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International

L'Américaine Coco Gauff qualifiée pour les demi-finales

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L'Américaine Coco Gauff disputera pour la première fois les demi-finales de l'US Open. (© KEYSTONE/AP/Manu Fernandez)

La pépite américaine Coco Gauff, 6e mondiale à 19 ans, n'a mis que 1h08 mardi pour battre la Lettonne Jelena Ostapenko (21e) 6-0 6-2 et se qualifier ainsi pour sa première demi-finale de l'US Open.

"C'est génial, je suis si heureuse... L'an dernier, j'avais perdu en quarts de finale alors cette année, je voulais faire mieux. Mais la route n'est pas finie !", a déclaré Gauff.

Elle a déjà joué une finale de Grand Chelem à Roland-Garros en 2022 et affrontera jeudi la Roumaine Sorana Cirstea (30e) ou la Tchèque Karolina Mouchova (10e) pour une place en finale du Majeur américain.

Mardi, Gauff a complètement étouffé Ostapenko, lauréate de Roland-Garros 2017 et qui avait créé la sensation en 8es de finale à New York dimanche en éliminant la tenante du titre Iga Swiatek.

Face à Gauff, elle a multiplié les fautes directes (36 contre 14 pour son adversaire).

La Lettonne de 26 ans a perdu les sept premiers jeux de la partie avant de stopper l'hémorragie... sur le service de Gauff.

Mais alors qu'une chaleur accablante s'abattait sur Flushing Meadows, Gauff a repris son inexorable avancée vers les demies.

Elle a servi pour le match à 5-2 et conclu sur sa troisième balle de match.

"C'est très dur de jouer contre elle parce qu'il est difficile d'être agressive. Alors j'essayais d'être agressive dès que je pouvais, mais la plupart du temps, j'essayais surtout de jouer long", a expliqué Gauff.

"C'est de loin mon match le plus court du tournoi", a-t-elle souligné, expliquant qu'elle verrait avec son coach si elle allait se reposer ou faire une séance d'entraînement dans la journée.

Gauff est par ailleurs qualifiée pour les quarts de finale du tournoi de double avec sa compatriote Jessica Pegula.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Virus de Marburg: premier essai clinique d'un traitement au Rwanda

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Le taux de mortalité du virus de Marburg peut aller jusqu'à 88% (archives). (© KEYSTONE/EPA BIONTECH SE/BIONTECH SE HANDOUT)

Le premier essai clinique d'un traitement contre le virus de Marburg a démarré au Rwanda, où cette forme de fièvre hémorragique ressemblant à Ebola a tué au moins 13 personnes cet automne. Cet essai emploie un médicament utilisé pour traiter le Covid-19.

Le directeur de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a salué mardi sur le réseau social X (ex-Twitter) une "nouvelle encourageante".

Le Rwanda a déclaré une épidémie de Marburg le 28 septembre. Au 11 octobre, le ministère de la santé du pays a recensé 58 cas de personnes contaminées, 13 décès et 12 guérisons.

Outre le traitement, une campagne d'immunisation à l'aide d'un vaccin expérimental a été lancée et l'agence sanitaire de l'Union africaine estime que l'épidémie est désormais "maîtrisée".

Taux de létalité jusqu'à 88%

Avec un taux de mortalité pouvant aller jusqu'à 88%, le très dangereux virus de Marburg cause une forte fièvre souvent accompagnée d'hémorragies touchant plusieurs organes. Il n'existe actuellement aucun vaccin confirmé ni aucun traitement antiviral officiellement approuvé.

Marburg fait partie de la famille des filovirus, à laquelle appartient également le virus Ebola, qui a déjà causé des épidémies meurtrières en Afrique.

Les animaux peuvent le transmettre à des mammifères primates vivant près d'eux, dont des humains. La transmission interhumaine se fait ensuite par contact sanguin ou avec d'autres fluides corporels.

Selon l'OMS, l'essai clinique en cours au Rwanda "comprend des essais de sûreté et d'efficacité du Remdesivir - un antiviral déjà utilisé pour traiter le Covid-19 - et du MBP091 - un anticorps spécial conçu pour combattre le virus de Marburg".

"Cet essai est le résultat de deux ans de travail de près de 200 chercheurs, développeurs, fonctionnaires du ministère de la santé et partenaires mondiaux et de 17 pays africains exposés aux risques d'épidémies de filovirus tels qu'Ebola et Marburg", a ajouté l'organisation onusienne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'arme israélienne fait état de 50 projectiles tirés du Liban

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Selon le Hezbollah, "une grande salve de missiles" a été tirée en direction de la ville israélienne de Safed (archives). (© KEYSTONE/AP/Baz Ratner)

L'arme israélienne a indiqué que 50 projectiles ont été tirés dans la nuit de mardi à mercredi sur le nord d'Israël depuis le Liban, où elle est opposée au Hezbollah pro-iranien. "Certains projectiles ont été interceptés", a-t-elle précise, sans faire état de victimes.

Le Hezbollah a de son côté affirmé avoir tiré "une grande salve de missiles" en direction de la ville de Safed, dans le nord d'Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Débuts modestes pour la plateforme de cryptomonnaies de Trump

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Donald Trump s'est associé à ses fils et à plusieurs entrepreneurs du secteur des monnaies numériques pour lancer ses jetons WLFI (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

La plateforme de cryptomonnaies cofondée par l'ancien président américain Donald Trump a connu mardi des débuts sans éclat. Seule une infime partie des jetons numériques proposés par la start-up a trouvé preneur.

