Rejoignez-nous

International

Ford veut encore supprimer environ 1600 postes à Valence

Publié

,

le

En 2023, le groupe américain avait annoncé au total près de 5000 suppressions en Europe, principalement en Allemagne (2300), au Royaume-Uni (1300) et en Espagne. (KEYSTONE/AP Photo/David Zalubowski) (© KEYSTONE/AP/DAVID ZALUBOWSKI)

Le constructeur automobile américain Ford a annoncé mercredi vouloir supprimer environ 1600 postes dans son usine de l'agglomération de Valence, dans l'est de l'Espagne. Le groupe y avait déjà biffé 1100 postes l'an dernier.

"Il y a actuellement un excédent de personnel d'environ 1.600 employés dans l'usine", a indiqué une porte-parole de Ford Espagne à l'AFP, à l'issue d'une réunion de la direction avec les syndicats pour leur présenter ce plan social. Selon l'entreprise, environ 600 de ces suppressions de postes sont "structurelles", tandis qu'"une solution de transition pourrait être négociée pour 1000 autres, en attendant que ne commence la production d'un nouveau véhicule", prévue pour 2027.

Le syndicat UGT a annoncé de son côté qu'un total de 1.622 employés étaient concernés par ce plan social. Sur ce total, 626 seraient affectés par "des départs volontaires à caractère définitif" tandis que 996 pourraient bénéficier d'une "préférence d'embauche en 2027" lorsque l'entreprise créera des postes pour produire ce nouveau véhicule, a détaillé l'organisation.

Ce plan social intervient à peine plus d'un an après la suppression de 1100 postes dans cette même usine située à Almussafes, en périphérie de Valence et qui emploie actuellement entre 4700 et 4800 personnes. En 2023, le groupe américain avait annoncé au total près de 5000 suppressions en Europe, principalement en Allemagne (2300), au Royaume-Uni (1300) et en Espagne.

Il avait dit alors prévoir une réduction du nombre de modèles conçus pour l'Europe afin de se concentrer sur ses modèles électriques et sur ses ventes très rentables de véhicules utilitaires. Le constructeur, qui était autrefois l'un des piliers de l'industrie automobile européenne, a vu ses parts de marché s'effondrer au cours des vingt dernières années en Europe.

Comme toute l'industrie automobile, Ford est engagé dans la course vers l'électrique, une technologie qui requiert de lourdes dépenses de recherche, une modernisation complète des usines, et dans laquelle il compte investir 50 milliards de dollars d'ici à 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

L'évolution des religions depuis 2010 documentée

Publié

le

Pour la première fois, le christianisme est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay. (photo symbolique) (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le christianisme reste la première religion dans le monde, mais l'islam est en croissance et les non-croyants de plus en plus nombreux, selon une vaste étude du Pew Research Center sur l'évolution du paysage religieux entre 2010 et 2020.

Avec 2,3 milliards de personnes (+122 millions), "les chrétiens restent le plus important groupe religieux dans le monde" et ils représentent 28,8% de la population, souligne cette méta-analyse réalisée sur la base de plus de 2700 études et recensements et publiée le 9 juin.

Le christianisme n'a toutefois pas réussi à progresser au rythme de la population mondiale, et son poids a reculé de 1,8 point.

Deuxième religion du monde avec 2 milliards de personnes (+347 millions), l'islam a connu "la croissance la plus rapide de la décennie". Il représente 25,6% de la population mondiale (+1,8 point).

Sans religion en progression

Les non-croyants sont eux aussi de plus en plus nombreux (1,9 milliard de personnes) soit près d'un quart (24,2%) de la population mondiale.

En effet, "de nombreux croyants dans le monde, essentiellement des chrétiens, 'sortent' de la religion", explique l'étude qui parle de progression "frappante".

En dix ans, les Etats-Unis (où le christianisme a reculé de 14 points sur la période) ont ainsi vu le nombre de non-croyants quasiment doubler à 101 millions de personnes: ce sont 30% de la population qui se définissent comme athées, agnostiques ou "rien de particulier".

Les sans-religions représentent également plus de la moitié de la population aux Pays-Bas, en Uruguay et en Nouvelle-Zélande.

Le monde comptait aussi 1,2 milliard d'hindous, 300'000 bouddhistes et 14,8 millions de juifs en 2020.

Géographiquement, la région abritant le plus de chrétiens (30,7%) est désormais l'Afrique sub-saharienne, et non plus l'Europe (22,3%): une tendance que l'étude explique par la démographie et "la désaffiliation chrétienne généralisée en Europe occidentale".

Le christianisme reste majoritaire dans 120 pays, contre 124 dix ans auparavant. Mais pour la première fois il est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay.

Dans chacun de ces pays "les non-croyants représentent désormais 40% ou plus de la population", tandis que les autres croyants (musulmans, hindous, juifs...) pèsent ensemble "11% ou moins".

Deux mécanismes

Pourquoi ces changements ? L'étude invoque "deux mécanismes primordiaux": la désaffection religieuse, "principal moteur du déclin de la proportion de chrétiens dans la population mondiale" et l'augmentation démographique.

La progression de l'islam s'explique donc largement par la croissance générale de la population dans les pays musulmans, du fait "d'une pyramide des âges relativement jeune et d'un taux de natalité relativement élevé".

L'étude note aussi que "les habitants des pays les plus riches sont en moyenne moins croyants que ceux des économies moins avancées".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Rebeka Masarova déclasse Sofia Kenin à Berlin

Publié

le

Rebeka Masarova n'a pas laissé de chances à Sofia Kenin (© KEYSTONE/EPA EFE/RAUL CARO)

Rebeka Masarova (WTA 112) s'est hissée en huitièmes de finale à Berlin. La Bâloise de 25 ans a battu l'Américaine Sofia Kenin (WTA 29) en 67 minutes 6-3 6-2.

