International
Fritz, un pas de géant pour décrocher la lune face à Sinner
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/09/taylor-fritz-pourra-compter-sur-le-soutien-de-23000-spectateurs-dimanche-1000x600.jpg&description=Fritz, un pas de géant pour décrocher la lune face à Sinner', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le no 1 mondial Jannik Sinner, seul cador à avoir tenu son rang, sera favori de sa première finale de l'US Open dimanche.
Mais Taylor Fritz aura le soutien inconditionnel du bouillonnant Stade Arthur Ashe qui attend depuis 2003 un successeur à Andy Roddick, dernier Américain à avoir inscrit son nom au palmarès d'un Majeur.
"Cela ne fait aucun doute, le public sera plutôt de son côté, mais c'est normal, prédit Sinner. Alors je vais l'accepter, sachant que j'ai derrière moi mon équipe et des gens qui me sont proches. Et je garde à l'esprit qu'il y a beaucoup de monde qui me regarde à la télévision en Italie et qui me soutient", ajoute-t-il.
L'Italien de 23 ans et l'Américain de 26 ans, 12e mondial qui gravite autour de la 10e place depuis plus de deux ans avec une pointe au 5e rang en février 2023, ne se sont affrontés qu'à deux reprises, à Indian Wells.
Ils en sont à une victoire chacun. Mais la dernière fois qu'ils ont croisé le fer remonte à quasiment un an et demi, en 2023. Jannik Sinner s'était alors difficilement imposé en quart de finale.
Autre planète
Mais ça, c'était avant. Car depuis, l'Italien a changé de planète: il a remporté son premier titre du Grand Chelem en janvier à l'Open d'Australie, est devenu no 1 mondial et prétendant au titre de tous les tournois auxquels il participe.
Ce qui n'est pas le cas de Fritz dont le palmarès est aussi sobre que le joueur: huit titres au total depuis 2019, dont deux cette année. Son trophée le plus prestigieux est celui du Masters 1000 d'Indian Wells remporté en 2022.
Cette année à Flushing Meadows, Sinner n'a pas eu à affronter, dans une demie qui s'annonçait épique, son principal adversaire générationnel du circuit Carlos Alcaraz, qui a perdu dès le 2e tour. Mais il s'est défait avec assurance en quart d'un autre prétendant, le Russe Daniil Medvedev, vainqueur du tournoi en 2021.
Et l'Italien, sans jouer son meilleur tennis, a fait preuve d'une grande maîtrise en demie face à Jack Draper qu'il a écarté en trois sets. Le seul moment tendu du match est intervenu dans le deuxième set lorsque Sinner est tombé sur son poignet gauche.
"Après l'intervention du physio, qui m'a immédiatement fait du bien, la douleur est partie en jouant. On verra comment ce sera demain (samedi) à froid, mais je suis relativement confiant parce que si ça avait été grave, je l'aurais senti sur le coup", a raconté le droitier qui pourrait être handicapé pour son revers à deux mains.
Des finales "différentes"
Fritz n'a pas encore soulevé de trophée du Grand Chelem, mais il a joué au total 14 finales sur le circuit ATP. Comme pour commencer son travail de sape psychologique, Sinner prévient: "en Grand Chelem, les finales sont un peu différentes. On ressent énormément de tension".
Lui, il est à 100% de réussite en finale de Grand Chelem: une jouée et gagnée. Et il souhaite terminer la saison des Majeurs comme il l'a commencée, avec un titre, synonyme de partage des titres du Grand Chelem avec Alcaraz, vainqueur à Roland-Garros et Wimbledon.
La nervosité, Fritz l'a déjà longuement combattue en demie pour battre son compatriote Frances Tiafoe en cinq sets. "Nous étions tous les deux nerveux en arrivant sur le court, mais il s'est détendu plus vite que moi. J'ai eu du mal à avaler la perte du premier set parce que je menais avec un break d'avance et je le lui ai donné à cause de fautes liées à ma nervosité", souligne-t-il.
