International
Hunter Biden entendu dans l'enquête en destitution contre son père
Le fils de Joe Biden, Hunter, est entendu mercredi par des élus républicains qui mènent une enquête en destitution contre le président, accusé d'avoir menti au peuple américain sur les affaires de sa famille.
Cette investigation est balayée d'un revers de main par les démocrates, qui voient là des manoeuvres politiciennes en pleine année électorale. Elle n'a quasiment aucune chance d'aboutir.
La droite accuse Joe Biden, jusqu'ici sans preuve concluante, d'avoir usé de son influence lorsqu'il était vice-président de Barack Obama (2009-2017) pour permettre à sa famille de mener des affaires douteuses en Ukraine et en Chine.
Nié en bloc
Interrogé mercredi au Congrès sur une série de transactions financières qui, selon les républicains, incriminent son père, Hunter Biden a nié en bloc.
"Je n'ai jamais impliqué mon père dans mes affaires", a-t-il déclaré devant la commission, selon une copie de son témoignage. "Pas quand j'étais un avocat, pas dans mes investissements ou mes transactions ici ou à l'étranger, pas en tant que membre de conseil d'administration, pas en tant qu'artiste. Jamais."
Fils cadet du président, Hunter Biden, homme d'affaires aujourd'hui reconverti dans la peinture, est devenu au fil des années une cible privilégiée des républicains qui alimentent les soupçons sur ses affaires.
L'investigation des républicains a toutefois été fragilisée par l'inculpation mi-février d'un ex-informateur du FBI, Alexander Smirnov, poursuivi pour avoir menti et fabriqué de fausses accusations de corruption contre les Biden.
Cet Américano-Israélien de 43 ans avait accusé Joe et Hunter Biden d'avoir perçu chacun cinq millions de dollars en pots-de-vin pour permettre à une société gazière ukrainienne, Burisma, d'échapper à des poursuites - une histoire inventée de toutes pièces, selon l'acte d'accusation.
Fausses informations
Alexander Smirnov aurait notamment admis avoir relayé de fausses informations, fournies par les services de renseignement russes, afin d'incriminer la famille Biden.
L'enquête judiciaire en cours sur le fils du président n'a quant à elle pas permis jusqu'ici d'étayer les accusations des républicains.
Elle a surtout souligné ses problèmes d'addiction aux drogues et à l'alcool - que le quinquagénaire assure avoir surmontés - et a débouché sur deux inculpations à son encontre: l'une pour fraude fiscale, et l'autre pour détention illégale d'arme à feu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
"La solution est un cessez-le-feu": du N°2 du Hezbollah à Israël
Le numéro 2 du Hezbollah libanais Naïm Qassem s'est adressé mardi aux Israéliens, leur disant que "la solution" pour mettre fin à la guerre était "un cessez-le-feu". Il menace, sinon, de frapper "partout" en Israël et assurant que son mouvement ne serait "pas défait".
M. Qassem, qui ne s'exprime plus que lors d'allocutions diffusées par la chaîne de la formation pro-iranienne, a annoncé une "nouvelle équation" avec l'attaque menée dimanche sur une base militaire au sud de Haïfa, la plus meurtrière du Hezbollah sur le sol israélien en près d'un mois.
M. Qassem est de facto le chef de la formation depuis que son secrétaire général Hassan Nasrallah a été assassiné par Israël le 27 septembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Boeing, en difficultés, veut renflouer sa trésorerie
L'avionneur américain Boeing a annoncé mardi plusieurs mesures pour renflouer sa trésorerie, mise à mal par des problèmes récurrents de production et par une importante grève dans des usines américaines.
Dans un document boursier, l'entreprise se donne la possibilité de mettre sur le marché divers titres comme des obligations ou des actions, afin de renflouer sa trésorerie affectée par le mouvement social qui, selon le cabinet Anderson Economic Group (AEG), lui a déjà coûté plus de 3 milliards de dollars lors de son premier mois.
Les opérations pourront se faire en plusieurs fois et selon un calendrier qui sera précisé par la suite. Le groupe a également indiqué qu'il avait obtenu 10 milliards de dollars de lignes de crédit supplémentaires auprès de plusieurs banques.
Convalescente après des crashes d'avions de 2018 et 2019 (qui avaient fait 346 morts au total) et la pandémie de Covid-19, la trésorerie de l'avionneur fond à mesure que perdure la grève de plus de 33'000 ouvriers dans le nord-ouest des Etats-Unis.
Ce mouvement des adhérents du syndicat des machinistes IAM de la région de Seattle a mis totalement à l'arrêt les deux principales usines du groupe: celle de Renton qui produit le 737, son avion le plus vendu, et celle d'Everett, qui fabrique le 777, le 767 ainsi que plusieurs programmes militaires.
