International
IBM s'associe avec le japonais Rapidus dans les semi-conducteurs
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Le groupe informatique américain IBM va s'associer avec la nouvelle société japonaise Rapidus pour développer des technologies liées à des semi-conducteurs de nouvelle génération, selon un communiqué commun publié mardi.
Ce partenariat va notamment porter sur le développement au Japon de semi-conducteurs d'une finesse de gravure de 2 nanomètres, qui sont cruciaux pour les ordinateurs quantiques et l'intelligence artificielle, des domaines dans lesquels IBM est l'un des leaders mondiaux.
Une plus grande finesse de gravure permet de concentrer davantage de composants dans un espace réduit, d'augmenter les performances et de réduire la consommation énergétique de ces puces électroniques.
Le gouvernement japonais a annoncé il y a un mois la création de Rapidus, une société subventionnée par l'Etat et de grandes entreprises privées nippones (dont Toyota et Sony) pour accélérer la recherche-développement et la production de semi-conducteurs de nouvelle génération au Japon qui accuse un grand retard en la matière par rapport ses voisins taïwanais et sud-coréen.
Un investissement initial équivalent à environ 500 millions d'euros (493 millions de francs) est prévu pour l'instant pour Rapidus qui devra cependant lever beaucoup plus de fonds pour être capable de lancer une production à grande échelle dans la seconde moitié de la décennie en cours.
Le caractère stratégique des semi-conducteurs, omniprésents dans les ordinateurs, smartphones, voitures connectées, serveurs de données ou encore consoles de jeux, est devenu encore plus prégnant avec la pénurie mondiale survenue dans cette industrie du fait de perturbations liées à la pandémie de Covid-19 depuis 2020.
La rivalité technologique et les tensions géopolitiques croissantes avec la Chine ont aussi fait prendre conscience dans les pays industrialisés de la nécessité de relocaliser ces composants indispensables.
Au nom de la "sécurité nationale", les Etats-Unis ont édicté en octobre de nouvelles règles visant à compliquer les exportations vers la Chine de semi-conducteurs et équipements américains pour cette industrie.
Pékin vient de lancer une procédure contre ces restrictions auprès de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) en dénonçant des "pratiques protectionnistes" de Washington menaçant la "stabilité de la chaîne d'approvisionnement industrielle mondiale".
Selon des informations de l'agence Bloomberg, le Japon et les Pays-Bas devraient prochainement annoncer des restrictions du même ordre vis-à-vis de la Chine, à la demande de Washington.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
L'Autriche expulse officiellement un Syrien, une première dans l'UE
Le gouvernement autrichien a annoncé jeudi l'expulsion dans son pays d'origine d'un criminel syrien, une première dans l'Union européenne ces dernières années, selon le ministère de l'Intérieur.
Cette décision "s'inscrit dans le cadre d'une politique d'asile stricte et donc juste", a déclaré le ministre Gerhard Karner dans un communiqué transmis à l'AFP.
"Elle envoie un signal fort, à savoir que l'Autriche expulse systématiquement les criminels condamnés, désormais également vers la Syrie. Nous poursuivrons sur ce chemin avec détermination et rigueur", a-t-il ajouté. Le pays alpin, qui n'avait pas procédé à une telle expulsion depuis environ 15 ans, se félicite de "montrer la voie en Europe".
M. Karner s'était rendu fin avril en Syrie avec son homologue allemande pour discuter du retour des réfugiés dans leur pays et des moyens de renforcer la coopération sécuritaire. Après la chute du président Bachar al-Assad en décembre 2024, le débat sur l'accueil des Syriens a ressurgi en Europe, plusieurs Etats annonçant un gel des procédures de demandes d'asile dans un contexte de forte progression électorale des partis d'extrême droite.
L'Autriche, qui compte près de 100'000 Syriens dont de nombreux avaient fui la guerre civile, est allée plus loin. Elle a entamé des procédures pour révoquer le statut de quelque 2.900 réfugiés et a stoppé les démarches de regroupement familial, une mesure que le nouveau gouvernement dirigé par un chancelier conservateur veut étendre à l'ensemble des nationalités.
Il est sous pression du parti nationaliste FPÖ, certes dans l'opposition, mais de très loin premier parti du pays dans les urnes et les sondages. Les autorités ont même offert la somme de mille euros aux Syriens acceptant de repartir au pays. Pour l'heure, 350 sont volontairement rentrés depuis fin 2024, contre 200 au total en 2023 et 2024, selon les chiffres officiels.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
USA: le taux de chômage recule à 4,1% en juin, mieux que prévu
Les chiffres de l'emploi sont meilleurs que prévu aux Etats-Unis: le taux de chômage a légèrement reculé à 4,1% en juin et davantage d'emplois qu'attendu ont été créés, selon des données officielles publiées jeudi.
