International
Le candidat de l'opposition vénézuélienne est arrivé en Espagne
Le candidat de l'opposition vénézuélienne à la présidentielle de juillet, Edmundo González Urrutia, est arrivé dimanche après-midi en Espagne, où il a demandé l'asile. Il a promis de "continuer la lutte".
"Je suis convaincu que dans un avenir proche, nous continuerons la lutte pour la liberté et le rétablissement de la démocratie au Venezuela", a-t-il dit dans un message audio transmis par son équipe à la presse à Caracas
L'opposant de 75 ans, accompagné de son épouse, voyageait à bord d'un avion militaire espagnol qui s'est posé vers 16h00 à la base aérienne de Torrejón de Ardoz, près de Madrid, a annoncé le ministère espagnol des Affaires étrangères dans un communiqué. Il a été accueilli par la secrétaire d'Etat pour l'Amérique latine, Susana Sumelzo.
"A partir de maintenant, la procédure pour la demande d'asile va commencer", poursuit le ministère. Son issue sera "favorable, en application de l'engagement de l'Espagne en faveur des droits politiques et de l'intégrité physique de tous les Vénézuéliens et toutes les Vénézuéliennes, particulièrement des leaders politiques".
Craintes pour sa vie
La référence à "l'intégrité physique" semble faire écho aux propos de la cheffe de l'opposition vénézuélienne, Maria Corina Machado, qui a affirmé dimanche sur X que le départ de M. González était nécessaire pour "préserver sa liberté et sa vie".
M. González Urrutia, qui contestait la réélection du président Nicolas Maduro le 28 juillet, a quitté le Venezuela après avoir ignoré trois convocations successives devant les procureurs, faisant valoir que sa comparution aurait pu lui coûter sa liberté.
Il a "demandé à bénéficier du droit d'asile", a déclaré le chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albaresa, à la télévision nationale . "Le gouvernement va naturellement le (...) lui accorder".
M. Albares a précisé avoir parlé avec M. González Urrutia alors qu'il se trouvait dans l'avion qui l'emmenait vers l'Espagne, ajoutant que l'opposant vénézuélien allait "bien".
Publier les procès-verbaux
L'Espagne, a-t-il dit, réitère "l'exigence que soient présentés les procès-verbaux" des bureaux de vote lors de l'élection présidentielle et "qu'ils puissent être vérifiés". L'Espagne "ne va reconnaître aucune soi-disant victoire" de M. Maduro si ces conditions ne sont pas remplies, a-t-il averti.
Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez avait assuré samedi que l'Espagne "(n'allait) pas abandonner" M. González Urrutia, qu'il a qualifié de "héros".
A Caracas, le procureur général du Venezuela a lui qualifié cet asile en Espagne de fin "de saison d'une oeuvre humoristique". "C'était le dernier chapitre de cette pièce médiocre qui a provoqué de l'angoisse, du sang, de la sueur et des larmes à des spectateurs innocents", a ironisé Tarek William Saab.
L'opposant vénézuélien était visé depuis le 3 septembre par un mandat d'arrêt pour ne pas s'être présenté à trois convocations du parquet pour "désobéissance aux lois", "conspiration, "usurpation de fonctions" et "sabotage", alors que l'opposition et de nombreux observateurs considèrent la justice aux ordres du pouvoir.
Sauf-conduit
Le pays latino-américain est plongé dans une crise politique depuis le scrutin qui a vu officiellement Nicolas Maduro reconduit pour un troisième mandat de six ans, une victoire contestée par l'opposition.
Les autorités vénézuéliennes ont annoncé samedi avoir délivré un sauf-conduit à l'opposant "dans l'intérêt de la paix et de la tranquillité politique" du pays.
Ancien ambassadeur, M. González Urrutia, 75 ans, avait accepté de remplacer au pied levé comme candidat la cheffe de l'opposition Maria Corina Machado, déclarée inéligible. Le procureur général Tarek William Saab a annoncé qu'il ferait une déclaration dimanche.
Nicolas Maduro, dont la victoire a été validée par la Cour suprême le 22 août, a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral (CNE), qui n'a pas rendu publics les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d'un piratage informatique.
Une telle attaque informatique est jugée peu crédible par l'opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manoeuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact. Selon l'opposition, qui a publié les procès-verbaux fournis par ses scrutateurs, M. González Urrutia a obtenu plus de 60% des voix.
"Mettre fin à la répression"
Les Etats-Unis, l'Union européenne et plusieurs pays d'Amérique latine ne reconnaissent pas la réélection de M. Maduro. Une grande partie de la communauté internationale n'avait déjà pas reconnu sa réélection en 2018 à l'issue d'un scrutin boycotté par l'opposition qui avait crié à la fraude.
