International
Israël approuve la saisie de 1270 hectares en Cisjordanie occupée
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Israël a approuvé la saisie de 1270 hectares de terres en Cisjordanie occupée, selon un document officiel consulté par l'AFP. C'est la plus importante saisie de terres en territoire palestinien depuis 30 ans, selon l'organisation israélienne La Paix maintenant
Il s'agit d'une saisie record depuis les accords de paix d'Oslo (1993), a affirmé cette organisation anti-colonisation après que ces terres, situées dans la vallée du Jourdain, ont été déclarées "propriété du gouvernement" par l'autorité israélienne en charge des affaires foncières dans les Territoires palestiniens fin juin, selon les documents consultés par l'AFP mercredi.
"La taille de la zone (...) est la plus grande depuis les accords d'Oslo (1993), et l'année 2024 marque un pic dans l'étendue des déclarations de terres d'Etat", a déclaré La Paix maintenant. Depuis le début de l'année, le gouvernement israélien a en effet officiellement saisi 23,7 km2 de la Cisjordanie.
Droit de propriété perdu
Le pays avait notamment annoncé le 22 mars la saisie de 800 hectares de terres en Cisjordanie en vue d'y bâtir de nouvelles colonies. Cette décision avait déjà été qualifiée de "provocation" par La Paix maintenant, selon qui les Palestiniens perdent leur droit de propriété ou d'usage sur les terres déclarées "terres d'Etat".
Les autorités n'ont pas commenté publiquement cette dernière saisie qui intervient alors que les tensions avec la communauté palestinienne s'exacerbent en raison de la guerre de Gaza.
"Au profit d'une poignée de colons"
"Netanyahu et Smotrich sont déterminés à se battre contre le monde entier et contre les intérêts du peuple d'Israël au profit d'une poignée de colons", affirme mercredi le communiqué de La Paix maintenant en référence au Premier ministre israélien et à son ministre des Finances.
"Aujourd'hui, il est clair pour tout le monde que ce conflit ne peut être résolu sans un règlement politique établissant un Etat palestinien aux côtés d'Israël", poursuit-il, "et pourtant le gouvernement choisit de rendre cela difficile".
Colonisation illégale
La colonisation israélienne en Cisjordanie (y compris Jérusalem-Est, annexée) est illégale au regard du droit international, rappelle régulièrement l'ONU, qui dénonce toute l'entreprise de colonisation juive dans les territoires palestiniens occupés comme un des principaux obstacles à l'établissement d'une paix définitive entre Israël et les Palestiniens.
Des dizaines de colonies sauvages ont été établies en Cisjordanie occupée en plus des colonies autorisées par les autorités israéliennes.
Exhortations de l'ONU ignorées
Au milieu de trois millions de Palestiniens, environ 490'000 Israéliens sont ainsi installés en Cisjordanie dans des colonies autorisées par les autorités israéliennes mais illégales pour le droit international. L'ONU réclame depuis des années à Israël, sans succès, de "geler toutes ses activités de peuplement" en Cisjordanie.
Après l'annonce de saisie de 800 hectares en mars, le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken avait qualifié l'expansion des colonies de "contre-productives pour parvenir à une paix durable" avec les Palestiniens.
Plusieurs organisations internationales, notamment le Bureau des affaires humanitaires de l'ONU, dénoncent également, en parallèle de la colonisation, le harcèlement de Palestiniens par des colons, conduisant des communautés entières à quitter leurs terres.
Cinq Palestiniens tués
Cinq Palestiniens ont été tués dans ce contexte dans deux opérations de l'armée israélienne en Cisjordanie, ont indiqué des sources israéliennes et palestiniennes.
Quatre Palestiniens ont péri dans une opération nocturne menée dans le camp de réfugiés de Nour Shams près de la ville de Tulkarem, a indiqué le ministère de la Santé de l'Autorité palestinienne dans un communiqué.
Selon l'agence de presse officielle palestinienne Wafa, quatre hommes, âgés de 20 à 25 ans, ont été tués par une frappe de drone israélien sur ce camp situé dans le nord de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.
"Un appareil aérien des forces israéliennes a frappé une cellule terroriste dans la région de Nour Shams alors que ses membres préparaient un engin explosif", a pour sa part affirmé l'armée dans un communiqué, en confirmant quatre morts.