La première économie mondiale a créé 147'000 emplois le mois dernier, soit plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance (110.000, selon le consensus publié par MarketWatch).
Un même volume d'emplois avait été créé en mai (144'000, valeur révisée en hausse), selon le rapport mensuel du ministère du Travail.
Les créations d'emplois se sont concentrées dans l'administration locale et la santé, alors que des emplois ont continué à être détruits au niveau de l'Etat fédéral, conformément au voeu du gouvernement républicain.
Le taux de chômage a légèrement reculé, passant de 4,2% à 4,1% - un niveau considéré comme proche du plein emploi.
Les analystes s'attendaient au contraire à une légère hausse du taux à 4,3%.
Ces données laissent entendre que l'économie reste solide, en dépit des secousses liées aux nouveaux droits de douane mis en place par Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche.
Les chiffres de l'emploi devraient permettre à la Réserve fédérale (Fed) d'attendre encore avant de baisser ses taux d'intérêt.
Fustigée par le président Trump qui réclame des taux plus bas, la banque centrale des Etats-Unis fait face à une situation complexe.
Elle s'inquiète de voir augmenter le chômage et l'inflation. Or elle est censée fixer le niveau de ses taux d'intérêt de manière à assurer plein emploi et stabilité des prix.
Quand les prix augmentent, elle peut augmenter ses taux directeurs pour freiner l'activité et limiter l'emballement.
Quand le chômage progresse, elle peut au contraire baisser ses taux pour stimuler l'économie.
Mais quand les deux éléments se dégradent en même temps, elle doit choisir entre accepter des prix plus élevés ou de voir des gens perdre leur emploi.
Les banquiers centraux américains s'attendent à voir l'inflation à 3% à la fin de l'année et le taux de chômage à 4,5%, selon la médiane de leurs prévisions, récemment actualisée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
MSF redoute des atrocités massives à El-Fasher en cas d'assaut
Des atrocités massives sont en cours au Darfour Nord, selon Médecins Sans Frontières (MSF). Jeudi à Genève, l'ONG a appelé à oeuvrer pour éviter davantage de violences ethniques, alors que les rebelles des Forces de soutien rapide (FSR) menacent la ville d'un assaut.
Dans un rapport, MSF dénonce des violations systématiques entre mai 2024 et mai dernier comme des pillages, des exécutions massives, des violences sexuelles, de l'utilisation de la faim comme arme de guerre, des enlèvements ou encore des attaques contre des infrastructures civiles. La population "est activement ciblée par les FSR et leurs alliés, notamment pour des raisons ethniques", affirme un responsable de l'ONG.
L'organisation dénonce l'"indifférence" de la communauté internationale face à cette situation. Le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk a alerté toutefois à plusieurs reprises sur les conséquences désastreuses en cas d'assaut.
En avril dernier, des attaques contre un camp de déplacés de la région avaient fait des centaines de victimes. MSF redoute que ce scénario ne se répète. "Ces violences doivent se terminer", a estimé une responsable de l'organisation. En raison du siège d'El Fasher, des enfants décèdent de malnutrition.
Plusieurs personnes mettent en cause également l'armée soudanaise, accusée de bombardements indiscriminés contre les civils dans des territoires où les RSF n'étaient pas présentes. MSF appelle les parties au conflit à ne pas cibler les non combattants et à honorer le droit international humanitaire (DIH).
Famine dans plusieurs régions
Les RSF et leurs alliés doivent mettre un terme à leurs violences ethniques, ajoute-t-elle. La Mission d'établissement des faits a à plusieurs reprises dénoncé de la part des paramilitaires des actes équivalant à des crimes contre l'humanité. L'armée soudanaise se voit elle reprocher de possibles crimes de guerre.
Les trois enquêteurs indépendants, qui ne s'expriment pas au nom de l'ONU, ont également établi une liste de responsables présumés de ces atrocités. Ils ont démarré une collaboration avec plusieurs juridictions.
En plus de deux ans de conflit, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées, dont au moins 4300 civils l'année dernière, selon l'ONU. Des régions sont exposées à la famine. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont plus de quatre millions de réfugiés. Au total, 25 millions de personnes sont gravement affamées et 40% de la population a besoin urgemment d'une assistance sanitaire. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Etats-Unis: le taux de chômage recule à 4,1%
Les chiffres de l'emploi sont meilleurs que prévu aux Etats-Unis: le taux de chômage a légèrement reculé à 4,1% en juin et davantage d'emplois qu'attendu ont été créés, selon des données officielles publiées jeudi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats / afp
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