Après l'annonce de sa réélection le 28 juillet, des manifestations spontanées ont éclaté. Elles ont fait 27 morts et 192 blessés, tandis que quelque 2400 personnes ont été arrêtées, de source officielle.
Dimanche, l'Union européenne a demandé au Venezuela la fin de la répression. "L'UE insiste pour que les autorités vénézuéliennes mettent fin à la répression, aux arrestations arbitraires et au harcèlement des membres de l'opposition et de la société civile, et pour qu'elles libèrent tous les prisonniers politiques", a déclaré le chef de la diplomatie de l'UE, Josep Borrell.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
SpaceX va tenter de rattraper une partie de sa mégafusée Starship
SpaceX doit tenter dimanche une man½uvre inédite et spectaculaire: rattraper le premier étage de sa mégafusée Starship à l'aide d'immenses bras mécaniques, lors d'un nouveau vol d'essai qui pourrait représenter un pas décisif vers la réutilisation de ce lanceur lourd.
Les deux étages de la fusée - la plus grande et la plus puissante du monde - doivent au terme de son développement être récupérés et réutilisés après chaque vol. Une stratégie visant à pouvoir lancer davantage d'engins plus rapidement, et pour beaucoup moins cher.
L'entreprise du milliardaire Elon Musk ambitionne d'utiliser Starship pour coloniser Mars. Le développement du vaisseau est également suivi de près par la Nasa, qui compte sur lui pour ramener ses astronautes sur la surface de la Lune.
Le décollage de ce 5e vol test de Starship est prévu à partir de 07H00 locales (14h00 heure suisse) depuis la base spatiale Starbase de l'entreprise, à l'extrême sud du Texas aux Etats-Unis.
La fusée est composée du premier étage Super Heavy et, au-dessus, du vaisseau Starship, qui donne par extension son nom au lanceur entier.
Super Heavy mesure à lui seul quelque 70 mètres de haut (la fusée complète en fait 120).
Lors de chaque vol, Super Heavy se détache du vaisseau après l'avoir propulsé à l'aide de ses 33 puissants moteurs. Jusqu'ici, il allait finir sa course dans la mer, mais SpaceX veut cette fois tenter de le faire revenir sur son pas de tir, environ sept minutes après le décollage.
Une fois freiné et avant qu'il n'ait touché le sol, des bras mécaniques installés sur la tour de lancement, surnommés "les baguettes", doivent alors se refermer sur lui et l'immobiliser.
"Les ingénieurs de SpaceX ont passé des années à préparer la tentative de capture", a écrit l'entreprise. "Des dizaines de milliers d'heures" ont été consacrées par les techniciens "à la mise en place de l'infrastructure nécessaire pour maximiser nos chances de réussite", a-t-elle ajouté.
Man½uvre risquée
Des "milliers" de conditions devront être remplies pour procéder à cette man½uvre risquée, a prévenu SpaceX. Si elles ne sont pas réunies, Super Heavy suivra une trajectoire le menant à amerrir dans le golfe du Mexique.
De son côté, le vaisseau Starship continuera son vol jusqu'à amerrir dans l'océan Indien. Il avait pour la première fois réussi un amerrissage en douceur dans cet océan lors du précédent vol test, il y a quatre mois.
Des images retransmises en direct par des caméras sur le vaisseau avaient alors montré une couche de plasma orange lors de son retour de l'espace, du fait de la friction avec l'atmosphère. Des morceaux s'étaient détachés sous la pression.
Depuis, SpaceX a dit avoir procédé à "une refonte complète du bouclier thermique" du vaisseau, en posant des tuiles "de nouvelle génération".
Controverses
Le développement de Starship est mené tambour battant par SpaceX, en lançant des prototypes sans cargaison, afin de corriger rapidement les problèmes rencontrés en situation réelle de vol.
Ces dernières semaines, l'entreprise s'est ouvertement plainte des lenteurs du régulateur américain de l'aviation (FAA), responsable des autorisations de vol.
"Il faut plus de temps pour remplir les formalités administratives nécessaires à l'obtention d'une licence pour le lancement d'une fusée, que pour concevoir et construire le matériel lui-même", s'était offusquée l'entreprise dans un rare et long communiqué en septembre.
Elon Musk, qui au fil des années a opéré un virage à droite et soutient désormais ostensiblement Donald Trump pour l'élection présidentielle du 5 novembre, avait appelé le patron de la FAA à démissionner.
SpaceX combat par ailleurs des accusations de pollution de l'environnement, notamment liées au déluge d'eau déversé à chaque lancement de Starship au moment de l'allumage des moteurs, afin d'atténuer les ondes acoustiques et ainsi limiter les vibrations.