"Tué par les balles de l'occupation"
Une deuxième opération militaire israélienne menée mercredi à Jénine, également dans le nord de la Cisjordanie, a coûté la vie à un Palestinien de 23 ans, Nidal Ziad al-Amer, a indiqué le ministère palestinien. "Il a été tué par les balles de l'occupation", selon lui.
Un responsable de la sécurité israélienne a déclaré à l'AFP que le Palestinien avait été tué alors que des soldats tentaient de l'arrêter car il avait "commis un acte terroriste".
Les opérations israéliennes et les violences se multiplient depuis des mois dans le camp de Nour Shams. Lundi, un enfant et une femme y ont été tués lors d'une incursion israélienne. En avril, un raid israélien à Nour Shams a fait 14 morts en deux jours selon le Croissant-rouge palestinien.
Au moins 560 morts
Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, les violences se sont intensifiées en Cisjordanie, occupée par Israël depuis 1967 en violation du droit international. Selon les autorités palestiniennes, au moins 560 Palestiniens ont été tués par l'armée ou des colons israéliens depuis le 7 octobre en Cisjordanie.
Au moins 15 Israéliens y ont été tués dans des attaques, dont des soldats, au cours de la même période, selon un décompte de l'AFP à partir des chiffres officiels israéliens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le mandat d'arrêt visant Bachar al-Assad annulé en France
La justice française a estimé qu'aucune exception ne pouvait lever l'immunité personnelle d'un chef d'Etat. Elle a annulé le mandat d'arrêt émis par des juges d'instruction parisiens contre l'ex-président syrien Bachar al-Assad pour des attaques chimiques en 2013.
"Cependant", depuis que Bachar al-Assad a été renversé en décembre 2024 et n'est plus président, "de nouveaux mandats d'arrêt ont pu ou pourront être délivrés à son encontre" pour des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, a déclaré vendredi le président de la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français, Christophe Soulard, lors d'une audience publique diffusée de manière inédite en direct sur internet.
L'information judiciaire ouverte à son encontre peut donc se poursuivre, a-t-il ajouté.
En novembre 2023, deux juges d'instruction parisiennes spécialisées avaient émis un mandat d'arrêt pour complicité de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre contre Bachar al-Assad pour les attaques chimiques imputées au pouvoir syrien en 2013.
Ces attaques avaient été perpétrées du 4 au 5 août 2013 à Adra et Douma (450 blessés) et le 21 août dans la Ghouta orientale, où plus de mille personnes, selon les renseignements américains, ont été tuées par du gaz sarin.
En juin 2024, la cour d'appel de Paris a validé ce mandat.
Recours
Le Parquet national antiterroriste en première instance, puis le parquet général en appel, ont formé des recours, défendant l'immunité absolue devant les tribunaux étrangers dont jouissent les chefs d'Etat, Premiers ministres et ministres des Affaires étrangères en exercice.
Le 4 juillet, lors d'une audience devant l'assemblée plénière, sa formation la plus solennelle, le procureur général près la Cour de cassation Rémy Heitz a proposé le maintien du mandat d'arrêt.
Il a dans un premier temps contesté l'analyse de la cour d'appel d'après qui ces crimes "ne peuvent être considérés comme faisant partie des fonctions officielles d'un chef de l'Etat", en estimant notamment que "l'immunité personnelle a été consacrée" par une décision de la Cour internationale de justice en 2002.
Mais le procureur général a ensuite proposé à la Cour "une troisième voie", écartant l'immunité personnelle de Bachar al-Assad parce que dès 2012, il n'était plus considéré par la France comme le "chef d'Etat légitime en exercice", au vu des "crimes de masse" du "pouvoir syrien".
"Fondement moral"
L'avocat au conseil des parties civiles - des ONG et des victimes -, Paul Mathonnet avait lui demandé à la Cour "la possibilité d'écarter au cas par cas cette immunité personnelle" si l'impunité est en jeu, par exemple lorsque l'"interdit absolu" des attaques chimiques est franchi.
Pour Mazen Darwish, du Centre syrien pour les médias et la liberté d'expression (SCM), la position de M. Heitz est "très habile" juridiquement mais "sape le fondement moral" prôné par son organisation selon lequel "les immunités ne doivent pas s'appliquer" en cas de crime de guerre ou de crime contre l'humanité.