Fritz a fini par reprendre le contrôle de ses nerfs avant d'écraser quelques larmes sous l'ovation du public. "Quand je suis très heureux, je pleure. C'est comme ça", explique l'Américain.
"Le public m'acclamait, j'ai réalisé que je venais de me qualifier pour la finale de l'US Open... C'est le rêve d'une vie qui se réalise. J'ai travaillé toute ma vie pour arriver là", développe-t-il, persuadé que "le niveau affiché" lui permettra de remporter le titre.
Il n'est plus qu'à une marche. Une marche de géant pour lui et pour toute l'Amérique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump met fin aux négociations commerciales avec le Canada
Le président américain Donald Trump annonce vendredi mettre fin aux négociations commerciales avec son voisin canadien. Il a estimé que la taxe d'Ottawa sur les services numériques est un "coup direct et évident" porté aux Etats-Unis.
"En raison de cette taxe scandaleuse, nous mettons fin à toutes les discussions commerciales avec le Canada, avec effet immédiat", a écrit le locataire de la Maison Blanche sur sa plateforme Truth Social.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La RDC et le Rwanda signent un accord de paix à Washington
La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont signé vendredi à Washington un accord de paix visant à mettre fin au conflit dans l'est de la RDC. Une guerre qui a fait des milliers de morts.
L'accord, élaboré ces dernières semaines, prévoit des dispositions sur "le respect de l'intégrité territoriale et l'arrêt des hostilités" dans la région congolaise après l'offensive menée par le groupe armé M23, soutenu militairement par le Rwanda selon des experts de l'ONU.
Les affrontements avec les forces gouvernementales ont déplacé des centaines de milliers de personnes et provoqué une vaste crise humanitaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp / belga
Économie
Commerce: Pékin et Washington scellent la détente
La Chine et les Etats-Unis ont annoncé avoir scellé le cadre général visant à lisser leurs différends commerciaux, Pékin assurant vendredi que Washington est prêt à lever des restrictions à l'encontre de ses produits et vice versa.
Après des pourparlers à Genève en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu'ils imposaient sur leurs produits respectifs.
La Chine s'était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l'accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d'exportation de terres rares.
Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l'économie mondiale moderne.
Mi-juin, Washington et Pékin s'étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, pour remettre l'accord trouvé à Genève sur les rails.
C'est cet accord, portant notamment sur l'accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis, que Donald Trump s'est félicité jeudi d'avoir "signé".
Et Pékin a confirmé vendredi qu'un consensus avait été trouvé.
Les investisseurs se sont montrés rassurés par la nouvelle, d'autant que l'exécutif américain semble de surcroît disposé à reporter la date butoir à partir de laquelle il devait mettre en place des droits de douane punitifs à l'encontre de dizaines de partenaires commerciaux, dont l'Union européenne.
Vendredi matin, le ministre américain des Finances Scott Bessent a laissé entendre que Washington se donnait jusqu'à septembre pour conclure des accords avec ses principaux partenaires commerciaux.
"Je pense que nous pouvons boucler les discussions commerciales d'ici à la fête du travail", le 1er septembre aux Etats-Unis, a dit le secrétaire au Trésor sur Fox Business.
Wall Street a réagi avec optimisme, l'indice américain S&P 500 finissant même d'effacer l'intégralité des pertes causées depuis février par le tumulte autour des droits de douane, pour dépasser son plus haut historique en séance, de même que le Nasdaq.
"Même sens"
"La Chine espère que les Etats-Unis avanceront dans le même sens qu'elle", a indiqué dans un communiqué le ministère chinois du Commerce, en confirmant que Pékin et Washington avaient scellé leur accord.
"La Chine procédera en vertu de la loi à l'examen et à l'approbation des demandes d'exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences", a-t-on poursuivi de même source.
"Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l'égard de la Chine", a complété le ministère chinois.