Ce système avait été ajouté après que le premier vol d'essai, en avril 2023, avait détruit une partie du pas de tir sous la puissance du décollage, catapultant des débris et un nuage de poussière.
Plusieurs associations environnementales dénoncent les dommages des opérations de SpaceX pour des espèces animales, la base spatiale étant installée juste à côté d'une réserve protégée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le propriétaire de Stahl Gerlafingen déçu par le Conseil fédéral
Le propriétaire de Stahl Gerlafingen, Antonio Beltrame, s'est dit déçu par le Conseil fédéral. Il ne veut pas abandonner l'aciérie. Mais l'Etat suisse et la politique énergétique pourrait l'y contraindre, a-t-il dit dans une interview.
L'aciérie a informé très tôt les conseillers fédéraux Albert Rösti et Guy Parmelin de conditions générales problématiques, a déclaré Antonio Beltrame dans une interview à la NZZ am Sonntag. Il est le président du conseil d'administration de Stahl Gerlafingen, une entreprise spécialisée dans la production d'acier, filiale du groupe italien Beltrame.
Plus de cent personnes seraient à nouveau licenciées à Gerlafingen SO, a confirmé Antonio Beltrame a confirmé dans l'interview. Quelque 120 collaborateurs sont concernés, selon les indications fournies vendredi par l'entreprise et les syndicats Syna et Unia. Au printemps déjà, 60 postes de travail avaient été supprimés.
Si les conditions générales ne changent pas, l'entreprise risque de fermer. "Je suis un entrepreneur. Je ne peux pas perdre de l'argent tous les jours", a relevé le propriétaire de l'entreprise. Les conseillers fédéraux Albert Rösti et Guy Parmelin en sont conscients. Il ne veut pas que sa déclaration soit interprétée comme une menace. Il informe simplement de la situation difficile.
La France et l'Italie ont fait un geste
"D'ailleurs, nous ne voulons pas non plus de subventions", a-t-il ajouté, exigeant les mêmes conditions que la concurrence. L'aciérie a perdu beaucoup d'argent en 2023 en raison de l'augmentation des coûts de l'énergie. La France et l'Italie ont réduit le prix de l'électricité pour l'industrie durant cette période, a souligné Antonio Beltrame.
Fin septembre, le Conseil national avait exigé une aide immédiate pour l'aciérie menacée de Gerlafingen (SO). Le Conseil fédéral a été chargé de prendre des mesures pour sauver l'usine, en collaboration avec le canton de Soleure et l'entreprise.
Le Conseil fédéral refuse l'aide de l'Etat
Le Conseil fédéral avait auparavant rejeté l'idée d'un soutien étatique à certaines entreprises ou branches. En lieu et place, il mise sur de meilleures conditions-cadres et - en ce qui concerne les branches à forte consommation d'électricité - sur des mesures de politique énergétique et climatique.
Le ministre de l'économie Guy Parmelin ne considère pas l'industrie sidérurgique comme étant d'importance systémique, avait-il déclaré en mars sur les ondes de la SRF. Antonio Beltrame ne partage pas cet avis: la Suisse a besoin d'acier de construction. "Nous sommes tout à fait centraux pour l'économie circulaire de la Suisse et d'importance systémique", a-t-il affirmé au journal.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Harris accuse Trump de dérobades sur son bilan médical
La vice-présidente américaine Kamala Harris a accusé samedi Donald Trump de manque de transparence sur sa santé après avoir publié son propre bilan médical, mettant ainsi en lumière leurs presque 20 ans de différence d'âge.
"Il est clair pour moi que lui et son équipe ne veulent pas que le peuple américain voie vraiment ce qu'il fait et sache s'il est ou non effectivement apte à remplir les fonctions de président des Etats-Unis", a déclaré la candidate démocrate à l'élection du 5 novembre.
"Il est inapte à exercer ce mandat", a-t-elle affirmé à des journalistes avant son départ pour l'Etat disputé de Caroline du Nord (sud-est), récemment sinistré par l'ouragan Hélène.
Un diagnostic qui contraste avec le rapport médical détaillé publié samedi par la Maison Blanche, concluant que Kamala Harris, 59 ans, a "la résistance physique et mentale nécessaire pour remplir les devoirs de la présidence" des Etats-Unis et se trouve "en excellente santé".
La candidate démocrate espère ainsi alimenter un débat sur les facultés de son rival républicain de 78 ans.
L'équipe de campagne de Donald Trump a réagi en assurant dans un communiqué que la forme de l'ex-président n'avait rien à envier à celle de Kamala Harris, bien au contraire.
Pour Steven Cheung, directeur de la communication de la campagne de Donald Trump, elle a un calendrier "beaucoup plus léger" que celui de son adversaire, car affirme-t-il, elle ne possède pas "l'endurance du président Trump".
