'années dans une voiture submergée" et sa mort a été ensuite confirmée, a déclaré un responsable municipal de Toyohashi, dans le département d'Aichi.
A l'ouest, dans le département de Wakayama, où plusieurs cours d'eau sont sortis de leurs lits, des recherches sont en cours pour retrouver un homme et une femme portés disparus, ont indiqué des responsables.
Au total, six personnes ont été grièvement blessées et 24 autres présentaient samedi matin des blessures légères, a indiqué l'agence nationale de gestion des incendies et des catastrophes naturelles.
Précipitations extrêmes
Quelque 4000 foyers des départements proches de la capitale sont privés de courant, selon le réseau d'électricité de Tokyo.
Le trafic des trains à grande vitesse (shinkansen) était toujours suspendu samedi matin entre Tokyo et Nagoya, selon la compagnie ferroviaire JR, mais il devrait reprendre à la mi-journée, a annoncé la télévision publique NHK.
"Des précipitations extrêmement fortes avec des orages sont attendues sur une vaste partie du Japon, d'ouest en est, au cours des trois prochains jours", a annoncé vendredi le porte-parole du gouvernement.
Selon les scientifiques, le réchauffement climatique intensifie le risque de pluies violentes au Japon, les masses d'air chaud transportant plus de vapeur.
La tempête Mawar était encore classée comme typhon lorsqu'elle s'est violemment abattue à la fin mai sur l'île américaine de Guam, déracinant des arbres, emportant des maisons et privant temporairement d'électricité des dizaines de milliers d'habitants.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 2 jours
Percutée par un camion, une jeune motocycliste décède à Bussigny
-
Bons Plans LFMIl y a 2 jours
21ème édition de l'événement Graines de foot
-
CultureIl y a 3 jours
"Silver Power": des Romandes fières de leurs cheveux gris
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Atupri et Visana se réunissent sous la nouvelle appellation Atusana
-
SuisseIl y a 2 jours
Depuis 1953, les noisetiers n'avaient jamais fleuri si tôt
-
ÉconomieIl y a 2 jours
La "boule blanche" de La Dôle remplacée cet été
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Merck inaugure son centre de Biotech à Corsier-sur-Vevey
-
SuisseIl y a 3 jours
Ehammer veut réussir la limite olympique à Bâle