"Elle confère également à un seul gouvernement étranger le pouvoir de décider qui est ou n'est pas un chef d'État légitime, ce qui constitue un précédent extrêmement dangereux lorsqu'on accorde ce pouvoir à un seul État", a ajouté M. Darwish.
La Cour pénale internationale (CPI) n'est pas compétente pour les crimes internationaux commis en Syrie, le pays n'ayant pas ratifié le traité de Rome qui l'a instituée. Et aucune résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies n'a ordonné sa saisine.
Le contexte géopolitique a changé depuis la délivrance initiale du mandat d'arrêt: Bachar al-Assad a été renversé en décembre et s'est réfugié en Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ryanair: 6,5 millions de passagers retardés par le contrôle aérien
Quelque 6,5 millions de passagers de Ryanair ont subi des retards depuis le début de l'année en raison des grèves et de la "mauvaise gestion" du contrôle aérien français, a dénoncé vendredi la première compagnie aérienne d'Europe.
"Plus de 36'000 vols Ryanair et plus de 6 millions de passagers ont subi des retards entre le 1er janvier et le 22 juillet 2025 à cause de la mauvaise gestion du service de contrôle aérien français, du manque de personnel et de grèves +récréatives+", écrit la compagnie irlandaise Ryanair dans un communiqué.
La compagnie aérienne appelle le ministre français des Transport Philippe Tabarot à prendre des mesures "urgentes" pour réformer ce service en estimant que "90% de ces retards auraient pu être évités".
Elle préconise de protéger les survols lors des grèves nationales et d'obliger les contrôleurs aériens à assurer un effectif complet pour les départs de la première vague chaque jour.
D'après Ryanair, la France est le pays en Europe où le contrôle aérien cause le plus de retards pour ses passagers. A titre de comparaison, 3,8 millions de passagers ont subi des retards imputés aux contrôleurs aériens en Espagne, 1,8 en Allemagne, 700.000 au Royaume-Uni et 600'000 au Portugal, selon les statistiques citées par la compagnie.
Dernière en date, la grève déclenchée par deux syndicats minoritaires d'aiguilleurs du ciel français les 3 et 4 juillet, réclamant une amélioration des conditions de travail et des effectifs plus importants, a touché plus d'un million de passagers et coûté environ 120 millions d'euros aux compagnies européennes, selon l'organisme de surveillance du trafic Eurocontrol.
La compagnie aérienne britannique EasyJet avait elle aussi dénoncé "les coûts importants" liés à ce mouvement social lors de la publication de ses résultats du troisième trimestre, le 17 juillet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Thaïlande/Cambodge: risque de "guerre", plus de 138'000 déplacés
La Thaïlande a prévenu vendredi que le conflit meurtrier l'opposant au Cambodge pourrait dégénérer en "guerre", juste avant une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU. Des affrontements ont provoqué l'évacuation de près de 140'000 Thaïlandais.
Le différend frontalier qui oppose ces deux pays d'Asie du Sud-Est donne lieu depuis deux jours à un niveau de violence jamais vu depuis 2011, impliquant des avions de combat, des tanks, des troupes au sol et des tirs d'artillerie.
Bangkok et Phnom Penh sont engagés dans un bras-de-fer depuis la mort d'un soldat cambodgien fin mai lors d'un échange nocturne de tirs dans une zone contestée de leur frontière commune surnommée le "Triangle d'émeraude".
Loi martiale
"La loi martiale est désormais en vigueur" dans huit districts frontaliers, a annoncé Apichart Sapprasert, responsable de l'armée thaïlandaise dans les provinces de Chanthaburi et Trat.
La Thaïlande fait état pour l'heure de 15 morts, le Cambodge d'un mort. Des journalistes de l'AFP ont vu quatre soldats cambodgiens recevoir des soins dans un hôpital, ainsi que trois civils traités pour des éclats d'obus.
A la demande du Premier ministre cambodgien Hun Manet, le Conseil de sécurité des Nations unies doit tenir vendredi une réunion d'urgence à New York.
Son homologue thaïlandais, Phumtham Wechayachai, a prévenu que l'aggravation de la situation conduirait à "une guerre". "Nous avons essayé de trouver un compromis parce que nous sommes voisins, mais nous avons donné l'instruction à l'armée thaïlandaise d'agir immédiatement en cas d'urgence", a-t-il poursuivi.
