International
La moitié des billets à moins de 50 euros en 2023
Les organisateurs des JO de Paris 2024 ont présenté lundi les grands axes de la billetterie. Le processus se déroulera en 2023, avec la moitié des billets affichés à un tarif de 50 euros ou moins.
Au total, 13,4 millions de billets seront disponibles: 10 millions pour les JO et 3,4 millions pour les Jeux paralympiques. La billetterie représente un tiers des revenus du comité d'organisation, les deux autres tiers étant les sponsors et une contribution du CIO pour un budget - entièrement privé - de près de 4 milliards d'euros.
Détails à fixer
Concernant les tarifs pour les JO, un million de billets, soit 10%, sera vendu à 24 euros et ce pour tous les sports. Et 50% des billets olympiques seront accessibles à 50 euros et moins. Un billet correspondra à une "session" et variera en fonction des sports. Les détails n'ont pas encore été fixés.
Le processus sera lancé en décembre 2022: il faudra s'inscrire au tirage au sort pour gagner un créneau horaire d'achat, d'abord pour les billets en pack (regroupements de billets représentant plusieurs sports) en février puis pour les billets à l'unité en mai.
Ce système est jugé "plus transparent" et "moins chronophage", selon les organisateurs. Les dernières ventes devraient intervenir à la fin 2023.
80% des billets sont réservés au grand public et 20% aux hospitalités (prestations sur mesure, accès privilégié...), via le partenaire On location, et aux parties prenantes (collectivités, mouvement sportif, invités sponsors ...).
Second marché
Pour les Jeux paralympiques, le prix d'entrée minimum sera de 15 euros pour 500'000 billets. 50% des billets seront à 25 euros ou moins, et un pass journée à 24 euros pour plusieurs parasports. La vente aura lieu à l'automne.
L'inscription au "club Paris 2024" permettra d'avoir des dates et des détails sur la billetterie. Il y a aura également une "plateforme de second marché" pour revendre et échanger les billets.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La Russie va déployer des armes nucléaires "tactiques" au Bélarus
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que Moscou allait déployer des armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié, le Bélarus. Ce pays est situé aux portes de l'Union européenne.
Des responsables russes ont émis à plusieurs reprises des menaces à peine voilées de se servir de l'arme nucléaire en Ukraine en cas d'escalade significative du conflit. Dirigé depuis 1994 par Alexandre Loukachenko, le Bélarus est frontalier de l'Ukraine, de la Pologne et de la Lituanie.
"Rien d'inhabituel"
"Il n'y a rien d'inhabituel ici : les Etats-Unis font cela depuis des décennies. Ils déploient depuis longtemps leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés", a déclaré Vladimir Poutine lors d'une interview diffusée à la télévision russe. "Nous avons convenu de faire de même", a-t-il ajouté, disant avoir l'accord de Minsk.
"Nous avons déjà aidé nos collègues bélarusses et équipé leurs avions (...) sans violer nos engagements internationaux en matière de non-prolifération des armes nucléaires. Dix avions sont prêts à utiliser ce type d'arme", a poursuivi M. Poutine, selon lequel Moscou a aussi transféré des missiles Iskander.
"A partir du 3 avril, nous commençons à former les équipages. Et le 1er juillet, nous terminerons la construction d'un entrepôt spécial pour les armes nucléaires tactiques sur le territoire du Bélarus", a-t-il ajouté.
Le Bélarus ne prend pas part directement au conflit en Ukraine mais Moscou s'est servi de son territoire pour conduire son offensive sur Kiev l'année dernière ou pour mener des frappes, selon les autorités ukrainiennes.
1600 tanks
Selon M. Poutine, cette décision a été motivée par la volonté de Londres d'envoyer des munitions à uranium appauvri à l'Ukraine, comme évoqué récemment par une responsable britannique.
M. Poutine a menacé de recourir également à ce type d'obus si Kiev venait à en recevoir. "La Russie, bien sûr, a de quoi répondre. Nous avons, sans exagérer, des centaines de milliers d'obus de ce type. Nous ne les utilisons pas pour le moment", a déclaré le président russe. Il a qualifié ce type d'obus d'arme parmi "les plus dangereuses" et qui "génère ce que l'on appelle des poussières de radiation".