Le candidat républicain a déjà publié de son plein gré plusieurs rapports de médecins qui "concluent tous à la parfaite et excellente santé" de Donald Trump, a ajouté son porte-parole.
Steven Cheung renvoie notamment à une lettre du médecin personnel de Donald Trump dans laquelle sont mentionnés des résultats d'examens physiques dans la norme et des résultats "exceptionnels" à des tests cognitifs. Mais ces examens remontent déjà à septembre 2023.
"Que cache-t-il ?"
Et le camp Harris a redoublé ses attaques. "Le 20 août, Donald Trump a déclaré qu'il publierait 'bien volontiers' ses bilans médicaux. Il ne l'a pas fait", a déclaré sur X un porte-parole de la campagne de la démocrate, Ian Sams.
"Que cache-t-il?", a-t-il demandé, soulignant le refus de l'ex-président de débattre à nouveau avec Kamala Harris après leur joute télévisée de septembre.
Les questions sur l'âge, la robustesse et l'acuité mentale de Joe Biden ont plombé sa campagne, jusqu'à ce que le président démocrate de 81 ans jette l'éponge en juillet après un débat calamiteux face à son prédécesseur républicain (2017-2021).
La question est depuis rarement abordée dans les médias et n'a pas d'influence notable sur les sondages, toujours aussi serrés.
Et ce, malgré la grande différence d'âge entre les deux candidats et la tendance toujours plus prononcée de Donald Trump aux digressions et discours décousus, comme le relève le New York Times dans un récent article.
La vice-présidente voudrait donc remettre le sujet au goût du jour, à l'avantage des démocrates cette fois.
Donald Trump, à la présence physique indéniable, conserve tout de même un rythme très soutenu de voyages et de meetings, et ne montre pas de fatigue comparable à celle qui marque souvent la démarche, les traits et l'élocution de Joe Biden.
L'ancien président est samedi soir à Coachella, en Californie, pour un meeting avant un autre le lendemain en Arizona, un Etat clé du Sud-Ouest.
Selon les sondages, l'âge des candidats n'est pas un sujet important pour une grande partie des électeurs.
Une enquête d'opinion Gallup publiée le 10 octobre indique que 41% des électeurs jugent Donald Trump trop vieux pour être président, à peine 4 points de plus qu'en juin, avant l'entrée en lice de Kamala Harris.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'armée ukrainienne "tient bon" à Koursk, affirme Zelensky
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que Kiev "tenait bon" face à la tentative de Moscou de repousser les positions ukrainiennes dans la région russe de Koursk, où l'Ukraine tient depuis le mois d'août des pans entiers de territoires.
"En ce qui concerne l'opération de Koursk, la Russie a tenté de faire reculer nos positions, mais nous tenons bon", a déclaré M. Zelensky lors de son allocution du soir.
En début de semaine, Moscou avait affirmé avoir repris deux villages dans ce secteur et s'était engagé à poursuivre ses "actions" pour repousser les forces ukrainiennes hors de son territoire.
M. Zelensky a également expliqué samedi que la situation des forces ukrainiennes dans l'est de la région de Donetsk et dans le sud de Zaporijjia était "très difficile".
Selon Kiev, les attaques russes ont tué samedi deux personnes - un jeune de 19 ans dans une voiture civile et un retraité de 84 ans - à l'est de Donetsk.
L'armée ukrainienne, en difficulté face à l'armée russe dans l'est de l'Ukraine, avait lancé le 6 août une attaque d'ampleur dans la région de Koursk, la plus grande offensive en territoire russe depuis la fin de la Seconde guerre mondiale.
Elle espérait notamment créer une zone tampon près de la frontière pour limiter les bombardements russes sur les localités frontalières ukrainiennes, tout en contraignant la Russie à redéployer ses unités qui sont à l'offensive près de Donetsk et ainsi freiner leurs avancées.
Mais les soldats russes continuent toujours de progresser dans l'est de l'Ukraine, en particulier en direction de Pokrovsk, un noeud logistique clé pour les forces ukrainiennes.
Après la surprise initiale de l'attaque contre la région de Koursk, le président russe Vladimir Poutine avait ordonné mi-août à son armée d'"expulser l'ennemi".
Un mois plus tard, le 12 septembre, les Russes avaient annoncé avoir repris du terrain en lançant une contre-offensive.
Au total, d'après les militaires russes, 14 villages, dont Novaïa Sorotchina et Pokrovskiï, ont été repris aux Ukrainiens, sur la centaine dont Kiev a dit avoir le contrôle.
Environ 150'000 civils ont fui les combats et les bombardements dans la région de Koursk en deux mois, selon les autorités russes.
L'Ukraine contrôle toujours des centaines de km2 de territoire russe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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