Sofia Kenin a autrefois occupé la 4e place du classement WTA et a remporté l'Open d'Australie en 2020 avant d'atteindre la finale de Roland-Garros quatre mois plus tard. Depuis, Kenin n'a plus jamais atteint les huitièmes de finale d'un tournoi du Grand Chelem.

Rebeka Masarova a toujours mené la danse, réussissant le break pour mener 5-3 dans le premier set. Elle a ravi l'engagement de l'Américaine à deux reprises durant le deuxième set.

En huitièmes de finale, Masarova affrontera la numéro un mondiale Aryna Sabalenka.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

L'ONU accuse le M23 de possibles crimes de guerre en RDC

Publié

le

Les rebelles du M23 sont accusés de possibles crimes de guerre au moment notamment de la prise de Goma dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) et l'ONU va poursuivre ses investigations (archives). (© KEYSTONE/AP/BRIAN INGANGA)

Les parties au conflit dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) ont perpétré des violations des droits humains et du droit international humanitaire (DIH), selon l'ONU. Elle accuse le M23 de possibles crimes de guerre.

"La situation est encore plus grave et alarmante", a affirmé lundi le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk à Genève devant le Conseil des droits de l'homme. Les violences ont fait des milliers de victimes et environ un million de déplacés.

En avril, le Haut-Commissariat avait parlé de plus de 600 victimes d'exécutions sommaires et extrajudiciaires dans le Nord et Sud-Kivu. Selon ses indications préliminaires, la Mission d'établissement des faits pilotée par l'agence onusienne affirme désormais que ces exactions du M23, rebelles soutenus par le Rwanda, pourraient constituer des crimes de guerre.

Le Haut-Commissariat avait relayé en avril une augmentation de plus de 270% des violences sexuelles de janvier à février. Toutes les parties sont en cause, ajoute encore la mission.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Meta introduit la publicité sur WhatsApp

Publié

le

WhatsApp diffusera désormais de la publicité. (archive) (© KEYSTONE/DPA/FABIAN SOMMER)

WhatsApp a annoncé lundi l'introduction prochaine de nouveaux espaces publicitaires, un tournant important pour la messagerie qui avait jusqu'ici largement échappé à la publicité.

Contrairement à Facebook, Instagram ou d'autres plateformes du groupe Meta, WhatsApp a conservé un modèle économique quasiment sans annonces depuis son rachat par le géant des réseaux sociaux en 2014.

L'application est notamment plébiscitée pour sa facilité d'utilisation et ses fonctionnalités (appels audio et vidéo, messages vocaux, etc), ses messages chiffrés et son apparente neutralité commerciale.

Jusqu'à présent, les seuls formats publicitaires consistaient en des messages promotionnels envoyés via l'outil WhatsApp Business à des utilisateurs ayant donné leur accord, ainsi que quelques expérimentations sur certains marchés.

L'entreprise précise que les nouveaux espaces publicitaires apparaîtront exclusivement dans l'onglet "Actus", qui regroupe les "Statuts" et les "Chaînes", et est utilisé quotidiennement par environ 1,5 milliard de personnes dans le monde.

Les nouvelles fonctionnalités incluent des abonnements payants à certaines Chaînes, la promotion de Chaînes dans l'annuaire de découverte et des publicités intégrées dans les Statuts, équivalents des Stories d'Instagram.

"Nous parlons depuis des années de notre intention de créer une activité qui n'interrompt pas vos conversations personnelles et nous pensons que l'onglet Actus est le bon endroit pour ces nouveaux outils", a déclaré la filiale de Meta.

Les utilisateurs qui se servent de WhatsApp uniquement pour discuter avec leurs proches ne verront aucun changement, cet onglet pouvant par ailleurs être désactivé dans les paramètres.

"Je veux être très claire: vos messages personnels, vos appels et vos statuts resteront chiffrés de bout en bout. Cela signifie que personne, pas même nous, ne peut les voir ou les écouter. Ils ne seront jamais utilisés pour de la publicité", a souligné Nikila Srinivasan, une vice-présidente de Meta, lors d'un appel à la presse.

L'entreprise s'est engagé à ne jamais vendre ou partager les numéros de téléphone avec des annonceurs, et a assuré que les informations issues des discussions personnelles, des appels ou des groupes ne serviront pas au ciblage publicitaire.

Les publicités diffusées dans l'onglet Actus reposeront uniquement sur des données basiques comme la localisation approximative, la langue du téléphone ou l'activité dans cet espace de la messagerie.

Meta cherche à tirer des revenus de l'énorme base d'utilisateurs de WhatsApp, qui compte plus de deux milliards d'utilisateurs actifs mensuels.

Les analystes du secteur spéculent depuis longtemps sur le fait que le groupe californien finira par ajouter de la publicité sur la messagerie, compte tenu de sa taille et de ses taux d'engagement.

Le calendrier de déploiement des nouvelles fonctionnalités n'a pas été précisé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

PURE SHORES

ALL SAINTS

20:24

Les 2 derniers titres

L'IMPORTANT C'EST D'AIMER

PASCAL OBISPO

20:20

GOLD

MYLES SMITH

20:17

Votre Horoscope

Cancer

Vos questionnements sont inconfortables, mais nécessaires pour avancer avec plus de clarté et d’authenticité. Ayez confiance et gardez le cap !

Les Sujets à la Une