La vice-ministre britannique de la Défense Annabel Goldie avait confirmé lundi que le Royaume-Uni fournirait à l'Ukraine des obus à uranium appauvri, efficaces contre les chars et les autres véhicules blindés.
M. Poutine a également dit samedi considérer que les livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine, vitales l'effort de guerre de Kiev, étaient une "menace" pour la Russie.
Il s'est toutefois félicité des progrès de l'industrie de l'armement russe, qui sera selon lui capable de produire 1600 tanks dans les trois prochaines années, ce qui permettrait à l'armée russe d'en avoir "plus de trois fois plus" que son adversaire.
Menaces nucléaires
Lors de récentes négociations à Moscou entre Vladimir Poutine et Xi Jinping, les deux dirigeants avaient énoncé dans une déclaration commune qu'une guerre nucléaire "ne doit jamais être déclenchée", car "il ne peut y avoir de vainqueurs".
Plusieurs responsables russes, dont l'ancien président Dmitri Medvedev, ont toutefois menacé l'Ukraine et les Occidentaux de l'arme nucléaire depuis le début de l'offensive russe lancée le 24 février 2022.
La Russie a en outre suspendu le mois dernier l'important traité de désarmement nucléaire New Start signé avec les Etats-Unis, bien qu'elle ait promis de respecter la limitation de son arsenal nucléaire jusqu'à la fin effective de cet accord le 5 février 2026.
Pas d'utilisation préventive
Vladimir Poutine avait accusé l'année dernière l'Ukraine de vouloir se doter d'une "bombe sale", une arme constituée d'explosifs conventionnels entourés de matériaux radioactifs destinés à être disséminés en poussière au moment de l'explosion.
L'Ukraine et ses alliés occidentaux avaient condamné ces allégations et accusé la Russie de jouer l'escalade nucléaire.
La doctrine nucléaire russe ne prévoit pas l'utilisation préventive par la Russie de l'arme nucléaire, mais seulement en réponse à une attaque envers elle ou ses alliés, ou en cas de "menace sur l'existence même de l'Etat".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump en meeting à Waco, ex-fief d'une secte anti-fédérale
Menacé d'inculpation, Donald Trump s'offre samedi son premier meeting de campagne en vue de la présidentielle dans un lieu hautement symbolique, la ville texane de Waco, théâtre il y a 30 ans d'un assaut meurtrier contre une secte opposée au pouvoir fédéral.
L'ancien président américain, qui avait clamé - à tort - qu'il serait "arrêté" le 21 mars à New York dans une affaire de paiement à l'actrice pornographique Stormy Daniels, montera sur scène à 17h00 locales (23h00 en Suisse), pour son "premier rassemblement pour l'élection de 2024". "Grosse foule au Texas - A plus tard!", a déclaré Donald Trump samedi sur son réseau social Truth Social.
La ville de Waco, 130'000 habitants, reste associée à la secte anti-gouvernementale des Davidiens. Au printemps 1993, le monde avait été suspendu durant 51 jours au siège par le FBI d'un ranch dans lequel s'étaient retranchés des adeptes armés du gourou David Koresh. Septante-six membres de la secte dont 20 enfants avaient été retrouvés morts après l'incendie du ranch. Quatre policiers avaient également péri.
L'équipe de campagne de Donald Trump n'a pas répondu aux sollicitations de l'AFP quant au choix de Waco pour le meeting.
L'ancien président, également sous la menace d'enquêtes sur ses pressions électorales en Géorgie en 2020 et la gestion d'archives classifiées de la Maison Blanche, se pose régulièrement en victime d'un mystérieux "Etat de l'ombre". La spectaculaire perquisition du FBI dans sa résidence en Floride? "Un abus de pouvoir choquant". Les deux infamantes procédures de destitution au Congrès dont il a fait l'objet? "Une chasse aux sorcières".
Petits pas de danse
En retrouvant sa base en meeting à Waco - où jusqu'à 15'000 personnes sont attendues -, Donald Trump renoue par ailleurs avec un exercice qu'il affectionne. Les scènes de l'ancien président, en train d'esquisser des petits pas de danse, ou de lancer ses célèbres casquettes rouges à la foule sont désormais cultes parmi ses adeptes.