Le candidat républicain à la présidentielle américaine de novembre avait annoncé à la mi-septembre le lancement de cette plateforme, baptisée World Liberty Financial. Outre ses fils, Donald Trump est associé, dans ce projet, à plusieurs entrepreneurs du secteur des monnaies numériques.

World Liberty Financial a mis en vente, mardi, des jetons ou "tokens", identifiants numériques qui peuvent être des cryptomonnaies, mais sont aussi utilisés à d'autres fins, par exemple pour les NFT (titre de propriété numérique).

Les jetons WLFI, leur sigle, donneront droit à participer à la gouvernance de la plateforme et ne pourront être revendus, à la différence d'une monnaie numérique traditionnelle.

Problèmes techniques

Quelque 20 milliards de WLFI ont été proposés, pour une valeur unitaire de 1,5 centime de dollar. L'ensemble était donc valorisé 300 millions de dollars. En début de soirée mardi, soit plusieurs heures après l'ouverture de la vente, moins de 3% des jetons avaient trouvé preneurs.

Des responsables de la plateforme avaient affirmé lundi que plus de 100'000 investisseurs qualifiés s'étaient enregistrés en vue de la vente.

Plusieurs observateurs ont mis le faible total des ventes en partie sur le compte de problèmes techniques. Durant les premières heures, il a ainsi été parfois impossible de se connecter au site de WLF, qui affichait un message d'erreur.

World Liberty Financial a émis, au total, 100 milliards de jetons, dont 20 milliards ont été proposés mardi. Quelque 22,5 milliards ont été octroyés à la société DT Marks Defi, à laquelle est rattaché Donald Trump. Si les 20 milliards de jetons mis en circulation mardi étaient placés, la valorisation de la totalité des WLFI atteindrait alors 1,5 milliard de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Washington accueille deux nouveaux "pandassadeurs" chinois

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Les deux pandas, partis de la province chinoise du Sichuan, ont voyagé dans un avion cargo spécial baptisé "Panda Express". (© KEYSTONE/AP/Jin Tao)

Washington n'avait pas reçu de pandas de Chine depuis 24 ans. C'est chose réparée avec l'arrivée très médiatique mardi de Bao Li et Qing Bao, un couple porteur d'un message diplomatique symbolique entre les deux premières puissances mondiales.

Les deux pandas âgés de 3 ans ont atterri sous l'objectif des photographes à l'aéroport international de la capitale américaine.

Partis de la province chinoise du Sichuan, ils ont voyagé dans un avion cargo spécial baptisé "Panda Express". Ils avaient été placés dans des cages individuelles avec une importante provision de carottes et de bambous pour le voyage.

Leur périple s'est déroulé sous le contrôle vétérinaire constant d'une équipe de soigneurs venue de Washington. Bao Li et Qing Bao, respectivement un mâle et une femelle, vont recevoir un accueil de vedettes à Washington, le zoo de la ville n'ayant plus de pandas depuis près d'un an.

Very Important Pandas

L'annonce de l'arrivée des deux mammifères avait été faite fin mai par la Première dame américaine, Jill Biden, et le Smithsonian's National Zoo.

Trois précédents pandas hébergés à Washington étaient rentrés en Chine en novembre 2023. Un départ, à l'expiration d'un contrat de prêt, qui avait été largement considéré comme reflétant des tensions entre Washington et Pékin.

Il a fallu un réchauffement progressif des relations bilatérales pour qu'un envoi puisse de nouveau être envisagé. En effet Pékin, selon une politique qualifiée de "diplomatie du panda", expédie ces animaux qualifiés de "trésors nationaux" à travers la planète pour sceller l'amélioration de ses relations diplomatiques.

Les chouchous des visiteurs

Le sujet avait d'ailleurs été évoqué quand le président américain Joe Biden et son homologue chinois Xi Jinping avaient renoué leur dialogue en novembre 2023 à San Francisco.

Le public américain devra lui attendre quelques semaines pour découvrir Bao Li et Qing Bao, une fois écoulée une période de quarantaine et d'acclimatation à l'air de la capitale. Dans de nombreux jardins zoologiques dans le monde, les pandas sont les stars incontestées et premiers chouchous des visiteurs.

La présence des deux plantigrades au zoo national de Washington est régie par un contrat de prêt avec la Chine d'une durée de dix ans, visant à la reproduction de l'espèce. L'accord prévoit le versement annuel d'un million de dollars par la partie américaine.

Depuis Mao et Nixon

Même s'ils sont nés dans une réserve dans les régions montagneuses de Chine, les deux ursidés ont un lien avec Washington: la mère de Bao Li, Bao Bao, y est née en 2013, avant de repartir en Chine. Et ses grands-parents Tian Tian et Mei Xiang ont vécu dans la capitale américaine de 2000 à 2023.

La première paire de pandas fut offerte par Pékin aux Etats-Unis en 1972, dans la foulée d'une visite historique du président Richard Nixon dans la Chine communiste de Mao Tsé-Toung.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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