En réaction, l'avionneur avait déjà annoncé vendredi des "changements structurels" pour sortir du marasme. Il compte notamment réduire ses effectifs d'environ 10% dans les prochains mois. A la fin 2023, le groupe employait presque 171.000 personnes, dont 41.000 hors des Etats-Unis.
Boeing avait également annoncé vendredi 5 milliards de dollars de charges avant impôts dans ses comptes au troisième trimestre, en partie dues à la grève, ainsi que l'arrêt de la production du 767 Fret. Ses résultats trimestriels seront publiés le 23 octobre.
Pour le cabinet Melius Research, "plus la grève se prolonge, plus Boeing risque de voir sa note abaissée par les agences de notation parce qu'il ne livre pas d'avions et ne génère pas de liquidités".
Dans les échanges préliminaires à la Bourse de New York mardi, aux alentours de 11H50 GMT, le titre de l'avionneur gagnait environ 1%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le patron du Comité olympique russe présente sa démission
Patron du Comité olympique russe, Stanislav Pozdniakov a annoncé mardi sa démission.
Selon lui, cette décision est censée "renforcer le mouvement olympique russe", dont les athlètes sont bannis des compétitions internationales en raison de l'offensive en Ukraine.
La Russie, mise au ban du sport mondial, a ainsi été exclue en tant que nation des Jeux olympiques cet été à Paris et n'était représentée que par une petite équipe de 15 athlètes, concourant sous bannière neutre, après une sélection stricte.
Les athlètes autorisés à concourir devaient notamment avoir montré qu'ils n'avaient pas soutenu l'intervention militaire russe en Ukraine et qu'ils n'appartenaient pas à un club sportif lié aux forces armées ou de sécurité, comme c'est parfois le cas en Russie.
"Les défis géopolitiques auxquels notre pays fait face rendent nécessaire une optimisation et une centralisation de la gestion des domaines clés, y compris du sport de haut niveau", a déclaré Stanislav Pozdniakov (51 ans) dans un communiqué pour justifier sa décision.
En poste depuis 2018, ce quadruple champion olympique d'escrime a assuré voir actuellement des "prémisses opportunes, notamment économiques, pour remplacer le leader et l'équipe" olympiques afin de "renforcer le mouvement olympique russe".
"Pour cette raison, le comité exécutif du Comité olympique russe, lors de sa prochaine réunion le 7 novembre, va soutenir, j'en suis sûr, ma proposition et fixer la date de l'élection du nouveau dirigeant", a-t-il conclu.
Russophobie dénoncée
Sous sa présidence, le Comité olympique russe a dénoncé à plusieurs reprises la soi-disant "russophobie" des autorités sportives internationales, en amont des JO de Paris.
Privés de leur drapeau et d'hymne dans la capitale française, de nombreux athlètes russes avaient choisi de renoncer aux compétitions, dénonçant des critères "discriminatoires".
Dans ce contexte, Moscou avait critiqué "le racisme et le néonazisme" du CIO dans un climat extrêmement tendu, l'organisation accusant en retour la Russie de "politiser le sport", en plein assaut des forces russes contre l'Ukraine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une nouvelle alliance mondiale contre l'apatridie lancée à Genève
La lutte contre l'apatridie a désormais un nouvel acteur international. Plus de 100 Etats, des ONG ou encore des organisations d'apatridies se trouvent dans une nouvelle alliance mondiale à Genève pour mettre un terme à ce problème.
Grâce à une campagne mondiale, environ 500'000 personnes ont pu obtenir ces dernières années une nationalité et les droits qui vont avec celle-ci. L'Alliance mondiale contre l'apatridie, lancée par le Haut commissaire de l'ONU pour les réfugiés Filippo Grandi, doit permettre d'aller plus loin encore.
"Nous avons obtenu de véritables avancées", estime celui-ci. Des améliorations ont été atteintes pour des communautés discriminées depuis des générations, ajoute-t-il. "Mais ce travail n'est pas terminé, nous devons garantir que chaque individu, partout dans le monde, ait une nationalité", insiste le Haut commissaire.
Les apatrides seront au centre du pilotage de cette alliance mondiale, a ajouté mardi l'agence onusienne. Le Turkménistan a annoncé dans le cadre du conseil exécutif du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) qu'il avait résolu tous les cas identifiés d'apatridie sur son territoire.
La nouvelle alliance va démarrer ses activités encore dans les prochaines semaines. Le HCR accueillera le secrétariat de cette entité. M. Grandi demande aux autres Etats de rejoindre cette coalition.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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