Aucune précision supplémentaire n'a été apportée dans l'immédiat.
La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.
Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l'obtention d'un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares.
La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.
Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels (acier, aluminium, automobile).
Mais il a aussi mis en place une surtaxe quasiment universelle de 10% et menacé d'aller plus loin à l'égard des pays qui exportent plus vers les Etats-Unis qu'ils n'achètent de produits américains.
Donald Trump a suspendu ces droits de douane punitifs jusqu'au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Allemagne: vers une augmentation du salaire minimum
Le gouvernement allemand va augmenter le salaire minimum légal dans le pays en 2026 et 2027, suivant les recommandations d'une commission indépendante, toutefois moins ambitieuses qu'attendu par les sociaux-démocrates.
Actuellement à 12,82 euros par heure, le salaire minimum doit être porté à 13,90 euros en 2026, puis à 14,60 euros en 2027, soit une augmentation cumulée de 13,9%, ont recommandé les rapporteurs de cette commission lors d'une conférence de presse.
La décision a été prise "à l'unanimité" par les représentants des employeurs et des salariés, a déclaré la présidente de l'organe, Christiane Schönefeld.
Cette augmentation sera appliquée dès le 1er janvier 2026, a indiqué dans la foulée la ministre social-démocrate (SPD) du travail Bärbel Bas dans un communiqué.
La commission n'a cependant pas donné raison à son parti, qui revendiquait une augmentation du minimum légal à 15 euros dès 2026, un seuil qualifié d'"atteignable" dans le contrat de coalition négocié à l'origine entre sociaux-démocrates et conservateurs du chancelier Friedrich Merz.
Les conservateurs avaient cependant obtenu que le montant concret du salaire minimum continue à être fixé par cette commission indépendante.
Mme Schönefeld a salué "une décision consensuelle" malgré des "pressions politiques" et des "conditions très difficiles", "compte tenu de la stagnation de la conjoncture et des prévisions incertaines".
Après deux années consécutives de récession, plusieurs instituts économiques tablent sur un retour timide à la croissance en 2025.
L'évolution du PIB dépendra entre autre de celle de la consommation privée, qui peine à décoller, tandis que la tendance à l'épargne des ménages reste tenace.
Dès janvier prochain, quelque 6 millions d'employés toucheront environ 190 euros brut en plus par mois, puis 120 euros brut supplémentaires à partir de 2027.
Cette hausse représente sur deux ans une augmentation brute de 13,9% pour les employés au salaire minimum.
"Vous pouvez supposer que cet argent ira directement et intégralement dans la consommation, soutenant durablement la conjoncture", a assuré Steffen Kampeter, président de la fédération des associations patronales allemandes (BDA).
"Même si cela n'a pas abouti à 15 euros, il s'agit d'une amélioration financière considérable pour les travailleurs du secteur des bas salaires", a de son côté salué dans un communiqué le syndicat des services ver.di, représenté dans la commission du salaire minimum.
En 2022, l'ex-chancelier social-démocrate Olaf Scholz était passé outre cette commission, relevant le salaire minimum au-delà de ses préconisations.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
-
SuisseIl y a 2 jours
Les antibios devront à l'avenir être remis à l'unité en Suisse
-
SportIl y a 2 jours
Le Conseil fédéral réintroduit le concours d'armée
-
InternationalIl y a 3 jours
Sept soldats israéliens tués dans la bande de Gaza
-
CultureIl y a 2 jours
La Pologne rêvée à Lausanne: 100 chefs-d’oeuvre du musée de Varsovie
-
SuisseIl y a 2 jours
Téléphones interdits dans les écoles valaisannes, annonce Darbellay
-
InternationalIl y a 3 jours
Incident d'Alaska Airlines: Boeing et le régulateur mis en cause
-
SuisseIl y a 2 jours
Près de 2400 tonnes de cerises vont être récoltées en Suisse
-
LausanneIl y a 2 jours
Des pépinières d’un nouveau type produisent les arbres de demain