Bangkok "prêt" à négocier
Au même moment, Bangkok s'est dit "prêt" à négocier une sortie de crise, par la voie diplomatique ou par l'entremise de la Malaisie, qui occupe la présidence tournante de l'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean), dont la Thaïlande et le Cambodge sont membres.
Les Etats-Unis, la France, la Suisse, l'Union européenne et la Chine ont déjà tous appelé au dialogue et à la fin du conflit.
Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a qualifié vendredi de "déchirants et inquiétants" ces affrontements. "Ce problème trouve ses racines dans les séquelles des colonisateurs occidentaux et doit maintenant être abordé avec calme et géré de manière appropriée", a déclaré Wang Yi au secrétaire général de l'ASEAN, Kao Kim Hourn, à Pékin, selon un communiqué de la diplomatie chinoise.
Les deux pays contestent le tracé de leur frontière commune, définie durant l'Indochine française. L'épisode le plus violent lié à ce différend remonte à des affrontements autour du temple de Preah Vihear entre 2008 et 2011, qui avaient fait au moins 28 morts et des dizaines de milliers de déplacés.
"Signaux positifs "
Les relations diplomatiques entre les deux voisins, liés par de riches liens culturels et économiques, sont au plus bas depuis des décennies. Bangkok a rappelé mercredi son ambassadeur à Phnom Penh et expulsé de son territoire l'ambassadeur du Cambodge, qui a répliqué jeudi en retirant tout son personnel diplomatique stationné à Bangkok.
Les combats ont repris dans trois zones vendredi vers 04h00 du matin (jeudi 23h00 heure suisse), a indiqué l'armée thaïlandaise. Les forces cambodgiennes ont procédé à des bombardements à l'aide d'armes lourdes, d'artillerie de campagne et de systèmes de roquettes BM-21, a déclaré l'armée, et les troupes thaïlandaises ont riposté "avec des tirs de soutien appropriés".
Dans la ville cambodgienne de Samraong, à 20 km de la frontière, plusieurs familles avec des enfants et leurs affaires à l'arrière de leurs véhicules étaient en train de s'enfuir à toute vitesse, ont constaté des journalistes de l'AFP.
"Je n'ai pas pu tout prendre avec moi", explique Salou Chan, 36 ans, qui s'est réfugié dans un temple bouddhique avec ses deux enfants. "Je suis inquiet pour mes enfants. Ils ont pris peur quand ils ont entendu le bruit des fusillades." "Je ne sais pas quand on pourra rentrer chez nous", a-t-il poursuivi.
Les deux pays s'accusent mutuellement d'avoir ouvert le feu en premier et défendent leur droit à se défendre. Bangkok a aussi accusé ses adversaires de cibler des infrastructures civiles comme un hôpital et une station-service, ce dont Phnom Penh s'est défendu.
La Thaïlande a également déployé plusieurs avions de combat F-16 pour frapper ce qu'elle a présenté comme étant des cibles militaires cambodgiennes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
SpaceX: Starlink en panne pendant plusieurs heures
Les services de télécommunications par satellites de Starlink, la filiale de l'entreprise SpaceX d'Elon Musk, ont été interrompus jeudi pendant plusieurs heures à la suite d'une panne, a indiqué l'entreprise.
"Starlink est maintenant en grande partie rétabli après la panne du réseau, qui a duré environ deux heures et demie. La panne était due à une défaillance des principaux services logiciels internes qui gèrent le réseau central", a indiqué sur X Michael Nicolls, vice-président de Starlink Engineering.
L'entreprise, premier opérateur mondial de télécommunications par satellites, avait indiqué quelques heures plus tôt sur le même réseau social subir une panne affectant les communications de ses clients.
Selon le site Downdetector, qui répertorie les pannes de communications de nombreux opérateurs et de plateformes en ligne, jusqu'à 60'000 signalements ont été effectués jeudi au sujet du réseau Starlink.
Les services de Starlink, qui repose sur une constellation de plus de 6000 satellites déployés en orbite basse, permettent à ses clients de s'équiper d'un terminal terrestre afin de bénéficier d'une connexion internet, notamment dans des zones non rurales ou reculées.
D'après les chiffres publiés par l'entreprise mi-juillet, Starlink compte plus de 6 millions d'abonnés dans le monde.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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