Dans la ville texane, certains de ses fans trépignaient déjà d'impatience vendredi soir, visiblement peu préoccupés par les ennuis judiciaires de leur idole. "Tout est déformé pour lui donner une mauvaise image", a assuré à l'AFP Kelly Heath, 49 ans, y voyant une tentative de le "faire taire".
Ce meeting offre surtout au républicain l'opportunité d'insuffler un nouveau souffle à sa campagne, qui ne jouit pour l'instant pas de la dynamique espérée même si la plupart des sondages le donnent gagnant d'une primaire.
Le milliardaire, qui continue contre vents et marées d'évoquer de supposées "fraudes" jamais prouvées à l'élection de 2020, a aussi vu une partie de la droite - et notamment ses riches donateurs - se tourner vers le nouveau champion de la droite dure, Ron DeSantis, 44 ans. Le gouverneur de Floride n'est pas encore officiellement lancé dans la course, mais sera incontestablement un de ses plus grands rivaux pour l'investiture républicaine en 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Bagnaia remporte le premier sprint de l'histoire à Portimao
Le champion du monde en titre Francesco Bagnaia a remporté le premier sprint de l'histoire du MotoGP, terminant devant les Espagnols Jorge Martin et Marc Marquez sur le tracé de Portimao, au Portugal.
Grâce à sa victoire dans cette épreuve qui fait son apparition cette année, l'Italien prend provisoirement la tête du championnat, avant le traditionnel Grand Prix disputé dimanche, le premier d'une saison record de 21 courses.
Parti en pole position à la surprise générale, Marquez, sextuple champion du monde en MotoGP, n'a pas résisté bien longtemps à l'assaut des deux Ducati parties juste derrière lui.
"J'ai dépensé beaucoup d'énergie, il n'y a que 12 tours, mais nous avons fait un travail extraordinaire aujourd'hui. Demain (dimanche), c'est la course la plus importante du week-end, ça sera plus difficile", a concédé le pilote Honda.
Ce premier sprint a aussi été marqué par un violent accrochage entre les Italiens Enea Bastianini (Ducati) et Luca Marini (Ducati-VR46). Le premier a dû être conduit au centre médical en raison de douleurs au bras droit.
Disputés chaque veille de Grand Prix, les sprints représentent l'équivalent, en distance, de la moitié de la course principale le dimanche. Ils offrent aussi jusqu'à 12 points supplémentaires au championnat, en plus des 25 points attribués le lendemain au vainqueur du GP.
Dimanche, la grille de départ sera encore celle déterminée lors des qualifications disputées samedi matin. Marc Marquez partira donc en pole pour la deuxième fois du week-end avec l'espoir de signer sa première victoire dans la catégorie reine depuis l'automne 2021. Et la 60e de sa carrière.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Premier feu de forêt majeur de la saison, 1500 personnes évacuées
Environ 700 pompiers espagnols combattaient samedi le premier feu de forêt majeur de l'année. Il a échappé à tout contrôle 48 heures après son déclenchement et a entraîné l'évacuation de 1500 personnes d'une localité située au nord de Valence, dans l'est du pays.
Les services de secours régionaux ont indiqué sur Twitter que le feu, qui a déjà parcouru 3900 hectares à Villanueva de Viver, 90 km au nord de Valence, était "un incendie de haute difficulté accompagné de conditions météo similaires à celles de l'été".
La même source a indiqué que les 1500 habitants avaient dû quitter leurs habitations vendredi. Les pompiers ont indiqué que les 700 hommes qui combattent le feu sont assistés par une vingtaine d'engins aériens.
"Le feu n'est pas stabilisé et se poursuit avec une grande férocité en raison des conditions météo qui sont pratiquement estivales", a indiqué Ximo Puig, le président de la région de Valence, à l'antenne de la télévision espagnole RTVE.
En 2022, année noire pour les feux de forêt en Europe, l'Espagne a été le pays du continent le plus touché, avec près de 500 incendies qui ont ravagé plus de 300'000 hectares, selon le Système européen d'information sur les feux de forêt (Effis).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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